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KIDNAPPING ET SOUMISSION TOME 8

KIDNAPPING ET SOUMISSION TOME 8



Séjour chez Maître Tumba
Au matin vers 10h00, les deux esclaves étaient prêtes, habillées de leur cape en latex car enfiler leur combinaison leur fut impossible avec la douleur lancinante sur les fesses de Sweet Pussy et les douleurs communes à leurs seins. Elles virent le 4×4 entrer dans le corps de ferme. Maîtresse Marie salua Maître Alexandre lorsqu’il descendit du véhicule, échangèrent quelques banalités puis Maîtresse Marie fit demi-tour sans regarder les deux esclaves et retourna dans un des bâtiments de la ferme. Les deux esclaves sautèrent au cou de leur Maître car la semaine avait été éprouvante et elle voulait montrer leur joie de retrouver leur Maître.
« Pourquoi n’êtes-vous pas habillées de vos combinaisons latex ? »
Cet excès d’amour surpris Maître Alexandre qui leur demandait le pourquoi de cette étreinte. Les deux esclaves lui racontèrent alors les épreuves qu’elles avaient subies.
Maître Alexandre les fit monter dans le 4×4 et leur demanda des explications. Il en resta bouche bée tellement certaines épreuves lui paraissaient inhumaines. Mais il sourit fortement lorsque Sweet Pussy lui raconta l’épreuve des étalons et de ce qu’elle subit pour sa désobéissance. Par contre il fut inquiet lorsque N°1 lui narra la suspension par les seins. Il demanda à ses deux esclaves de lui montrer leurs seins pour voir si les prothèses de leur poitrine n’avaient subi aucun dommage. Les deux esclaves ouvrirent leur cape. Leurs seins étaient couverts de marques allant du rouge au violet. La peau autour de leurs piercings était très étirée et des croutes de sang s’étaient formées. Elles avaient tellement encore mal aux seins qu’elles n’avaient aucune idée sur ce sujet. Elle le supplia de ne plus les amener chez cette Maîtresse.
Maître Alexandre demanda à son chauffeur d’arrêter le véhicule. Il sortit et téléphona avec son portable.
Les deux esclaves comprirent qu’il avait appelé Maîtresse Marie au ton de sa voix et surtout lorsqu’il aborda le traitement de leurs seins. Ils entendirent leur Maître parler de remboursement de leur opération si tel était le cas. Même si pour les deux esclaves, leur Maître était prévoyant par ses paroles, elles comprirent qu’elles pourraient subir une autre opération des seins. Maître Alexandre cria haut et fort qu’il parlerait de leur comportement avec ses esclaves lors de leurs sauteries et que plus un Maître ne leur prêterait une soumise et les considérerait comme paria.
« Vous n’irez plus jamais chez cette Maîtresse. »
« Merci Maître. » dirent les deux esclaves en souriant.
« Pour me faire pardonner, je vous emmène chez Maître Tumba pour une semaine de repos. Mais d’abord, on va à la clinique voir le Professeur Van Ribien. Il examinera vos seins. »
Le 4×4 prit la direction de Genk et stationna devant la clinique. Maître Alexandre et ses deux esclaves descendirent du véhicule et se dirigèrent vers l’entrée de la clinique. Lorsque la réceptionniste aperçut Maître Alexandre et les deux esclaves, elle prit le combiné du téléphone et appela le Professeur. Celui-ci alla à leur rencontre et les accompagna dans son bureau. Maître Alexandre prit la parole et ouvrit les pans de la cape de N°1 pour lui montrer ses seins.
« Elles viennent de subir une séance un peu hard et elles ont eu des traitements sévères sur les seins. Vous pouvez me dire s’il n’y a des dommages Professeur ? »
« Que s’est-il passé Maître Alexandre ? »
« Maîtresse Marie les a pendu par les seins et les a cravachée. »
« Oui je vois, ils sont tuméfiés et la peau est légèrement distendues aux piercings. Il faudrait une mammographie pour s’assurer qu’il n’y a aucun dommage et surtout pas de prothèse éclatée. » En disant cela, le Professeur tâtait les seins de N°1 qui grimaçait légèrement au contact de la main du Professeur.
« Non pas la peine, Professeur. S’il faut opérer, allez-y.»
« Mais il ne » objecta Sweet Pussy qui fut coupée par Maître Alexandre en levant le doigt dans sa direction et lui jetant un regard désapprobateur.
« S’il faut changer les prothèses, changez-les et mettez-en des plus grosses encore ! »
Sweet Pussy fit une mine renfrognée en entendant cela. Elle allait, tout comme N°1, repasser sur le billard.
«Je m’en occupe Maître Alexandre. Le temps de commander les prothèses, je pourrai opérer la semaine prochaine, disons vendredi prochain à 06h00 à la clinique. »
« Parfait Professeur. Si vous voulez vous servir d’elles avant, je vous laisse tout loisir. »
« Je vous remercie Maître Alexandre mais je resterai fidèle à mon épouse, je vais simplement prendre les mesures pour les prothèses ! »
« Comme vous voulez Professeur, c’était de bon cœur ! »
Maître Alexandre ôta les deux capes des esclaves qui se retrouvèrent nues devant le Professeur. Celui-ci prit des photos et des mesures pour la contenance des prothèses.
« Quel profil de prothèse voulez-vous, Maître Alexandre, des anatomiques, des moyens ou des profils hauts ? »
« Des hauts, mais je ne veux plus des prothèses comme celles-là. » Dit Maître Alexandre en montrant les seins de Sweet Pussy qui avait des prothèses genre « ballon de rugby ». C’est original au début mais disgracieux. »
« Ok, Maître Alexandre. Ce sera des profils hauts. »
« Je vous recontacte pour vous confirmer le rendez-vous de vendredi prochain. Au revoir. »
Maître Alexandre serra la main du Professeur et quitta le bureau suivi des deux esclaves.
« Maître, croyez-vous utile l’opération. » dit de nouveau Sweet Pussy.
« Je ne veux pas prendre de risque ! Je pense à votre santé et tu me le reproches. Ne me mets pas en rogne Sweet Pussy ! » Répondit Maître Alexandre.
Après 1 heure de route, le 4×4 pénétra dans l’allée menant au château de Maître Tumba. Une soumise vint leur ouvrir et les dirigea vers le petit salon.
Maître Tumba était assis dans un fauteuil. Il regardait une esclave vêtue d’une combinaison de latex transparente, seins apparents piercés. L’esclave, mains sur la nuque, était en train de faire pénétrer dans son cul et sa chatte des plugs de bon diamètre. La pénétration devait être pénible car elle fermait les yeux et serrait ses lèvres pour faire passer les engins dans ses orifices.
« Bienvenue mes chers amis. » Fit Maître Tumba en se levant. J’étais en séance d’entraînement. C’est Lola qui s’entraîne au plug.
« C’est Lola ! » Dit Sweet Pussy avec surprise.
« Oui c’est Lola. Elle est en totale soumission désormais. Son mari était devenu soupçonneux lorsqu’elle partait une semaine pour sa soumission. Il y a deux mois, le mari l’a suivi pensant qu’elle allait voir son amie en difficulté comme elle lui disait. Et il est arrivé ici. C’était sa journée pute, et des hommes se présentaient et elle offrait ses charmes. Sophie a ouvert à son mari pensant que c’était l’un des hommes qui avaient payé pour se la taper. Il est entré dans le salon alors qu’elle suçait un homme et qu’un autre l’enculait. Il s’est transformé en furie mais Momo l’a vite immobilisé et l’a jeté dehors. Lorsqu’elle est revenue chez elle, sa valise était dehors. Il lui a interdit de voir ses enfants et lui a coupé les vivres et toute sa famille l’a rejetée. Ne sachant pas où aller, elle s’est présentée ici et m’a demandé si elle pouvait rester. J’ai accepté mais à condition qu’elle me soit soumise totalement et qu’elle accepte tous mes ordres. Elle a accepté. Et comme vous êtes là Maître Alexandre avec vos deux esclaves, vous allez pouvoir assister au rasage de son crâne et à son épilation complète ! »
Lorsque Lola entendit Maître Tumba parler de son rasage, elle s’arrêta net de travailler ses orifices.
« Maître, non je ne veux pas avoir la tête rasée !!! »
« Tais-toi ! Je t’ai accueilli chez moi sous certaines conditions, alors tu obéis ou je te jette dehors comme tu es là ! »
« Non Maître, je ne sais pas où aller. »
« Alors tu m’obéis ! »
Maître Alexandre, Sweet Pussy et N°1 suivirent Maître Tumba qui conduisait Lola vers sa « salle d’opération » comme il l’avait baptisée. Il plaça Lola sur un fauteuil de coiffeur. Il prit une tondeuse et la passa sur la tête de Lola qui pleurait à chaudes larmes quand elle voyait dans le miroir ses longues mèches blondes tomber et voir son crâne blanc apparaître sous le passage de la tondeuse. Maître Tumba prit un gant de toilette humide et mouilla le crâne de Lola. Il prit la bombe de mousse à raser et appuya sur celle-ci. La mousse fit un mont sur le sommet de la tête de Lola.
« Tu ressembles à une Dame Blanche comme ça. » dit-il en ricanant. Cette remarque fit glousser les deux esclaves et éclater de rire Maître Alexandre. Maître Tumba étala la mousse sur le crâne de Lola et passa méticuleusement le rasoir sur toute sa tête. Puis il passa une serviette humide pour ôter le restant de mousse et s’il ne restait pas un cheveu.
« C’est parfait ! »
Lola pleurait toujours autant. Maître Tumba lui prit la tête et passa le rasoir sur ses sourcils.
« Allonge-toi sur cette table maintenant, on va passer au reste du corps. »
Lola se leva et s’allongea sur la table sur le dos. Maître Tumba prit alors un laser qu’il dirigea vers le pubis naissant. Lola piaillait sous la petite douleur que créait le laser lorsqu’il détruisait un poil. Puis le laser passa sur les sourcils, les aisselles, l’anus.
« Ce sera tout pour aujourd’hui. On fera les jambes et le reste de la peau dans quelques jours. La semaine prochaine, tu pars avec Sweet Pussy et N°1 pour ton opération des seins. »
« Oui Maître. »
« Oui Maître Tumba, c’est vendredi prochain leur rendez-vous, à confirmer suivant l’arrivée des prothèses. Connaissez-vous un studio de piercing car je souhaiterais tenter une expérience avec mes deux esclaves. »
« Oui, Il y en a un à quelques kilomètres, pourquoi ? »
« Comme leurs piercings ont été stretchés naturellement avec ce qu’elles ont subi, j’aurai voulu passer un flesh tunnel au travers de leurs seins et ensuite repasser les barres pour avoir plus de tenue au poids. »
« Pas mal comme idée, je n’y avais jamais pensé ! »
« Mais il faudra sans doute commander les flesh tunnel car ce diamètre n’est pas très courant et leur longueur aussi. Je m’en occupe Maitre Alexandre, c’est du 30 mm intérieur pour leur piercing actuel ? »
« Oui Maître Tumba. »
Maître Tumba contacta le studio de piercing qui commanda les flesh tunnel de 33 mm de diamètre extérieur. Sweet Pussy et N°1 se rendirent au studio pour le stretch de leurs seins. C’est N°1 qui passa en premier dans les mains du pierceur. Même avec beaucoup de doigter, N°1 poussa un gémissement en serrant les dents pendant que l’outil de stretch lui dilatait les chairs lors de son passage. L’un après l’autre, les seins de N°1 furent ornés de flesh tunnel. Le pierceur vissa les embouts puis repassa les barbels dans les flesh tunnel et vissa les boules à chaque bout.
Sweet Pussy s’asseya timidement sur le fauteuil de travail. Elle attendit non sans crainte que le pierceur fasse son office. Deux longs gémissements se firent entendre pendant le stretching de ses seins. Des gouttes de sueur perlèrent sur son front. Sa bouche souffla fortement l’air alors qu’elle serrait les dents pour endurer la souffrance des stretchings.
Le vendredi suivant, Sweet Pussy, N°1 et Lola furent conduites à la clinique de Genk.
Sweet Pussy fut la première à passer sur le billard. Le professeur implanta des prothèses d’une contenance de 2000 cc chacune. Sweet Pussy allait avoir un 140 bonnet QQQ. Lola passa ensuite et reçut des prothèses de 800 cc, pour avoir un 110 bonnet G. N°1, quant à elle, reçu les mêmes prothèses que Sweet Pussy. Les trois esclaves sortirent de la clinique le soir même et passèrent leur convalescence dans la même chambre chez Maître Tumba.
Une esclave de Maître Tumba fut désignée pour être aux petits soins pour les deux « malades ».
Au bout de trois semaines, Maître Alexandre vint chercher ses deux esclaves.
Soirée spéciale au bar à champagne
« J’espère que vous êtes en forme car j’ai une mission pour vous deux. Un club privé a fait appel à nous pour une petite sauterie demandée par une entreprise. Elle veut conclure un gros contrat et elle veut pour cela que son futur client soit gâté. Nous partons pour Kuurne au New Haven ce soir. Préparez-vous. Top, mini-jupe et string latex de rigueur avec bottes compensées. Si vous travaillez bien, je vous emmène en vacances trois semaines avec Maîtresse Aurore dans notre villa sous le soleil du Vaucluse. »
« Oui Maître. »
Les deux esclaves se préparèrent. Elles mirent chacune un top latex de couleur flashy, jaune pour N°1 et vert pour Sweet Pussy avec une mini-jupe à volant qui ne cachait pas grand-chose de leur intimité et des bottes gogo-girl. Leur poitrine généreuse bombait le top et les rendait affriolantes. Maître Alexandre les félicita pour la tenue. Elles montèrent dans le 4×4 et partirent pour Kuurne. 2 heures plus tard, vers 20h00, le véhicule s’arrêta sur le parking du bar. Maître Alexandre descendit en premier et ouvrit la porte à ses deux esclaves. Ils se dirigèrent tous les trois vers la porte réservée au personnel. La fête battait déjà son plein. Maître Alexandre serra la main du propriétaire du club et montra les deux esclaves. Le proprio leva le pouce pour lui signifier que les deux filles lui convenaient. Maître Alexandre s’éclipsa et sortit.
« Vous allez dans la salle là-bas voir mes clients et vous faîtes tout ce qu’ils demandent. Ils ont demandé deux filles pour deux heures. »
« Oui Monsieur. » firent les deux esclaves en regardant.
Elles se dirigèrent vers les clients quand Sweet Pussy s’arrêta net lorsqu’elle reconnut l’homme assis dans le canapé rouge et la femme à ses côtés en train de rire aux éclats tout en buvant son champagne.
« Non je ne peux pas aller dans la salle. » dit Sweet Pussy.
« Mais qu’est ce qui se passe Sweet Pussy, tu as vu un fantôme ? »
« Oui c’est cela, l’homme assis là-bas est mon ancien Directeur d’usine et la femme à ses côtés mon ancienne Chef de service. »
« Mais ils ne vont pas te reconnaître. Tu as changé depuis ! »
« Non je ne peux pas ! »
Le proprio s’avança.
« Qu’est ce qui se passe ! »
« Rien Monsieur, on réajustait nos vêtements. » Dit N°1 en prenant Sweet Pussy par le bras et l’accompagnant vers la salle.
« Ahhh, voilà les filles ! » Dit l’ancien Directeur de Sweet Pussy.
« Oui entrez les filles, ne restez pas là, venez nous régaler de votre présence. » dit un homme bedonnant habillé d’un costume noir avec un gros accent portugais.
« Oui, on va bien s’amuser. » renchérit son ancienne Chef de service.
Sweet Pussy et N°1 entrèrent dans la salle. L’éclairage de la salle était particulièrement soutenu. Les canapés étaient en cuir rouge sang. Il y avait une large table basse avec plusieurs bouteilles de champagne vide. Deux barres en inox étaient fixées au plafond. Une autre bouteille était au frais dans un seau à champagne. Les deux hommes et la femme étaient côte à côte. La femme portait une jupe en cuir noir et un chemisier transparent blanc. Le directeur était en costume et cravate.
« Allez, faîtes votre boulot les filles, on a payé pour ça. »
Sweet Pussy et N°1 montèrent sur la table et, agrippant une barre chacune, dansèrent au rythme de la musique techno qui sortait des enceintes du club. Elles se déhanchaient lascivement tout en pivotant autour de la barre. Elles bombaient leur poitrine et pliaient les jambes. Leurs fesses étaient dévoilées tant leur jupe était courte. Un string latex se laissait voir de temps à autre. Les deux hommes commençaient à bander et portèrent la main à leur pantalon pour remettre leur sexe en bonne position. La femme se leva et prit une main des deux danseuses pour les amener devant les deux hommes. Elle les força à se mettre à genoux. Sweet Pussy se retrouva devant son ancien directeur. N°1 faisait face à l’homme bedonnant. Sweet Pussy regardait droit dans les yeux son client et ressentait une gêne devant son ancien directeur. Une boule se formait dans sa gorge.
« Allez les filles, ne vous faîtes pas prier et sucer leur la bite ! » Dit la femme.
« Doucement Madeleine, il ne faut pas brûler les étapes. »
« Mais David, ce ne sont que des putes ! »
« Peut-être mais il ne faut pas être trop brutal, il faut aussi montrer de la douceur pour mettre en confiance. »
Sweet Pussy dégrafa la braguette de Xavier Duflot, son ancien directeur. Elle prit dans sa main le sexe bandé comme un arc et commença à le sucer. Sweet Pussy sentit aussitôt qu’une main se faufilait dans son entrejambe. Madeleine lui caressait le sexe pendant qu’elle montait et descendait sur la tige de chair. Madeleine se positionna entre les deux filles et commença à pénétrer le sexe des deux filles. D’abord par un doigt puis deux, puis trois. Le sexe des deux putes ne tarda pas à s’humidifier, ce qui excita encore plus Madeleine qui ramona encore plus vite les deux chattes. Sweet Pussy leva la tête lorsqu’elle jouit abondamment sous la main perverse de Madeleine. Elle éclaboussa la manche de son chemisier.
« Regardez-moi cette salope qui gicle comme une vache qui pisse ! Elle a mouillé mon chemisier. »
« C’est ce que je disais à l’instant, de la douceur pour éviter les accidents ! » Les deux hommes rirent aux éclats de cette remarque.
Madeleine extirpa ses mains des deux sexes et sortit de la salle. Elle revint avec deux longs gants roses, genre gants ménager MAPA, qu’elle enfila prestement. Elle prit un tube de gel anal qu’elle pressa dans sa main droite et enduisit les gants de ce gel.
Les deux esclaves suçaient toujours les deux hommes qui les regardaient avec envie et faisaient tinter leur coupe de champagne en souriant de la situation.
« A notre contrat ! Une affaire rondement menée pour le plaisir de chacun. »
Madeleine se positionna de nouveau derrière les deux filles et pointa ses mains vers les deux anus. Sweet Pussy sentit qu’on allait lui pénétrer le cul lorsque Madeleine lui toucha son trou. Elle ferma les yeux tout en suçant son client lorsque Madeleine commença à lui forcer l’anus. N°1 sentit aussi qu’on l’enculait. Madeleine mit en pointe ses doigts et força doucement l’entrée des deux culs. L’ancien Directeur de Sweet Pussy lui leva la tête en lui tirant sa tresse.
« Je veux voir ton visage pendant qu’elle te défonce le cul. »
Sweet Pussy garda la bouche ouverte et un filet de bave reliait ses lèvres à la bite de son client. Elle ferma les yeux pendant que Madeleine poussait sa main dans son fondement. Les gants ménagers étant légèrement rugueux, Sweet Pussy et N°1 sentirent la pénétration, douloureuse par moment. Mais Madeleine réussit à enfoncer complètement ses mains dans les culs.
« Eh ben, ce sont de vrais garages à bites, leurs culs. J’y ai mis la main entière dans chaque. »
Madeleine fermait ses mains ou pliait ses doigts dans les intestins, ce qui faisait couiner les deux esclaves.
« Lèche-moi les couilles et remonte sur ma hampe, petite pute. » Dit le Directeur à Sweet Pussy. Elle cessa de sucer la bite pour lécher les couilles de son client. Sa langue remontait sur la hampe de la tige de chair tandis qu’elle branlait doucement le sexe de sa main droite.
« Oui, c’est bon ça, continue comme cela. Fais-moi jouir comme ça et tu lécheras mon sperme avec ta langue. »
« Oui Monsieur. » Dit Sweet Pussy en le regardant de ses yeux maquillés outre mesure.
L’homme ne tarda pas à jouir dans un râle contenu. La semence gicla délicatement du méat et coula le long du sexe. Sweet Pussy remonta la tige de chair avec sa langue et lapa la sève comme une chatte le ferait pour du lait. Sweet Pussy regarda longuement dans les yeux cet homme qui était, il y a plusieurs mois de cela, son patron alors que Madeleine, son ancienne chef de service lui ramonait toujours le cul. Elle lui suçait la bite ! N°1 sentit que le gros portugais allait jouir car la bite avait des spasmes. Elle s’écarta pour que sa langue soit à quelques centimètres de sa bite et branlait l’homme. Il jouit et gicla dans la bouche de N°1 qui reçut une bonne salve de sperme.
« Embrassez-vous, les deux salopes et mélangez le sperme des chefs ! » Dit Madeleine aux deux putes.
Les deux esclaves s’embrassèrent et avalèrent le sperme alors qu’elles se faisaient toujours défoncer le cul par Madeleine.
« Appelle-moi César et Gaudio qu’ils profitent de ces culs de blanche. »
Madeleine sortit ses mains des culs. Les deux esclaves se crispèrent dans des cris étouffés. Madeleine alla chercher les deux hommes tout en enlevant ses gants et en les jetant à terre. Les deux hommes entrèrent.
« César, Gaudio, je vous invite à participer à notre petite sauterie. Enculez ces deux putes. »
« Oui Patron. »
Les deux hommes se déshabillèrent. Leurs slips étaient déjà tendus par des sexes volumineux. Ils se placèrent derrière les deux esclaves. Les deux hommes sortirent leur membre et enculèrent les deux culs de blanche d’une seule traite. Deux cris se firent entendre dans l’alcôve. Les deux brésiliens ramonèrent sans ménagement N°1 et Sweet Pussy et jouirent dans leurs culs.
Les deux brésiliens se retirèrent aussi violemment qu’ils avaient pénétré les culs des deux esclaves et quittèrent la pièce sans un regard pour les deux femmes. Madeleine, le gros portugais et M. Duflot quittèrent aussi l’alcôve et laissèrent en plan leurs deux putes de la soirée au beau milieu de la petite salle, nues et pantelantes. Le patron de la boîte arriva quelques minutes après et remercia les deux femmes pour leur prestation car il avait reçu les félicitations du client. Il demanda aux deux esclaves de nettoyer l’alcôve car des clients arrivaient et devaient trouver la salle propre. Elles s’exécutèrent et desservirent les plateaux remplis de verre à moitié vide, Sweet Pussy ramassa la paire de gants que Madeleine avait utilisé pour ramoner leurs culs. Elles ramassèrent leurs vêtements et quittèrent la salle pour ramener les plateaux. Le 4×4 les attendait à la sortie de la boîte de nuit, Maître Alexandre était au téléphone devant le véhicule. Il raccrocha lorsque Sweet Pussy et N°1 se présentèrent à leur Maître.
« Jolie prestation ! Le client est aux anges et il est prêt à me faire un contrat sur l’année. Pour vous remercier de cette prestation, je vous emmène en vacances avec Maîtresse Aurore dans notre villa à Grasses pendant trois semaines. »
N°1 applaudit des deux mains lorsqu’elle entendit cela.
« Attention, vacances ne veut pas dire fainéantise ! Il faut que vous gardiez la forme, donc entraînement quotidien. »
Vacances sexuelles à Grasse
Elles montèrent dans le 4×4, Maître Alexandre attacha leur collier et le véhicule partit en direction du château pour préparer le départ.
Les deux esclaves préparèrent leur valise, elle ne contenait que des vêtements latex et une trousse de maquillage.
Elles mirent leur combinaison latex et leurs bottes, puis montèrent dans le 4×4. Avec la chaleur étouffante de la journée, le véhicule devint vite une fournaise et les deux esclaves étaient déjà toute trempées dans leur combinaison au bout de 15 minutes. Maîtresse Aurore apparut habillée d’une jupe et d’un boléro noir en latex. Elle ouvrit la porte arrière.
« Ce n’est pas parce que vous êtes en vacances que vous ne serez pas attachées. Et j’espère que vous avez vidé vos vessies car on ne s’arrêtera pas. Vous baignerez dans votre pisse comme des petites filles.» Dit-elle d’une voie sévère à l’adresse de Sweet Pussy et de n°1.
Maître Alexandre monta dans le véhicule côté chauffeur, une fois n’est pas coutume.
« Prête ? Allez, c’est parti pour 3 semaines de farniente ! »
Maîtresse Aurore se pencha vers Maître Alexandre et ils s’embrassèrent longuement. Puis le 4×4 démarra. Vers Lyon, Sweet Pussy ressentit l’envie d’uriner. Elle commença à serrer ses jambes pour oublier cette envie pressante. Mais comme elle baignait dans sa sueur, l’envie ne s’estompa guère et le fait de serrer les jambes l’un contre l’autre faisait crisser le latex.
« Maîtresse Aurore, j’ai envie de pisser, s’il vous plaît. »
« Il ne me plaît pas d’arrêter. Retiens-toi ou gare à tes fesses ! »
Sweet Pussy serrait les cuisses encore plus fort, serrait les dents et crispait son visage pour oublier sa terrible envie.
« Maîtresse, pitié, peut-on s’arrêter s’il vous plaît! »
Maîtresse Aurore se retourna et lança un regard d’une rare méchanceté. Sweet Pussy baissa immédiatement les yeux.
« Ok, on s’arrête pour que « Madame » puisse pisser. Tu pisses d’abord, ensuite tu suces Maître Alexandre et il t’enculera dans les chiottes. »
« En voilà une bonne idée ! » dit Maître Alexandre tout sourire.
Le véhicule passa devant le panneau « Aire de Sénas 2000 m ».
« Tiens, il y a une aire à 2 kilomètres. On s’arrête. »
Le véhicule prit la bretelle d’entrée et s’arrêta sur le parking Poids Lourds à une dizaine de mètres du sanitaire. Maître Alexandre coupa le contact. Maîtresse Aurore détacha sa ceinture et descendit du véhicule pour détacher Sweet Pussy.
« Allez, va pisser. »
« Merci Maîtresse. »
Maître Alexandre sortit du 4×4 et se dirigea vers le sanitaire. Un routier qui était en train de fumer une cigarette près de son camion vit Sweet Pussy traverser la chaussée et la siffla. Elle alla dans le sanitaire côté femme et ouvrit la fermeture de sa combinaison pour pisser. Elle manifesta son soulagement par un long souffle et ferma les yeux de plaisir lorsque la miction commença.
Elle prit quelques feuilles de papier et se nettoya la chatte. Elle referma sa combinaison et ouvrit la porte de la stalle. Lorsqu’elle voulut sortir Maître Alexandre se tenait devant la porte et la repoussa à l’intérieur. Il ferma la porte derrière lui.
« Allez suce salope ! » cria assez fort Maître Alexandre.
Sweet Pussy s’agenouilla et ouvrit le pantalon de son Maître pour en sortir un sexe à demi dressé. Sweet Pussy emboucha la bite du Maître et suça celle-ci. Maître Alexandre gémissait de plaisir.
« Tu suces toujours aussi bien Sweet Pussy. T’es vraiment une bonne petite pute. »
Sweet Pussy regardait Maître Alexandre droit dans les yeux tout en glissant ses lèvres sur la tige de chair.
« Allez, mets-toi à quatre pattes que je t’encule comme une chienne. »
Sweet Pussy se releva et ouvrit le zip de sa combinaison. Elle se positionna en mettant ses genoux sur la cuvette des toilettes et en prenant appui sur la console en béton et Maître Alexandre la pénétra d’un coup. Sweet Pussy poussa un cri bestial lors de l’intromission. Maître Alexandre limait son esclave aussi vite qu’il le pouvait. La tresse de Sweet Pussy se balançait sous le rythme des coups de boutoir. Maître Alexandre gicla dans le cul de son esclave.
« Nettoie ma bite pour que je ne salisse pas mon pantalon! »
Sweet Pussy s’exécuta et nettoya méticuleusement le sexe de son Maître.
Maître Alexandre se rajusta et sortit sans même attendre que Sweet Pussy soit prête. Lorsqu’il ouvrit la porte des toilettes, il fut surpris par un routier, assez rondouillard, qui se trouvait devant la porte en train de fumer une cigarette. Le routier lui sourit lorsque leurs regards se croisèrent.
« Si tu veux te taper une chienne gratis, profites-en, elle ne s’est pas encore resapée. »
« Ok, si c’est gratis. »
Maître Alexandre se tourna vers Sweet Pussy :
« Tu vas le sucer et tu fais ce qu’il te dit ! »
Sweet Pussy en resta bouche bée mais dit :
« Oui Maître. »
Le routier pénétra dans les chiottes. Lorsqu’il referma la porte, Maître Alexandre entendit sa voix :
« Tu vas me sucer la queue d’abord espèce de salope. Et je prendrai tes deux autres trous à bite après. »
Sweet Pussy suça le sexe que le routier lui présenta. La bite était fort odorante et Sweet Pussy eut du mal à sucer ce sexe. Après quelques allées et venues, le routier lui prit les hanches et la souleva littéralement du sol carrelé pour la mettre en position sur le lavabo. Il pénétra sa chatte humide et la bite du routier cogna au fond de sa grotte, ce qui lui extirpa des gémissements de la bouche. Le routier changea d’orifice et pointa son sexe contre l’anus de Sweet Pussy. Elle ferma les yeux attendant que la tige de chair lui écarte les sphincters. La bite dilata son anus et le cul de Sweet Pussy fut comblé. Elle gémissait en mesure des coups de bite du routier. Il sortit son sexe du cul de la soumise et prit sa tresse pour la faire pivoter. Elle cria pour manifester sa douleur. Lorsque son visage fut à hauteur du sexe du routier, celui-ci desserra son étreinte manuelle et la bite gicla ses coulées de sperme sur le visage de l’esclave.
Le routier émit des cris de jouissance pendant que son sexe giclait sur l’esclave. L’homme rengaina sa bite et s’en alla sans un regard pour Sweet Pussy. Maître Alexandre entra :
« Allez debout, on se casse ! Pas la peine de te nettoyer ! »
Maître Alexandre et Sweet Pussy sortirent du sanitaire. Sweet Pussy eut juste le temps de refermer le zip de sa combinaison. Le sperme du routier coulait lentement sur ses joues. Lorsque Sweet Pussy entra dans le 4×4, Maîtresse Aurore et N°1 virent le visage de Sweet Pussy et rirent aux éclats.
« La prochaine fois tu te retiendras, comme cela tu n’auras pas d’ennui ! »
Ils reprirent la route et deux heures plus tard, Maître Alexandre, Maîtresse Aurore, Sweet Pussy, N°1 arrivèrent à la villa bâtit sur les hauteurs de Grasses, chemin de la corniche. Maître Alexandre appuya sur une télécommande et le portail en fer forgé s’ouvrit lentement. Le véhicule pénétra dans la propriété par le chemin d’accès en pente assez raide. Après une petite centaine de mètre, la villa apparut, un beau mas provençal perché sur une petite colline à l’abri des regards car entouré de garrigue et de pins.
« Voilà, nous y sommes ! »
Maîtresse Aurore détacha ses deux esclaves.
« Prenez les valises et mettez tout dans le hall. »
Les deux esclaves obtempérèrent et amenèrent les valises à l’entrée précédées par Maîtresse Aurore qui leur ouvrit la porte.
« Tout est prêt, Grégoire ? » Demanda Maîtresse Aurore.
« Oui Maîtresse, tout est prêt. Vous avez des provisions pour la semaine, les chambres sont préparées et je viens de mettre les transats. »
« C’est parfait. Toujours aussi efficace Grégoire. »
« Merci Maîtresse Aurore. »
« N°1 et Sweet Pussy, récompensez Grégoire l’une par une pipe et l’autre en se faisant enculer. »
« Oui Maîtresse. »
A peine, avaient-elle obtempéré que les deux esclaves avaient déjà bousculé Grégoire pour le coller au mur du salon. N°1 fit glisser sa braguette et lui ouvrit la ceinture. Sweet Pussy lui baissa le pantalon et le caleçon pour découvrir un sexe flasque. Les deux esclaves léchèrent avidement la tige de chair qui grossit sous le travail des deux langues. Grégoire se laissa faire un moment mais n’y tenant plus, il prit Sweet Pussy par les épaules et la bascula sur le divan en cuir du salon.
« Aujourd’hui, c’est toi que j’enculerai ! N°1, tu vas me lécher les couilles pendant que j’encule cette pouf. »
Sweet Pussy s’offusqua de s’entendre traiter de pouf par une moue désapprobatrice mais Grégoire lui plaqua la tête dans le cuir du canapé et enfonça sa queue jusqu’à la garde sans ménagement. Sweet Pussy poussa un cri étouffé par le cuir du divan. N°1, sous Grégoire, lécha ses couilles et en caressant sauvagement le clitoris de Sweet Pussy. Grégoire limait Sweet Pussy sans s’occuper du plaisir de l’esclave que Maîtresse Aurore venait de lui donner momentanément. C’est dans un râle bestial qu’il jouit dans le cul de Sweet Pussy en gardant bien sa queue enfoncée jusqu’à la garde dans le fondement de l’esclave.
Il se retira doucement et N°1 lécha le sexe et le sperme qui perlait de l’anus pour ne pas gâcher un si bon breuvage.
« Les deux esclaves, à la piscine, surtout toi Sweet Pussy, pour nettoyer le sperme que tu as encore sur le visage. » dit Maîtresse Aurore, cassant l’ambiance qu’elle venait de créer quelques minutes plus tôt.
« Merci Maîtresse Aurore. » dit Grégoire.
Il ne fallut pas leur dire deux fois car les deux esclaves se déshabillèrent aussi vite qu’elle le pouvait.
« La dernière dans la piscine est une poule mouillée. » dit N°1 alors qu’elle retirait sa combinaison.
N°1 fut la première à se retrouver nue et courut pour plonger dans la piscine en faisant une bombe comme le ferait une fille de 7 ans. Sweet Pussy la suivit et sauta dans l’eau en se pinçant, non pas le nez car les anneaux lui aurait fait mal, mais en se bouchant les narines. Sa tresse s’éleva dans l’air lors de son saut. Avant même qu’elle ne reprenne son souffle, N°1 lui jeta de l’eau et elles batifolèrent dans la piscine comme des petites filles. N°1 prit la balle qui flottait au gré des vagues et la lança vers Sweet Pussy. Elles jouèrent au volley.
Maîtresse Aurore et Maître Alexandre vinrent rejoindre les deux esclaves. Maîtresse Aurore portait un long déshabillé de lin blanc transparent avec des mules à semelles compensées. Elle tenait un sac à la main droite. Maître Alexandre, lui, était nu. Ils s’installèrent tous deux dans les transats. Maîtresse Aurore prit un livre dans son sac et de la crème solaire en pulvérisateur.
« N°1 ? »
« Oui Maîtresse. »
« Viens me mettre de l’huile solaire sur le corps, ensuite tu me feras la lecture. »
« Oui Maîtresse. »
N°1 nagea jusqu’au pédiluve et sortit de l’eau. N°1 prit le flacon que lui tendait Maîtresse Aurore. Elle le secoua quelques instants puis appliqua l’huile solaire par pulvérisation sur le corps de sa Maîtresse. Elle étala l’huile délicatement sur la peau.
Après s’être essuyée les mains, elle prit le livre posé sur la table basse. Le sujet du livre n’en était que plus explicite de par sa couverture : c’était un dessin qui représentait une femme nue attachée à un poteau, bras tendus en l’air, un homme tenait un fouet et cinglait la suppliciée car ses fesses portaient déjà des marques rouges. Le titre du livre était « Sévères punitions pour Justine ».
N°1 ouvrit le livre à l’endroit du marque-page et commença à lire. Justine se trouvait devant son Maître qui lui demandait de se déshabiller lentement. Lorsque N°1 commença à narrer une scène dans laquelle Justine devait se masturber sous les ordres de son Maître, Maîtresse Aurore stoppa N°1.
« Sweet Pussy, viens ici. »
« Oui Maîtresse. »
Sweet Pussy sortit de l’eau en s’essuyant les cheveux par réflexe mais elle ne sentit que la peau de son crâne.
« En position d’inspection ! »
Sweet Pussy s’agenouilla sur les opus ocre et mit ses mains sur la nuque.
« Tu feras exactement comme ce que te racontera N°1 dans le livre. Et je veux de l’entrain ! Comme si tu me transportais dans l’histoire, compris ! »
« Oui Maîtresse. » Dit Sweet Pussy.
N°1 recommença à lire.
« Justine s’allongea sur le sol de la pièce comme demandé par son Maitre. Elle écarta les lèvres de son sexe et commença à se caresser le clitoris. »
Sweet Pussy écarta les lèvres de sa chatte et fit suivant ce que racontait N°1. Elle commença à se caresser le clitoris et à faire tinter ses anneaux. Elle ferma les yeux et ne tarda pas à gicler comme une fontaine sur les pierres chauffées par le soleil de Provence. N°1 lisait toujours le roman et l’esclave reçut un sex-toy pour agrémenter le plaisir de son Maître. Maîtresse Aurore sortit du sac un sex-toy et le lança à Sweet Pussy.
« Att**** ton jouet et chauffe-toi la chatte ! »
Sweet Pussy prit le sex-toy, le fit vibrer et le positionna à l’entrée de sa grotte secrète pour le lubrifier. Puis elle l’enfonça d’un coup pour qu’il touche le col de l’utérus dans un cri étouffé de plaisir. Sweet Pussy poussait et tirait le godemiché aussi vite qu’elle le pouvait. Les yeux toujours fermés, elle se concentrait sur son sexe pour se donner du plaisir. N°1 continuait sa lecture :
« Le Maître de Justine se leva et se positionna devant elle. Il dégrafa son pantalon et lui présenta un sexe tendu comme un arc que Justine s’empressa de prendre en bouche et de sucer.
Maître Alexandre se leva et Sweet Pussy emboucha le sexe de son Maître. Il prit l’arrière du crâne de Sweet Pussy par sa tresse et intima le rythme des allers et venues de la bouche de l’esclave sur son sexe. Maître Alexandre ferma les yeux et jouit dans un râle. Il força la tête de son esclave à rester avec son sexe au fond de sa gorge et lui gicla dedans. Sweet Pussy avala le sperme de son Maître malgré plusieurs hauts de cœur.
La première semaine de vacances passa sous le même rythme : bronzage, entraînement et soumission suivant les desideratas de Maîtresse Aurore et Maître Alexandre. Le samedi arriva et Maître Alexandre annonça que ce soir il y avait une soirée spéciale au Blue Pill, la boîte en vogue de la ville.
« Ce soir, on sort. Il y a une soirée spéciale au Blue Pill. Il faudra donc mettre tout votre attirail pour être sublime ! »
A 18h00, Maîtresse Aurore ordonna à ses deux esclaves de se préparer. Sweet Pussy et N°1 se douchèrent, se maquillèrent. Maitresse Aurore inspecta ses deux esclaves encore nues. Elle prit des ciseaux et retoucha leur tresse pour égaliser les pointes de cheveux. Elle posa sur le lit deux mini-jupes, deux tops, deux paires de bas avec porte-jarretelles, deux strings et deux paires de bottes noires, le tout en latex.
« L’ensemble rose est pour N°1, le jaune fluo est pour toi Sweet Pussy. » Dit Maîtresse Aurore.
Les deux esclaves s’entraidèrent pour s’habiller. Leurs jupes étaient tellement courtes qu’on voyait la naissance de leurs fesses et la base de leurs strings. Les tops laissaient apparents leurs ventres. Elles enfilèrent les bas qu’elles fixèrent aux jarretelles. Puis elles chaussèrent leurs pieds des bottes posées au pied du lit. Au moment de sortir de la villa, Maîtresse Aurore les stoppa dans leur élan.
« Tournez-vous que je vois si vous êtes parfaites. »
Les esclaves tournèrent dans le salon ce qui fit virevolter leurs mini-jupes.
« C’est parfait mais il manque ceci. » Dit-elle en tendant deux colliers en acier chromés arborant quatre anneaux chacun. Maîtresse Aurore fixa les colliers à leur cou.
« On peut y aller maintenant. »
Ils partirent tous les quatre à bord du 4×4 et se rendirent au Blue Pill. Maître Alexandre gara le véhicule sur le parking. Maîtresse Aurore détacha les deux esclaves et se présentèrent à l’entrée du dancing. La foule à l’entrée du dancing avait les yeux rivés sur Sweet Pussy et N°1 tant leur tenue était aussi sexy que flashy. Maîtresse Aurore portait un ensemble, jupe chemisier noir rayé blanc avec un petit chapeau genre spectacle burlesque. Maître Alexandre était en smoking. Bien sûr leurs tenues étaient en latex. Ils passèrent tous les quatre devant la queue à l’entrée, ce qui ne manqua pas d’énerver certaines personnes qui manifestèrent leur mécontentement de se faire griller la place par ces énergumènes par quelques murmures. Ils arrivèrent devant l’agent de sécurité qui s’interposa mais Maître Alexandre sortit un carton d’invitation de sa poche intérieure. A la vue de son sésame, le videur ouvrit le cordon de sécurité et ils entrèrent dans le dancing. Maître Alexandre guida Maîtresse Aurore et les deux esclaves dans une salle attenante à la piste de dance. Ils prirent place dans un canapé en cuir rose bonbon et aussitôt une serveuse apporta un plateau avec un seau à glace contenant un magnum de champagne et quatre coupes. La serveuse ouvrit la bouteille dans un « plop » assez bruyant malgré la musique assourdissante que crachaient les enceintes.
« A nos vacances ! » Fit Maître Alexandre en tendant une coupe à Maîtresse Aurore et à ses deux esclaves qui furent toutes deux surprises par cette invitation.
Au bout de quelques coupes, un homme entra dans l’alcôve accompagné de deux colosses. L’homme avait bien une soixantaine d’année, les cheveux blancs, lunettes de soleil, costumes trois pièces gris et chemise blanche.
« Bonjour Marc. » Dit Maître Alexandre en se levant et accompagnant sa poignée de main par un salut de la tête.
« Bonjour Alexandre. » Fit l’homme.
« Je te présente Aurore mon épouse et voici Sweet Pussy et N°1. »
Marc, d’un geste élégant, salua dans l’ordre : Maîtresse Aurore, Sweet Pussy et N°1.
« Je vous présente Marc, producteur et réalisateur de film. »
« Mon cher Alexandre, pourquoi m’avoir invité ici ? » Demanda Marc.
« Eh bien, j’ai une proposition à vous faire, Marc. J’ai ouï dire que vous recherchiez deux femmes pour votre dernier film. »
« Vous êtes bien renseigné, mon cher Alexandre. Il est vrai que je recherche deux actrices pour mon dernier film. Il faut qu’elles sortent du classique : blonde à gros seins. Le monde est blasé de ce stéréotype. »
« Eh bien voici peut-être les deux actrices que vous recherchez. » Dit Maître Alexandre en se levant et en prenant les deux esclaves par les épaules.
« Oui, pourquoi pas ? Mais il faut qu’elles soient libres la semaine prochaine car je tourne à Marseille lundi pour monter sur Paris les trois jours suivants pour tourner les scènes du film. »
« Pas de problème, Marc. Je m’en arrange ! »
« Elles sont à vous toute la semaine ! Levez-vous et déshabillez-vous devant le Maître du porno Marc Dorcel. »
Sweet Pussy et N°1 se levèrent et tirèrent sur le zip de leurs tops. Les seins proéminents de Sweet Pussy apparurent en premier. N°1 ouvrit son top langoureusement et écarta les pans de son top lentement pour montrer ses seins.
«Waouhh ! ça c’est de la poitrine siliconée ! J’ai vu des centaines de paires de nibards siliconés mais là chapeau et piercée comme cela jamais!
« Enlevez la jupe et le string pour que Marc voit votre chatte ! »
Les deux esclaves s’exécutèrent et enlevèrent jupe et string comme demandé par Maître Alexandre. Marc Dorcel vit alors deux chattes ornées de 20 anneaux chacune aux lèvres et d’un anneau au clitoris et au capuchon.
« Ouhhh ! pas la peine de m’en montrer plus, je les prends toutes les deux ! »
« Et voilà, maintenant vous allez devenir de vraies stars du X mes deux salopes !!! Au fait, quelle est l’histoire de ce dernier film ? »
« C’est trois gogo dancer qui bossent dans un club tenu par la mafia russe. La boîte est attaquée par une bande de français qui règle le compte de tout le monde sauf de trois filles qui se sont cachées derrière le bar. Elles sont découvertes par les malfrats qui les emmènent à Paris voir le chef qui veut les faire tapiner. L’une d’entre elles refuse et elle est donc soumise aux fouets et marquée au fer rouge et emmenée en Afrique. Les deux autres acceptent de tapiner à Paris pour éviter le même sort. Elles se tapent des dizaines de clients par jour, sont louées pour des orgies en double voire triple pénétration sur un chantier pour des sénégalais bien montés. Elles auront le visage recouvert de sperme lors d’un bukkake magistral. »
« Eh bien, c’est parfait ! Je pense que cette expérience vous sera profitable et vous ouvrira peut-être de nouvelles opportunités. Quand commencent-elles ? »
« L’équipe de tournage part lundi matin pour Marseille, ensuite on part trois jours à Paris et retour vendredi prochain. »
« Nous serons au rendez-vous Marc ! »
Le tournage
Sweet Pussy et N°1 tournèrent donc leur premier porno. Après une journée plutôt soft à tourner les premières scènes dans une boîte de nuit des bas quartiers de Marseille. Les préparatifs et maquillage étaient longs car elles devaient ôter tous leurs piercings, mettre une perruque et couvrir leurs tatouages de fond de teint pour ne plus paraître comme soumise mais comme gogo dancer. Marc Dorcel leur demanda de se déshabiller et de se placer à plat ventre sur un panneau en bois. Un Maître japonais du bondage les attacha en hogtied. Les deux esclaves gémirent pendant que leurs jambes étaient repliées. Il plaça des cordes pour que leur sexe soit bien comprimé. Leurs bras furent repliés dans le dos et attachés aux cordes des jambes. Une corde fut fixée sur leur natte et tendue vers le nœud central au bas du dos pour relever leur tête et leurs épaules. Le Maître japonais demanda à ce qu’un accessoiriste soulève Sweet Pussy. Le Maître prit un brin de corde et entoura son sein droit pour lier le brin dans le dos. Il fit la même opération avec le sein gauche. Sweet Pussy fermait les yeux et se crispait sous le serrage des cordes. Un ball-gag lui obstrua la bouche. Puis l’accessoiriste reposa délicatement Sweet Pussy qui gémit longuement lorsque ses seins s’écrasèrent contre le panneau de bois. N°1 et Douchka furent entravées suivant le même procédé. Le Maître Shibari prit alors six plugs qu’il enduisit de gel et les plaça dans leur cul et leur chatte.
L’accessoiriste prit 3 panneaux de bois et les disposa pour monter le reste de la caisse. Sweet Pussy vit alors l’obscurité se faire autour d’elle et commença à paniquer et à hurler dans son baillon. Marc Dorcel arrêta le tournage et demanda d’ouvrir le panneau.
« Tu n’as pas à t’inquiéter Sweet Pussy, la caisse sert juste pour la scène de l’envoi des putes à Paris. Tu ne vas pas à Paris comme cela !! »
Tout le plateau éclata de rire sur la blague de Marc.
L’accessoiriste referma la boîte.
« Action ! » Cria Marc Dorcel.
Les trois caisses furent fermées et des hommes levèrent les caisses pour les mettre dans un camion. On entendait les trois filles gémir de l’intérieur des caisses comme l’avait demandé Marc. Le chef donna deux coups du plat de la main sur la porte arrière et celui-ci démarra.
« Coupez ! On la garde. »
Le camion revint et on déposa les caisses pour libérer les deux actrices. Après quelques assouplissements bienvenus et les massages prodigués par le Maître japonais, Sweet Pussy et N°1 furent de nouveau sur pied. On leur apporta une sortie de bain pour les habiller. La maquilleuse reposa tous leurs piercings.
« Maintenant, on range ! Et direction Paris. »
La voix de Marc Dorcel était tellement puissante qu’elle raisonnait dans le hangar désaffecté de la zone industrielle. Toute l’équipe de tournage s’affaira pour ranger le matériel. Une fois chose faite, tout le monde monta dans des fourgons ou des minibus direction Paris.
Après quelques heures de route, l’équipe arriva dans un immeuble du quartier Pigalle. La flotte de véhicules passa le portail ouvrant sur une petite cour. Marc descendit de son véhicule et marcha en direction d’une porte sectionnelle. Il actionna la commande murale et celle-ci se leva dans un bruit de ferraille. Les véhicules passèrent un à un la porte et se stationnèrent dans le hangar. L’équipe du tournage s’affaira de suite et prépara le matériel. Les accessoiristes descendirent les flightcases et les trois caisses en bois. La maquilleuse ôta de nouveau tous les piercings et reposa leur perruque.
« Allez les filles, on se remet au travail ! Maître Shibari, merci de remettre les filles en hogtie comme à Marseille. »
La maquilleuse s’affaira de suite à enlever les piercings des actrices et les remaquilla. L’actrice, N°1 et Sweet Pussy attendirent leur tour pour être ligotées. Sweet Pussy se positionna sur un panneau de la caisse et Maître Shibari commença à attacher Sweet Pussy. Un accessoiriste apporta des photos prises lors de la scène de bondage pour éviter trop de différences dans le bondage. Lorsque les trois actrices furent en hogtie et « mises en caisse » dans le fourgon, Marc Dorcel se remit derrière sa caméra :
« Action ! »
Le fourgon arriva dans le hangar et les acteurs jouèrent leur rôle. Les caisses furent descendues du fourgon et ouvertes. Lorsque la lumière se fit les otages firent comme si elles n’avaient pas vu la lumière depuis longtemps en clignant des yeux pendant quelques secondes. Les caïds libérèrent de leurs liens les filles. Alors que les trois otages assouplissaient leurs membres suite à leur immobilisation, le parrain de la mafia russe entra dans le hangar. Il était vêtu d’un costume trois pièces noir. Un chapeau couvrait son crâne que l’on devinait dégarni. Il fumait un gros cigare.
« Elle d’abord. » fit le parrain en montrant du doigt Douchka. Deux sbires la saisirent par les bras pour l’amener devant leur chef.
« Quel est ton nom ? »
« Douchka, Monsieur. »
« C’est Maître quand tu m’adresses la parole ! » Cria-t-il.
« Oui Maître. » fit Douchka d’une voir craintive.
Le parrain marchait de long en large devant les trois otages et tirait sur son cigare, le parrain s’arrêta devant Douchka.
« Tu as le choix Douchka. Ou tu fais la pute pour moi à Paris dans ce quartier ou il va t’arriver quelques ennuis. »
« Non, jamais je ne ferais la pute, je suis gogo dancer pas pute ! »
Le parrain tira sur son cigare. Il le sortit de sa bouche et fit mine de le poser sur le téton droit de Douchka. Celle-ci hurla de douleur. Le corps de Douchka se contorsionnait dans les bras des deux caïds.
« Je te le demande une dernière fois, ou tu fais la pute pour moi à Paris dans ce quartier ou il va t’arriver quelques ennuis. »
« Jamais, je ne ferais la pute, vous m’entendez, jamais ! »
Le parrain tira à nouveau sur son cigare. Il fit mine de le poser sur le téton gauche de Douchka cette fois-ci. Celle-ci hurla une nouvelle fois de douleur.
« Emmenez-là au port, elle part pour Dakar. Tu regretteras ton refus. Là-bas, les blacks ne te feront pas de cadeau. Dégagez ça de ma vue. »
Les deux sbires emmenèrent Douchka qui criait et se débattait.
Le parrain s’arrêta devant Sweet Pussy. Les deux sbires réapparurent sans Douchka.
« A ton tour maintenant. Ou tu fais la pute pour moi ou il t’arrivera des bricoles ! »
Les deux sbires se saisirent de Sweet Pussy.
« Oui Monsieur, j’accepte ! Ne me faîtes pas de mal s’il vous plaît. »
« Bien Sweet Pussy. Mais Appelle-moi Maître. »
« Oui Maître. »
Le parrain s’arrêta devant N°1 et les deux sbires lui maintinrent les bras.
« Et toi, que décides-tu ?? »
« J’accepte Maître. »
« Appelez-moi le pierceur et mon coiffeur, on va leur mettre quelques apparats pour qu’elles soient hyper sexy.
« Coupez ! C’est dans la boîte. » Dit Marc derrière sa caméra.
Des maquilleuses arrivèrent et s’occupèrent de Sweet Pussy et de N°1. Pendant une semaine les deux esclaves suivirent le scénario du film et furent prises par des blacks au membre assez conséquent. La scène finale fut une orgie dans laquelle Sweet Pussy et N°1 étaient prisent par tous les trous, des hommes attendaient leur tour pour les enculer ou se faire sucer. Elles se retrouvèrent couvertes de sperme sur le corps. Les giclées de sperme coulaient de leur visage. Marc Dorcel avait demandé à ce qu’elles gardent la bouche ouverte et que le sperme dégouline de leur bouche.
Après deux jours de repos bienvenus suite à leur toute première expérience cinématographique, Sweet Pussy et N°1 préparèrent les valises pour le retour. Elles rangèrent aussi toutes les affaires de la villa, firent le ménage, les lessives et fermèrent les volets. C’est sous la lumière artificielle qu’elles enfilèrent leur combinaison latex respective. Maîtresse Aurore referma la porte de la villa. Sweet Pussy et N°1 montèrent dans le véhicule. Maîtresse Aurore ouvrit la porte du 4×4 :
« J’espère que tu as été pissé avant de monter dans la voiture…à moins que tu veuilles encore te faire baiser comme une pute par les routiers !!! » Dit Maîtresse Aurore en attachant le collier de Sweet Pussy.
« Non Maîtresse, j’ai fait avant de monter. » Dit Sweet Pussy en rougissant comme une petite fille.

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