Je venais de baiser ma vieille belle-mère.
Là, dans l’entrepôt où elle travaillait, en compagnie de Roger, un employé de 60 ans.
Après son terrible orgasme, ma belle-mère était restée un moment à poil par terre, à reprendre son souffle, avec Roger et moi qui la regardions ; Roger se branlait, et moi je ne pouvais détacher mes yeux du corps grassouillet de ma belle-mère. Elle avait décidément un bon gros cul bien excitant, et de beaux nibards. Prostrée comme elle l’était, à serrer ses chairs contre elle, ça faisait tout un tas de bourrelets qui m’émerveillaient.
Putain ! Je venais de baiser ma belle-mère !
Finalement, elle se releva péniblement, cachant ses parties intimes dans des gestes dérisoires, pour nous tourner le dos et dire misérablement :
-C’est fini tout ça, maintenant. Partez, toi aussi Laurent. Je ne veux plus jamais qu’on parle de ça.
Elle devait avoir très honte, vouloir disparaitre.
Un peu piteux, j’allais obéir, mais Roger ne vit pas ça de la même façon. Il alla tranquillement caresser les grosses fesses de ma belle-mère, et ses hanches, la peloter de partout :
-Bah non Simone, on ne va pas s’arrêter déjà. Mhmm, t’es bonne ! Je suis sûr que tu en veux encore, t’as pas eu ton compte.
-Non mais arrête Roger, lâche-moi, protesta ma belle-mère en se débattant faiblement.
Roger s’était collé contre son dos, sa bite bandante contre son cul tandis que sa main passait autour d’elle sur son ventre rebondie, descendant vers sa chatte. Ma belle-mère poussa quelques soupirs gênés (mais excités, aussi, non ?) :
-hOoo, arrête, haaa, non… Il y a mon gendre en plus, ça suffit.
-Et alors ? Il vient de te baiser comme un salaud, ton gendre, t’es plus à ça près !
Roger voyait bien que ma belle-mère ne savait plus où elle en était, qu’il pouvait en profiter. Il continua de la peloter de plus belle, la retournant face à lui pour lui malaxer les seins et ses hanches girondes. Ce faisant, il acculait ma belle-mère vers une grande caisse de l’entrepôt :
-Non Roger, tu exagères, implora ma belle-mère, sa respiration s’accélérant tandis qu’elle lui résistait mollement, hoo, non non, haaaa, pas devant lui ! C’est fini j’ai dit.
Roger la coucha de force sur la caisse, lui remontant les genoux sur sa grosse poitrine, et nous offrant ainsi une vue imprenable sur sa chatte poilue et encore luisante de mon sperme. Je bandais de nouveau, fasciné.
-Haaa mais non je t’ai dit ! haaaa arrête. C’était dit d’une voix essoufflée. Elle se tortillait sur la caisse, bien que fermement tenue, et j’avais l’impression que tout ça l’excitait encore bien qu’elle ne voulait pas se l’avouer. C’était une chaudasse, ma belle-mère, décidément ! Je me masturbais, assistant silencieusement aux abus de Roger sur elle.
-Mhmm, j’vais t’enculer ma grosse, dit Roger, comme devenu fou. Ça fait longtemps que j’en rêve de ton cul.
-hein ? Quoi ? réagit ma belle-mère, choquée. Ha non, pas ça ! non non, c’est hors de question ! Je n’aime pas ça du tout ! pas la sodomie !
Elle avait retrouvé ses esprits, très sérieuse. Mais Roger s’en fichait, il lui tenait toujours les genoux contre ses seins, chatte bien ouverte devant lui. Cette position faisait plein de gros plis dans les chairs abondantes de ma belle-mère…
-On n’a pas dû bien t’enculer dans ta vie, ma cochonne. Mais moi je sais faire, tu vas voir.
Roger commença à lui enfoncer doucement un index dans l’anus.
-Haaa, non, arrête, pitié, pas ça ! Ma belle-mère prenait peur, là. Je t’en prie j’ai dit non, Laurent est là en plus ! pleurnichait-elle.
J’aurais dû aller à son secours sans doute. Mais… C’était très honteux, mais j’étais trop excité pour ça ! Ma belle-mère allait se faire enculer devant moi ? C’était énorme ! En transe, je m’approchais pour mieux voir.
-Haaaa, non, hoooo, haaaaa, commençait-elle à crier en se débattant en vain.
La poigne de Roger était forte, il rentrait maintenant son doigt bien au fond de son cul, et le tournait. Au-dessus de sa main, on voyait bien la chatte de ma belle-mère, bien ouverte sous son pubis velu. Mhmm ? ne commençait-elle pas à mouiller, en fait ?… Roger ne s’y trompa pas :
-Arrête de dire non, tu mouilles comme une grosse salope, Simone. Tu la veux ma queue dans ton cul hein ?
-non non, je ne la veux pas, non, paniquait ma belle-mère, à sa merci.
Roger cessa de lui doigter l’anus pour en approcher à la place son gros gland gonflé de sang.
-Tu m’as bien sucé, avant, mais j’ai pas joui moi. Et je veux jouir dans ton cul. Je suis sûr que ça va être génial de t’enculer ! il colla son gland entre les grosses fesses celluliteuses de ma belle-mère, tout contre sa rondelle.
-Haaaa non non non, tu peux pas faire ça Roger ! Je ne veux pas ! S’il te plait s’il te plait, l’implorait-elle, hagarde, en se débattant une énième fois
Mais sa chatte commençait à dégouliner, chaude. Elle transpirait.
Roger lui enfonça une partie de sa bite dans le cul.
-Haaaa aïe ! non aïe ! ça fait mal, pitié Roger, haaa hoo, arrête !
– Détends-toi, ma petite pute, ça va aller. Montre plutôt à ton gendre comment t’es une bonne chienne qui aime se faire enculer.
-Haaa hooo aïe ! haaaaa, non, hooo haaaaaa ! C’est profond ! haaa ! ça me rentre dans l’estomac ! haaaa hooo !
Roger la limait mieux maintenant, et les gémissements de ma belle-mère s’était peu à peu fait moins alarmés. Elle était complètement chamboulée par cette grosse bite qui lui défonçait le cul.
Moi-même je bandais comme un âne, les yeux fixés sur la scène : Allongée sur la caisse, ma belle-mère se faisait enculer comme une putain, jambes écartés, avec ses gros seins qui ballottaient sur elle à chacun des coups de bite de Roger.
-Ho là là, haaaa hooo, holà là là ! C’est trop gros, ça me défonce ! han ! hoooo, han ! Tu m’encules trop fort, Roger, han han han han ! ahanait ma belle-mère, bouche ouverte pour aspirer de l’air. Elle bavait.
-Oh ouais, tu vois t’aimes ça ! fit Roger en la pilonnant plus vite.
-Hoo non non, arrête ! hann han ! ça fait mal, aussi ! arrête !
-Tu veux que j’arrête ? sourit férocement Roger en l’enculant un peu plus doucement.
-oui oui, arrête arrête, haa hooo, s’il te plait, haaa…
-Alors tu vas sucer ton gendre dit Roger. Sinon…
Il accéléra sauvagement ses mouvements de bites entre les fesses de ma belle-mère, l’enculant comme un sauvage. Toute sa graisse en tremblait, elle hurla, bavant partout, ses mains agrippées à la caisse.
-haaaaa aïe ! haaaaaaa non haaaaaa pitié haaaaaaaa !
Roger calma de nouveau ses coups de boutoirs, redevenant très doux. Ma belle-mère souffla de répit.
-Alors, tu vas le sucer ? redit Roger. Viens Laurent. Ça ne te plairait pas que ta belle-mère te suce ?
J’étais ébahi. Oh si, bien sûr, ça me plairait. Mais vu la situation, je n’étais pas très sûr… Mais bon, je bandais comme un malade là, et rien que d’imaginer la bouche de ma belle-mère autour de ma queue si dure, j’en étais fou.
J’obéis à Roger et m’approchait timidement d’un côté de la caisse sur laquelle se faisait enculer ma vieille belle-mère. Ma grosse bite en érection était tout près de son visage choqué.
-haaa, haaaa, hooo, ne va pas plus vite s’il te plait Roger, implorait ma belle-mère, toujours se faisant prendre le cul. Ne me fais plus mal haaa.
Elle mouillait à mort.
-Touche lui un peu la chatte aussi, Laurent, te gênes pas. Regarde, elle attend que ça en vrai. Elle ne veut pas se l’avouer mais c’est une bonne cochonne ta belle-mère.
Je n’avais plus aucune volonté, aussi je fis ce qu’il me disait… et posait ma main sur la chatte gluante de ma belle-mère, tandis qu’elle se faisait toujours enculer par Roger.
-Haaa hoooo non Laurent c’est mal, je suis ta belle-mère, haaaa, hoooo, tes doigts sur ma fente, les doigts de mon gendre… hoooo
Je commençais à la doigter, d’abord d’un seul doigt, puis deux. Et trois ; ça rentrait bien.
-Haaaa vous êtes fou hooo, je suis sa belle-mère, haaa, et vous m’enculez et me doigtez comme ça, haaa, comme une chienne, c’est horrible haaaaaaa hooo
Elle se tortillait de honte, mais aussi de plaisir, perdue. Et ses gros seins ballotaient toujours sur elle, en même temps que ses chairs généreuses. C’était clair qu’on la traitait comme une pute, là, à la sodomiser et la tripoter comme ça… mais c’était si excitant ! Elle était si bonne, avec ses grosses belles formes qui tremblaient.
-Bon, tu le suces ou je te défonce encore comme une brute, Simone ? fit soudain Roger en lui mettant quelques coups de bite plus appuyés dans le cul.
-Haa aïe ! gémit ma belle-mère en bavant ; ha non arrête ! Oui je vais faire… haaa… ce que tu veux.
Et elle empoigna alors ma grosse bite de sa main potelée, qui n’en faisait même pas le tour, pour commencer à l’astiquer avec énergie. Waooo ! Je sentis mon sexe qui gonflait encore.
-Sucer j’ai dit, pas avec ta main, dit Roger en continuant de la besogner comme une truie.
-Je le branle haaa hooo ça suffit ça… hooo haaa, je peux pas sucer mon gendre quand même… c’est haaa, non, c’est pas possible, pitié Roger. Sa voix était toute faible.
Sa chatte était trempée sous mes doigts. J’étais aux anges, à la fois masturbé par ma belle-mère, et en train de lui fouiller sa grosse chatte poilue, tandis qu’on l’enculait. C’était dément !
Roger lui remit des assauts bien violents dans le cul :
-Suce le j’ai dit.
-haaaa haaa aïe ! Ok oui arrête d’accord haaa hooo haaaaaaaa ! hurla ma belle-mère… avant d’engouffrer en hâte ma bite dans sa bouche.
Oh putain ! ça y était ! Ma belle-mère me faisait une fellation ! C’était incroyable ! Ma bite durcit encore, au point qu’elle me fit mal, dans la moiteur baveuse de la bouche de ma belle-mère… qui me pompait, me pompait encore, sans réfléchir à rien d’autre qu’à la bite de Roger qui ralentissait dans son cul de salope. Elle salivait, des filets de bave dégouttaient sur elle tandis qu’elle ouvrait grand la bouche pour me gober aussi bien qu’elle pouvait. Vu la taille de mon engin, ce n’était pas facile.
-mhmmm mhmmmm mhmmm, c’est tout ce qu’on pouvait l’entendre dire, maintenant, sa bouche toute entière rempli par ma grosse queue.
-oui voilà, c’est bien, commenta Roger en continuant de sodomiser tranquillement ma pauvre belle-mère. Mais fais ça mieux, avec application. Lèche le bien partout, son gland, tout le long de sa bite, ses couilles, puis suce le encore, bien profond… allez, vas-y cochonne, montre comme tu suces bien.
Obéissante, ma grosse belle-mère obéit. Et tandis que ses bourrelets s’agitaient toujours des coups de pines dans son cul, elle fit tout ce qu’il demandait. Elle me lécha le gland en gémissant, saliva dessus :
-haaa srp hooo slrp… oui Roger.. haaa slrp… oui je fais ce que tu veux, regarde haaaa hoooo
Elle lécha ensuite les bords gonflés de ma bite avec application, bavant partout en se faisant sodomiser. Et elle me suça les couilles :
-oui haaaa slrp slrp j’obéis oui haaaa hooo, reste comme ça Roger, pas plus fort haaa hooo srp slrp… mhmmm mhmmm
Elle avait repris ma bite en bouche, me pompant au rythme des coups de queue de Roger dans son anus. Je grognais de plaisir, proche de l’éjaculation :
-haaaa oui belle-maman, oui tu suces trop bien ! C’est génial ouiii haaa
Ma grosse belle-mère de 56 ans me suçait tout en se faisant enculer comme la dernière de putes ; c’était incroyablement bon. Et elle me suçait avec une énergie ! Tout son gros corps charnu en tremblait. Mes doigts s’activaient d’ailleurs à toute vitesse dans sa chatte, sans que j’y pense. Ma main était presque dedans, entourée de poil noir, visqueuse, c’est que je fistais quasiment ma belle-mère ! Et je sentais les coups de bites de Roger en elle, au travers de la fine paroi qui séparait sa chatte de son anus !
-mhhhm haaaa mhmmm slrp haaaaaa oui haaaaa, hoquetait-elle en se tortillant, un poing dans la chatte et une bite dans le cul… tout en me suçant et me léchant de plus belle, salivant partout, hagarde.
C’en fut trop, j’éjaculais dans sa bouche de gros torrents de sperme, elle suffoqua :
-ark haaa hooo erk ! Laurent hooo, dans ma bouche haaa non… Tu viens de jouir dans la bouche de ta belle-mère haaa haaa hooo.
Protestant pour la forme, mais bien plutôt occupée à jouir du cul et de la chatte, elle avait avalé une partie du sperme pour ne pas s‘étouffer, avant de tourner la tête de côté. Le reste de ma semence alla couvrir ses gros seins et son ventre, et la jungle noire et suante de son pubis.
Roger lui défonçait maintenant le cul comme une brute. Et j’enfonçais mon poing dans sa chatte trempée jusqu’à la moitié de l’avant-bras. Elle hurlait, agrippée fermement à la caisse, tandis qu’on la baisait et la sodomisait comme une grosse chienne en chaleur.
-Haaaaa ! salauds haaaaa hoooo ! Vous me baisez à mort ! haaaa ! Ca va profond ! On m’encule et on m’enfonce un poing dans la chatte ! haaaaa haaaa hooooo !
Elle ne savait plus ce qu’elle disait, elle était en transe, ses énormes seins qui roulaient sur elle, ses formes girondes et tremblantes agitées par nos pénétrations sauvages :
-T’es notre pute hein Simone ! Ça te plait hein !? gronda Roger dans des mouvements frénétiques de sa bite dans son gros cul.
-haaaa oui non haaa hooooo haaaaaaaaaaaaa, ma vieille belle-mère bavait, jouissait, ne comprenait plus rien.
-Oh oui belle-maman, t’es trop bonne, grognai-je en la fistant de plus belle.
-oh mon gendre ! haaaaaa hoooo ! Quel salaud tu fais ! Haaaaaa haaaa hooo, gémissait ma belle-mère à gorge déployée, dégoulinant de tous les trous. Comme tu me baises pendant que haaa, cet autre salaud m’encule ! haaaa hoooo haaaaaaaaaaa
-mais t’aimes ça hein, salope ! insista Roger.
-Haaaa hoooo ouiiiiii ouiiiiii j’aime ça salauds ! haaa, ce que vous mettez ! Vous me prenez comme une putain ! haaaa ouiii haaaaaaaaa haaaaaaaaaaa haaaaaaaaaaaaa
Elle acheva de jouir longuement dans des hurlements stridents… Roger éjacula dans son cul… et tandis que belle-mère restait sur le dos sans souffle, je sortis lentement mon poing de sa chatte ruisselante de mouille…
-haaa ha ha han pfff, haletait ma belle-mère, les yeux fermés… haa han pfff…
Putain ce qu’on lui avait mis, avec Roger, à ma cochonne de belle-mère !
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