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Confession d’une lopette.

Confession d’une lopette.



Voici la confession qu’un de mes amants me fit lors d’une de nos rencontres.

Il se déshabillait. J’étais toute excitée déjà. Habillée d’une paire de bas noirs, et de jartelles le tout caché sous un kimono. Je faisais très femelle ; je m’étais maquillée pour lui. Je dois dire qu’il m’excitait beaucoup. J’avais vu ses photos nu et j’étais tombée sous le charme de sa grosse queue.
Là maintenant lui aussi était excité car à poil il ne pouvait plus cacher sa belle bite bien grosse et bien dure qui pointait vers moi. Je fermais les yeux et déjà je me voyais empalée sur cette colonne de chaire palpitante. Je ne pu m’empêcher de me mettre à genoux devant lui. Soumise déjà prête à satisfaire le mâle. Moi il y avait déjà un moment que ma queue, que j’appelle clito, bandait à mort.
Avidement je me jetais la bouche ouverte vers son vit qui me rendait folle d’excitation. Il me retint pas mes longs cheveux :
– Doucement salope ! Tu l’auras quand je le déciderai.
Non soumis d’habitude je lui obéis et restais la bouche ouverte ; je me sentais ridicule ainsi.
Il prit son engin et se mis à se branler en tenant toujours ma tête en arrière par les cheveux.
– A poil lopette me dit il.
Je fus un peu surpris par son ton dominateur, c’était la première fois que l’on me parlait ainsi, mais bizarrement je me sentais excitée par la situation. Je me déshabillais donc et il vis que je bandais.
Se qu’il reluquait c’était mes mamelles, trop grosses pour un homme. En mettant sa queue sur mon visage il se mis à me malaxer mes deux seins. Je pris sa bite et me caressais le visage avec en fermant les yeux tant mon plaisir était intense. De sentir ce gros vit, presque brulant et si doux contre mes joues me fis mouiller. Et que ses mains malaxaient sans douceur mes nichons n’était pas pour me déplaire.
Pour moi c’était une première je n’avais encore jamais eu de rapport avec des hommes sauf en m’exhibant sur des sites.
Mais je n’avais pu résistée à ce beau mâle peu poilu et si membré.
Je savais qu’il ne renterait pas dans mon anus vagin tant il était gros mais mon amant m’avait promis qu’il me goderait simplement si je lui obéissais.
– Ouvre ta gueule de lope me dit il sèchement
Je m’exécutais et il vint mettre lentement sa bite dans ma bouche. Je me mis à le sucer, goutant la douceur de son gland sous ma langue. Cette bite me remplissait bien ma bouche.
Il gémissant doucement en me caressant les cheveux. Je lui caressais ses fesses lisses. Je lui écartais doucement ses deux rondeurs et mon doigt glissait le long de sa fente à la recherche de son petit trou.
Je le trouvais facilement et me mis à le caresser, puis le masser. Il gémissait de plus en plus fort, je pus voir ainsi que son plaisir montait. Il se retirait de ma bouche pour venir à la rencontre de mon doigt puis replongeait dans ma gueule dans un mouvement de vas et vient. Il me baisait ma gueule, et j’adorais ça.
Je sentis dans ma bouche un liquide un peu gluant mais son gout était bon, il mouillait. C’était la première fois que je goutais de la mouille et…. J’adorais. Ce fut pour moi un vrai nectar que j’avalais avec délice. Je ne pus m’empêcher de me branler.
– Tu aime ça hein ? Larve ! me dit il voulant m’humilier
Une première qussi pour moi être humiliée et …. J’adooooorais. Ces mots vulgaires et crus me mit en transe.
Je le branlais de ma bouche plus rapidement, voulant déjà gouter à son sperme.
– Doucement salope dit il. On a le temps
Je me relevais et nous nous dirigions vers ma chambre. On se coucha sur le lit. Il me caressait et quand je voulu lui donner la pareil il me dit :
– Laisse toi faire petit fiote ton homme va te donner du plaisir.
Ces mots me rendaient folle, je me laissais faire.
Maintenant il me caressait les mamelles avec douceur, titillant mes tétons. J’étais dans un état second.
Il me suçait un téton pendant qu’il me pinçait légèrement l’autre. Je ne pu me retenir de lui caresser ses grosses couilles, elles devaient être bien remplie.
Il me caressait les fesses et les cuisse gainées des bas.
– Hmmmmmm ! J’adore les bas ma salope
– Ouiiiiiii répondis je super excitée
Tout en continuant de me caresser il vins poser ses lèvres sur le miennes, vite je sentais sa langue pénétrer dans ma bouche et fouiller pour trouver la mienne. Je répondis à son baiser. Tout en se caressant partout mutuellement nos baisers étaient très tendres. Quand il vint me caresser mon anus je ne pu retenir un gémissement de plaisir. Bien vite il enfonça son doigt dans mon cul et le branla.
Je couinais comme une truie en chaleur.
– Tu aime ça hein petite pute !
– Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
– J’ai bien envie de t’enculer ! de te bourrer ton gros cul de truie
Je sentais mon anus s’élargir et il pu y mettre deux doigt.
Je plongeais ma tête entre ses cuisses et me mis à le pomper
Il gémissait et se mis en position de 69 il me suçait le clito tout en me pénétrant l’anus. Moi je fis de même. Puis je me mis à lui lécher les couilles à les prendre en bouche et à les sucer.
– AH !AH !AH !!!!!! OUIIIIIIII cria t il tant son plaisir le rendait fou
Trop excitée pour savoir se que je faisais vraiment je lui méchais l’anus essayant de faire pénétrer ma langue dans son cul.
Nous étions tout les deux en extase complète. Je le sentais à nouveau mouiller sur mes seins. Pour ne pas perdre se délicieux nectar je léchais tout ce liquide si gouteux. Il me fit une minette en me léchant mon vagin anus.
Tellement excitée je ne me contrôlais plus et il lança :
– Baise moi ! encule moi ! fait de moi ta petite femelle. Bourre moi mon vagin de pédé.
Je me mis à 4 pattes comme une chienne et j’ouvris mon cul. Je sentais qu’il vint contre mes fesses. Son gland encore humide se glissait vers mon anus puis lentement il me pénétrait.
J’eu d’abord très mal et je criais fort de douleur mais très vite le plaisir m’emporta. Je gémissais, couinais bougeant mon gros cul de lopette.
– Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! criais je. Vas y bourre ta petite fiote. Je ne suis qu’une décharge publique. Plus fort !
Liui me travaillais avec des : « HAN !HAN ! ». il me donnait des fessées que j’adorais recevoir. Puis il se couchait sur moi pour me prendre les mamelles et les malaxer avec brutalité.
Maintenant sa v******e m’excitais tellement que je lui criais :
– Vas y !! Fait moi mal !! Montre moi que je t’appartiens !!!!!
Cela dura longtemps. Puis il se retira et vint se placer devant moi debout. Sa queue toujours aussi grosse et dressée. Elle eu quelques soubresauts puis son urine sortit et vint m’arroser les seins d’abord puis ma gueule ensuite. Il m’utilisait comme urinoir et j’aimais ça. J’ouvris la bouche pour boire sa pisse.
– Tu aime ça aussi lopette me dit il. Je marque mon territoire. À partir de maintenant tu m’appartiens, tu es ma chose, ma propriété, mon sac à sperme. Je vais t’engrosser.
Quand sa vessie fut vidée je le pris en bouche pour le finir. Je le suçais en me branlant. Il continuait à m’humilier et j’adorais ça.
On jouit ensemble. Lui m’innondait de son sperme que je buvais avidement, son gout était tellement bon, il y en avait tellement que j’en eu dans ma gueule mes cheveux mes yeux. Ca dégoulinait sur mes seins. Il vint lécher le mien qui souillait mes couilles et mon anus.
Nous étions repus tout deux. J’étais devenue amoureuse de lui. Je le regardais avec amour prête à tout accepter de lui. A être son esclave sa soumise.
Lui me traita comme une chienne et j’aimais ça. Nous faisions au moins deux foi par semaine. Parfois il me prêtait à ses amis. Et je devais aller chercher son sperme dans le cul de ses autres amants.
Je servais souvent d’urinoir à ses copains. Mais il me donnait tellement de plaisir que j’acceptais tout de lui.

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