Histoires de sexe de voisins Histoires tabous

Sylvie, un adultère consenti (Partie 2)

Sylvie, un adultère consenti (Partie 2)



Eric avait demandé à Sylvie de passer à son bureau pour organiser un déplacement à Nice dans les prochains jours.
– Sylvie, je voulais te voir pour organiser notre déplacement, mais entre et ferme la porte.
– Oui, que voulais tu savoir ?
– Tu veux que nous prenions une ou deux chambres ?
– Moi je préférai une seule, mais le patron va trouver étonnant qu’il n’y ait qu’une seule facture de chambre dans nos notes de frais.
– De ce côté-là tu n’as rien à craindre, car je ne présente jamais mes frais.
– Ah bon !
– Oui c’est ma vision sur la question, en tant qu’actionnaire cela me semble normal. En revanche, si tu veux, nous pouvons la prendre à ton nom pour éviter tous soupçons.
– C’est une bonne idée.
– Vu que tu es partante dans cette idée, je vais te préparer un petit déplacement qui devrait te laisser que de bon souvenir, en priorité le soleil qui nous attend. Dans tes affaires, pourrais-tu mettre tes bottes, ta jupe et pantalon en cuir.
– Si tu veux.
– Et sinon ton voyage a Genèvre, cela a été avec Lola ?
– Le rendez-vous client très bien et Lola a même conclues avec le client, en même temps je lui avais bien préparé le terrain. Après le retour, comme tu as appris, nous avons été bloqués à Genèvre.
– Oui j’en ai entendu parlé par Lola.
– Qu’a-t-elle dit ?
– Qu’Air France avait bien géré et que l’hôtel 5 étoiles c’est sympa.
– Ok, heureusement elle n’a pas raconté le reste.
– Mais moi je t’écoute, car tu en as trop dit ou pas assez.
– Il n’y avait qu’une seule chambre pour toutes les deux et malheureusement qu’un seul lit.
– Ton histoire commence à m’intéresser.
– Lola n’est absolument pas pudique et elle se balade toute nue face à moi, me concernant j’étais plus sur une tenue en sous-vêtement. Mais une fois au lit, elle était nue et me disait que je dormirai mieux aussi toute nue, sur le fond elle avait raison, même si je n’ai pas l’habitude de dormir ainsi. Ce que je ne savais pas, je suppose que toi non plus, c’est qu’elle est lesbienne. Sans que je souhaite elle a commencé à laisser ses mains me parcourir, avant de passer sous la couette pour explorer mon intimité avec sa bouche et gouter à ma jouissance.
– Elle a fait ça ! waouh !! elle n’est pas timide la petite et tu as aimé ?
– Elle est experte dans le domaine et à ma grande surprise c’était pas mal.
– Et toi tu n’as rien fait ?
– Juste de petites caresses au niveau de sa poitrine pulpeuse et elle a aussi voulu me faire sentir son intimité imberbe.
– J’en déduis que ce n’est pas ton cas, mais c’est ce que j’avais cru sentir l’autre jour à travers le satin de ton shorty.
– Bonne déduction, mais le matin à dans la salle de bain, elle était assise sur l’évier et m’a proposé de lui faire ce qu’elle m’avait fait la veille. Au début je n’osais pas aller vers son intimité, car même en tant que femme, je n’en avais jamais vu d’aussi près. J’ai touché avec mes doigts et aussi gouté avec ma langue.
– Et alors, tu as réussi à la faire jouir ?
– Ce n’était pas au top, mais il semblerait qu’elle est eue son orgasme.
– Tu es une sacrée coquine !! et alors tu préfères les hommes ou les femmes ?
– Les hommes, mais avec du recul j’ai quand même trouvé du plaisir dans cette expérience.
– Ah oui, mais je retiens, on ne sait jamais, je pourrais avoir des idées dans le domaine à ton égard.
– Petit détail qui m’a fait sourire, après sa douche elle n’a pas remis son string faute d’un change, elle a enfilé son jean sans rien en dessous sans complexe, mais elle m’a dit que cela lui arrive souvent.
– Tu m’en apprends de belle sur la stagiaire.
– Dis-donc toi, c’est uniquement qu’avec moi que tu peux dire cela.
– Tu me fais une petite crise de jalousie !
Sylvie ne répond rien, mais cela voulait en dire long, sachant qu’Eric n’était pas intéressé par Lola et trouvait déjà beaucoup avec Sylvie.
– Et pour Lola, silence pour ce que je viens de te dire.
– Ne t’inquiète pas, je garderai ces détails croustillants pour moi.
– Je voulais aborder de petites règles pour nos moments extras professionnel.
– Vas-y je t’écoute.
– Je souhaiterai : qu’en public nous restions des collègues, pas de bisou, pas de pénétration vaginale, pas le droit de se dire non mais cependant aucune limite dans le sexe qui est la raison première de nos échanges.
– J’ajouterai aussi aucune communication écrite sur tous médias.
– Oui j’avais oublié, mais tu as raison.
– Juste un détail, la dernière fois je n’avais pas mis de préservatif pour que cela soit plus agréable, mais nous ne sommes pas protégés.
– Je te rassure de ce côté-là rien à craindre mon côté et du tiens ?
– De même, donc si tu es d’accord nous pouvons continuer comme cela.
– C’est OK pour moi.
– Je m’occupe de la réservation à ton nom pour l’hôtel.
– Ok
Sylvie retourne à son bureau et Eric organise le déplacement.
Le lundi suivant c’était le déplacement à Nice. Comme souvent dans le Sud, il faisait très beau. En revanche, comme nous étions en hiver, les jours étaient courts et les soirées fraiches. Vers 17h30, ils ont quitté le client pour se diriger vers leur hôtel. Ils ne pensaient pas y arriver si vite, mais vers 18h ils étaient en chambre.
– Vas-y rentre, dit-il en lui ouvrant la porte.
– Eh bah dit donc tu n’as pas fait les choses à moitié, c’est immense.
– C’est une suite.
– Une suite, mais je vais être hors budget.
– Ne t’inquiète pas, j’ai tout prévu et tu auras une facture à la hauteur de ce que nous avons le droit, sachant que c’est moi qui règle la différence.
– De plus nous avons vu sur la mer, mais pour ce soir on ne voit pas grand-chose.
– Je pense que cela sera mieux avec le lever du soleil qui doit nous accompagner durant notre séjour, répond-t-il en enlevant sa veste et posant le reste sur la méridienne.
– Super.
– Sinon pour ce soir, j’ai organisé le dîner dans la chambre, j’espère que cela ne dérange pas. Mais demain soir nous sortirons, je connais une bonne petite adresse.
– Très bien pour moi, répond Sylvie en posant également ses affaires et en enlevant aussi sa veste.
– Viens voir la salle de bain, tu vas la trouver grandiose.
– Comme tu dis grandiose, car une douche et un bain dans la même pièce c’est pas mal, répond Sylvie qui subit agréablement les mains baladeuses d’Eric sur ses fesses.
– Tu portes un porte-jarretelle ?
– Comme presque tous les jours quand je travaille et rare sont les fois où je mets un collant.
– Tu n’aimes pas ?
– C’est juste que je trouve cela moins féminin.
– Dans ce cas j’aimerais bien voir ce que tu portes comme lingerie.
– Tu vas reconnaître la lingerie de l’autre jour.
– Tu veux bien t’asseoir sur le meuble de l’évier, il est en marbre ça risque d’être un peu froid.
Sylvie ne savait pas pourquoi, mais elle s’exécute. Eric commence par lui remonter la jupe en cuir jusqu’en haut des cuisses avant de lui écarter légèrement ses jambes rendant plus accessible sa lingerie. Après avoir vu la lingerie et ses bas, il commence à lui masturber son intimité à travers le satin avec un mouvement circulaire. Très vite Eric sent l’humidité enduire la lingerie. Il l’a fait prendre appuie sur ses deux bras positionnés derrière elle, avant de la tirer au bord du meuble. Il lui soulève ses jambes par-dessus ses épaules avant de sortir son sexe et chercher l’ouverture du shorty. Comme Sylvie ne souhaite pas la pénétration de son vagin, Eric cherche son petit et le pénètre. Comme la première fois, Sylvie se laisse pénétrer, mais la douleur se ressent sur son visage. Une fois pénétrée, Eric met ses mains derrières ses fesses pour mieux la tenir et commence son va-et-vient. A chaque pénétration Sylvie se crispe, mais elle commence aussi à apprécier. Eric explose assez facilement pressé par une envie depuis le matin où il l’avait vu arriver.
– Tu es toujours aussi divine, mais j’espère que je ne t’ai pas trop fait mal ?
– La pénétration est douloureuse comme la dernière fois, mais c’est aussi le jeu. Et puis si je ne voulais pas nous ne serions pas là et pour ne rient te cacher je ne ressens pas que de la douleur.
– Je suis content, répond Eric en se retirant.
Sylvie descend ses jambes et aussi du meuble laissant ainsi sa jupe reprend sa place.
– Il y a un petit truc amusant.
– Lequel ?
– Cela fait deux fois que nous avons rapport sexuel et pourtant je n’ai toujours pas vu tes parties intimes.
– C’est pour faire durer le plaisir et moi j’ai des choses à cacher, je suis une femme pleine de mystère.
De retour dans la pièce principale, chacun appel chez lui à tour de rôle pour ne pas montrer qu’ils sont dans la même chambre. Suite au dîner qui se passe très bien autour d’une bouteille de champagne. Avant d’aller se coucher, Sylvie passe par la salle de bain pour se démaquiller. En sortant elle voit Eric déjà dans le lit. Elle se déshabille, découvrant ainsi son corps et son intimité. Elle cherche une nuisette dans ses affaires.
– Crois-tu que cela soit nécessaire ? Tu sais, je ne porte rien.
– Je n’ai pas trop l’habitude, mais bon je ne vais pas la mettre.
Une fois au lit, Eric se permet de mettre sa main sur ta petite toison pour le plaisir.
– Tout l’heure je sais que tu n’as pas jouie, donc je vais remédier à cela si tu veux bien.
Sylvie ne dit rien et se laisse faire. Eric lui masturbe simplement son clito. Après plusieurs minutes, Sylvie se fait traverser par un orgasme lui traversant tout le corps. Après ce moment très agréable, ils s’endorment rapidement épuisé par les moments coquins.
Au petit matin, Eric comme à son habitude, était réveillé vers 6h, et s’est levé pour aller aux toilettes discrètement sans réveiller Sylvie qui semblait dormir profondément. Vers 6h30, il s’approche de Sylvie afin de le réveiller doucement avec ses mains au niveau de ses petites fesses toute douces. Après plusieurs minutes Sylvie qui se laissait caressée, ouvre les yeux et se lève également pour passer aux toilettes et revenir se coucher au chaud sous la couette.
– Tu as bien dormi ?
– Très bien, répond Eric en mettant sa main sur son intimité en faisant glisser un de ses doigts entre ses jambes jusqu’à son petit, sentant au passage un vulve légèrement humide. Il passe sa seconde main sous ses fesses pour l’accompagner à se retourner sur le ventre. Il continue les caresses sur ses petites fesses.
Il prend ensuite position sur elle en faisant attention de ne pas l’écraser avec ses 110kg contre les 45 petits kilos de Sylvie. Elle sent la verge d’Eric se mettre entre ses jambes et glisser jusqu’à son clito. Elle était très dure et il se contractait volontairement pour buter, mais aussi pour lubrifier toute son intimité et fait de même au niveau de la raie des fesses.
Après que leurs deux corps pouvaient glisser l’un sur l’autre, Eric commence à pénétrer le petit et appuis de tout son poids. Sylvie ressent le poids écrasant d’Eric qui force la pénétration, l’enfonçant dans le matelas qu’elle agrippe avec ces deux mains à cause de la douleur insoutenable. Une fois bien au fond, il commence un va-et-vient, positionnant ses mains au niveau de la poitrine de Sylvie qu’il comprime pour bien tenir sa partenaire. Avec ses doigts, il pince les tétons pour leurs donner du volume et de la dureté.
A chaque fois qu’il s’enfonçait au fond de son petit, Sylvie était écrasée entre le matelas et Eric. Par rapport aux autres fois, la douleur était plus importante avec la sensation d’une verge encore plus grosse et dure. Eric était en forme et avait très envie faisant durer le plaisir pendant plus de 30 minutes avant de jouir comme j’avais il l’avait fait.
Afin de soulager Sylvie, il se retourne entrainant Sylvie qui ne lâche pas et faisant attention de ne pas sortir de son petit.
– Tu as été encore plus merveilleuse que les autres fois.
– Je ne doute pas et j’ai bien senti que tu appréciais.
– Oui c’est vrai, mais j’ai aussi voulu te brutaliser comme tu le souhaitais.
– Mais j’ai une petite surprise pour toi, en prenant un gode sous son oreiller et venant caresser ton intimité avec sans que Sylvie puisse le voir.
– C’est quoi ? Demande-t-elle.
– Comme tu m’as dit que tu ne souhaitais pas que je te pénètre ton intimité, je me suis dit que je pourrai remplacer mon sexe par un gode.
Il prend les mains de Sylvie pour qu’elle puisse le prendre entre ses mains puis la guide pour qu’elle le fasse pénétrer dans son intimité. Sylvie n’osait pas, mais les mains d’Eric l’aide à le faire. Surprise quand d’un seul coup il rentre profondément, Eric l’accompagne pour lui donner le mouvement de va-et-vient qu’il ressent un peu au niveau de sa verge bandant toujours à son maximum. La double pénétration était aussi une nouveauté des plus existante la faisant jouir en peu de temps. Avant même que Sylvie ait le temps de reprendre ses esprits, Eric reprend la position par-dessus Sylvie en faisant attention à ce qu’elle garde bien en place le gode dans son intimité et recommence un va et vient puissant à la recherche d’une seconde jouissance. Elle s’agrippe de nouveau au matelas et subis la puissance des coups de reins, mais avec le gode. Eric sent qu’il doit forcer pour aller au bout de sa jouissance et force encore plus les pénétrations. Sylvie ne dit rien, mais la douleur plus intense, laisse échapper des larmes de ses yeux avant qu’elle ressente Eric se contracter lors de sa jouissance au bout de 20 mins. Quelques instants plus tard il se retire pour se remettre à côté de Sylvie.
– Tu as pleuré ?
– Je ne t’ai rien dit, car je sentais bien que tu te faisais plaisir, mais la seconde fois, j’avais trop mal.
– Tu aurais dû m’arrêter, je sais que cela est un jeu sexuel, mais cela ne doit pas être une souffrance à te faire pleurer. Je suis désolé.
– Mais comment fais-tu pour avoir une telle forme ?
– Il y a quelques temps, j’avais des soucis pour bander avec mon épouse, alors je me suis fait prescrire des cachets. Mais c’est très rare que j’utilise les médicaments, même si cela a pour effet de gonfler plus et surtout être plus dure. Cependant, j’avais remarqué que cela me permettait de bander beaucoup plus longtemps et de pouvoir avoir une seconde jouissance avec mon épouse. Aujourd’hui je me suis demandé si j’arriverai à rester en place pour avoir deux jouissances.
– La réponse est oui, mais sache que c’est difficile pour ta partenaire.
– Et le gode, tu trouves cela comment ?
– C’est nouveau, dit-elle en l’enlevant avant de se retourner. Il est aussi gros que ça ! en le sortant de la couette.
– J’ai pris les dimensions similaires à moi.
– J’aime bien, surtout que c’est moi qui décide de tout.
– Ce n’est pas que je suis mal au lit avec toi, mais il va être 8h20.
– Déjà, mais nous l’avons fait pendant combien de temps ?
– Un peu plus d’une heure.
– Ah oui, je comprends mieux pourquoi je ne ressens plus rien au niveau de mon petit tellement j’ai mal.
– Je te propose que nous allions prendre une douche avant d’aller au petit déjeuner.
– D’accord, mais plus de moment coquin.
– Ne t’inquiète pas, je n’en peu plus de ce côté.
Après leurs toilettes, Eric prépare ses affaires, mais sort également des dessous pour Sylvie.
– Tiens, je me suis dit que tu pourrais porter les dessous que je t’ai apportés, mais j’ai fait attention de rester dans ton style guêpière et culotte, sans oublier les bas, mais avec une couture pour être un peu plus sexy, mais tu veux être super sexy j’ai aussi les bas comme le reste.
– Oui si tu veux, mais ils sont en latex.
– C’est l’originalité, répond Eric avec un petit sourire. Et tu pourras mettre l’ensemble en remettant ta jupe d’hier.
– Je pensais mettre un pantalon, mais je vois que cela te ferait plaisir que je reste en jupe, mais avec les bas coutures, les autres je te propose de les mettre ce soir.
– Ça me va et le pantalon tu pourras le mettre ce soir, c’est lequel ?
– Mon pantalon en cuir comme la jupe pour te faire plaisir, car j’avais bien remarqué que tes sourires étaient plus quand je les portais.
Eric ne répond pas mais l’expression de son visage parle à sa place. Sylvie enfile la guêpière pour commencer, qui ne glisse pas bien après la douche. Elle remet son soutien-gorge par-dessus, car sa petite poitrine a presque disparu sur la tension du latex. Elle continue en mettant les bas en soie, la culotte et ses bottes comme aime bien Eric.
– Alors, comment me trouves tu ?
– C’est très sexy et avec ta jupe on ne verra presque pas tes bas coutures.
Elle finit de s’habiller en mettant sa jupe et un pull. De son côté Eric avait enfile une tenue similaire à la veille. Une fois prêt ils sont descendus prendre leur petit-déjeuner. En remontant et avant de partir, Sylvie passe par les toilettes afin de faire un petit pipi.
– Alors, tu trouves cela comment la culotte en latex ? Demande Eric en ouvrant la porte des toilettes admirant ainsi Sylvie faire pipi.
– Eh coquin, je fais pipi.
– J’avais envie de te regarder.
– Ça me colle à la peau ce qui me donne de sensations.
– Ton intimité est donc toujours en contact avec ?
– Que ce soit mon intimité, mon petit ou ma raie de fesses, je te confirme qu’une fois mis en place il ne bouge pas comme si c’était collé, répond-elle en remontant sa culotte avant de laisser redescendre sa jupe.

(La suite dans le prochain chapitre)

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire