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Mon fils m’a fait cocu (2)

Mon fils m’a fait cocu (2)



Je suis cocu

Ce vendredi, qui aurait pu être noir, je suis rentré nettement plus tôt que d’habitude, je savais qu’Eric était à la maison, ses examens étant que le matin.

Pour une raison inexpliquée, je me parquais dans le garage et ensuite sans faire de bruit, pour créer la surprise à mes chéris, je montais sans bruit avec une forêt noire pour le dessert, le posait à la cuisine et surpris, je ne les ai pas vu dans le salon, je montais discrètement à l’étage et là j’entendis des bruits qui ne laissaient pas le doute, on baisait dans notre chambre conjugale. Je reconnu la voix de mon fils et de ma femme, le doute n’était pas permis. Que faire ?

Toujours discrètement, je redescendais, ressortis et je suis parti me promener, j’avais besoin de faire le point.

« Quelle attitude devais-je adopter ? J’aurai dû m’en douter de les voir toujours collés l’un contre l’autre. La bandaison du fils me revient à l’esprit, ce n’était peut-être pas innocent déjà à l’époque. Quand ont-ils commencé ? Que faire ? Il faut dire que la situation m’excitait horriblement et j’étais encore plus horrifié par la réaction de mon corps. Je n’avais pourtant pas négligé ma chérie, régulièrement on baisait, c’est vrai, sans grande fantaisie et, mais elle se donnait plus que moi, je les adore les deux et sans eux, je ne pourrais pas vivre. Mais il y a trahison, Quand je pense que j’ai refusé les avances de ma secrétaire. Tiens, voilà une idée, si le week-end prochain je l’invitais, elle est encore plus jeune que Marie-Claude. »

Je retourne à la maison et je vais voir leurs réactions. En faisant suffisamment de bruits pour qu’ils ne soient pas surpris une seconde fois, je pénètre dans le hall d’entrée, me débarrasse de mon pardessus et je les retrouve sagement assis devant la télé. Je suis soufflé, est-ce que mon absence a été si longue ou en étaient-ils à la fin du rush ? Enfin, ce n’est pas important.

Nous prenons le repas du soir et je manifeste mon intention à Marie-Claude de nous retrouver dans la chambre.

Une fois installés dans le lit, je commence un petit interrogatoire :

— Cela fait depuis combien de temps ?

— Quoi ?

— Je suis rentré plus vite aujourd’hui et je vous ai entendu, il n’y avait pas de doute à avoir sur ce que vous faisiez dans notre chambre.

Là-dessus, Marie-Claude part en larmes, réaction bien féminine quand un problème est insoluble. Je la prends doucement dans mes bras et l’embrasse dans le cou.

— Ce n’est pas si grave que cela, dis-moi comment cela s’est passé ? Mais avant je veux contrôler quelque chose.

Je me dirige à pas de loups, à moins que ce soit d’indiens et l’ouvre brusquement et je vois mon fils qui a l’oreille collée à la porte.

— Tu fais quoi là, tu m’espionnes ?

— Non père, j’ai eu peur pour maman !

— C’est nouveau ça et pourquoi ?

— Je ne sais pas, mais j’ai senti que tu étais fâché contre elle.

— Je devrais à ton avis, pourquoi je serais fâché contre ma tendre épouse ?

— Je ne sais pas.

— Aurais-tu quelque chose à me dire à ce sujet ?

— Non.

— Alors file et n’écoute plus aux portes.

Je retourne dans la chambre :

— À quoi en étions-nous ? Ah oui, comment c’est arrivé ?

— En fait, cela fait longtemps que j’ai une inclinaison pour lui, cela s’est précisé pendant les dernières vacances, quand j’ai vu qu’il bandait comme un taureau pour moi, j’ai senti une boule dans mon ventre que je ne pouvais libérer qu’en baisant comme une forcenée avec toi, tu te rappelles ?

— Oui, je ne m’en plains pas, même si c’était dû à mon fils.

— Donc, avec ton départ, les choses se sont compliquées, je voyais ton fils qui bandait à longueur de journée, mal à l’aise et une fois je l’ai masturbé, ce qui n’a rien arrangé à mon excitation. Suite au fait que je l’ai branlé, il a voulu me rendre la pareille, mais je n’étais pas d’accord, non seulement par ce que je t’aime, mais je ne voulais pas compliquer la situation familiale. Le soir, on est allé dans notre chambre et je pensais qu’on passerait un moment agréable tranquille, mais il a absolument voulu me rendre la pareille et avec la boule que j’avais au ventre, mon sexe qui demandait, je n’ai pas pu résister à son envie. Cependant avant de continuer, je lui ai fait promettre que jamais il passerait devant toi et de ne jamais marquer son intérêt sexuel pour moi.

… Après, putain, le pied que je me suis payée avec sa bouche, Je n’aurai pas cru cela possible. Excuse-moi, mais c’est la vérité. Cela doit être un mélange d’interdit qui mêlé à cette situation et mon manque, j’ai littéralement explosé. Après, nous n’avons plus pu nous arrêter. Ce fut comme un voyage de noce, Eric, il est increvable.

… Depuis notre retour, on fait très attention pour ne pas t’alerter, mais on ne pouvait pas prévoir que tu rentrerais plus tôt. Voilà ce qui est arrivé, maintenant que vas-tu faire ?

— Cela n’est pas facile de trouver une bonne solution. Le divorce, cela voudrait dire que du négatif. Envoyer Eric dans une pension loin d’ici, pas bon également, cela aurait l’inconvénient que je connaîtrai la vérité à ses yeux et cela pourrait nous déstabiliser tous, la dernière solution, c’est de faire comme si je ne savais pas et continuer comme si de rien n’était, je dois t’avouer que quand je vous ai surpris j’ai eu l’érection du siècle.

— Je comprends le sacrifice que tu fais, tu es vraiment l’amour de ma vie, tout comme Eric, je crois que je ne pourrais pas me passer de vous deux.

— Cependant j’aimerais que tu me fasses un petit quelque chose pour moi.

— Tout ce que tu veux.

— J’aimerais que vos ébats soient filmés. j’achèterai demain une caméra et nous l’installerons. Ainsi, je pourrais bénéficier à double de vos étreintes et connaître tous vos débordements.

— Mon amour, viens, je me dois de me faire pardonner.

— Mais avant, j’aimerais que tu me promettes de tout faire pour qu’Eric ne soupçonne pas notre accord et quand je suis là, en aucun cas déroger à la règle maritale. Je dois et je veux rester le maître de la situation en aucun cas, je ne tolérerais que tu le fasses en dehors de nous.

Après une nuit agitée, où je réussis à la faire bramer plusieurs fois, nous nous sommes endormis repus dans les bras l’un de l’autre.

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