Un jour, dans le cadre d’une réunion, un homme séduisant, sportif et beau parleur, me drague avec insistance. Un peu lourdingue dans sa façon de procéder, il réussi malgré tout à me convaincre de dîner avec lui. Pour le rendez-vous, je me suis habillée plutôt sexy. Il vient me chercher dans un coupé sport rutilant. Galant, il m’ouvert la portière en me complimentant sur ma tenue.
La voiture étant basse, ma petite robe remonte très haut sur mes cuisse et durant le trajet, il n’a de cesse de mater mes jambes et mon décolleté profond. Il sort le grand jeu en m’invitant dans un restaurant étoilé. Durant le repas, il fait des traits d’humours coquins qui, le vin aidant, ont plutôt tendance à m’exciter. En repartant du restaurant, au moment où je monte dans la voiture, il me murmure :
« Vous êtes craquante Michèle. Si je ne me retenais pas, je vous prendrais sur le capot ! »
Très féline et aguicheuse, je lui réponds :
« Chiche ! »
Il est surpris et rigole en me rétorquant :
« Ha bien, vous ne manquez pas d’aplomb. Si nous allions plutôt boire un dernier verre chez moi ? »
Durant le trajet, Christian loupe souvent son levier de vitesse pour poser sa main sur mon genoux ou ma cuisse. Je frissonne et le laisse faire. J’écarte même insensiblement mes cuisses. Nous entrons dans une grande allée gravillonnée qui débouche sur un manoir 17éme. Je suis très impressionnée et intimidée en pensant à mes fantasmes de château médiéval et de donjon.
Quand nous entrons dans le hall, je reste muette devant ce décor de rêve. Je sursaute quand il m’embrasse au creux du cou tout en me pelotant les seins. L’homme élégant et courtois se transforme là en mâle en rut désireux de saillir sa femelle. Ce n’est pas pour me déplaire. Mais, j’ai envie de le faire languir. C’est un jeu qui peut-être dangereux mais tant pis. Ironique, je lui dis :
« Mais je croyais que vous m’invitiez pour me proposer un verre ? »
Il se ressaisit, me sourit et à nouveau courtois, il me conduit dans un grand salon où trône un magnifique billard en me disant :
« Veuillez m’excuser, je manque à tout mes devoirs. Que désirez vous boire, ma chère ? »
« Un whisky s’il vous plaît. »
« Très bon choix Michèle. C’est une boisson noble. »
Je me retourne pour admirer ce billard en lui disant :
« Quel superbe billard avez-vous là. »
Il me tend mon verre de Jura 30 ans d’âge.
« Votre nectar Michèle. Oui merci, savez-vous y jouer ? Je manie assez bien la queue. »
Je souris à cette allusion et déguste une gorgée du liquide ambrée, tout en lui répondant :
« Un de mes amis fan de billard m’a appris à utiliser une queue. »
Observant ses réactions, je fais une pose en reprenant une gorgée de whisky et reprends :
« Vous savez, dés qu’il y a une queue et des boules, je suis toute excitée. »
Il sourit et me propose alors :
« Faisons une partie que je constate votre virtuosité avec une queue ! »
J’adore la tournure des choses. Très allumeuse, je me colle à lui en le regardant droit dans les yeux pour le défier en lui disant :
« Pourquoi pas ? Mais il faut un enjeu ! »
Il sourit et après quelques instants de réflexion, il me propose :
« Huuum… Si nous faisions un strep billard ? »
Je fais une fausse moue.
« C’est de la triche. J’ai beaucoup moins de vêtement à enlever que vous ! »
D’un regard conquérant et dominateur il me dit alors :
« He bien soyez bonne alors ! »
Nous commençons et il me laisse l’honneur de casser. Je me loupe et aucune boule ne rentre.
Il affiche un large sourire en me disant :
« Bon, hé bien, je crois qu’il faut que enleviez quelque chose. »
Je le regarde droit dans les yeux et réplique :
« Bien Monsieur ! »
J’enlève mes escarpins. C’est à son tour et curieusement, il rate aussi. Il enlève sa veste. Je prends la main mais déjà passablement éméchée et émoustillée, je me loupe et la bille ne rentre pas.
Il jubile. Mais j’enlève la broche qui retient mes cheveux. Il doit être troublé car, il loupe encore une foi son coup. Il semble agacé et enlève sa cravate. Je prends la main et cette foi, je rentre une bille et me loupe au deuxième coup. Triomphant, il me lance :
« Votre robe Michèle ! »
Troublée, je sens ma petite chatte s’humidifier et des fourmillements familier envahir mon ventre. Je feints d’être gainée en retirant ma robe. Je me retrouve devant lui en lingerie fine qui ne cache que peu de chose de mon anatomie. Je lis dans ses yeux l’excitation du mâle qui va bondir sur sa proie.
Lui aussi très troublé et rate le trou. Je lui lance en rigolant :
« Décidément la partie va tourner court avec d’aussi mauvais joueurs. »
Il ôte sa chemise. Je languie de voir le reste. Comme il est bien meilleur que moi, je me retrouve nue rapidement. Je remarque que je ne le laisse pas indifférent au vu de la bosse qui déforme son pantalon. Il marque un temps d’arrêt pour se délecter de mes courbes.
« Hé bien Michèle, vous n’avez plus rien à enlever. Le prochain gage sera une gâterie ! »
Je rougie bêtement. Maintenant c’est lui le Maître. Il me contrôle. Il joue avec moi. Bien entendu je loupe mon coup et d’un claquement de doigt, il désigne la bosse de son entrejambe en me souriant. Honteuse, je me met à genoux et docile je sors son engin que j’embouche avec une certaine émotion.
« Ma chère Michèle ! Votre bouche est somptueuse. Puisque vous avez perdu la partie, j’ai tout les droits sur vous. Vous serez à moi totalement et pour toute la nuit. »
Je suis son jouet et me laisse entraîner dans son délire avec bien du plaisir. Il se retire de ma bouche, me penche sur le billard. Alors que je m’attend à ce qu’il me prenne, c’est le contact dur et froid d’une queue en bois qui investit mon vagin surchauffé. Sans me laisser le temps de réagir, il accentue le va et vient de l’engin.
Je me sens soumise, à sa merci et j’aime ça. Puis d’un coup, il retire la queue de ma chatte. Esquissant un mouvement pour me relever, il m’ordonne sur un ton plus autoritaire et passant au tutoiement :
« Bouge pas salope! »
Je suis totalement sous son contrôle et obéis, restant dans cette position obscène.
En admirant ma croupe offerte et ma docilité, il dit :
« Je ne te pensais pas aussi chienne. J’adore les chiennes te ton genre ! Tu veux d’la queue ma salope ? Et bien, j’vais t’en donner à souhait ! »
Le mâle sauvage et dominateur reprend le dessus. Me prenant les hanches, il m’enfile sa verge jusqu’à la garde et se met à me saillir avec une v******e presque bestiale. Chaque coup de boutoir, me procure du plaisir. Je gémis, je crie, j’exprime mes sensation de façon sonore.
« Hummm, grosse salope ! J’vais t’faire gueuler comme une chienne ! »
L’homme courtois et délicat a totalement disparu pour mon plus grand plaisir. J’adore être secouée et insulté lorsqu’on me baise. Je l’encourage à me fourrer encore plus fort.
« Tu t’sers mieux de ta bite que d’une queue de billard. Huuum qu’elle est bonne ! Oui baise moi bien fort ! »
En continuant de me bourrer, il entre ses doigts dans mon cul.
« Ha..ha ..ha, oui, j’aime, prends moi le cul !!! J’veux ta grosse bite dans mes fesses ! »
« T’es vraiment une grosse pute ! Tu vas voir comment j’vais t’éclater la rondelle petite salope ! »
Il sort de mon vagin pour s’enfoncer dans mon conduit étroit sans réelle préparation. Je hurle sous cette douloureuse intrusion. Je suis rempli et dilaté.
Après de vas et viens violent dans mes fesses, il se retire brutalement, me prend par les cheveux et me retournant comme une crêpe, il m’ordonne :
« Suce et avale mon jus putain ! »
Il me fourre sa hampe au fond de la gorge et aussitôt des spasmes s’emparent de sa tige suivis et de longs jets crémeux qui tapissent mon palais et me frappe le fond de la gorge. Il me garde un moment enfoncée sur son membre et me relâche enfin.
Pendant que j’essaye d’avaler ce que je peux et de reprendre ma respiration, Il me dit :
« Tu m’a bien vidé les couilles ! T’es une sacré chaudasse toi sous tes airs de bourgeoise ! »
Puis reprenant son air courtois d’homme du monde, il continue en me disant :
« J’ai bien envie d’organiser une soirée entre amis avec vous comme fil rouge. Je pourrais ainsi leurs montrer le pouvoir que j’ai sur vous ma chère et comment je sais vous rendre chienne, vous manipuler physiquement et mentalement. Je les laisserais vous prendre tout en jouant le maîtres de cérémonie. »
Reprenant mes esprits, je me dis que ce type cachait bien son jeux sous ses airs de dandy.
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