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Incapable de satisfaire ma femme

Incapable de satisfaire ma femme



Je passe mon temps à regarder la télévision, à surfer sur Internet pour me régaler de sites pornos. Surtout ceux où l’on peut admirer d’énormes bites de black en train de baiser des blondes. J’ai toujours été fasciné par leurs engins qui écartèlent leurs chattes ou tiennent à peine dans leurs bouches. Et leurs éjaculations semblent si abondantes, à tel point que je me demande souvent si cela n’est pas truqué. Mais dans certaines scènes, cela se passe sans changement de plan, et l’on voit de près de longs jets crémeux jaillir de leurs glands énormes et puissants.
Il faut dire que je ne tiens pas du tout la comparaison avec eux. Mon zizi est plutôt petit, il atteint au mieux les 8 cm de long en érection et le diamètre ne dépasse pas 3,5 cm. Quant à mes éjaculations, elles ne sont pas aussi puissantes, 2 ou trois gouttes sortent de mon méat, et c’est tout. Et quand ça gicle, cela ne va pas bien loin.

Mais il faut que je me présente un peu plus.
Je me prénomme Karim (lailatvx sur le net), je suis marié, ma femme s’appelle Nadia. J’ai 32 ans et elle 25, j’ai le corps plutôt frêle et efféminé.
Autant dire qu’à cause de mon sexe, je ne pense pas être un « bon coup » au lit. Pourtant, avec ma femme, nous nous aimons. Elle m’a souvent dit qu’elle préférait un homme doux, caressant, plutôt qu’un mâle brutal. C’est pour cela qu’elle s’est mariée avec moi. C’est vrai que notre vie sexuelle n’est pas extraordinaire. Nadia est très belle, avec une poitrine magnifique, des hanches bien marquées et une chatte très douce. C’est une vraie chance pour moi d’avoir une femme si attirante, qui fait tourner les regards des hommes partout où nous allons. Je sais que j’ai bien de la chance d’être avec elle.
Cela ne m’empêche pas d’être un masturbateur compulsif, surtout depuis que je suis condamné à rester à la maison, à ne rien faire, trop démoralisé pour chercher un nouveau travail. Hier, je me suis masturbé en me godant 4 fois. Enfin, je devrais plutôt dire 3, car la dernière fois, je ne suis pas arrivé à éjaculer. Je n’arrive plus à penser à rien d’autre qu’au sexe.
Je dois avouer que ces masturbations répétées ont commencé depuis quelques temps déjà à interférer sérieusement avec la sexualité de notre couple. Je m’explique, je suis un éjaculateur précoce. C’est ce que ma femme a toujours dit. A chaque fois, elle se plaint qu’elle n’a pas eu le temps de jouir.
Aussi, au début, ces masturbations n’avaient pas d’autres buts que de me « vider » un peu préalablement pour que le soir, je tienne un peu plus longtemps. Mais voilà, il me fallait bien quelque chose sur lequel fantasmer pour me masturber. C’est pour cela que je suis tombé la première fois sur ces sites montrant des étalons noirs en action. Cela m’a fasciné dés le début et ne cesse pas de me fasciner. Au point d’y revenir plusieurs fois par jour. Et d’avoir sans arrêt ces images de gros zobs noirs, écartelant des chattes brutalement dans ma tête, que je ne pouvais chasser à cause de ma complète oisiveté. Cela m’excitait et me donnait envie de me masturber encore et encore. Malheureusement, le résultat ne s’est pas fait attendre.
Le soir, avec ma femme Nadia, j’ai du mal à bander. Et c’est à peine si mon zizi arrive à prendre un peu de rigidité pour écarter ses lèvres et la pénétrer. Ma femme est de plus en plus déçue et de plus en plus agressive avec moi. Aussi, j’ai décidé de faire quelques efforts envers elle.

Hier au soir, quand elle est rentrée du travail j’ai été très câlin avec elle. Pour lui montrer ma bonne volonté, j’ai dressé la table, et après le repas, j’ai débarrassé et fait la vaisselle pendant qu’elle sirotait un thé, étendue sur le canapé en déshabillé. Elle était très sexy… Je me suis alors approché d’elle et je l’ai embrassée et caressée, lui demandant si nous pouvions faire l’amour. Elle était distante et froide. Finalement, elle a cédé en me disant : « Alors dépêche-toi ! Fais vite ta petite affaire, j’ai envie d’aller me coucher de bonne heure ! »

Ce n’était pas très engageant. J’avais du mal à obtenir une érection. J’avais beau me frotter contre elle, rien n’y faisait. Mon pénis avait certes grossi un peu mais il restait toujours aussi mou. Ma femme s’impatientait :
« Alors, ça vient ? Mon pauvre ami, tu es pitoyable ! Quel Mari ! On peut dire que je suis bien tombée ! Un bon à rien impuissant, voilà ce que tu es devenu ! Tu n’as qu’à t’astiquer ta nouille. Mais je te donnes au plus 3 minutes, pas plus. Après, j’irais me coucher, minable ! »

Ses paroles me blessèrent profondément. C’est vrai qu’elle avait l’habitude d’être dure avec moi, mais jamais à ce point et jamais de manière aussi blessante. Je me sentis profondément humilié. Je me mis donc à m’astiquer à genoux sur le sol, devant elle, fixant ses cuisses ouvertes. J’étais stressé, je devais absolument arriver à bander pour lui prouver que j’étais toujours son mari. Je m’activais sur mon zizi toujours aussi mou.
« Ah… Ah… c’est comique ! Si tu te voyais ! Accélère minable, plus que deux minutes ! »
En disant cela, elle regardait la trotteuse de sa montre qu’elle avait gardée au poignet. « Je parie que tu ne vas pas y arriver. »
De plus en plus stressé, j’accélérais ma cadence. Mais au lien de sentir un frémissement, je sentais au contraire ma bite se détendre. Je commençais à transpirer…
 » Grouille toi, sinon tu iras dormir sur le canapé du salon ! »
Je transpirais de plus en plus… Ma bite était complètement rétrécie et semblait ne plus vouloir se mettre en érection.

« Trois minutes ! C’est fini ! Ouste, dégage ! Tu me dégouttes, minable, bon à rie ! Et dire que tu croyais me donner satisfaction ! Ta saucisse est toujours trop molle, c’est à peine si je la sens ! Et les trois petites gouttes qui en sortent quand tu as fini de t’agiter et de transpirer sur moi, je ne les sens pas plus ! Quand j’étais étudiante, j’avais un amant, un athlète noir avec un sexe monstrueux et des boules énormes aussi qui tenaient juste dans mes deux mains quand je le suçais. Son gland était tellement épais que j’avais du mal à le mettre dans ma bouche. Et il était capable d’éjaculer des litres de sperme chaud et bien gluant ! Il me remplissait le vagin ! Je sentais chacun de ses jets jusqu’au fond de ma matrice ! »

Ce discours de ma belle Nadia eut un effet paradoxal sur moi. Frappé de stupeur, j’arrêtais de m’astiquer la nouille. Le rouge envahit mon visage. Et des larmes envahirent mes yeux. Je la suppliais…
« Pitié, Nadia, arrête de me raconter tout cela, je… j’imagine des scènes avec tout ce que tu me racontes… Pourquoi est-ce que tu es si blessante envers moi ? »

J’étais sur le point d’éclater en sanglot quand je vis Nadia grimacer de dégoût et m’envoyer un coup de pied dans la poitrine qui me fit basculer en arrière sur le sol. Eberlué, je me relevais, les deux pieds sur le tapis, près d’elle qui pointait le doigt vers mon bas ventre en éclatant de rire. Je baissais les yeux dans la direction où pointait son doigt et je découvris avec effroi qu’en quelques secondes, j’étais arrivé à une pleine érection ! Dans un éclair, je compris que son discours avait éveillé en moi des images… celles que j’avais l’habitude de voir sur ces sites pornos « BBC » (pour Big Black Cock) devant lesquels je n’avais pas arrêté de me masturber toute la journée ! J’étais confus, je balbutiais, tentais de me justifier

« Mais c’est toi Nadia, qui est si belle, qui m’a excité ! »
« Menteur ! Pitoyable menteur. En trois minutes, tu n’es pas capable d’avoir la moindre érection en reluquant la chatte de ta femme qui est prête à te faire l’amour, mais dès que je te parle de mon amant noir et de son énorme zob, tu te mets tout de suite à bander ! On dirait que tu es pédé ma parole ! »
« Je t’en supplie Nadia, je suis prêt maintenant… Nous pouvons faire l’amour… »
« Ah non ! Pas question ! Tu me dégouttes ! Il me faut un vrai homme, pas une tapette comme toi ! »
« Pitié Nadia, ne sois pas en colère, je t’en prie, ce n’est pas ce que tu crois… »
« Menteur ! Ta bite parle pour toi. Dégage maintenant ! Et pas question de dormir près de moi. Je ne veux plus sentir ta peau contre moi ! Dégage et vas dormir sur le canapé du salon. Et on en reparlera demain matin, crois-moi ! »

Dépité et à nouveau complètement placide maintenant, je m’installais pour dormir sur le canapé, choqué de tout ce que m’avait dit ma femme, tout cela tournait dans ma tête. Elle allait me quitter c’est sûr. Et j’étais profondément déprimé. Je l’aimais c’est sûr, et j’avais trop besoin d’elle. Sans compter que l’appartement, le salon de coiffure pour dames et la boutique de prêt-à-porter pour femmes lui appartenaient, je n’avais nul endroit où aller, aucun de mes vagues amis ne m’accueillerait, sachant que je n’avais aucune rentrée financière. Je me voyais déjà finir en clochard.

Le lendemain matin, afin de ne pas perdre ma chérie et me retrouver dans la rue, j’ai accepté d’être son mari soumis et cocu volontaire !

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