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Balade fétichiste d’Adeline à moto

Balade fétichiste d’Adeline à moto



Bonjour.
Suite à mes histoires de motards, Une motarde (touteddecuir) ma écrit ce récit que je vous livre aujourd’hui.
Voici l’histoire d’Adeline et Eric.

Salut Michèle !
Merci pour ton message et ton activité sur le site.
Tu nous excites beaucoup avec mon mari dans tes récits. Tu sais parler de motos et ça me fait mouiller à fond.
Nous sommes motards comme vous et on adore s’exciter sur nos motos et en parler. Tout est prétexte pour s’échapper et baiser après une bonne virée vêtu de cuir. Nous sommes fétichistes. On baise le plus souvent en combie avec nos gants. Bref j’adore être sa pute en cuir.
Ton récit de balade à moto en montagne avec Alain nous a bien inspiré. Je me suis bien faite prendre . Nous allons te faire part de nos récits bien chauds. On est friands de commentaires bien hard. A très vite les bikers. Bises motardes.
En y repensant, écrire cette histoire me fais tellement mouiller ! Je n’ai pas ton talent. J’espère que ça t’excitera et te donnera des idées qui sait..
Mon mari Eric et moi avions envie de ressortir nos motos en Septembre pour profiter de l’été indien du Sud-Est, aux alentours de Marseille où nous résidons. Nous connaissons les endroits les plus hots pour se faire plaisir comme les gros accros du sexe que nous sommes. Eric me lance un regard coquin en me tendant mon jean en cuir et ajoute:
« Enfile ton cuir ma belle salope. On part en ballade. J’vais te baiser comme tu le mérites ! »
Je lui réponds déjà excitée :
« Il me tarde de m’occuper de ta belle queue de motard en rut ! »
J’enfile mon cuir coupe 501. Ce jean me fait un cul d’enfer . Mon mari quand je le porte n’arrête pas de me peloter le cul. Harnachée de mon blouson, mes bottes et mes gants je suis prête à enfourcher mon engin. Je porte mes cuirs à même la peau sans sous-vêtements.Sans sous-vêtements bien entendu. Mon mari quand à lui revêt sa superbe combie intégrale full cuir. Je le dévore des yeux. J’ai une envie folle de lui pomper son gros dard sur le champs. Son membre se dessiner à l’entre jambe à travers le cuir et ça m’électrise.
Une fois dans le garage notre excitation est à son comble. Il enfourche sa kawa 800Z et la fait rugir au démarrage. Les vrombissements rauque de sa machine me prennent au ventre et ont le don de me chauffer. Il enfile son casque et me demande :
« Approche-toi ma pute et caresse ma queue salope ! Regarde la trique que tu me mets grosse pute ! »
Il n’a pas besoin de me le dire deux fois. Je masse sa teub de ma main gantée en lui murmurant :
« J’ai hâte que tu me démonte avec ton gros machin ! »
Eric fait rugir sa bécane de plus belle en me lançant :
« Monte sur ta bécane ma salope et passe devant ! J’veux te mater l’cul en roulant. »
Je lui fais un clin d’œil et enfourchant ma speed triple, je lui dis :
« Rince toi l’œil mon motard. J’te veux bien dur pour tout à l’heure ! »
A chaque feu rouge nous en profitons pour nous mater et nous chauffer. Sa virilité m’excite quand il est sur sa grosse machine. Je mouille mon cuir à tel point que ma cyprine en graisse ma scelle. Je lui en fa is part.
« Je mouille comme une chienne mon chéri. J’suis prête à recevoir ton braquemart!! »
« J’vais te soulager comme il faut ma grosse pute ! Tu n’es qu’un sac à queues qui mérite de prendre cher ! »
Nous continuons notre périple en imaginant la halte torride qui nous attend. Sortis de la ville, nous garons nos motos en bas de notre route départementale favorite pour enchaîner les virage. Il me dit :
« Viens derrière-moi que je sente ta poitrine de chiennasse dans me dos ! »
Je saute sur sa moto et me colle à lui en m’emparant de sa grosse bosse. Quel bonheur de le sentir si dur au contact de mes mains. Il enfile les virages à vive allure et j’ai une envie folle de lui sortir la queue pour le branler. Les vibrations de a bécane et l’odeur du cuir m’excite follement. Je lui cris dans le casque :
« Tu va me faire jouir si tu continues de piloter comme ça, j’adore ! « 
Je le sens presque à point et j’en salive à l’avance. Submergés par l’excitation, nous nous trouvons un coin tranquille sur le côté de la route. Nous sommes à peine cachés au cas où un pervers s’arrêterait pour nous mater. Nous descendons de son engin. L’odeur du moteur se mêle a celle de nos cuirs. Je me mets immédiatement à genoux face à son entrejambe. Il me sourit et m’ordonne :
« Pompe ma grosse queue salope ! »
Je ne me fais pas prier. Je sors son engin et me lance dans une pipe comme je sais si bien lui faire. Il gémit en me demandant :
« T’as pris ce que je t’ai demandé ? »
Je sors sa verge de ma bouche pour lui dire :
« Bien sur mon amour. »
Je sors de l’intérieur de mon blouson une paire gants en cuir fin noir que j’enfile immédiatement en lui lançant un regard coquin tout en me léchant les doigts.
« Tu aimes sentir ma main experte sur ta belle verge ? »
Mon autre main lui malaxe les grosses bourses pleines de bon foutre. Il m’encourage :
« Vas y ! Branle moi bien ma belle motarde. Tu vas pas tarder à me présenter ton cul et prendre bien chére sur ma bécane. »
Il me relève, me retourne, baisse mon jean et me pénètre avec force. Je me cambre au mieux sur la scelle pour bien le sentir en moi. Ses vas et viens dans mon con se font avec de plus en plus d’ardeur. Je me transforme en femme fontaine sous ses coups de boutoirs. je lui cris :
« Défonces-moi mon chéri ! J’suis ta pute ! »
Il décide alors de me sodomiser. Je suis en transe, complètement soumise et comblée. Quand il me pénètre le cul, son habileté ne tarde pas à me faire jouir. Mon orgasme est puissant, douloureux, extrême. Je suis épuisée. Il n’a pas encore joui. Il se retire. Jje remonte mon cuir alors qu’il se branle en me regardant. Il est sur le point d’éjaculer. Il me dit :
« Il est parfait ton cul moulé dans ce jean. J’vais te souiller l’cul comme tu l’merites ! »
Nous nous rhabillons intégralement, casques compris. Seule sa queue dressée sort de sa combine. Il est tellement viril est sexy. J’en mouille tant. Avant de lui présenter mon cul, je remet le contact de la moto prêt à repartir dans la foulée. Je lui présente mon cul, main sur la poignée de gaz en rythme de sa masturbation.
« Vas-y mon beau motard jute sur mon cul ! »
Dans un grognement, les premières giclées salope mon cuir et ruissellent jusqu’à mes bottes. Il éjacule en abondance à un point que c’est une vraie fontaine. Il se vide bien les couilles sur moi et j’adore ça.
« T’es trop bonne ma pute ! En scelle maintenant et cambre toi bien à l’arrière pétasse. Qu’on voit bien que t’es couverte de foutre. »
Mon mari remet alors les gaz, et je me sens bien cochonne accrochée à lui. En enroulant les virages, je me dis que j’espère que nos ébats ne sont pas passé inaperçu sur la route.

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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