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Une ancienne collègue sur mon gland

Une ancienne collègue sur mon gland



10 ans. Voici prêt de 10 que je ne travaille plus avec Karine.

Il me semble d’ailleurs qu’à l’époque, elle ne me considérait guère. Elle avait une vingtaine d’années, toute jeune donc, grande, brune, toujours une mine pas commode sur le visage. Son air renfrogné servait certainement à éloigné la faune de son corps de belle nana bien gaulée.
Facilement plus d’1 m 70, deux seins énormes et un cul à faire bander un mort. Voilà le tableau. Mais de toutes façons, ça n’était pas pour moi. Nos rapports étaient bon mais elle me considérait je pense comme un bon collègue du fond du bureau, un peu marrant, pas vraiment son genre… car elle préférait visiblement les petits crétins à casquette, genre faux virils avec toujours une mine de repris de justice. Bref, un peu pitoyable.

Nos chemins professionnels ne se sont pas suivis mais, magie de Facebook et autres réseaux sociaux, il y a toujours eu un petit fil entre nous.
Toujours dans la même profession, nous avions eu l’occasion de nous croiser quelques fois et bizarrement, le feeling était meilleur. Pour ainsi dire même très bon, passant au stade de la franche bonne entente. Et là ou il y a 10 j’étais un jeune homme sans doute « hésitant », les femmes comprennent sans problème maintenant quel genre de coquin je suis.

Bref, la voici qui m’envoie des messages et allusions d’abord très « subliminaux » à travers Facebook, puis carrément directs. Je joue un peu avec ça, moi qu’elle considérait peu, me voilà élu au statut de mec qui peut lui mettre comme elle aime. Intéressant. Son statut de femme en couple, désormais mère de famille, n’a pas l’air de la gêner. Je suis qu’avec son mec ça n’a vite plus été le grand amour et au cours d’une conversation ou je l’avais entraîné sur des sujets intimes, elle m’avait avoué qu’il ne se passait plus rien entre son eunuque de crétin à casquette et elle. Femme « dure », elle a carrément le dessus sur lui et il ne la ramène pas.

Je l’invite un jour en semaine à venir découvrir la charmante petite ville ou je réside désormais, pas très loin de chez elle… Une heure de route nous sépare désormais, c’est à dire rien. A ce stade de l’invitation, elle sait très bien ou je veux en venir et le fait qu’elle accepte me fait dire qu’elle a bien envie de me sucer la queue et plus. Les choses étant entendues, il n’y a plus qu’à passer à l’action.

Nous buvons un verre en terrasse. Le soleil du printemps nous réchauffe gentiment. Elle est très brune, le cheveux mi long, très fourni et elle a la peau très très blanche. Il faut le dire, le temps ne l’a pas épargnée et en peu d’années, la bombe atomique qu’elle était l’a transformée… Oh il y a de très beaux restes mais quand on a été sublime, il est peut-être dur de redevenir une femme « standard ». Elle est toujours grande, mais elle a pris quelques rondeurs… son cul notamment, qui est encore très beau. Par contre ses deux melons magnifiques et arrogants se sont un peu affaissés et on un peu fondu. Mince, quel dommage. Mais elle a encore plus de seins que la plupart des femmes et ses deux mamelles désormais pendantes doivent être super excitantes, surtout autour de ma pine.

Elle trouve la ville très mignonne et je lui propose de découvrir les alentours. Nous montons dans mon cabriolet. Il fait trop froid pour décapoter, mais nous tentons quand même… Nous cruisons doucement dans les petits chemins, je fais mine de suivre les chemins au hasard mais je sais très bien ou je vais. A une dizaine de Km d’ici, ou j’emmenais autrefois mes « petites amies » pour leur faire découvrir souvent les joies de la queue. Vers 20 ans, j’ai « emprunté » la minou et le petit anus de quelques jeunes jolies filles dans le petit bois dont je prends la direction.

Je tourne sans prévenir dans le petit chemin de terre et elle me demande « oh, ou on va ? » en souriant… avec un ton qui fait en sorte que ce n’est presque pas une question. Je ne réponds d’ailleurs pas, je lui fait juste un sourire.

Le soleil tape plus fort et j’arrête la voiture. Je décapote. On reste un moment assis, sur le cuir qui chauffe. C’est bon.
Elle descend, je la suis. Nous discutons un peu… ni moi ni elle ne sommes très pressés. Entre grandes personnes pas mortes de faim, nous apprécions juste l’instant. Je me demande bien, depuis le début, ce que peut apprécier sexuellement cette nana qui est sortie avec de la pseudo racaille de quartier. Comme elle est très dominante, je suppose qu’elle a toujours imposé ces choix, le seul hic c’est que je suis moi aussi plutôt du genre à avoir le dessus au lit et que un peu calmée par la vie et par sa routine, elle est venue chercher chez moi un mec « stable » dans sa tête, son histoire, qui pourrait la baiser comme elle en a envie depuis sans doute un moment.

Elle a une robe assez légère, surtout pour la saison. Elle enlève le petit gilet qu’elle avait, laissant découvrir ses épaules nues. Très jolies. Je devine qu’elle n’a pas de soutien gorge et sa poitrine, volumineuse, est effectivement assez tombante. J’adore et je sens que je commence à bander.

Je m’appuie contre la voiture et la colle contre moi. Elle a une haleine moyenne, son corps est lourd et j’ai tout d’un coup très envie de la maltraiter un peu sexuellement. Je l’embrasse un peu, lui malaxe les seins assez vigoureusement et lui pince les tétons à travers sa robe. Elle la laisse tomber et je découvre son corps, très blanc, sa touffe très brune mais qui semble entretenue. Deux tétons très larges et très raides. Je lui pince les bouts et lui met des petites claques sur ses deux boobs laiteux et pendants. Elle apprécie et me pelote la queue à travers mon jean.

Elle baisse définitivement sa culotte et je la doigte furieusement. Encore une fois, je n’ai pas très envie d’une ambiance caresses, douceurs et tendresse. Je lui fouille donc sa grosse moule avec deux doigts et vu comment elle mouille, ça a l’air de lui plaire. Elle défait ma ceinture et prenant les devants, je lui dit « viens voir ma belle queue et bouffe là ».

Elle s’exécute et tombe à genoux. J’ai belle gaule et quand elle sort mon outil de mon boxer, un filet de pré-sperme pend de mon gland. Elle englobe tout ça… Son visage n’est ni très beau ni laid, mais étrange. Cette fille a un style à part… et cet apres midi, je trouve qu’elle a surtout un style à me pomper la queue comme une bonne chienne qu’elle s’assume être.

Elle m’avale le pieu comme une affamée et sa bouche regorge de salive sur ma pine, comme si elle savait que j’adore ça. Moi debout, je vois son cul dépasser derrière sa chevelure et elle accroupie, sa chatte doit être béante ouverte prêt de l’herbe. Je me demande si je vais pouvoir l’enculer, si elle a été habituée à ça ou pas.

En tous cas, excité par tout ça, cette suceuse pourrait m’extraire le sperme des couilles en quelques minutes. Je décide donc de donner le change en ouvrant la porte de la voiture et en l’allongeant. Elle ouvre ses deux cuisses blanches… elle a les jambes assez longues, un vrai bonheur. Je découvre un minou tout brun, mais rasé autour de la fente. La coquine a préparé sa venue, c’est la moindre des choses.

J’y vais tout doux, avec mes doigts et ma langue, j’approche en de longues minutes le « coeur » du problème, sans y aller directement… Voici bien un conseil que je peux donner : allez y tout doux progressivement. Jamais directement sur le minou. Lécher d’abord autour, effleurer autour, longtemps, puis les lèvres, et au bout de 10 mn, jamais moins, le clito, tout doucement.

Résultat imparable, elle coule comme une fontaine. Une bonne période d’abstinence plus des préliminaires comme un suplice : sa chatte est trempée.
Je décide alors d’y fourrer ma queue. Elle se raidit et j’ai l’impression qu’elle va jouir très vite. En la léchant, j’avais mis un doigt dans son cul et je lui avais léché son petit anus : aucun signal très positif ni surtout négatif… l’entrée semblait globalement autorisée.

Mais je suis tellement bien dans son minou. Et elle semble appréciée ma rentrée toute progressive, cm par cm, dans son antre, et le fait que je la remplisse bien profond, que je n’ai pas le cœur à essayer autre chose. Je me cale au fond de sa chatte et je tente quand même un doigt dans son cul. Elle semble ok.
D’ici, je vois ses deux gros boobs pendre sur les côtés, elle les ramène parfois sur elle en se pincent les tétons, j’en fais autant.

Chaque coup de bite la fait décoller un peu plus et je sens qu’elle va (déjà) jouir. Je décide donc de l’achever comme ça… je la sodomiserais une autre fois. Je joue la carte minou à fond, je lime doucement et lui dit avec des mots crus que sa chatte pisse le jus, que je lui remplit le trou et que je vais fourrer ma crème au fond. Elle décolle et jouit bruyamment. Je suis assez surpris, elle qui fait peu de bruit en général, elle l’orgasme sonore.

Elle a jouit, mais pas moi… Je monte sur le rebord de la voiture et lui demande de me sucer. Elle fait la moue mais s’exécute. La voici qui pompe ma queue pleine de son jus et je crache vite fait ma purée, sans égard.
Un peu dans son bouche, un peu sur son visage, ses cheveux, et le reste sur son corps blanc et finalement sexy.
Je lime encore sa bouche pour bien lui montrer qui est la patron. Elle y prends goûts et m’astique le manche et les couilles jusqu’à ce que je ramolisse un peu.

Elle s’essuie, remet sa robe. On s’embrasse un peu. Les oiseaux chantent, on prends le temps. Pour une première c’est assez réussi, nous avons jouit les deux, elle était très en manque et moi j’ai pris goût à sa grosse chatte brune… et il me reste son trou du cul à explorer. La porte est ouverte….

C’est peut être le sujet d’une autre histoire…

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