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Le défi

Le défi



Allongée sur le lit, la lumière des rayons tamisés projettent sur mon corps nu des stries fines en bandes horizontales. Jambes écartée, Alain me prodigue un merveilleux cunni. La pièce n’est emplie que de doux gémissements et du bruit mouillé et érotique de ma délicate chair léchée par mon homme. Alain interrompt brusquement la douce caresse. En se pourléchant les lèvres, il me regarde. Je pose ma main sur sa tête pour qu’il continue son œuvre. Mais il s’amuse de ma frustration et je tente de ramener sa tête entre mes jambes, sans succès. Dans un soupir plaintif, je lâche:
«T’arrête pas chéri c’est trop bon ! »
Je suis proche de l’orgasme. Tout mon corps est parcouru de frissons incontrôlables. Je me cambre et me tend comme un arc, signe immanquable pour mon homme que je vais bientôt jouir. Espiègle, Alain me tourmente en me demandant d’une voix neutre :
« Tu veux vraiment que je continue? »
« Oui, bien sûr que oui! »
Mais il me pousse à bout et me dit :
« J’ai une proposition à te faire.. »
« C’est pas le moment Alain ! Bon sang, tu ne peux pas me laisser en plan comme ça! »
Il sourit et me répond :
« Non, tu as raison, »
Alors, tout en m’enfonçant deux doigts dans ma grotte d’amour chaude et humide, il caresse mes parois intimes. Lorsque son pouce effleure mon clitoris, tout mon corps se cambre. Il le titille quelques secondes de plus, jusqu’à ce que je soit à nouveau au bord de l’extase et s’arrête de nouveau. Je retombe sur le matelas en haletant. Je suis toute entière au bord de l’orgasme mais il me le refuse. Je porte ma main à mon sexe pour enfin me laisser aller mais Alain la repousse. Je pousse presque un gémissement de douleur par cette frustration. Alain est ravi de voir à quel point ses caresses m’affectent. Un sourire vicieux affiché sur son visage où brille ma cyprine, il reprend calmement :
« J’aimerais tout de même que tu écoutes ce que j’ai à te dire. »
Chacun de ses mots est ponctué d’un rapide coup de langue sur mon clitoris gonflé et sensible. A chaque coup de langue, je ne peux retenir un petit cri de plaisir.
« Oui quoi que veux-tu ? »
« J’ai eu une idée pour agrémenter notre sortie de demain. Tu veux l’entendre? » Dit-il en me faisant languir.
« Après mais pour l’instant enfin fait moi jouir !!! »
« Non, non, je te ferais jouir que si tu m’écoutes ! » Répond-il en prenant un air faussement songeur.
Et sur ce, il replonge la tête entre mes cuisses pour me tirer de nouveaux cris de plaisir. Ce doux salop m’emmène une nouvelle fois au bord de l’orgasme pour, une nouvelle fois, s’arrêter à la limite. De cette douce torture, je n’en peux plus. La tension crée un tel traitement et mon corps tendu commence à devenir douloureux.

Alain reprend comme si de rien n’était :
« Voilà mon idée. Je te propose un petit jeu, une sorte de défi pour nous amuser quand nous serons chez mes parents demain. On devra, chacun notre tour, trouver une façon originale pour faire jouir l’autre en leurs présence. Sans qu’ils ne s’en rendent compte. Qu’en dis-tu? »
Afin de me déboussoler complètement, Alain continue à agiter ses doigts en moi, entrecoupant son discours de petits coups de langues discrets. Il espère obtenir ainsi mon assentiment grâce à la contrainte du plaisir que j’ai accumulé. Frustrée et excité au plus haut point, je suis incapable de penser à autre chose que ma délivrance prochaine et dans un cri, presque de délivrance je lance :
« Ouiiiii !!! Fait moi jouir salop ! »
Alain jubile de ma supplique et applique ses lèvres sur mon clitoris pour le suçoter délicatement. Sans surprise, je me met à hocher frénétiquement de la tête. Mais mon homme veut contrôler mon orgasme jusqu’au bout. J’en pleure de désir frustré.

Sadique jusqu’au bout, il me dit d’un calme olympien :
« Je ne t’ai pas encore exposé mes conditions. »
En pleurant d’excitation trop contenue, énervée à deux doigt de le frapper, je crie :
« Bon sang, Alain! Attends un peu que je… »
« Rien du tout ! Je n’attend rien du tout ! » Me dit-il en m’interrompant.
Pour mieux marquer son emprise sur moi, il enfouit sa main dans mon vagin. J’ai un sursaut dans un feulement de bête et mes mains se crispent sur la chevelure de mon amant. À force de haleter, mes lèvres sont perlées de salive. Je referme brusquement mes cuisses, sur cette main inquisitrice, ne laissant aucune échappatoire à cette dernière.

« Tu n’es pas en position de négocier. » Explique-t-il en agitant ses doigts dans la fournaise de ma grotte.
La situation est pour le moins cocasse et Alain en mesure toute l’intensité. Mais il est concentré sur le bon déroulement de son plan. Depuis le temps qu’il rêvait d’instaurer un tel jeu, il veut me faire plier à ses demandes.
Je suis à l’agonie quand il reprend calmement :
« Voici mes règles. Règle numéro un : interdiction d’utiliser sa bouche, son sexe ou son anus pour faire jouir l’autre. On peut utiliser les autres parties du corps ou de simples objets, mais jamais de contact direct. C’est compris? »
Je ne comprends même pas ce qu’il me raconte et je marmonne une sorte d’assentiment. La réponse d’Alain est immédiate. Il retire sa main trempée de cyprine avant de la enfourner d’un geste brusque de là où elle venait.
« C’est compris? » Répète-t-il d’un ton autoritaire.
« Ouiiiiiiiii ! » Sifflais-je impatiente.
« Bien. Règle numéro deux: tu endossera le rôle de soumise. Tu devra impérativement te plier à mes ordres et ce, quels qu’ils soient. C’est compris? »
«  Oui ! Oui ! Oui ! »
Ma respiration se fait de plus en plus rapide à mesure que ses doigts remuent dans mon vagin. Alain accélèrent la cadence. Je sais alors qu’il va me laisser bientôt atteindre mon orgasme. Il me suffit de dire oui à ses conditions stupides et je serais enfin libérée.
« Règle numéro trois! »
« Ho nooooon pititiiiiié !!!! »
Il reprend paisiblement mais très fermement :
«  Règle numéro trois : l’orgasme devra obligatoirement être atteint en public. Une personne au minimum devra être présente, mais sans nécessairement en être témoin. C’est compris? »
Dans un sursaut de lucidité, en étant choquée par la dernière règle, je tente de lui dire :
« Attends un peu, Alain, je ne crois pas que… »
Mais il ne me laisse pas le temps de continuer et ses doigts se mettent à bouger de plus en plus vite. Je vais exploser.
« Est-ce que c’est compris ? Refuse, et je m’arrête immédiatement ! » M’énonce-t-il simplement.
« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Tout ce que tu veux mais fais moi jouiiiiiir ! » Criais-je
En même temps que je prononce ce oui, un frisson comme une déferlante traverse mon corps de part en part. Des spasme violents m’envahissent. Mon orgasme est d’une v******e inouïe, douloureux et salvateur. Je suis cambrée comme un arc hurlant ma jouissance pour retomber sur le lit demi inconsciente. Alain se redresse et admire son travail. Il a le visage sa main maculé de cyprine. Son pénis en érection, brûlant, gorgé de sang, forme un angle droit sur son ventre. Alors que je suis à peine remise de cet orgasme et que je tente de reprendre ma respiration, Alain s’approche et m’enfonce son dard dans la bouche. C’est avec un bonheur que je me met à le sucer avec gourmandise. Bien entendu, il ne tarde pas à tout me lâcher au fond de la gorge et j’avale presque avec délectation sa semence amoureuse. Alain me dit alors en regardant sa montre :
« Il est six heures.Si tu as des idées particulières pour demain, ça te laisse le temps d’aller faire tes courses. »
Je suis éberluée par ce qu’il me dit. Dans ma jouissance, je ne me rappelle que par bribe du jeu qu’il veut me faire jouer chez ses parents.
« Hein … Je … Mais quoi ? Tu ne restes pas? » Lui demandais-je encore essoufflée.
« Je sors. Quelques détails de dernière minute à régler. Je rapporte du chinois? »
Déboussolée, je lui dis machinalement sans réfléchir :
« Fais comme tu veux ?! »
Je reste nue sur le lit. Abasourdie par tant de plaisir, un goût de sperme dans la bouche. Je n’arrive toujours pas à croire à ce que je viens d’accepter. Je sais qu’il est inutile d’espérer le faire changer d’avis. Ce qu’Alain désire, Alain l’obtient toujours.
Je me relève enfin et vais prendre une douche avec toutes ces idée qui tournent dans ma tête. Je prends une douche, puis je m’habille en reprenant des forces. Je ne peux m’empêcher de penser à ce défi stupide dans lequel il veut m’entraîner. Que vais-je faire demain ? Des ébauches de scénarios se forment dans ma tête, mais rien de précis. En faisant mes courses, j’essaye d’échafauder divers plans, tous sans succès. Peut-être que sous la spontanéité du moment ? Sur le chemin du retour, un tiraillement intérieur commence à envahir mes pensées, comme une manifestation de mon intuition. Arrivée à un carrefour, Je m’arrête. Hésitante, je me dit :
« A droite, le chemin de ma maison ; à gauche… À gauche se trouve, quelques centaines de mètres plus loin, un sex-shop. »
Je reste figée de longues secondes, incapable de me décider. Un coup de klaxon derrière moi me fait sursauter. Je respire profondément et me voilà parti vers le sex-shop. Arrivée devant la devanture du sex-shop, je me lance et entre. Des cassettes alignées montrent des femmes dans toutes les positions. Heureusement, il n’y a pas grand monde dedans. Le vendeur est derrière sa banque me laisse visiter tranquille. Il y a un rayon gadgets, et surtout beaucoup de cassettes rangées par genres. C’est ce qui m’excite le plus. Ça fait un petit moment que je tourne dans les rayons indécise. Je regarde discrètement les clients présent. Je suis la seule femme dans la boutique et ça les intriguent. Le vendeur s’approche de moi et me demande si j’ai besoin de ses services. Je rougie et ose lui parler de l’idée saugrenu de mon mari. Il m’emmène au rayon des sextoys et articles BDSM. Le vendeur commence à me montrer les différents modèles. Les autres hommes dans la boutique observent le manège.
« Regardez madame, je pense que ce double dong serais bien pour vous ! »
Il me tend l’engin monstrueux que je prends machinalement en main , suscitant l’intérêt des clients.

« Maintenant, dites moi vos préférences. Comme vous le constatez, il y en a de toutes sortes ! » Me dit-il à haute voix en me tendant un gode noir. Je suis très excitée et ma poitrine moulée dans un petit haut qui me colle bien, laisse voir mes pointes de seins érigées. Le vendeur, constatant mon état, tout en me montrant l’engin a posé négligemment une main sur mes fesses. Concentrée sur ces engins, je ne n’y prête pas attention. Je m’imagine avec ce gros truc dans ma chatte ou même ailleurs. Je sens des papillons dans mon ventre et je sais que je commence à couler. Le vendeur pousse le vice à me demander si je ne veux pas un gode plus gros en me le mettant dans les mains. Un attroupement c’est fait autour de nous sans que je ne m’en aperçoive. J’hésite un peu, puis timidement demande :
« Parce qu’il y en a de plus gros, »
Le vendeur, avec un grand sourire de satisfaction, me montre deux monstres, de vraies bites de cheval. Je rougie et imagine la scène avec un tel truc. Curieuse, je prends en main, ce morceau de latex monstrueux. Ma main est trop petite pour en faire le tour complet. En moi même, je me dis c’est certain qu’un truc aussi énorme, je le sentirais passer. Le vendeur semble ravi de l’effet produit. Je suis certaine qu’il m’imagine déjà empalée sur cette grosse tige. Il me demande pourtant :
« Croyez-vous qu’elle n’est pas trop grosse pour votre petite chatte ? »
Je ne réponds pas perdue dans mes fantasmes. Alors le vendeur me propose :
« Si vous le désirez, je vous le fais essayer ! »
Je sursaute et rougie jusqu’à la racine de ses cheveux. N’attendant pas ma réponse, d’autorité il me conduit dans un coin du magasin. Je le regarde gênée. Il esquisse un petit sourire et me demande :
« Alors ? Prête ? »
Il déroule précautionneusement dessus, un préservatif, étale une bonne couche de gel lubrifiant et me regarde pour savoir s’il doit continuer. N’importe qui peut entrer et me voir me faire enfiler comme une pute, en public. Le vendeur et les mateurs ont une trique de fou. J’en vois qui se masse la queue par-dessus leurs pantalons. Ils doivent se dire qu’ils ont vraiment de la chance d’être entré à ce moment-là. Je suis dégoulinante de cyprine. Le vendeur se met à genoux entre mes cuisses. Il écarte les lèvres de ma chatte de femelle en chaleur. Je suis prête à me faire enfiler sous ces yeux excités. J’ai les yeux mi-clos, la respiration saccadée. Très professionnel, il présente le gode. J’écarte un peu plus mes cuisses. Le gérant, pousse sur le gode monstrueux qui est comme happé par ma chatte de salope. J’aime me sentir possédée comme ça, n’être plus qu’un trou qu’on baise. Je cherche l’air. Mes pupilles se dilatent. Je gémis. Je regarde les voyeurs avec leurs queues à la main tout autour de moi. Je suis devenue le centre du monde. Le vendeur retire le gode de mon vagin gluant et d’un coup plante son engin jusqu’au fond de ma chatte.

Pendant que je me fais fourrer par le vendeur, une queue se présente à ma bouche. Sans hésiter, j’ouvre la bouche. Il me saisit la tête et me baise la bouche comme si c’était ma chatte. Les deux assaillants jouissent en même temps, me remplissant de leurs crèmes chaudes et onctueuses. J’avale tout ce qu’il m’envoie. Le client s’exclame :
« C’est dingue, une salope pareille ! Quelle chance d’être passé par là !!! »
Les autres se contentent d’éjaculer sur moi. Je renfile mes vêtements à la hâte sur mon corps poisseux et le vendeur me dit :
« Pour vous c’est gratuit ma petite dame ! » en me tendant un sac rempli d’accessoires.
« Revenez quand vous voulez ! »
Je ne le regarde pas en le remerciant et saute dans ma voiture. Rntrée à la maison j’ôte mes affaires souillée, lezs mets au lave linge et file prendre une douche.
Le lendemain, au moment de partir chez se parents, Alain me dit :
« Bien maintenant chérie tu vas te mettre nue et tu vas revêtir juste ce manteau. Ensuite nous nous rendrons à pied chez mes parents. »
Je le regarde avec des yeux qui peuvent ressembler à des revolvers.
« Exécution Michèle ! »
En grommelant, je me met nue et avant d’enfiler le manteau, il m’enfile un gros plug dans les fesses. Je serre les dents pour ne pas lui faire le plaisir d’entendre ma plainte. Sur le chemin, nous nous arrêtons à la terrasse d’un café. Je me suis assise à une table et Alain ma placé de telle façon à ce que tous ceux qui entrent me voient.
« Croise les jambes ! » M’ordonne-t-il.
Le manteau s’ouvre et dévoile mes jambes jusqu’au haut de mes cuisses. Tout le monde me regarde en passant. Tout le monde voient ma gêne. A me voir aussi gênée; Alain est de plus en plus excité. Je flippe mais j’avais promis de faire tous ses caprices. Il m’emmene dans les toilettes des hommes et me demande :
« Masturbe-toi devant moi mais arrête des que tu auras envie de jouir ! »
Je regarde autour de moi. La piéce est vide. Mais j’ai peur d’être découverte. J’écarte les jambes, le manteau s’ouvre dévoilant ma nudité et je commence à me masturber. Alors que je me masturbe devant lui, il retire sa ceinture et me donne quelques coups de ceinture sur les fesses.
Alain se recule un peu pour admirer les traces sur ma peau et me dit :
« Huuum très joli. Je suis assez content de la première partie du programme, et impatient d’assister à la seconde… »
« Non là je ne peux plus chérie ! »
« Ok alors taille moi un pipe et on arrête pour aujourd’hui ! »
« Oui ça marche ! » Lui répondis-je soulagée que ça s’arrête là. Je le suce avec une ferveur peu commune et au bout de quelques minutes, il se lâche en longues saccades dans ma bouche et j’avale tout. Il me tend une petite robe et me dit :
Habille-toi ! Tu ne vas tout de même pas aller nue chez mes parents ! »

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