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L’ami de mon père 4

L’ami de mon père 4



Marie la femme de Julien apprend que sa mère, qui réside à plusieurs centaines de kilomètres, a été hospitalisée.
Comme elle se fait beaucoup de soucis mon amant la pousse à se déplacer pendant plusieurs jours pour aller la voir et se rassurer.
Après le repas du midi, il l’amène à la gare et attend avec elle sur le quai que le train arrive.
Comme il m’a prévenue la veille de l’absence de son épouse je me précipite chez lui dés que je le vois revenir et passer en voiture devant chez moi.

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<<ça ne te fait pas plaisir, tu n'as pas envie de moi, si tu veux que je m'en aille dis le moi franchement>>.
Sans attendre sa réponse je passe mes bras autour de son cou.
Je l’embrasse sur les joues puis pose mes lèvres sur les siennes.
Toute de suite sa langue vient à la rencontre de la mienne que je viens d’introduire dans sa bouche.
Nos langues se livrent une bataille acharnée dans de longs baisers après qu’il aie mis ses bras autour de ma taille.
Je frotte mes seins contre son torse et mon ventre contre le sien.
Sa réaction est immédiate, ses pulsions sexuelles prennent le dessus et sa queue prend rapidement de bonnes proportions.
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Je le suis et arrivés dans la pièce mon regard se pose partout dans cet endroit que je ne connaissais pas.
Marie sa femme, qui lui sert aussi de comptable a un excellent goût.
Il retire la couette puis étale une grande serviette de bain sur les draps.
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<Puis allongés sur le lit nous nous caressons partout sans nous attarder sur un endroit précis pendant un moment.
Les caresses deviennent plus précises.
Pendant que je caresse et masturbe doucement son pénis bien érigé et après qu’il s’en soit pris à mes seins et mes tétons sa main est descendue sur mon sexe.
Je me mets à genoux les fesses tournées vers lui afin de m’occuper de sa verge mais il veut autre chose et je me retrouve tête-bêche sur lui.
Pendant qu’il doigte mon anus sa langue passe de ma chatte à mon clitoris.
Après avoir embrassé et léché ses cuisses j’en fais autant sur ses bourses puis sa queue.
J’insiste sur le gland que je lèche, suce et aspire.
J’apprécie les sensations causées par la langue de mon amant sur mon bouton ou quand elle explore ma chatte cherchant à s’y introduire profondément.

De plus en plus excitée je ne résiste pas à l’envie de prendre le membre dans ma bouche.
Et si je commence la fellation avec des aller-retour lents, rapidement j’accélère les mouvements de mes lèvres sur la queue.
Je n’ai pas besoin d’attendre longtemps avant que son membre ne gonfle encore puis tressaute pendant qu’il éjacule dans ma bouche.
Après avoir avalé le sperme je continue à sucer pendant que des doigts s’agitent dans ma chatte et mon anus et que mon clitoris est masturbé de plus en plus violemment.
Je sais qu’il continuera à martyriser mes orifices et mon bouton tant qu’il n’aura pas atteint le résultat qu’il cherche.
Le plaisir monte de plus en plus dans mon ventre et mes gémissements sont atténués à cause de la queue qui est dans ma bouche.
Arrive le moment où je laisse sortir le membre de ma cavité buccale et où je les gémissements deviennent râles puis cris.
Mon corps se cambre, des jets de cyprine sortent de mon vagin pendant que je jouis.

Une fois que je suis allongée sur le dos Julien qui est toujours en érection s’allonge sur moi et me pénètre.
Tout en pelotant mes seins ou torturant les tétons avec une main il donne de bons coups de reins pour faire aller et venir sa queue dans ma chatte.
En faisant bouger mon bassin en rythme avec lui j’accompagne ses mouvements tout en gémissant car le plaisir n’a pas beaucoup baissé dans mon ventre.
Il s’active pendant un petit moment avant que je ne sente sa verge s’agiter dans ma grotte et y déverser du sperme.

Dés que sa queue sort de mon intimité et que Julien s’allonge, je me mets à genoux les fesses tournées vers lui.
Je caresse sa poitrine puis son ventre avant que mes mains ne descendent sur ses cuisses et enfin sur son sexe.
Il profite de la position dans laquelle je suis pour doigter mon anus et masturber mon clitoris sans s’occuper du sperme qui s’échappe de mon vagin.
Sa verge bien gluante reprend vite du volume quand je la masturbe d’abord doucement puis de plus en plus énergiquement.
De nouveau je la prends dans ma bouche et lui fais une fellation.
J’essaie de me contenir car il ne me fait pas de cadeaux, les sensations dans mon ventre remontent vite avec ce que ses doigts font subir à mon anus et surtout à mon bouton.
C’est trop dur pour moi, j’arrête de sucer de temps en temps et suis de plus en plus bruyante.
Ce n’est qu’après que j’ai de nouveau joui qu’il laisse mon corps tranquille.

Mon amant me prend en levrette, sa queue s’enfonce dans mon anus.
Pendant qu’il me sodomise il s’en prend également un peu à mes seins et mes tétons puis il se met de nouveau à masturber sans douceur mon clitoris.
Les reins creusés et la tête dans les draps je mords ceux-ci, cela doit motiver mon amant de m’entendre gémir et râler car il accélère encore les mouvements de ses doigts sur mon bouton.
Il n’arrête même pas de me défoncer le cul pendant que j’ai un orgasme avec ses spasmes qui m’agitent.
Et le plaisir ne baisse pas dans mon ventre pendant que sa queue continue à aller et venir dans mon fondement.
Enfin le membre tressaute pendant qu’il se soulage dans mon corps.

Après un petit moment de repos allongés côte à côte Julien caresse ma poitrine puis mon ventre.
Je comprends ce qu’il attend de moi.
Afin de remettre mon amant en forme je me mets à genoux et j’alterne masturbation et fellation de sa queue.
Je m’active le temps qu’il faut pour arriver à faire bander mon partenaire correctement.
Ensuite je fais aller et venir ma bouche sur la verge pendant un petit moment pour m’assurer que son érection est durable.
je me mets à califourchon sur lui et m’aidant d’une main je fais pénétrer la queue dans ma chatte.
Je fais bouger mon corps pour la faire aller et venir dans mon intimité.
Tout en gémissant je m’active pendant un bon moment avant de laisser sortir la verge de ma grotte et de me l’enfoncer dans l’anus.
De nouveau je fais bouger mon corps et il faut un bon moment pour que j’arrive à le faire jouir.

Allongée sur le dos je récupère un peu et le plaisir baisse dans mon ventre.
Julien se met encore à martyriser mon clitoris avec ses doigts, j’écarte bien les jambes pour lui faciliter l’accès à mon sexe.
De nouveau excitée je reprends la masturbation puis la fellation du membre de mon amant.
Je m’active avec ardeur car mon bouton qui est maintenant bien échauffé et érigé ne cesse pas d’être torturé.
Mon amant suit la montée du plaisir en moi en se fiant à l’augmentation de mes gémissements et râles et quand je crie il sait que je vais jouir de nouveau.
Il me faut un moment pour le remettre en forme.

Enfin il laisse en paix mon bouton qui est très énervé.
Je me retrouve allongée sur le dos les jambes repliées et relevées.
La queue de mon amant qui me défonçait la chatte pénètre maintenant dans mon cul.
Il me sodomise pendant un moment avant de changer de nouveau d’orifice.
Je gémis et râle pendant qu’il alterne les pénétrations de ma grotte et de mon anus et cela dure pendant un long moment.
Il ne s’arrête de me défoncer que pendant le temps où j’ai un orgasme et il reprend les va-et-vient dés que je suis un peu calmée.
Il se passe du temps avant qu’il ne se soulage dans mon cul.

Il m’a bien fatiguée et je ne suis pas très fringante quand je vais dans la salle de bain.
Une fois rhabillés nous buvons un verre.
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Je retourne chez moi après l’avoir embrassé.

L’absence de Marie tombe bien, je n’ai pas de cours pendant deux semaines c’est une période de congés.
Hors la période de menstrues, qui du coup tombe mal, je vais pouvoir coucher avec Julien dans la journée à chaque fois qu’il sera disponible.
Concernant mes parents je trouve une excuse à mes absences: je vais aider leur ami Julien pour que sa maison soit bien tenue pendant l’absence de son épouse.
Ils me félicitent pour mon dévouement.

C’est la troisième fois que je viens chez mon amant, je m’étonne de voir certains ustensiles posés sur le lit.
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Nos ébats commencent comme d’habitude en nous embrassant puis caressant.
Il se met tête-bêche sur moi.
J’embrasse puis lèche ses testicules et son pénis avant de prendre celui-ci dans ma bouche et de commencer une fellation.
La langue de mon amant fouille ma chatte ou s’active sur mon clitoris.
Un doigt s’agite dans mon anus, le but est de l’élargir pour faciliter une pénétration.
Comme d’habitude il ne met pas longtemps avant d’éjaculer dans ma bouche et il ne me laisse pas continuer la fellation après que j’aie bu le sperme.

Il se déplace et se met à genoux entre mes jambes, la suite diffère.
Il introduit un gode en position vibreur dans ma chatte et tout en embrassant et léchant mes seins ou suçant et mordillant les tétons, il fait aller et venir l’objet dans mon intimité.
Après un moment c’est dans mon anus qu’il l’enfonce et le fait bouger.
Les sensations très agréables que je ressens sont différentes de celles d’une verge.

Pendant que le gode qui vibre fait des va-et-vient dans mon cul Julien s’est saisit d’un vibromasseur qui vibre beaucoup plus fort et dont il pose la tête sur mon intimité, je sursaute car les sensations sont très fortes.
Mon corps bouge et je deviens vite bruyante, la torture dure un petit moment avant qu’il ne déplace l’engin sur mon clitoris.
Là c’est pire que s’il le masturbait, je ressens très fortement les vibrations et le plaisir dans mon ventre s’amplifie rapidement.
Je ne gémis plus mais je crie pendant que mon corps s’agite.
Quelques minutes suffisent pour que je sois secouée par des spasmes et que l’orgasme arrive avec les giclées de cyprine qui s’échappent de mon vagin.
Le plaisir n’a pas vraiment le temps de redescendre que mon partenaire remet ça avec le vibromasseur qu’il continue à appliquer sur mon bouton après l’avoir un peu déplacé sur l’entrée de ma chatte.
Il ne lui faut pas longtemps pour m’amener de nouveau à la jouissance.
Il recommence plusieurs fois et les orgasmes se succèdent avec à chaque fois le liquide qui sort de mon vagin, coule entre mes fesses et mouille la serviette de bain qu’il a mis sous moi.
Quand il cesse d’utiliser ses engins de torture je suis dans le gaz.

Julien s’allonge sur moi, sa queue s’enfonce dans ma grotte dégoulinante de mouillure et y fait des va-et-vient pendant un moment.
Les aller-retour du membres engendrent un bruit de clapotis du à la mouillure abondante qu s’ajoute à mes râles incessants.
Il replie et relève mes jambes.
La verge sort de ma chatte et pénètre facilement dans mon anus qu’il se met à défoncer à grands coups de reins.
Il ne faut pas attendre très longtemps avant que sa queue ne tressaute dans mon cul et qu’il ne s’y soulage de son sperme.
Je suis KO et il me faut du temps pour émerger, lui s’est lavé et rhabillé pendant que je suis toujours là, allongée et nue sur le lit.
Je dois faire un gros effort pour aller sous la douche où je passe du temps en faisant varier la température de l’eau.
Je me rhabille et quitte mon amant après l’avoir embrassé.

Il me réservera encore le même sort plusieurs fois en l’absence de Marie sa femme.
Puis celle-ci sera de retour et nous continuerons à nous voir à la sauvette sur son lieu de travail ou dans une chambre d’hôtel.
J’aime beaucoup Marie mais je n’ai pas de remords avec le fait que son mari la trompe avec moi, l’insouciance de la jeunesse certainement.

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