Cela fait bientôt deux mois que Roger, soixante cinq ans, vit retiré dans sa ferme.
Depuis le jour ou son fils Julien, est venu lui faire ses aux revoir, avant son départ pour l’Irak.
Ce jour là, Julien avait emmenait Sabine, sa jeune et jolie épouse âgée de vingt quatre ans, s’installer chez lui, pour être tranquille pendant son absence.
-Avec plaisir, avait dit Roger, ça me fera de la compagnie. Tu seras comme chez toi mon enfant.
-Merci beau papa, avait répondu la jeune femme.
Aujourd’hui, Julien n’est toujours pas rentré, Roger et Sabine s’occupe de la ferme. Tous les matins, Roger donne à manger aux bêtes, ramasse les œufs. Sabine s’occupe des taches ménagères.
Mais la jeune épouse est en manque de sexe. De temps en temps, elle s’isole dans la remise. Là, elle se déshabille, et s’allonge dans la paille, se caresse de long moment. Un jour, Dick, un jeune labrador, comme attiré par l’odeur d’une femelle, s’est pointé dans la remise. Il a surpris Sabine, entièrement nue, en train de se caresser. Après un bref regard, il s’est avancé et enfoui son museau entre les cuisses de la jeune femme. Surprise, Sabine à un léger sursaut.
-Mais…c’est qui, dit-elle en levant la tête…oh non Dick, tu es fou, ce n’est pas bien de faire ça.
Mais la langue du chien commence à œuvrer sur la fente mouillée de Sabine. Elle fait pression pour ouvrir les lèvres, et pénétrer la chatte. Mieux, elle sort même le clitoris de sa capuche.
Sabine se cambre sous les coups de langue du chien, jusqu’à atteindre un puissant orgasme.
Rouge de honte, elle se rhabille à la hâte, est rentre dans la maison. Pourtant, elle sait très bien que le chien ne dira rien de cette relation.
Elle prend une bonne douche, et s’occupe de mettre la table pour le repas du soir.
Vers vingt trois heures, Roger monte se coucher.
-En montant, je vous porterais vôtre tisane, dit-elle.
-Tu as le temps ma chérie, répond-il, je vais lire un petit moment.
Assise devant la télé, elle se remémore la relation qu’elle a eue avec le chien. Elle a l’impression de sentir sa langue sur sa chatte, et sent une agréable chaleur envahir le creux de son ventre. Elle ouvre son peignoir, et commence à se caresser les seins, la chatte, excite son petit bouton.
-Si mon Julien était là, pense-t-elle, on ferait l’amour toute la nuit.
Il est presque minuit quand elle monte la tisane à Roger. Elle pousse la porte, et découvre son beau père, nu sur le lit. La vue de sa queue, assez gaillarde pour son âge, lui procure une douce sensation.
-Excusez-moi, dit-elle, je ne savais pas. Je pose vôtre tisane sur la table. Bonne nuit beau papa.
Elle s’apprête à sortir de la chambre, mais la tentation est trop forte, quitte à essuyer un refus, ou à passer pour une catin. Elle se retourne, fait glisser son peignoir. Elle apparait entièrement nue devant son beau père. Roger fixe le corps superbe de sa belle fille, ne réagit pas, pas un mot. Lentement, Sabine s’approche du lit, saisit la bite entre ses doigts, la décalotte, et commence à la branler. L’organe atteint vite des mensurations respectables. Sabine se penche sur l’objet du désir, et le prend en bouche. Roger laisse échapper un long soupir.
Ce qui lui arrive est inespéré. Il n’a plus eu aucune relation depuis la disparition de sa femme, il y a cinq ans. Et il n’est pas au bout de ses surprises.
Jugeant son beau père enfin prêt, Sabine monte sur le lit, l’enjambe, et s’empale sur sa bite. Elle prend les mains tremblantes de Roger, et les portes à ses seins. Timidement, il les caresses, fait rouler les bougeons du bout de ses doigts. Sabine ferme les yeux, profite de cet instant, ça fait si longtemps qu’elle n’a pas senti des mains de mâle sur son corps. Puis sabine entame de lent va et vient sur le pieu qui la fouille. Soudain, sa respiration s’accélère au rythme de ses coups de reins. Elle gémit de plus en plus fort, jusqu’à hurler de plaisir quand elle atteint l’orgasme. Elle s’écroule sur le corps de son beau père, lui prend les lèvres.
Mais Roger reste sur sa faim, il n’a pas joui. Et elle le sait. Elle le regarde en souriant, et glisse sur le torse de son beau père, pour arriver à hauteur de la queue toujours en érection. Savamment, elle commence à le sucer. Roger est aux anges, regarde le plafond. Il sent la sève monter en lui, prête à gicler. Il prend la tête de sa belle fille pour la repousser, mais elle résiste à la pression. Ca fait longtemps qu’elle n’a plus senti le gout de sperme sur sa langue. Roger n’a d’autre choix que d’éjaculer dans la bouche de Sabine, qui se permet de tout avaler. Roger, la larme à l’œil, prend le visage Sabine entre ses mains.
-Mais qu’avons-nous fait ma chérie, mon dieu…quel lourd secret allons nous avoir.
-Je sais beau papa, poursuit-elle en l’embrassant, un très lourd secret.
Ce sont les seules paroles qu’ils ont échangées. Tous c’est passé sans un mot. Mais avaient-ils besoin de se parler pour se comprendre. Sabine était en manque, et pour Roger c’était inespéré.
Le lendemain, Roger et Sabine vaquent à leurs occupations. Au diner, Roger annonce une mauvaise nouvelle. L’incorporation de Julien en Irak, est prolongée de deux mois et conseille à sa belle fille de sortir, de voir d’autres personnes. D’autant que ce soir, c’est la fête au village, et que les copains de Julien seront présents.
-Vous croyez que c’est ma place, demande-t-elle ?
-Tu es jeune, et du doit avoir des envies ma chérie, vas-y, ne t’occupe pas des gens.
Finalement, Sabine décide d’aller à la fête. Elle est accueillie bras ouvert par les copains de Julien, qui l’invitent à tour de rôle à danser, sans arrière pensée. Elle s’amuse comme une folle. Après quelques verres de sangria, Sabine ne voit pas arriver le danger, sous la forme de deux jeunes maghrébins, d’un village voisin, friands de jeunes et jolies françaises. Ils ont à peine dix huit ans.
A force de baratin, ils parviennent à entrainer la jeune femme derrière le podium d’orchestre. Là, ils la mettent entièrement nue, bien décidé à jouer avec elle. Un se colle derrière elle, la bite hors de son short, taquine la chatte. L’autre, placé devant, excite le clitoris à l’aide du majeur, oblige la jeune femme à se baisser pour le sucer. Sabine, en manque de sexe, succombe sous les caresses, et à leurs attentes. La queue du jeune arabe, glisse sur sa fente humide, pénètre la chatte, tandis que l’autre la force à lui tailler une pipe. Sabine, soumise à ces deux mâles en chaleur, se fait prendre dans toutes les positions, connait même une double pénétration, jusqu’ici inconnue pour elle. Dans cette relation, qui dure une bonne heure, ses cris, quand elle atteint l’orgasme, sont heureusement couverts par la musique.
Un éjacule dans sa chatte, l’autre, l’oblige à avaler sa semence quand il se vide les couilles dans sa bouche. Satisfait, les deux jeunes maghrébins s’en vont en riant, non sans la traiter de chienne.
Sabine tente tant bien que mal de se refaire une beauté. Les copains de son mari doivent se demander ou elle est passée. Elle espère que personne ne s’est aperçu de son escapade.
Après un dernier verre, elle décide de rentrer. Il est minuit, elle a le temps de servir la tisane à Roger…et qui sait ? Malgré sa sulfureuse soirée, elle est toujours en manque de baise. Elle a envie de faire l’amour, le vrai. Elle aimerait sentir des mains parcourir son corps de braise, et seul son beau père peut lui procurer ce plaisir.
Elle monte la tisane, et, pour son plus grand bonheur, Roger est couché dans le lit, certainement nu sous les draps.
-Alors ma chérie, as-tu passé une bonne soirée ?
-Oh si vous saviez beau papa, je me suis fait saillir par deux jeunes maghrébins montés comme de ânes. Comme ils m’ont baisée, sodomisée ces salauds, je leur ai même taillé des pipes…j’ai tout avalé… j’adore le gout du sperme…mais vous savez, ce qui me sait le plus mal, c’est que j’ai été infidèle, j’ai honte d’avoir trompé Julien. Qu’en pensez-vous beau papa.
-Viens t’allonger près de moi, sourit-il, on sera mieux pour parler.
Sabine ôte son peignoir, se glisse sous les draps. Câline, comme pour se faire pardonner, elle se blottit contre Roger.
-Hum, le petit vilain, sourit Sabine, mais il bande comme un salaud…
-Et toi salope, ta petite chatte est toute mouillée.
-Hey…mais arrêtez de la chatouiller, vous allez me faire jouir.
-Je sens qu’on va passer une bonne nuit tous les deux…
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