A 25 ans, Pierre habite dans une petite ville de Province. Depuis 5 ans, il a quitté le giron familial pour prendre un appartement et pouvoir vivre seul. Son appartement est petit, deux pièces, situé au second étage d’un immeuble situé dans le centre ville. Il exerce en tant que magasinier dans une société de vente de meuble. Ses parents vivent en retrait de l’agglomération : son père dirige une petite société de plomberie et sa mère est secrétaire dans un cabinet médical.
Son travail est routinier mais fatiguant physiquement, ses week-ends sont essentiellement faits pour se reposer. Il sort quelques fois avec ses amis mais depuis quelques temps il est célibataire.
Ce jour-là, en quittant son logement, il croise la concierge, Monique, une femme de 50 ans, blonde ayant des formes généreuses et parfois un peu acariâtre. Elle lui annonce la venue prochaine d’une locataire qui s’installera dans le logement du même palier que le sien.
Au boulot, Pierre est très copain avec Gilles. Il exerce le même métier que lui et surtout ont le même âge. Ils sortent régulièrement ensemble sans pour autant concrétiser.
Leur chef de service, madame DECALIER est une femme exigeante : elle ne supporte pas la moindre imperfection. Les tenues des bureaux et des classeurs des employés doivent être rangés. Cette femme, bientôt à la retraite au mois de septembre, traque ses employés en permanence. Elle a le mérite de ne pas se faire aimer. Elle n’est pas jolie physiquement, un peu enveloppée et porte souvent des habits trop amples et de couleur sombre pour effacer ses rondeurs.
Les fêtes de fin d’années ont vu le cadeau offert de la part des employés : un long gode noir. En l’ouvrant, elle s’attendait certainement à autre chose, elle est restée livide tenant l’objet en main, sous les rires des employés. Etant divorcée, elle vit seule avec son fils.
Un bruit court qu’elle se sert de ce gode régulièrement tous les soirs.
Un jeudi soir, alors que madame DECALIER se dépêchait dans les couloirs pour se rendre à la réunion hebdomadaire de l’entreprise, elle se souvint d’avoir oublié son planning des congés. Etant en retard, elle somma Pierre de pénétrer dans son bureau de le lui amener rapidement.
Pierre pénétra dans son bureau et ouvrit le tiroir du haut comme le lui a demandé son chef de service. Il tomba d’abord sur une enveloppe et il sentit au toucher qu’elle contenait des photos. Etant curieux il regarda et vit que c’était madame DECALIER qui figurait sur l’ensemble de ces 10 photos. Un petit détail troublant, elle était nue et pas seule. Sur une photo, Pierre voyait clairement un jeune homme, nu lui aussi qui enfournait le gode offert dans le vagin poilu de sa chef de service. Elle se tenait assise et les jambes écartées dans un canapé et avait les yeux fermés. Détail plus surprenant encore, ce jeune homme était le fils de madame DECALIER.
Pierre excité comme un fou et tenant cette photo à la main, cherchait à présent le calendrier des congés dans les autres tiroirs.
Soudain, la porte s’ouvrit et madame DECALIER pénétra dans son bureau.
Pierre, avez-vous trouvé…demanda-t-elle avant de se taire et de regarder la photo que son subalterne tenait en main.
Elle resta interdite de longues secondes avant que Pierre ne lui réponde :
Non, je n’ai pas trouvé le planning des congés, je suis tombé sur ça…dit-il en montrant du doigt les photos dans l’enveloppe.
Cela m’appartient…
Bien sûr, dit Pierre avec un petit sourire, j’imagine que quand tout le monde va apprendre ça, cela va être grandiose !
Je ne préfère pas, dit madame DECALIER. On peut s’arranger ?
Comment ? demanda Pierre.
Je…euh…attendez-moi, je rentre de la réunion, et on en discute ?
Je vous attends, dit Pierre.
Elle revint une heure plus tard à son bureau. L’ensemble des employés était déjà partis, seul Pierre est resté dans le bureau a feuilleter les photos découvertes : finalement, la mère DECALIER avait un corps pulpeux. Il voyait ses cuisses grasses s’ouvrir pour accueillir le gode dans son vagin. Et que dire de son fils qui participait activement mais honteusement à la jouissance de sa mère. Il semblait lui aussi heureux de fourrer cet objet de plaisir dans l’antre de jouissance maternel. Mais que poussait cette famille à se jeter dans cette diabolique luxure ?
Madame DECALIER, ayant repris confiance en elle, apostropha Pierre, assis à son bureau :
Bien, jeune homme, où en étions-nous ?
Qu’est-ce que vous allez me proposer pour que je ne divulgue pas cette information croustillante…
Si c’est croustillant pour vous que je me glisse un gode entre les cuisses, ça ne me dérange pas…
Certes, mais que votre fils participe à votre débauche risque de vous attirer des ennuis…
Madame DECALIER était coincée, cet employé risquait de lui causer sa perte, il fallait négocier sec.
Vous ne m’avez pas demandé ce que vous vouliez pour votre silence…
Vous ne m’avez rien proposé non plus…
Vous voulez quoi, du sexe ? Une vieille usée comme moi ? Allons, soyons sérieux…
Foutez-vous à poil, après on verra…
Vous rigolez ?
Non, montrez-moi vos nibards, votre chatte et votre cul…
Madame DECALIER resta interdite un court instant devant ce langage. Puis, elle prit sur elle et commença à ôter le haut de sa robe. Son soutien gorge apparut, rouge, il avait du mal à contenir cette poitrine opulente. Des taches de rousseur apparaissaient de la gorge à la base de ses seins. Son ventre apparut également, un peu bombé, son nombril disparaissant dans deux plis de graisse. Sa culotte, rouge fut mise à jour. Poursuivant son effeuillage imposé, Madame DECALIER enleva ses sous-vêtements pour apparaître entièrement nue devant son employé. Ses gros seins qui pendaient sur le ventre et son pubis poilu étaient arrogants.
Voilà, dit Madame DECALIER, vous vouliez voir une vieille à poil, c’est fait !
Pierre était formidablement excité devant cette femme mature nue devant lui. Son sexe était tellement dur qu’il en avait mal. Il ne put s’empêcher de se libérer et de sortir son gourdin à l’air libre sous le regard ironique de sa chef de service. Il commença à se branler doucement en regardant cette femme mature qui se tenait devant lui, les mains sur les hanches sans se cacher.
J’aimerai une pipe… demanda Pierre.
Elle s’approcha de lui et prit son sexe bandé dans sa main droite, et s’agenouilla. Au contact de ces doigts, Pierre cru qu’il allait éjaculer dans sa main. Elle commença à le branler doucement, puis posa ses lèvres sur le gland. Ensuite, elle engouffra son membre au fond de sa gorge et le ressortit luisant de salive.
Pierre sentait une douce chaleur envahir ses reins. Heureusement quelle tenait la base de son sexe et qu’elle empêchait de cette manière toute explosion de plaisir intempestive. Elle continua à sucer ce membre jeune et vigoureux.
Intérieurement, elle était satisfaite qu’un jeune homme ait du désir pour elle. Il est vrai qu’elle ne baisait plus aussi souvent qu’elle le souhaitait. Le sexe de Pierre était volumineux dans sa bouche et elle sentait qu’il n’allait plus tenir bien longtemps. Elle ôta sa bouche et colla le membre turgescent contre sa poitrine. Elle fit une branlette espagnole à la hampe brillante de salive. Elle sentit arriver les premières palpitations dans le sexe de Pierre, elle le prit dans sa main droite et le branla vigoureusement. Trois longs jets jaillirent et s’écrasèrent sur les deux nichons de madame DECALIER.
Elle croyait avoir fini l’affaire de Pierre, lorsque celui-ci, sortant de son hébétude, la prit par les épaules et l’allongea sur le bureau. Elle se laissa faire, un peu grisée par la suite du programme. Elle était excitée et avait envie de ce mâle.
Il lui écarta ses jambes grasses dévoilant ce sexe brun, poilu et enfermé sous deux lèvres épaisses. Il glissa son doigt et les écarta, livrant un passage rose et gluant. Une odeur marine emplit les narines de Pierre. Les poils noirs chevauchaient la fente luisante. Il glissa son gland devant l’entrée du sexe féminin et poussa doucement. La chatte de madame DECALIER s’ouvrit et absorba ce gourdin, non sans un gémissement. Elle était brûlante et Pierre sentait que son sexe glissait bien dans cette mouille mature. Il poussa jusqu’à ce qu’il touche le fond du vagin, puis resta immobile.
Je peux jouir dans votre chatte ? demanda poliment Pierre.
Oui…souffla-t-elle.
Pierre bougea doucement dans ce conduit brûlant et s’activa jusqu’à arracher des cris de jouissance de la part de madame DECALIER. Ses gros seins bougeaient au rythme imposé par lui-même. Il retira son sexe, et la mis sur le ventre, ses jambes touchant le sol. Il s’enfonça de nouveau dans ce sexe merveilleux sous un cri d’accueil de son amante. Il voyait ce gros cul qui se plissait dès qu’il le touchait, les paquets de graisse faisant des vagues. Il se retira, et lui ouvrit la chatte avec ses doigts, les lui glissant à l’intérieur, et triturant son clitoris.
Madame DECALIER ne savait plus si elle devait jouir ou si elle devait se maîtriser face à son employé. Mais vaincu par le désir, elle sentait qu’elle ne pouvait plus lutter.
Pierre entendant les gémissements annonciateurs du plaisir arriver, il glissa une nouvelle fois son sexe dans le sien et la pistonna énergiquement. Il sentit le corps de son amante se cambrer et surtout il sentit au niveau de son sexe une inondation de mouille lui éclabousser ses couilles et son bas-ventre. Madame DECALIER ne cachait pas son plaisir et hurlait comme une folle en gigotant dans tous les sens, le sexe de Pierre fichait dans le sien. Les contactions se finirent et Pierre vint à son tour dans ce sexe brûlant et humide. Il cracha toute sa semence au fond.
Il se retira une nouvelle fois de son vagin et prit Madame DECALIER par les épaules et la mis à genoux, à hauteur de son sexe qui dégonflait. Elle le prit en bouche pour le lui nettoyer.
De retour à son appartement, Pierre faisait le point : et maintenant qu’allait-il bien pouvoir se passer concernant son emploi, notamment. Il devait continuer à faire comme s’il ne c’était rien passé. Il avait malgré tout conservé cette photographie mettant en scène Madame DECALIER et son fils. Il se promettait de faire la lumière sur cette affaire.
Les jours qui passèrent par la suite, ne firent changer aucun comportement de la part de Madame DECALIER ou de Pierre. Au bout d’une semaine, Pierre oublia finalement ce qui s’est passé entre eux pour se concentrer dans son travail.
Un jour, alors que Pierre se rendait à son épicerie favorite, en passant devant la loge de sa concierge, il fut interpellé par elle :
Est-ce que vous pourriez me rendre un service s’il vous plaît ?
Bien sûr, que ce passe-t-il ?
Entrez, que je vous explique…
Pierre pénétra dans la loge et ferma la porte derrière lui. Cette pièce, le lieu de travail de Monique, était petite, moins de neuf mètres carrés environ. Peu de mobilier, une table et deux chaises. Une fenêtre donnant sur la rue, mais à une hauteur de deux mètres et évidemment la grande baie vitrée qui donnait dans le hall d’entrée de l’immeuble et qui se fermait avec un rideau.
Monique lui expliqua qu’elle s’est retournée deux doigts de ses mains en voulant ratt****r le ballon de sa petite fille.
Au demeurant, rien de bien important, dit-elle en montrant ces deux doigts saisis dans deux attelles, mais je dois prendre des médicaments pour le cœur. Et je ne peux pas y arriver sans aide.
Je peux vous aider, si vous le souhaitez, dit Pierre poliment.
Merci beaucoup, dit-elle en se levant.
Elle alla contre la baie vitrée et tira le rideau qui amena la pénombre dans le local. Puis Monique sortit du tiroir de son petit bureau une petite boîte de couleur verte et blanche.
Ce sont des suppositoires…
Pierre resta interdit.
Monique se tourna et défit son pantalon qui lui tomba sur ses chevilles. Elle baissa sa culotte blanche et mis à jour son gros cul. Pierre ne pouvait s’empêcher de regarder l’ombre de cet oeillet palpiter, entouré de poils bruns. Dessous, il vit les grosses lèvres poilues qui enfermaient certainement un trésor. Monique écarta une grosse fesse avec sa main droite, étira encore son œillet :
Allez-y ! Mettez-moi ce suppo !
Pierre décacheta un petit suppositoire et s’approcha du gros cul. Il sentait la chaleur de cette femme lui monter et surtout ses odeurs intimes. Il positionna le suppo contre l’anus et força doucement afin que celui-ci s’enfonce, absorbé par les sphincters de Monique. Il du enfoncer la première phalange de son index dans le fondement de la femme mûre et sentir la chaleur qui s’en dégageait au bout de son doigt. Quelques palpitations, lorsque les sphincters se refermèrent sur son doigt, lui emballèrent son cœur et son excitation. Il se retira, il aurait tant voulu y mettre autre chose…
Car Pierre bandait comme un fou.
Merci ! dit Monique en remontant sa culotte et son pantalon. Est-ce que vous pourriez revenir tous les matins de la semaine ?
Pierre acquiesça et sortit du local de la concierge. Il alla à l’épicerie pour faire ses courses. De ce temps, Monique rouvrit le rideau de la baie vitrée et poursuivit ses occupations de la journée.
A son retour, Pierre remonta à son appartement. En ouvrant la porte de chez lui, Monique, qui descendait du palier au-dessus l’interpella :
S’il vous plaît ?
Oui, répondit Pierre.
Est-ce que demain matin, je pourrais venir chez vous afin que vous puissiez me mettre le suppositoire ?
Si vous voulez…lui répondit Pierre.
Alors qu’il venait de se lever et qu’il se préparait à partir travailler, Pierre entendit toquer à la porte d’entrée. Il alla ouvrir et fit entrer Monique. Elle portait un long manteau qu’elle ouvrit négligemment. Dessous, elle portait un pyjama de couleur pourpre en soie, il voyait les bouts de ses seins se dessiner dans le tissu.
Elle fit tomber son pantalon sans un regard pour Pierre, et se mit à genoux sur son canapé.
De nouveau, Pierre se trouvait face à ce gros cul, et ses démons le reprenaient. Il bandait comme un âne devant ce spectacle ô combien érotique !
Monique s’écartait sa fesse droite pour libérer son anus. Cette fois-ci, Pierre allait contre-attaquer. Il coinça le suppo contre la corolle brune fit mine de pousser sans pour autant le rentrer. Il s’y repris à plusieurs reprises sans succès. Interloquée, Monique lui demanda :
Que se passe-t-il ?
Je suis désolé, aujourd’hui, je n’y arrive pas…
Ah bon ? répondit Monique.
Je vais vous agrandir le trou…dit Pierre.
Agrandir le trou… ?
S’étant libéré, Pierre colla son sexe bandé contre l’anus de Monique. Il poussa doucement et s’enfonça sans problème. Il sentait maintenant la chaleur de corps de Monique lui titiller ses nerfs. La vieille femme demanda :
C’est bon, c’est assez ouvert, à présent ?
Oui, oui…
Avec quoi vous avez réussi à m’agrandir mon trou du cul ?
Pierre ne répondit pas et se retira. Il prit le suppo en main, alors que Monique lui demandait :
Hum, remettez-moi encore un coup votre outil, j’ai peur que mon anus ne se referme !
Pierre ne se fit pas prier. Il s’enfonça une nouvelle fois avec délice dans cette gaine brûlante. Puis il poursuivis en faisant des va et vient qui arrachaient des gémissements à Monique.
Oui, c’est bon ! Continuez…Raaahhh ! Enfoncez-vous jusqu’aux couilles ! Oui !
Quel bonheur que d’enculer cette vieille cochonne ! se disait Pierre. Il mis ses pieds sur la banquette du canapé et posa ses mains sur les hanches grasses de Monique. Il poursuivis son travail de pourfendeur en s’enfonçant dans ses entrailles. Sa queue commença à bouillir et il se dit que les sphincters de Monique ne devaient pas être à la fête. Il s’enleva et vint s’asseoir sur le canapé. Monique se mit à cheval sur lui, en lui tournant le dos et s’enfonça sa bite dans son anus. Elle posa ses pieds de part et d’autre du corps de Pierre et ce fut elle qui mena le rythme.
Après avoir changé à deux reprises de position mais sans que Monique ne voit le visage de son amant, Pierre sentit son heure arriver. Monique aussi d’ailleurs, et c’est les jambes écartées et deux doigts dans son sexe qu’elle jouis, en se frottant son clitoris enflammé.
Pierre cracha sa semence sur le dos de Monique.
Un mois plus tard, au boulot, Gilles l’invita à passer un soir chez lui. Pierre accepta puisque il habitait dans la même ville et cela lui permettrait de passer le temps. Arrivé dans son appartement, Pierre fut mis à l’aise par Gilles en lui faisant visiter son deux pièces.
En fait, j’ai le même appartement à côté que je loue à une mamie !
Ah, cool, cela te fais des rentrées d’argent !
Et bien, vois-tu pas forcément…
Elle ne te paye pas ?
Elle a du mal, mais on a instauré un truc, entre nous…
Comment ça ?
Elle vient payer en nature…
Tu prends la vie du bon côté, toi, dit Pierre en donnant une claque dans le dos de Gilles.
Gilles installa Pierre dans son canapé et lui servit un verre d’alcool. Ils parlèrent de choses et d’autres et notamment du fait qu’ils n’avaient pas de petites amies. Ils parlèrent également de leurs perspectives du travail et Gilles lui annonça qu’il risquait d’avoir une opportunité, incessamment sous peu et de quitter l’entreprise.
Puis Gilles revint sur le sujet de sa locataire :
En fait, je t’ai fait venir pour te demander un petit service…
Je t’écoute ?
Voilà. Le fait de m’envoyer cette vieille ne m’arrange pas finalement puisque les sous ne rentre pas malgré tout. En fait, je compte sur ta présence pour m’enregistrer en vidéo avec elle. J’irais même plus loin, qu’on tourne une vidéo ensemble de nous deux afin que je puisse la vendre et que cela me rapporte des tunes…Qu’est-ce que t’en penses ?
Je serais ravis de t’aider… dit Pierre.
Bon, je l’appelle…
Gilles prit son téléphone et appela sa voisine. Elle ne tarda pas à répondre :
Gisèle ?
…
Vous venez à la maison, je vous attends…
…
Gilles raccrocha.
Elle arrive…
Il se pencha et sortit d’un tiroir de son buffet un petit caméscope. Il expliqua rapidement le fonctionnement à Pierre. Le timbre de la sonnette tinta et Gilles alla ouvrir. Gisèle apparut dans le salon, un peu surprise de voir Pierre. Elle voulut faire demi-tour, mais son propriétaire l’en empêcha. Gilles l’entraîna sur le canapé et Pierre put la détailler : environ 60 ans, petite et un peu grassouillette, brune, un visage ridé, des cheveux en chignon, des gros seins et un gros cul et surtout des lunettes.
Gisèle était un peu en panique et demandait à Gilles si elle pouvait revenir. Pour toutes réponses, Gilles lui ôta son pull bleu marine et elle se retrouva en soutien-gorge blanc. Pierre ne manquait pas une miette et filmait la scène. Puis le soutif sauta et Gilles se retrouva avec deux gros seins, un peu tombant dans les mains. Il fit pointer les bouts en les martyrisant. La pauvre femme sentait des vibrations délicieuses dans tous le corps, ses seins étant très sensibles. Ses auréoles se plissèrent rapidement et Gilles montra triomphant les mamelles de la vieille femme en les pinçant droit devant pour faire ressortir les bouts :
Regarde ça ! Ca, c’est de la mamelle !
Gilles continuait à lui triturer ses seins dans tous les sens. Gisèle poussait des gémissements. Puis il lui ôta son pantalon et enfin sa culotte. Il mis à jour une fente un peu poilue de poils poivre et sel. Il glissa un doigt dans la fente de Gisèle qui poussa un hoquet de douleur.
Votre chatte est encore sèche, Gisèle…
Gilles se pencha vers son vagin et prit le clitoris entre ses lèvres. Gisèle commençait à se laisser faire lorsque elle poussa un hurlement. Pierre rapprocha la caméra et vit Gille qui lui mordillait sa petite crête de chair. La pauvre femme s’agitait devant cette douleur insupportable. Quand il s’enleva, Pierre vit que le sexe de Gisèle était tout rouge.
Passe-moi la caméra, dis Gilles, et va goûter les charmes de cette dame respectable.
Pierre ne se le fit pas dire deux fois. Il saisit un sein et suça un des bouts pour le rendre rapidement dur. Le corps de Gisèle s’agita une nouvelle fois sous la caresse. La pauvre femme ne savait plus où elle en était : un coup la douleur et un coup la tendresse. Soudain, elle vit la verge de Gilles lui arriver en pleine face. D’instinct elle ouvrit la bouche et engouffra la moitié de la pine gonflée. Elle manquait de s’étouffer, mais Gilles lui tenait la tête et lui forçait la bouche.
Dessous, elle sentait que Pierre lui bouffait la chatte, et elle mouillait comme une fontaine. Il lui mit un doigt dans son trou du cul, chose qu’elle n’apprécia que modérément. Maintenant c’était deux doigts qui lui remplissaient sa chatte et deux autres dans son fion. Puis tout tourna autour d’elle, elle sentit une bite se frayer le passage dans son sexe et faire des allers et retours rapidement. La taille du sexe la remplissait bien, elle sentait même le gland lui toucher le fond du vagin. Elle sentait qu’elle mouillait et cela favorisait la pénétration de cette pine qui lui écartait ses chairs intimes.
Pierre ravageait cette chatte aux poils gris, enfonçant son sexe au plus profond, cherchant à arracher des gémissements à cette mamie. Gilles s’enfonçait lui aussi allègrement et Gisèle devait respirer entre chaque va et vient.
Puis le trio changea de position. Gisèle vint sur Gilles qui s’est allongé sur le sol. Son sexe se fraya un passage dans les chairs mouillées de la pauvre femme. Pierre, la fit pencher en avant afin de lui faire ressortir son cul. Dès qu’elle fut couchée sur son ami, il prit sa bite en main et posa son gland à l’entrée des reins de la mamie. Cette dernière, sachant ce qui allait lui arriver, lança une petite supplication :
Doucement, s’il vous plaît…
Pierre poussa en avant et s’ouvrit le passage dans ce boyau resserré.
Ouuuaaaah ! cria Gisèle.
Pierre sentit les sphincters se contracter puis lâcher pour laisser entrer sa bite. Il s’enfonça doucement jusqu’au bout, le corps de Gisèle agité de soubresauts. Il se pencha en avant et saisit les mamelles de la mamie. Il les tritura dans tous les sens arrachant des cris et des gémissements de douleur.
Gilles poursuivait ses va et vient dans la vieille chatte, il sentait ses couilles inondées de la mouille de Gisèle. La vieille gueulait mais semblait malgré tout se régaler.
Pierre sortit son sexe du trou du cul rougit par les frottements et y replongea son gourdin. Le corps de la femme se tordit de douleur, mais aucun son ne sortit cette fois-ci. Les deux hommes s’acharnèrent sur ses orifices et Gisèle sentit une sorte de béatitude s’emparer d’elle. Une sourde chaleur commençait à lui monter des reins lorsque les deux hommes décidèrent de changer de position. Elle ne le montra pas, mais elle se sentit un peu frustrée qu’ils ne s’occupent pas de son plaisir. Pierre s’assit dans le canapé et Gisèle vint s’asseoir de face sur sa queue. Sa grotte était bouillante et très humide ; Gilles introduisit son sexe dans l’anus de Gisèle qui couina de douleur en se tendant comme un arc. Elle fut prise pendant une bonne heure par tous ses orifices par les deux hommes.
Mais vers la fin, ayant moins de sensation, les deux hommes décidèrent de lui pourfendre son sexe avec leurs deux sexes en même temps. Sa chatte s’ouvrit et Pierre et Gilles frottèrent leur sexe dans cette grotte merveilleusement brûlante et humide à souhait. Gisèle crut s’évanouir sous la douleur. Quelques filaments rouges s’échappèrent du sexe de Gisèle lorsque les deux bites gonflées en sortirent pour déverser leur sperme sur le visage de la vieille femme.
Ajouter un commentaire