Je me souvenais de Francesca. Nous avions été collègues pendant plusieurs mois et nous avions sympathisé. Elle était marrante et nous étions sorties plusieurs fois ensemble. Un soir, en la raccompagnant chez elle, je l’avais embrassée sur les lèvres, ce qui l’avait surprise et elle m’avait repoussé gentiment en me disant que si c’est agréable, ce n’est pas son truc.
Je ne lui en avais pas voulu. J’avais eu des relations sexuelles avec des filles de mon âge mais j’aimais autant la bite, ce qui faisait de moi une bisexuelle. Francesca avait quitté la société quelques mois plus tard et nous nous étions promise de nous revoir. Avec un prénom pareil, pas étonnant qu’elle ne soit pas venue de Corse.
Deux ans après notre séparation, j’avais eu l’occasion de passer un mois en Corse mais je n’avais pas son adresse et d’ailleurs, y était-elle retournée. J’ai cherche dans l’annuaire et j’ai appelé plusieurs numéros et au quatrième, j’ai reconnu sa voix. C’était bien elle. Qu’est-ce que tu deviens ? Où es-tu ? Bref, toutes les question qu’on peut se poser dans ce cas-là.
Ça m’a fait drôle d’apprendre qu’elle était enceinte et en plus de huit mois. Quant au géniteur, il n’y en avait pas. J’ai demandé à Francesca comme elle se porte. Impeccable, m’a-t-elle répondu. Je lui ai demandé si elle a des gros seins, elle qui était toute menue. Elle m’a répondue qu’elle a de vraies mamelles. Quant à son ventre, elle m’a dit que s’il n’y avait pas eu les examens, elle aurait cru qu’elle attendait des jumeaux.
Quand je lui ai parlé du père, elle m’a dit que ça n’avait été qu’un coup d’un soir et que le malheureux ne sait sans doute pas qu’il va être papa. Quand je lui ai demandé si cet homme ne lui manque pas, elle s’est mise à rire puis elle a ajouté qu’elle n’a jamais eu besoin d’un homme pour prendre son pied. Quand je lui ai demandé si elle se masturbe, elle m’a répondu qu’elle a tout ce qu’il faut.
J’ai fini par lui dire que je suis en Corse. Elle a paru étonnée puis elle m’a demandé si je peux venir la voir et j’ai accepté tout de suite. Le lendemain, j’ai sonné à sa porte après avoir traversé le département du Nord au Sud. Francesca m’attendait. Elle était splendide. Je lui ai encore demandé si ça va et elle m’a répondu qu’elle a la forme. Ça m’a fait sourire et elle a ajouté qu’elle fait de l’exercice. Il n’était pas difficile de comprendre que c’était avec ses toys.
Il faisait chaud et elle ne portais qu’un genre de chemise attachée par un nœud sur son ventre et j’ai passé la main et mes doigts sur son ventre. Francesca s’est contentée de poser sa main sur la mienne. J’ai caressé son ventre. Elle a défait le nœud et j’ai caressé ses seins. Ils étaient énormes et ils s’étalaient sur son ventre. Au bout d’un moment, elle a tourné la tête vers moi et nous nous sommes embrassées sur la bouche.
J’ai mouillé tout de suite parce que le plaisir était là et je me suis déshabillée moi aussi. Ah, Francesca ! J’ai embouché ses mamelons et j’ai embrassé son ventre. Après, je l’ai suivie dans sa chambre. Elle a ouvert le premier tiroir de sa commode et j’ai vu son stock de toys. Il y en avait de toutes les sortes. Je lui ai demandé où elle a eu ça et elle m’a répondu qu’elle était là pour la liquidation d’un sex-shop. Certains jouets sexuels étaient magnifiques et je me suis nouée un gode ceinture autour des hanches.
J’ai dit à mon amie que son homme est de retour et elle m’a dit de l’enculer parce que c’était la dernière chose qu’il lui avait faite. Moi, une femme, j’enculais ma meilleure amie et ça semblait lui plaire. Vous les hommes, devez savoir le plaisir que ça fait de baiser une femme enceinte. C’était le plaisir que j’avais avec Francesca. Elle se laissait faire, comme si elle n’était là que pour ça. J’ai quand même fini par lui faire avoir un orgasme. Après, nous nous sommes assises sur la balancelle pour reprendre notre souffle. Ah, chérie, m’a-t-elle encore dit, tu ne peux pas savoir le plaisir que ça me fait que tu sois avec moi !
Je suis restée plusieurs jours chez elle et nous avons joué le rôle de l’homme à tour de rôle. J’avais déjà été sodomisée mais c’était Francesca qui m’enculait et son gros ventre roulait sur mes fesses et ses seins sur mon dos et j’ai été d’accord avec elle quand elle m’a dit qu’elle voudrait bien pouvoir conserver son gros ventre et ses gros seins après la naissance de sa fille.
Elle m’a installé Skype sur mon smartphone et j’ai pu la quitter et une fois retournée à mon hôtel, je l’ai appelée et j’ai pu la voir, et ce fut comme ça jusqu’à son accouchement. C’est le meilleur souvenir que j’ai d’une relation homosexuelle.
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