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3 – Histoire de fille qui n’en est pas une

3 – Histoire de fille qui n’en est pas une



3 – Histoire de fille qui n’en est pas une

Quelle sexualité pour moi ?

C’est une question importante, quand on sait ce qu’on est c’est déjà pas facile. Mais quand on ne sait pas vraiment qui on est c’est pire. Je n’ai pas honte de le dire, ma sexualité avant 17 ans c’est seule, masturbation devant internet, ou dans mon lit en fermant les yeux. Surtout que je suis faite comme çà, mes besoins ne sont pas négligeables, et ils ne font je crois que croître. Je suis sure que ceux qui lisent mon récit doivent se poser la question. Et le plaisir anal. Car bien sur quand on parle de travelo on pense aussitôt à çà.
Moi aussi j’y pensais, je l’ai expérimenté petit à petit. Je me suis rendue compte que mon sexe me donnais du plaisir mais j’avais besoin d’autre chose.

Et mes doigts ont exploré mon corps. Je me suis rendue compte que mes petits tétons même s’ils ne sont pas bien gros ou grands sont très sensibles et quand je me caresse il m’arrive souvent de les agacer. Je préfère a travers un tissu, car ma honte, ma hantise c’est cette poitrine plate de garçon. Je rêve de rondeurs de seins bien a moi. Pas un rembourrage dans un bustier ou un SG.
D’ailleurs il n’y a que depuis quelques mois, depuis que j’ai rencontré l’homme que j’aime que je montre totalement nue à lui avant jamais on ne me voyait sans rien.

Et puis un jour j’ai trouvé que les caresses avec mes doigts ne suffisaient plus j’ai utilisé des choses diverses, des bouteilles, des manches de brosse à cheveux.
Et voilà, une chose est certaine, c’est moi qui ai dépucelé mon petit trou.
Plus d’une fois par maladresse ou par précipitation je me suis fait horriblement mal. Mais moi je rêvais qu’on m’embrasse, qu’on me serre dans les bras. Jouir seule contentait les besoins de mon corps mais j’étais totalement insatisfaite. Je suis timide, cela peut faire rire ceux qui me fréquentent ou dialoguent avec moi sur internet par exemple.
Tant que je suis dans mon petit monde, tant que je me sent protégée, que rien ne peut m’arriver je ne donne pas l’impression d’être timide je peux même passer pour une vicieuse, une allumeuse. Mais personne ne sait quels efforts je fais pour être comme çà. Surtout au début, ensuite je me libère petit a petit. Et puis je l’avoue il y a des choses qui m’aident fumer par exemple, oui pas seulement du tabac. D’autres choses plus hard aussi mais pas très souvent.

Je cherchais l’amour ou ce que je croyais l’être, ce n’est pas si vieux presque 2 ans, oh j’ai pourtant l’impression que ça fait des années. Mais mettez vous à ma place, je voulais sincèrement avoir un copain comme toutes les nanas, sortir avec, faire des conneries, rire. Expliquez moi comment rencontrez un garçon? Dites moi comment faire?
J’ai essayé oh oui et je me suis fais tellement de mal. J’admets quand je suis bien maquillée, bien fringuée on me drague facilement, c’est que je suis pas si nulle que je le pense. Mon regard sur moi dans la glace est totalement différent de celui des autres. C’est mon homme qui me l’a fait découvrir. Et il a raison.
Mais quand j’ai commencé à « draguer » j’étais niaise et surtout aucune confiance en moi. Mais çà à marché quand même. C’est un peu compliqué, c’était un des copains du petit ami de Céline ma sœur. Il m’arrivait quand même de sortir avec elle en boite. Et j’ai fais la connaissance de Jérôme. Un beau garçon oh la la , brun des yeux bleus très athlétique, il était sportif. Il m’a dragué mais avec gentillesse. Céline lui avait dit que j’étais timide ce qui est vrai. Et il à été adorable. Oh je me rappellerai toujours quand il m’a embrassé c’est à notre deuxième sortie la première fois on avait dansé, rit un peu bu et moi ça me réussit pas fort. C’ était dans notre boite préférée l’Allegra que ce soir là Jérôme et moi on c’était dépensés sur la piste j’avais mal au pieds, on est allé s’installer dans un coin un peu tranquille. Moi j’avais le cœur qui battait mais pas a cause de la danse, je sentais qu’il allait essayer d’aller plus loin que de me tenir la main. Déjà quand on était revenu de la piste il m’a prit par la taille. C’était la première fois, mon cœur c’est mis à cogner. Qu’est ce que c’est agréable de savoir que l’homme qui est à côté de soi vous désire, c’est çà ne soyons pas naïves. Il nous veut, on sait toutes que le but final de tout çà c’est d’aller au lit. Et n’ayons pas honte de dire que les nanas aussi y pensent. Enfin moi j’y pense et c’est vrai suis-je une nana? Mais bon revenons à ce soir là. On était assis dans les fauteuils profonds un peu à l’écart Jérôme avait passé son bras sur mes épaules, et je me suis laissé allée, je me suis blottie contre lui. Mon cœur battait je n’entendais que lui, même la musique semblait mois forte. Il avait posé doucement sa main sur mon genou, j’avais une mini comme toujours, le haut de mes bas étaient presque visibles. Mais sa main comme çà posée négligemment m’avait fais de l’effet et dans ma culotte c ‘était l’affolement. On se parlait à peine, des banalités dont je ne me souviens pas. Par contre je me souviens parfaitement de l’après rasage de Jérôme, il sentait bon, sa barbe de 2 jours noire et dure il ne se rasait pas il avait toujours ce look très beau gosse, aventurier. Je craquais totalement pour lui. Si j’avais été une nana une vraie? Oh j’allais au lit le soir même.

Hélas ce n’est pas aussi simple. Je sentais que Jérôme avait envie de moi, je n’avais aucune expérience mais c’était énorme, ça se voyait. Et là il à posé son doigt sur ma joue, pour tourner ma tête vers lui. Il souriait, ses yeux m’hypnotisaient. Il c’est approché plus prés, je me suis mise a trembler comme une feuille, je n’avais jamais embrassé, j’avais tellement envie, j’avais peur de passer pour une gourde. C’est fou ce qu’on peu avoir comme pensées en quelques secondes.
Et nos lèvres se sont touchées, je me suis laissée guider, sa langue à commencé à caresser mes lèvres, puis elle c’est insinuée entre mes lèvres, je répondais de la même façon. Mon cœur n’arrêtait pas de cogner, ma tête tournait un peu. Oh que c’était bon, oh ce moment, dans ma culotte je ne vous dit pas. Le baiser dura longtemps, mais il me parut trop court.
J’étais sans voix, je regardais Jérôme. Je pris mon courage à deux mains, et je lui caressais la joue. Et je m’approchais de lui pour un bisou sur les lèvres, pas un baiser juste poser mes lèvres sur les siennes. C’était magique. Je devenais ce que j’avais toujours voulu être une nana. J’évacuais tout ce qui pouvais poser problème, je niais l’évidence. Je me mentais à moi même. Je crois que j’aurais du lui dire à ce moment là.
Céline qui avait vu notre baiser, me fit un grand sourire, je passais ce soir là la meilleure soirée de ma courte vie. Pour une fois je me sentais aimée, désirée et je désirais aussi.
Car Jérôme m’avait mis le feu aux sens. Mais pour le moment je profitais de mon amour tout neuf. Car c’est idiot je sais mais j’étais amoureuse de lui. Je me faisais un film.
Non je n’ai quand même pas pensé être la mère de ses enfants je suis idiote mais pas à ce point quand même.

Céline après cette soirée m’avait mise en garde, Jérôme était un chaud lapin et il ne tarderait pas beaucoup à vouloir plus que des baisers et des petits câlins gentillets. Il m’avait invité à sortir dans la semaine. J’avais sauté de joie.
Mon premier rendez-vous. J’avais passé un temps infini à me maquiller me préparer, j’avais même fais le siège de maman pour m’acheter de nouvelles chaussures. Je ne sais pas à quoi je pensais, maintenant je me dis que j’étais vraiment naïve, c’était une tromperie sur la marchandise. J’étais un mec en femme et Jérôme pensait avoir une petite nana. Au fond tout est de ma faute.
Rien de bien nouveau, petit rendez-vous, cinéma, puis un verre dans un café. Au ciné, l’extase, son bras autour de mon cou, des bisous dans le coup, des compliments, j’étais très jolie, bien fringuée, je le faisais rire. Une soirée agréable, petit conte de fée pour moi.
Et il me ramène à la maison, on bavarde dans la voiture, on s’embrasse, roulage de pelle je suis excitée mais lui aussi. Sa main sur mon genoux, puis ma cuisse, il glisse sou ma jupe. Je réagis et bloque sa main avant qu’il n’ailles plus loin.
Surpris il me dit qu’il a envie de moi, me demande si lui me plaît Bien sur qu’il me plaît, mais je suis au pied du mur. Je dois avouer. Et je me dévoile, espérant que les bons moments qu’on a passé et qui sont réels pour lui comme pour moi vont faire passer la pilule.
Me voilà pauvre conne à lui expliquer ce que je suis vraiment. Je vois son visage se transformer c’est pas de la surprise encore que si, mais ce qui est le plus sensible c’est le dégoût Il entre dans un rage folle, il sort de la voiture, fais le tour, ouvre la portière en me traitant de tous les noms. Il me prend par un bras me tire hors de la voiture. Je me prend les pieds dans le tapis et je m’étale de tout mon long par terre, mon menton heurte le sol. Et là je prend un coup de pied dans le ventre qui me scie en deux. Il est prêt à recommencer. Je hurle dans la rue déserte. Je me relève tant bien que mal et il me colle une gifle qui me renvoie au sol. Et il remonte en voiture en hurlant que si il me revoyait il me démolissait et ce qui m’a fait le plus mal « pauvre con de travelo tafiote PD »

Le monde venait de s’écrouler. J’étais ravalée au rang de sous merde, je n’étais rien, ni femme , ni homme rien d’intéressant. Pourtant il m’avait embrassée, il était bien et d’une minute a l’autre il me frappais. J’étais idiote je le sais bien, je n’avais pas les pieds sur terre. Je l’avais trompé, mais si je lui avais dit tout de suite il n’aurait même pas prêté attention à moi. J’étais malade, je me suis mise à vomir dans le caniveau. C’est Céline qui est descendue, a mon secours. Elle m’a aidé à remonter. Elle m’avait bien dit, mais je n’en avais fait qu’a ma tête. Mais elle en voulais à Jérôme de m’avoir tabassée
Céline eut toute les peines du monde à me calmer. Je sanglotais, me tapais la tête contre le mur. Maman c’est levée. Elle était catastrophée. Très en colère qu’on puisse me traiter comme çà. Mon menton était écorché, je saignais, ma joue était rouge les doigts marquaient ma peau, mon oreille sifflait. Mes genoux aussi étaient écorchés. Mon ventre portait l’empreinte de la semelle et ça c’est mit vite à rougir puis bleuir. Céline envoya ma mère au lit car elle travaillait le lendemain. C’est mas sœur qui me déshabilla, puis me mit au lit.
Céline restais prés de moi, tentant de me calmer mais je ne sortais pas de mes idées noires. Je suis rien une merde, je suis anormale, je suis un monstre, il avait sans doute raison j’étais qu’un travelo. Un vicieux qui s’excitait en femme, un homo déguisé un PD.
Je finis par m’endormir en serrant la main de Céline.
Le lendemain je restais à la maison c’était vendredi, pas de cours pour moi je n’aurais pas pu tenir. Je préférais rester à la maison pour reprendre le contrôle de mes nerfs. C’était l’année où je passais le bac et je le voulais!
J’ai pleuré 3 jours pleins. Mes yeux rougis, ma tête me faisais mal. Le coup de pied dans le ventre m’avait fait très mal, mais c’était les mots, son regard. Je repris ma vie la semaine suivante. Je pensais surmonter cette épreuve. Toute la semaine je déprimais, je soir je rentrais et pleurais. Je suivais les cours pourtant. Et le week-end arriva. Le samedi matin je me levais tard. Dormir aurait du me faire du bien. Je me levais la tête dans le cul comme on dit. Salle de bain, je me regarde dans la glace, j’ai une tête horrible je ne ressemble a rien. Je ne suis rien. Je ne veux plus rien. Plus personne ne compte. Je suis de trop. Je sais que jamais je ne serais normale, jamais heureuse.
Je ne sens même pas la brûlure de la lame de rasoir, je change même de main pour tailler l’autre poignet. Je me recroquevilles dans la douche, je me sens faible, çà tourne… plus rien.. au revoir.. c’est fini.

Réveil en fanfare!! PinPon. Ça roule çà bouge autour de moi un visage se penche sur moi , un autre mouvement on s’occupe de moi. Je suis dans le cirage. On me pique le bras. Hop tout noir encore.

Quand j’émerge à nouveau, maman et Céline sont à côté de moi. Toutes les deux en pleurs. Elle ne restent pas longtemps je suis aux urgences. Une infirmière passe elle me dit un truc que je comprends pas et je m’endors.

Le lendemain, je ne suis plus aux urgences, je suis toujours vaseuse. J’apprends que je suis en psychiatrie quand passe le médecin il parle un peu pas très longtemps, il me dit que l’on se verra plus longuement en fin de matinée. Mes poignets sont bandés. Ça fait un peu mal, enfin ça tire un peu mais rien de plus.

Je vois arriver mon psy celui que ma mère m’avait fait consulter, je le vois qui parle avec le médecin du matin. Il me connaît il est sympa, gentil mais franchement tout ce qu’il fait, me raconte, me fait raconter ne m’aide pas. J’explique ce qui c’est passé, Jérôme tout çà. Il me dit avec des mots gentils que j’ai été conne, mais çà je le sais. Il me donne rendez vous pour la semaine d’après.

Début après midi, maman et Céline. Je suis heureuse de les voir, enfin des visages amicaux. Maman me serre dans ses bras, je pleure, je m’excuses je promets de ne plus faire ce genre de bêtises on m’absous et on parle de mon retour à la maison.
Maman un peu naïve ou voulant me remonter le moral me dit que je finirais par rencontrer quelqu’un. Je suis pas en forme mais je ne veux pas la contrarier, je la laisse dire. Ensuite la discussion revient à des choses sans importances on n’aborde plus le sujet. Je suis plutôt soulagée ne plus parler de tout çà.

J’ai une hâte rentrer à la maison. Pour quoi faire ? Recommencer tout çà, je ne sais plus. Je replongeais dans le même état d’esprit qu’avant.

Au moment de partir Céline laisse avancer maman, et me fais une leçon de morale comme jamais j’en avais reçu. Ses mots portent, elle n’hésite pas, me dit que je suis une petite idiote. Elle m’avait prévenue, elle a raison j’en ai fait qu’a ma tête. Céline est comme je ne l’ai jamais vue. Remontée comme une pendule. Elle tremble, m’engueule mais elle a les larmes aux yeux. J’apprends que c’est elle qui m’a trouvée, elle qui a appelé les pompier. Sans elle mon histoire ce serait arrêtée là. Et elle me prend dans ses bras, me serre fort, fort ,fort. Je me rend compte que je suis importante au moins pour ma sœur et pour maman bien sûr. Cela m’a fait l’effet d’un coup de fouet.

Après je suis rentrée à la maison, j’ai repris ma vie, enfin j’existais je faisais comme si je vivais je faisait semblant, comme je faisais semblant d’être une fille penseront certains. Mais non mon corps c’est pas le bon. J’en veux pas, je veux celui qui va avec mon esprit. Quand je vois certains films ou l’on transporte l’esprit de quelqu’un dans un autre corps, j’ai l’impression de vivre çà tous les jours. On se couche en se disant, je vais me réveiller tout sera rentré dans l’ordre mais non. J’ai du me résoudre à vivre avec. Pour tromper mes angoisses, mes interrogations, j’ai bûché comme une malade pour mon bac que j’ai eu avec une mention « très bien » et oui. Mais comme je n’ai pas continué çà ne me sert à rien sinon un peu de fierté.

Mais une chose me rongeait, mes envies, mes pulsions c’était de plus en plus fort. J’avais envie des bras d’un homme, j’avais envie de faire l’amour. Qu’on me fasse l’amour c’était devenu une obsession. J’avais passé les épreuves du Bac. Je n’avais plus de but, je sentais que je repartais dans une spirale qui allait me ramener aux pires moments. Je ne prenais plus mes antidépresseurs, plus de traitement rien.
J’ai commencé à hanter les chats internet, les services cam2cam, les sites de rencontre. Petit à petit l’idée faisait son chemin. Au moins sur ces sites j’annonçais la couleur, je ne trompais personne, on savait ce que j’étais et je voyais que plein de mecs étaient intéressés. Mais je n’étais pas forcément intéressée par ces gars.
Une chose était certaine je suscitais pas mal d’intérêt. Je me suis même fait rappeler à l’ordre car je mettais mon age réel. Je dialoguais beaucoup, je crevais d’envie de me lancer dans une aventure, mais je mourrais de trouille de ce qui arriverait. Au fond j’avais surtout peur d’être rejetée, de ne pas plaire.
Vous devez penser c’est triste a cet âge là de devoir faire sa première expérience de cette façon. Oui c’est triste et sordide même. Oh oui je sais, entre çà et la prostitution il n’y a qu’une différence je ne faisais pas çà pour de l’argent.

A force de traîner sur ces sites, j’ai fini par oser. J’avais eu des discussions plus que coquines, j’avais un peu joué avec la cam. Mais je voulais du concret. C’était pourtant pas facile, la plupart des hommes qui me contactaient n’avait aucun endroit pour se rencontrer, ils étaient la plupart mariés, voulais s’amuser un moment, ils me demandaient tous s’ils pouvaient venir chez moi. Évidemment non je ne pouvais pas les recevoir dans ma chambre.

Mais un jour je suis tombé sur un gars qui avait l’air vraiment gentil. Il m’invitait à venir chez lui, il était seul divorcé 40 ans et il était pas mal du tout. C’est vrai que j’avais tendance au début à rechercher des beaux mecs, j’ai vite compris que ce n’était pas important.

J’avais fait le grand jeu, maquillage, tenue sexy sous vêtements coquins. Et pris mon courage à deux mains et aussi un peu de poudre dans le nez. J’avais opté pour une tenue très sexy, en fait j’avais franchement l’air d’une pute. Ma mini ne cachait qu’a peine ma culotte en satin pistache et pas du tout le haut de mes dimups J’avais enfilé mes talons les plus hauts. Et enfilé un bustier coordonné à ma culotte sur lequel j’avais passé une chemise blanche que j’avais laissé ouverte. Mes cheveux je les avait séparés et fait deux couettes comme une gamine. J’avais vraiment forcé le maquillage. Aujourd’hui je n’oserais pas sortir comme çà.
Mais là je voulais en fin de compte je ne sais pas ce que je voulais, impressionner, me montrer plus osée et dévergondée que je ne l’étais.
Mais c’est le cœur battant que j’arrivais dans la rue où il habitait. Je ralentis le pas, un moment je crus que j’allais repartir dans l’autre sens en prenant mes jambes à mon cou.
Depuis que j’étais partie de chez moi, dans le bus déjà je voyais les regards sur moi. Les femmes me regardaient l’air soit méchant, soi dégoûté. Mais les hommes me lorgnaient tous avec des yeux brillants d’envie. Jeunes ou pas jeunes on me matais et j’avais adoré. Mais je commençais à me rendre compte que j’étais un peu trop voyante.
J’ai hésité au moins 10 minutes avant de sonner à la grille de cette belle maison. Et puis j’ai sonné. Il est venu m’ouvrir. Gentil, doux une voix agréable et il était grand. Il m’a fait entrer la maison était magnifique, un petit chat blanc se roulait sur le carrelage de l’entrée cherchant des caresses. J’adore les chats. Mon hôte s’appelait Étienne. J’avais eu un peu peur qu’il me saute dessus tout de suite. Non il m’offrit une coupe de champagne , on a commencé parler. Enfin lui parlait, moi je n’arrivais presque pas à sortir un mot. Au bout d’un petit moment, il me demanda même si j’étais toujours d’accord. Je fini par tout déballer, lui disant que c’était la première fois que je rencontrait comme çà. Il me questionna sur mon âge, je finis par avouer que je n’avais pas encore 18 ans. Et il me dit avec un sourire, et c’est la première fois que tu va le faire. Il avait un grand sourire. Il m’avait percée à jour. Mais il l’avait fait en douceur. Je me sentais assez en confiance. Il me conduit dans la chambre.
Je me laissais embrasser, et j’étais active, j’avais tellement adoré avec Jérôme . Pendant qu’il m’embrassait ses mains me touchaient, mes hanches, mes fesses. Il était doux j’aimais. Mon cœur s’emballait, je me sentais la tête légère, ce que j’avais pris n’y était pas pour rien. Je frissonnais quand il passa sa main entre mes cuisses. J’étais accrochée à lui. Il prit mes main puis le posa sur son sexe, il était gros et dur dans son pantalon. Je le caressais au travers du tissu. Puis il commença à me déshabiller ma jupe, ma chemise. Je l’empêchais de m’enlever mon bustier. Je le déshabillait, sa poitrine était musclée, il sentait bon. Je lui fit plein de bisous en descendant vers son nombril. Oh je n’avais pas fait çà d’instinct, j’avais révisé mes leçons sur internet en regardant des vidéo pornos. Je mimais ce que j’avais vu faire et ça marchait plutôt bien car Étienne avait l’air très emballé. Plus approchais le moment ou j’allais devoir vraiment m’occuper de son sexe, plus mon cœur battait vite.

Enfin il fut nu, je n’avais d’yeux que pour son sexe tout dressé. C’était la première fois que je voyais un sexe d’homme. Étienne me regardait vraiment amusé mais aussi excité. Quand mes mains touchèrent son sexe il eu un petit sursaut comme si il était vivant. Oh que c’était doux, mes deux mains le caressaient, le palpaient. Et je me surpris moi même. J’approchais ma bouche de cette merveilleuse chose et sortant ma langue je léchais doucement la peau, puis le sommet du sexe.
En l’espace de quelques secondes je savais que c’était ce que je voulais, un des mes rêve se réalisait, combien de fois avais-je rêvé de çà. Je m’étais caressée et j’avais jouis des tas de fois en regardant une fille faire çà. Et là c’était moi, il était pour moi ce sexe. Mes craintes, ma timidité tout était en train de s’envoler. Rapidement je me mis à sucer son sexe. Quelle sensation, avoir cette chair vivante, douce qui vibre dans ma bouche oh mon sexe enfin mon gros clitoris était tendu dans ma culotte. Puis Étienne me pris pas les aisselles me coucha sur le dos, il m’embrassa, en fouillant das ma culotte. Il trouva mon sexe, le pris entre ses doigts. J’avais de grand frissons, je m’abandonnais à ses caresses. J’espérais qu’il allait prendre mon sexe dans sa bouche, il ne le fit pas. J’étais très excitée. Il déchira la pochette d’un préservatif. Qu’il me tendit. Je n’avais jamais mis de préservatif autrement que sur mes jouets improvisés. Ce n’était pas compliqué, je reprenais son sexe dans ma bouche, je le mouillais, puis je me débrouillais pas si mal pour mettre la capote.

Maintenant Étienne me fit agenouiller sur le lit. Il appuya sur le creux de mes reins, je me cambrais il lécha mon petit trou un long moment, puis je sentis quelque chose de frais, il avait la délicatesse de lubrifier mon anus ( ce ne fut pas toujours le cas) Et puis. Il me prit, oh mon dieu que c’est bon. Je n’ai absolument pas eu mal, mes séances en solo avaient porté leur fruits. Décrire la sensation de ce sexe qui entrait en moi je ne sais pas le dire. Mais je suis toujours surprise c’est que on sent tout si fort, j’avais peur d’avoir mal, pas de douleur pourtant Étienne était bien monté. Maintenant ses mains sur mes fesses il me prenait, je me laissais aller, ma main caressais doucement mon clitoris Le plaisir était au rendez vous. Oh que c’est bon. J’étais une petite nana, je me faisait baiser par un bel homme. Il ne m’avait pas jetée a cause de mon petit sexe, au contraire c’était ça qui l’excitait. Ce soir là je commençait à trouver ma place, je me sentais, désirée, je me sentais peut être pas femme mais j’approchais de mon but. Désormais ma vie sexuelle ne se bornerait plus à des exercices solitaires.
J’étais si excitée, que je jouis dans mes doigts, constellant les draps de gouttes de sperme. Étienne lui se retira de moi enleva le préservatif et jouis sur mes fesses. Oh cette sensation de chaleur d’humidité, le sperme d’un homme sur moi que c’était bon.
Étienne me proposa de passer la nuit avec lui. Je n’osais pas dire oui, et puis découcher ma mère n’aurait pas apprécié. Je quittais donc mon amant, mon premier amant le cœur léger, comblée par le plaisir, pour moi c’était là un moment important.

Je ne savais pourtant pas grand chose de la vie.

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