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La croisière maudite — 6

La croisière maudite — 6



On emménage sur l’île

Tôt le matin on nous avait ordonné de nous habiller chaudement, ce qui n’était pas un problème vu que tout le monde s’était préparé pour une visite au Groenland et aussi d’emporter un minimum de bagage, mais quand même tout ce qu’il fallait pour quelques jours, car la tempête allait sévir encore un bon moment.

On descendait les escaliers en file indienne avec les autres passagers en se tenant tous contre le mur ou la rambarde. Je suivais Marie, quelqu’un lui avait prêté un gros foulard rouge et un bonnet rouge au cas ou, car ce cher voleur courait toujours. La petite blonde me talonnait, puis Skull et ça copine une jolie petite Acadienne un peut ronde et loin devant, quelques étages plus bas, le commandant et ses officiers menaient la longue marche, des matelots la fermaient.

Aussi incroyable que cela paraisse on allait sortir du bateau par la cale 5. Là, il y avait une grande déchirure donnant directement sur le pied de la falaise. En y entrant je ne reconnus pas la place tellement c’était le bordel et glacial. Moi et Marie on chercha le conteneur des yeux, mais on ne put le voir dans la montagne de débris couvert de neige qui s’entassait contre le mur. L’équipage avait dégagé un chemin jusque dehors, une fois passée la gigantesque fissure le froid nous saisit tous en marchant prudemment sur des rochers glissants. Une neige poudreuse porter par un fort vent nous fouettait le visage et limitait notre vision à quelque pas, mais on entendait bien la mer qui se brisait sur les rochers quelque part sur notre droite derrière le bateau pencher vers nous, ce qui n’était pas très rassurant. Voir ce grand navire prêt à nous écraser comme de simples fourmis donnaient froid dans le dos.

Marie me prit un bras Sylvie l’autre et on suivit tête baisser malgré nos capuches, nos tuques et nos bonnets de laine le cortège de passagers qui longeait la falaise dont il était impossible d’apercevoir le sommet. 10 minutes plus tard surgit de la tempête une titanesque épave, un super conteneur géant nous apprit Shull et casser en deux et il devait être la depuis un bon moment a voir la rouille qui le dévorait. Mais aucun conteneur en vue, on avait du les récupérer depuis belle lurette. On passa sous l’arrière du bateau qui touchait la falaise et tout prêt de ces hélices, celle-ci semblait aussi haute que notre maison musée à trois étages de Montréal, j’avais l’impression d’être dans un Fellini.

On grimpa finalement à la queue leu leu un escalier de béton qui nous amena à un large ponton de débarquement qui s’avançait vers la mer pour se perdre dans les bourrasques de neige. Cette fois, j’avais le sentiment de me retrouver en plein Parc jurassique puis on gravit un autre escalier en palier qui nous conduisit au sommet de la paroi rocheuse. Une fois là-haut, malmener par les vents plus violents on suivit un sentier baliser par une grosse corde de nylon jaune a laquelle on devait se retenir fermement. Parfois de gros rochers apparaissaient ressemblants à d’immenses menhirs pointer vers le ciel ou de mystérieux gardien de cette île perdue aux milieux de nulle part. Au bout d’un moment on aperçut un panneau secouer par la tempête sur lequel était écrit :

Hotellets gamle fyr
The hotel’s old lighthouse

— Hôtel du vieux phare, traduisit quelqu’un derrière nous.

Le fameux hôtel apparu finalement, en fait c’était un amoncellement hétéroclite de bâtiments coller les un aux autres sur quelques étages à flanc de colline construits en pierre brute et grosses poutres avec toit en pente couvert de neige. De la fumée s’échappait de quelques cheminées pour être aussitôt balayé par le vent.

On du faire le pied de grue dehors un petit moment en se serrant ensemble tous les trois puis on nous accueillit dans un grand hall sombre éclairer a la chandelle avec une immense salle d’attente ou un bon feu brûlait dans un gigantesque foyer. Plusieurs passagers s’y réchauffaient ou s’affairaient à toute sorte de tâches tandis qu’on nous octroyait la chambre 305 en nous encourageant à nous y installer à 3 ou 4 personnes si possible pour laisser de la place pour tout le monde. Du café et des repas chauds allaient être servis bientôt au bar et au restaurant de l’hôtel. Le courant serait rétabli ainsi que le chauffage dès que possible, probablement en matinée nous apprit le commandant. On partit à la recherche de notre chambre en suivant toujours d’autres plaisanciers.

Presque tous les murs étaient en bois verni, grosses poutres et larges madriers a lesquelles était clouer parfois toute sorte d’instruments maritimes ou des laminages de vieilles photos de navires ou de chasse a la baleine. Les rambardes des escaliers étaient de gros cordages, des filets à pêche pendant à certains endroits des plafonds et des squelettes de mammifères marins apparaissaient à l’occasion dans des petites salles d’expositions. On se serait crue à l’intérieur d’un ancien navire à voiles. Comme il n’y avait pas de courant, on s’éclairait toujours à la lampe de poche comme tout le monde. Encore des escaliers et des couloirs à n’en plus finir, un vrai labyrinthe, mais de grands panneaux indiquait bien la direction a prendre en anglais et en norvégien. Et la copine de Skull nous expliqua en marchant avec son accent acadien des plus charmant :

— Quand l’hôtel était ouvert il y avait des piscines à l’extérieur, car il y a des sources d’eau chaude sur cette île, c’est d’ailleurs ce qui chauffe cet hôtel. Il y a de grandes chaudières au sous-sol qui devrait démarrer bientôt. Il y des saunas, une salle de spectacles, un cinéma et un restaurant, une infirmerie et même un musé maritime, car l’hôtel a été construit uniquement avec du granit provenant de l’île et de bois de navires qui c’étaient échouer dans la région. En fait il y a un chapelet d’îlot rocheux dans le coin, dont plusieurs immergés et cela fait des siècles qu’il y a des naufrages par ici, des chalutiers surtout, mais aussi d’immenses navires emportés par les tempêtes comme celui de tout à l’heure. Tout ici a été récupéré sur des épaves ou presque. Y paraît qu’il y a même une ancienne base secrète de sous-marin russe sur l’ile voisine qui date de la guerre froide. Et qu’il y avait des visites guider pour aller là-bas et sur d’autres îles pour observer des colonies de morses et de phoques.
— Wow ! Je veux voir tout ça, fit Marie tout exciter.
— Oublie sa beauté. Dis-je épuiser et geler en regardant mon halène s’envoler vers le plafond arrondit.
— Moumoune.
— Moumoune toi-même la bomba, répliquai-je en grimpant un escalier en colimaçon qui nous amena au troisième ou on trouva finalement notre chambre.

En fait c’était une suite et superbe toute en bois ou presque et toujours meublée. Apparemment il avait tout laisser-sur-place en fermant, peut-être qu’ils avaient l’intention de rouvrir. On eu qu’a enlevé les housses de plastique couvrant les meubles.

Il y avait une chambre avec deux lits doubles, un grand salon avec foyer déjà rempli de bois et une immense baie vitrer circulaire recouverte de givre qui devait sans doute donner sur la mer. Il y avait même une cuisinette, une minicave a vin, vide malheureusement et d’autre pièce. Je soupçonner aussitôt le commandant de nous avoir octroyé cette suite somptueuse à cause de Marie. Il y a parfois des petits avantages à sortir avec une personnalité connue.
On décida de s’y installer tous les 5.

— Je peux aller voir les girls et m’arranger avec elles, protesta Sylvie la seule à ne pas être en couple.
— Mais non fit Marie en enlevant son gros sac a dos, si tu veux reste on vas avoir plus chaud la nuit ces tout.
— OK, merci, fit-elle ravit en dévorant ma blonde des yeux ma timidement. J’en fus presque jaloux.

Pendant que les filles défaisaient leurs bagages en grelottant j’allumai le foyer avec Skull puis on visita la cuisinette, le frigo était plein de nourriture surgeler et cela provenait du bateau me confia-t-il.

— Y vont nous amener du vin et de la bière, j’en et demander.
— T’es le gars à connaître en cas de naufrage, lui dis-je.
— WAIS ! Mais j’ai surtout la bonne blonde, c’est Suzy qui s’occupe des fournitures avec son équipe.

J’entrai dans une magnifique salle de bain avec des bouteilles de shampoing congeler, pas d’eau pour l’instant, il y avait même un bain-tourbillon et un sauna. On alluma des cierges laisser sur la table de cuisine et quelque lampe tempête provenant d’épaves sans doute. Le grand luxe quoi.

On se retrouva tous devant le foyer à se frotter les mains tendues vers les flammes. Juste au-dessus il y avait un laminage de navire, un ancien trois mat du 19e siècle le Lady Anne.
— Bon, moi j’ai froid, dis-je, et je connais un excellent moyen de se réchauffer.
— Ah WAIS, fit Marie, lequel ? Même si je m’en doute.
— On se met tous nus sous les couvertures dans le grand lit et on se colle. C’est la chose à faire dans ces cas-là, je l’ai vue dans un bon documentaire.
— Moi et Skull on est de corvée de transport aujourd’hui, mais… on peut prendre encore quelles minutes pour ce… réchauffé un peu.

Skull parut ravi.

Je sauter sur place en en grelottant tandis que tout le monde se regardait en souriant et tous aussi congelé que moi et tout à coup on partit a courir vers la chambre comme si c’était une compétition. On se déshabilla en vitesse dans l’air glacial en claquant des dents et on se glissa sous les couvertures tous dans le même lit, la tête également. On se colla contre Marie et la belle Suzy dans la pénombre, nettement les plus chaudes du groupe.
— Ta-ba-rouette- fit Marie je n’ai jamais eu aussi froid de toute ma vie pis y bande lui.
— C’est une question de survie, dis-je en caressant les seins doux et généreux de la petite Acadienne qui agrippa mon membre contre sa cuisse. Comme prévus, Skull et Sylvie attaquèrent Marie me laissant le champ libre avec la petite ronde.

Une bonne chaleur envahit nos corps peut a peut, on commença a tous se caresser mutuellement, a se frotter les uns contre les autres et les premiers gémissements se firent entendre. C’était comme si chacun voulait s’accaparer au plus vite la chaleur de l’autre. Des mamelons iriser par le froid, de la chair de poule en abondance, des bites déjà tendues et palpitantes, des pieds glacer et des mains baladeuses. Le concert de claquement de dents s’atténua peut a peut et le plaisir d’être nu en groupe dans un même lit s’installa.

Marie se tourna sur le côté pour enlacer et embrasser Sylie entremêlant leurs jambes et se frottant le sexe mutuellement. Tout en la frenchant elle amena son pénis a l’entré de son vagin ou Skull avait les doigts et Sylvie la pénétra doucement tandis que le tatouer se plaquait contre son dos en agrippant ça bite.

L’Acadienne avait une jolie peau de lait froid, de minuscules mamelons bruns et une magnifique toison en triangle on se caressa tous les deux un moment en regardant faire nos compagnons de débauche. Puis elle roula sur moi en m’embrassant, mon sexe pointait entre ses cuisses tandis que je pressais ses belles fesses un peu molles tout en sentant sa grosse poitrine écraser sur moi. Ses beaux petits yeux noisette luisaient à demi fermer et me fixait quand elle s’empara de ma bite pour l’amener vers son vagin et je commencer a la fourrer doucement en soulevant les genoux. La lumière du jour pénétrait à peine sous les draps, mais c’était suffisant pour apercevoir nos corps entremêler qui s’agitaient de plus en plus. L’on était comme pressé de remuer pour ce réchauffé. Les fesses tatouer et dure de Skull frappait ma hanche tandis qu’il sodomisait lentement Marie que Sylvie besognait toujours.

Voir ma belle prise en sandwich par deux partenaires si peu conventionnelle. Un tatouer des pieds à la tête et une transsexuelle, m’excita au plus haut point, presque autant que les formes généreuses de Suzie que je caressais en la baisant avec fouge. Griser par le plaisir je la retourner pour m’étendre sur elle et elle ne se gêna pas pour gémir tandis que nos pubis se tamponnaient avec force.

Au bout d’un long et délicieux moment je jouis dans le vagin humide puis on se contenta de rester bien coller tandis que les autres terminaient également en grognant et se lamentant de plaisir.

En avant-midi le chauffage démarra, l’électricité un peut plus tard puis l’eau. La chambre devint rapidement très confortable. Seul avec Marie on en profita pour visiter l’hôtel et le musée puis d’aller souper au restaurant.

Après le repas, Sylvie, Suzy et Skull nous avaient rejoints à la suite et nous étions tous les cinq installés sur le grand canapé devant le foyer et on regardait Marie, à genoux devant une table basse face à nous, ouvrir avec précaution le fameux cylindre provenant du sarcophage. Je filmais l’opération. Elle en extirpa un rouleau de papier jauni qu’elle déroula doucement sur la table, une carte ancienne. Elle posa des objets aux 4 coins pour l’empêcher de s’enrouler et commença a nous raconter l’histoire de cette carte tandis que je me levais pour mieux la voir et faire un gros plan et je filmer Skull comme promis enlaçant sa petite Acadienne.

— C’est l’une des cartes les plus mystérieuses du monde, dit Marie. Elle est apparue en 1666 contenants du texte rédigé dans une langue inconnue et illustré de pictogrammes énigmatiques, la fameuse « carte Wahida » du nom de Wahida Khurradadhbih, un érudit arabe du 13e siècle, qui écrivit un des tout premiers guides de voyage du monde et qui l’aurait trouvé dans une ancienne forteresse abandonnée en Turquie. Cette carte désignerait l’endroit exact de la fontaine de jouvence selon la légende ce qui en fait quelque chose d’extrêmement précieux pour certaines personnes comme le bon docteur ou notre mystérieux voleur Paul. Mais ce n’est pas tout, car cette carte représente comme vous le voyer parfaitement le Nouveau Monde du nord au sud bien avant sa découverte par les Espagnols et même le pôle sud, mais sans sa calotte de glace, on le voit bien regarder.

On se pencha tous sur la carte et effectivement le pôle Sud était en faite une série d’îles.

— Ce n’est pas possible, protesta Suzy.
— Ça ne se peut pas, rajouta Sylvie.
— Mais si, fi-je, a une certaine époque, il y a des milliers d’années le pôle Nord était en plein milieu de la baie d’Hudson et le pôle Sud probablement plus vers l’Australie, donc celui que l’on connait actuellement devait être moins froid et pas recouvert de glace. Quelqu’un a dû naviguer dans cette région a une lointaine époque avant que les pôles se déplacent probablement du a un glissement de la croûte terrestre. Peut-être même que le pôle Sud était habité, l’homme a colonisé toutes les terres connues et depuis fort longtemps. C’est possible que sous cette glace se cachent les vestiges d’une civilisation. Mais ce continent dont la superficie est d’une fois et demi celui de l’Europe est recouvert d’une couche de glace pouvant aller jusqu’à 6 km d’épaisseur. Cette glace recouvre des montagnes aussi hautes que les Alpes. Alors a moins quelle ne fonde on ne saura probablement jamais si quelqu’un a effectivement colonisé le pôle Sud. Quand nos ancêtres ont quitté l’Afrique il y a 70,000 ans il y avait déjà d’autres espèces d’homme un peu partout sur la planète provenant aussi d’Afrique et… Marie toussa en me souriant. Eh, bref, j’adore les documentaires, continue Minou.

Suzy Sylvie et Skull me regardaient les yeux brillant ce qui me valut un autre beau sourire de la part de ma belle qui semblait être fier de son chum et qui continua :

— Donc cette carte c’est retrouver, on ne sait trop comment a Londres étudier par Roger Bacon, le grand savant du XIIIe siècle, puis dans les mains de Jacobus de Tepenec, alchimiste à la cour de Rodolphe II de Habsbourg et finalement acquise par notre bon docteur Sparnacus quelque siècles plus tard. Contient-elle la localisation de la fameuse fontaine de Jouvence ? Plusieurs l’on prétendue. Les meilleurs spécialistes de langage codé du Vieux Continent qui l’aurait étudié a l’époque n’on jamais pu la déchiffrer quant a savoir si le bon docteur a réussit lui, on le saura peut être quand les chercheurs du British Muséum auront étudié son codex. Mais jusqu’à maintenant, personne n’a pu découvrir qui avait bien pu dessiner cette mystérieuse carte, tout comme la carte de Piri Reis et d’autre carte semblable très ancienne. On suppose même que Christophe Colomb aurait vu ou possédé une de ses cartes ou une copie. Certaines d’entre elles remonteraient au quatrième siècle avant J.-C, voire même avant et elles sont d’une précision incroyable pour l’époque.

— Wow ! fit Suzie.

— Si la carte de Piri Reis était unique, on pourrait sans doute être sceptique et parler de coïncidences. Mais, il y a celle-ci et cette carte est loin d’être la seule comme je le disais. Et regarder là, un x a été tracé au Venezuela. Il y a encore des régions inexplorées en Amérique du Sud. En 2002 on a découvert la 3e chute la plus haute du monde justement au Venezuela ou la aussi se trouve la plus haute du monde elle semble tomber du ciel. Est-ce que le docteur et son acolyte ont trouvé la fontaine de jouvence ? On va voir Paul ?
— Popa ne prend pas l’avion et popa prend put le bateau, sauf pour revenir a la maison !

Tout le monde rit tandis que Marie rangeait la carte.

Un matelot vint nous annoncer que le magicien allait donner un spectacle dans le salon de la réception. Marie dut m’y traîner de force tellement je trouvais ses numéros vieux et ennuyeux. Les autres préférèrent rester à la chambre. L’hôtel était bien chauffé maintenant on avait donc plus besoin de mettre des vêtements chauds pour si promener.

Des rangées de chaises avaient été installées devant une minuscule estrade dans un coin et un feu brûlait toujours dans l’âtre gigantesque. Des serveurs proposaient du vin ou d’autres breuvages. Je pris une coupe et Marie un étrange cocktail bleu glacier dans lequel flottaient des petits phoques en glaçons. Par les grandes baies vitrer on apercevait la tempête qui rugissait toujours dans la nuit. Une cinquantaine de personnes seulement s’était déplacée pour assister au spectacle du prestidigitateur d’une époque révolue. Le commandant qui passait son temps entre le navire et l’hôtel pour s’assurer que tout allait bien nous avait réservé deux sièges près de lui, évidemment. Nous voilà donc au premier rang en plus pour regarder le guignol rater ses tours, je bâillais déjà en attendant qu’il arrive tout en me demandant si ses colombes avaient survécu au naufrage.
Un membre d’équipage, une très jolie petite femme aux cheveux noirs vint dire quelques mots au commandant qui se leva aussitôt pour grimper sur l’estrade et demander le silence.

— Bonne nouvelle mes amis, il y a une station radio ici et l’officier de communication vas pouvoir la remettre en était de marche d’ici a demain en récupérant du matériel de notre navire. Vos proches seront donc avertis que vous allez tous bien et on saura quand les secours vont pouvoir venir. Merci.

Il fut chaudement applaudi tandis qu’il revenait s’asseoir.

Quelques minutes plus tard tout le monde encouragea le magicien à barbe poivre et sel, haut de forme, smoking et gant blanc quand il monta sur scène. Il salua la foule et… il resta comme ça, une main sur le ventre, l’autre dans le dos, menton relever, les yeux river sur Marie. Les applaudissements cessèrent et des raclements de gorge, des rires polis puis des murmures.

— Pas un autre vicieux, marmonna ma douce en vérifiant son décoller des plus conventionnels.

Je regardai la robe rouge de ma femme et soupirai, la pauvre n’avait pas encore compris, elle me jetait un regard intriguer en prenant un gorgé a son verre étroit. Le commandant non plus apparemment, je me lever et, a la surprise de tous montée sur scène coupe a la main et d’un coup sec enlever la barbe du magicien qui ne bougea pas d’un poil…

— Oooohhhh… Fit la foule éberluer.

Puis son haut de forme et sa perruque de cheveux gris laissant tout ça tomber au sol, une colombe s’échappa du chapeau se posa sur mon épaule et me mordit l’oreille avant de disparaître…

— Oooohhhh… Encore la foule.

Marie éclata de rire tandis que le capitaine bondissait sur ses pieds et aboyait des ordres pour qu’on remette ce voleur au cachot. Je pris une bonne gorgée de vin devant la foule éberluer qui ne pouvait comprendre ce qui se passait.

— Cette fois, dis-je de l’estrade au commandant quand ses hommes eurent emmené le malfrat, faudrait peindre les murs de sa cellule en rouge où laisser ma blonde avec lui.

Quelque rire et… oh ! Une jolie grimace de ma femme. Comme il n’y a plus de spectacle et que les gens semblaient s’ennuyer, je dis :

— J’ai une bonne histoire à vous raconter, voulez-vous l’entendre ?

Tout le monde m’y encouragea, sauf Marie évidemment qui hocha la tête en soupirant.

— L’autre jour moi et un copain on discutait sur les différentes façons de faire l’amour :
— « Et le sexe à la Rodéo t’a essayé Paul avec ta belle et somptueuse Marie ? »
— « Sexe à la Rodéo ? Non, j’ai a peut prêt tout essayer avec elle mais ça… non, c’est comment ? »
— « Tu te mets sur ta femme, tu la caresses et puis tu lui dis à l’oreille : ton parfum est le même que celui de ma secrétaire mon amour ! »
— « Et après ? »
— « Après, tu essayes de rester 5 secondes dessus… »

Des rires francs, yes, popa était partis, mais Marie plissa les yeux décourager de son homme apparemment pendant que je finissais mon vin.

— Vous savez, Marie et moi on a atteint une parfaite compatibilité sexuelle.
— Oooohhhh, fais l’assembler et Marie que le commandant regarde rougit.
— WAIS, hier on a eu tous les deux mal à la tête.

Encore des rires.

— L’autre soir, je dis à un ami :
— « Chaque fois que je me dispute avec Marie, elle devient historique ! »
— « Tu veux dire hystérique Paul ! »
— « Non, historique ! Elle se souvient de tout ce que j’ai fait de travers, du jour et même de l’heure. »

Pendant que tout la foule rigole elle se lève et me rejoint ils l’applaudissent et elle me tasse d’un coup de hanche et dit a l’assistance :

— J’en est une bonne moi aussi voulez vous l’entendre ?

Tout le monde dit oui évidemment.

— La semaine passée, on est allé à un conventum d’anciens du secondaire de mon beau Paul.
Je regardais sans cesse une femme complètement saoule, buvant drink après drink, seule à sa table en trouvant qu’elle faisait pitié la pauvre.

Et la je lui demande « Tu la connais Paul ? »

« Oui », qu’il me dit en soupirant, « C’est mon ex-petite amie. J’ai su qu’elle avait commencé à boire la journée où nous avions rompu il y a plusieurs années, et qu’elle n’a jamais été sobre depuis… »

« Oh mon Dieu », que j’ai dit « qui aurait pu penser que quelqu’un pouvait célébrer si longtemps ! »
Là ça rigole franchement pendant que Marie me fait un beau sourire avant de prendre une gorgée.

— J’en est une meilleur minou : Un chevalier part en croisade…

Les rires résonnent jusque dans la tourmente qui s’abat sur l’île sans répit. Non seulement la tempête ne se calme pas, mais elle redouble de puissance…

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