De retour de l’ile de la Réunion je me suis retrouvée dans une situation plus que cocasse que je vais vous raconter.
A peine revenue je prends contact avec Agnes pour lui annoncer mon retour et l’inviter à passer chez moi pour lui faire part de mes aventures.
« Désolée je ne suis pas libre en ce moment, j’ai un problème de personnel à résoudre mais OK pour le WE. »
« C’est grave ? »
« Non mon camp d’ados me pose un problème »
Elle est très impliquée dans la vie associative de la ville et je comprends sa réticence à venir avant le WE. On papote un peu et on se donne RV pour le dimanche.
Après quelques courses et rangement je m’apprête à me reconnecter sur XHAMSTER que mon portable sonne : c’est AGNES
« Il me semble que tu es encore en congé quelques jours et tu es la seule je pense qui peut me sortir d’un guêpier. »
Je souris en imaginant le pire vu ses idées.
« Non c’est sérieux, un animateur viens d’avoir un problème grave et je dois le remplacer mais à cette époque de l’année je ne trouve plus personne et si j’ai bonne mémoire tu es titulaire du BAFA »
Je n’en crois pas mes oreilles.
« Oui mais cela fait une éternité que je n’ai plus encadré des jeunes et en plus des ados. »
« T’en fait pas tu ne seras pas seule mais tu es ma seule solution, accepte STP»
« Pourquoi cette urgence ? »
« Ils doivent partir pour une petite semaine dans deux jours dans le cadre du jumelage avec une ville espagnole pour différentes activités sportives »
J’hésite un peu mais je lui dois bien un petit coup de main. Nous avons RV le lendemain matin pour régler les problèmes administratifs et faire connaissance avec l’équipe.
Tout c’est bien passé lors de ma prise de contact avec l’équipe et les ados. Nous voilà sur le point d’embarquer dans le car : 12 filles et 12 garçons je dirai bien 24 jeunes adultes (17 à18 ans) Louis le directeur, Paul le conducteur animateur et moi-même. Le groupe est ainsi composé car nous logerons dans une auberge de jeunesse avec deux chambres de 12 lits, une chambre pour les deux hommes et une pour moi. Je suis assise à côté de Louis qui me semble sympa et très amoureux de son épouse avec laquelle il n’arrête pas de communiquer.
L’installation crée quelques problèmes car des couples se sont formés lors de la première semaine d’activité mais le Directeur avec beaucoup de diplomatie a désamorcé la crise, pour ma part j’ai ma chambre en bout de couloir. Seule contrainte : les toilettes en commun mais j’ai un lavabo dans ma chambre et les douches ferment avec un verrou.
La journée se passe bien, je remarque évidement quelques regards sur mon anatomie et des réflexions du genre qu’ils ont gagné au change avec moi.
Le soir venu en attendant le calme je lis quelques revues et me prépare pour la nuit. En nuisette je jette un regard furtif dans le couloir pour m’assurer que tout était calme et que la porte des toilettes se trouvant à ma gauche est entrouverte.
Pas de lumière, je vais pouvoir y aller en nuisette sans choquer : en entrant je me crispe en entendant un halètement derrière une porte d’un box; oui je ne me trompe pas c’est quelqu’un qui se branle, je ne bouge pas. Qui est l’objet du désir ? Moi ou une des filles dont le copain est épris ? Je reste là sans bouger en pensant que c’était moi le fantasme et machinalement oui vous le savez je ne résiste pas à laisser ma chatte s’humidifier.
Le rythme s’intensifiant je prends le risque de me toucher à mon tour sous ma nuisette à ras des fesses. Eprise d’une envie de jouissance je me branle maintenant à son rythme quand soudain la porte du box s’ouvre et je suis prise ne flagrant délit d’orgasme devant Hervé, je pense l’un des plus matures du groupe :
« Putain je viens de me branler en pensant à ton cul et tu es là devant moi la chatte à l’air »
« Ne bouge pas je vais gouter ta cyprine »
« Stp ne fais pas cela, cela restera entre nous »
« Ok mais tourne toi que j’admire ton cul pendant un moment »
Je m’exécute pour en finir avec cette situation
« C’est bien, mais lève tes bras le long du mur pour que la nuisette découvre l’ensemble de tes fesses »
« Écarte tes jambes et plaque toi au mur »
Une petite tape de sa part en partant sur mes fesses met fin à mon supplice et je me dirige à mon tour dans un box. J’ai vraiment eu du mal à dormir cette nuit en pensant que j’avais de la chance d’habiter à plus de deux cent km de chez Agnes.
JOUR 2
Petit déjeuner bruyant à souhait, l’excitation des rencontres sportives à venir donne lieu à des commentaires concernant la composition des équipes et des tactiques à mettre en place.
Pour ma part j’essaye d’éviter le regard d’Hervé car je me sens très mal à l’aise mais lui semble bien dans ses basquets. Je me dis que cette idiotie de m’être branlée devant lui hier soir était du passé même si j’ai dû lui laisser un bon souvenir de la vision de mes fesses.
Les compétitions s’enchainent quand tout d’un coup Hervé s’écroule suite à un croche pied d’un adversaire. Il sort du terrain en boitant avec l’aide de Louis le directeur qui me demande de chercher la trousse de secours dans le car pour lui faire un bandage à la cheville. Il reste au bord du terrain pour encourager ses amis quand soudain il me demande sur le ton de la plaisanterie s’il pouvait faire un ou deux selfis de nous deux. N’ayant pas de raison de refuser j’accepte avec plaisir, nous voilà tête contre tête et il en profite pour en faire plusieurs.
Il nous trouve pas mal en photo et que nous formons un beau duo.
« Tu veux voir ? »
« Oui bien sûr, je suis contente si elles te plaisent »
Il me passe son téléphone et oui pas mal ce duo en passant les photos quand tout à coup mon cœur s’emballe ; je suis là les jambes écartées, le cul à l’air et plaquée au mur. Le salaud m’a prise en photo hier soir en me demandant de me mettre face au mur.
« Tu peux regarder les deux autres »
Je suis abasourdie et ne sais que répondre
« T’en fait pas pour le moment nous ne sommes que trois à avoir vu ces photos mais tu feras ce que je te demanderai sinon!!! »
« Laisse-moi, qui sont les deux autres ? »
« Pas de soucis tu as jusqu’à ce soir pour réfléchir quant aux noms des deux autres tu ne le sauras pas, ce qui te permettra d’avoir honte de croiser les regards ne sachant pas lequel a vu ton cul de salope en photo »
Il a raison : je ne peux plus croiser les regards des gars et encore heureux qu’Hervé a dix-huit ans.
Je suis mal à l’aise pour le restant de la journée et je n’ai qu’une hâte c’est de me cacher dans ma chambre. Le soir venu je prétexte une légère migraine pour me retirer. En ouvrant la porte de ma chambre je constate avec stupeur un mot glissé sous ma porte.
« Je te conseille de suivre mes indications à la lettre : fais toi belle ce soir, tu remettras ta petite nuisette comme hier soir c’est-à-dire à poil en dessous. Tu ne fermeras pas à clef, tu laisseras la lumière allumée, tu seras couchée sur le ventre le cul à l’air et tu poseras un préservatif sur le lit. Si par malheur tu oublierais d’obéir je ferai en sorte que les photos soient vues par d’autres et que ta réputation en souffre »
« Dernière chose : tu laisseras l’appareil photo du camp d’ados qui est en ta possession sur le lit et je m’en servirai pour reprendre quelques photos. Si par erreur tu devais les effacer même punition ce qui t’obligeras pendant tout le restant du stage à faire attention de ne le prêter à personne ».
Je suis prise au piège et je vais devoir me soumettre à ce maudit chantage dû à ma naïveté et à ma nature de bonne salope, je ne peux m’en prendre qu’à moi-même. Les minutes et heures passent très lentement et j’entends à l’autre bout du couloir les rires et félicitations des premiers succès sportifs. Les bruits s’estompent petit à petit pour laisser place à un va et vient devant ma porte pour les douches et toilettes.
Enfin le calme, mais qu’annonce-t-il ? Je me déshabille, enfile ma nuisette comme ordonné, j’en frissonne, de quoi je ne sais pas, de peur, d’envie que cela se termine, on ne perçoit plus aucun bruit, je déverrouille ma porte, allume la lumière, pose l’appareil photo et un préservatif sur le lit et me couche sur le ventre.
Le temps passe lentement, je ne sais quoi penser car l’anxiété a laissé place à un autre sentiment, celui que j’aime ressentir en étant offerte par Agnes, je sais ce qui va se passer et honteusement je dirai que mon corps, non mon cul ou ma chatte vont être l’objet de la réalisation d’un fantasme qu’Hervé avait imaginé dans les toilettes en se branlant et que je suis prête.
La porte s’ouvre, je sens une présence, je ne bouge pas en attendant que la porte se referme.
« C’est bien de te voir ainsi offerte et d’avoir obéi ».
Je ne peux pas lui dire que j’en ai envie lorsque j’entends un premier clic de l’appareil photo puis il commence à me malaxer les fesses et ses doigts s’enfoncent dans ma chatte grande ouverte et trempée.
« Mais tu es une grande salope et tu as l’air d’aimer »
« Je vais m’équiper et te défoncer ta chatte en prenant quelques photos que tu prendras soin à ne pas effacer ».
Après m’avoir bien besogné et avoir lâché sa semence dans la capote il se retire de ma chatte en me promettant que demain il s’occupera de mon cul en ayant constaté que j’étais un bon coup.
Je referme la porte derrière lui, me laisse tomber sur le lit tout en prenant l’appareil photo pour constater qu’effectivement il avait pris des clichés de mes fesses.
Je les ai gardées sur mon ordinateur pour éventuellement en faire profiter des hamsters avec mot de passe :(le prétexte pour me retirer dans ma chambre)
La suite si elle est souhaitée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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