Il y a quelques jours, j’ai reçu ce message d’une femme sur ma messagerie XHamster :
Bonjour Scribouillard,
Je ne sais pas qui vous êtes, mais les textes que vous écrivez m’excitent particulièrement, surtout les plus pervers et les plus intenses, comme « Les bûcheronnes ».
Il se trouve que j’ai un fils de dix-huit ans prénommé Quentin (1) – j’en ai moi-même vingt de plus. Lorsque son père a brutalement quitté la maison afin de rejoindre sa maitresse, j’en ai beaucoup souffert, mais Quentin, bien plus encore.. J’ai découvert qu’il passait le plus clair de son temps à se masturber en regardant des vidéos pornographiques, au lieu de faire ses devoirs de lycée : pas étonnant qu’il ait de mauvaises notes ! Vous me direz que c’est là une chose qui est naturelle et bien de son âge, mais il a développé une vraie addiction à ces images. Il faut dire que moi-même, également, seule dans mon lit devenu trop grand… bref ! Telle mère, tel fils.
Un matin, je me suis introduite discrètement dans sa chambre alors qu’il procédait à son activité habituelle, affalé sur sa chaise et braguette ouverte, je me suis assise à côté de lui et je lui ai tendrement caressé la main qui empoignait sa verge, pour l’encourager à poursuivre son geste indécent. J’avais très peur qu’il s’enfuie, ou bien se mette en colère. Il a visiblement rougi, mais il s’est laissé faire. Je lui ai souri, pour le mettre en confiance. Sur l’écran, un couple de jolies lesbiennes de Sapphic Erotica s’en donnait à cœur joie, à petits coups de langues sur des pubis parfaitement glabres, ce qui ne me laissait pas, non plus, indifférente : je mouillais dans ma culotte autant que Quentin suintait de rosée du désir. Il m’a montré la séquence qu’il préférait, lorsqu’une jeune blonde qui devait avoir son âge jouissait à petits cris, sous l’effet du cunnilinctus de la brunette ; l’ébat lesbien avait lieu en plein air.
Il se touchait lentement, sans trop serrer, pour faire durer la volupté. Lorsqu’il a finalement éjaculé, j’ai été surprise par l’abondance de sa semence : une véritable fontaine à « foutre » qui, en petits jets successifs, n’arrêtait pas de m’arroser la main ! À l’oreille, il m’a juste dit : Merci, Maman. Je me suis sentie terriblement coupable d’être intervenue dans son moment d’intimité personnelle, mais en même temps, l’excitation sexuelle me tournait la tête. Je me suis léché les doigts pour me délecter de ce sperme filial salé, chaud et velouté à souhait. Puis je me suis précipitée dans ma chambre afin de m’adonner au plaisir solitaire au moyen de mon vibromasseur qui a fonctionné à plein régime. Je rêvais que Quentin vienne me rejoindre sans tarder. Il m’aurait très tendrement sucé la chatte, à la place de cet objet performant, mais froid et sans âme. Mais je suis restée seule avec mes fantasmes et le souvenir du geste tabou que je venais d’accomplir. J’ai pleuré et mes larmes se sont mêlées aux quelques gouttes de semence qui restaient sur mes mains maternelles. Ce jour-là, l’engrenage a commencé.
Les semaines suivantes, j’ai pris l’habitude de lui proposer de regarder avec moi des vidéos de sexe sur notre télévision, assis côte à côte sur le canapé. Ou bien, nous imprimons un texte érotique comme, par exemple, l’un des vôtres, et nous le lisons ensemble. J’aime bien qu’il les prononce à haute voix, en répétant les paragraphes les plus émoustillants, comme lorsque l’Amazone se fait bouffer par un rat après avoir été longuement torturée par le narrateur. Je préfère qu’il soit complètement nu pour cela, ou à la rigueur, qu’il garde ses chaussettes s’il a froid aux pieds. Je lui agite la tige en la serrant à pleine main, comme il m’a montré, mais souvent, il préfère se branler lui-même et je lui chatouille les bourses en même temps. Il est un éjaculateur impressionnant, capable de venir au minimum cinq ou six fois dans la journée, avec à chaque fois deux ou trois bonnes giclées blanches comme du lait, qui maculent le tissu de longes traînées. Nous vivons dans un foutoir qui sent le fauve à plein nez. Il arrive quelquefois que je lui tende un verre afin de recueillir son nectar masculin que je bois pur ou bien mélangé à un peu de vodka. Lorsqu’après avoir trop donné, il commence à fatiguer et qu’il bande moins bien, je lui demande de relever les cuisses afin d’accéder à son orifice anal ; j’y introduis un doigt lubrifié de salive et je lui masse longuement la prostate. À chaque fois, sa verge se redresse. Il adore ce geste.
Pour la fête des Mères, il m’a offert un gode-ceinture, long, épais, rose fluo, pour que je le sodomise pendant qu’il se malaxe le pénis. Il me le réclame sans cesse, quitte à se mettre à genoux, tout nu, et me bécoter les orteils pour que j’accepte de l’empaler sur ma tige de plastique. Cela me trouble tant que j’accepte à chaque fois – oh, que je me sens coupable de céder ! Parfois, je suis si excitée que je relève ma jupe, et je fourre mes doigts sous ma culotte, lorsque j’en porte une, pour rouler mon clito sous mon majeur, pendant que Quentin lèche mes pieds avec application. Il me demande d’éviter de me laver pour que mes odeurs, qu’il adore, soient plus puissantes. Scribouillard, il faut que vous sachiez que depuis mon adolescence, sous l’effet de la masturbation comme d’un rapport sexuel, je suis une femme fontaine : je gicle des geysers de mouille que Quentin lape dévotement sur la moquette, en essayant de ne pas en perdre une seule goutte.
Pendant les repas dans la cuisine, il lui arrive de se mettre à quatre pattes pour me brouter le minou, en fourrant sa langue aussi loin qu’il peut dans mon vagin – oui, celui-là même par lequel il a vu le jour, et je le laisse agir non seulement sans protester, mais en l’encourageant en plaquant sa tête contre ma vulve toute poilue avec ma main, voire en serrant les cuisses pour qu’il ne puisse pas se dégager, au cas improbable où il voudrait me refuser l’orgasme ! Oh, comme je suis une mauvaise maman, pour accompagner mon fils sur le chemin de la perdition !
La semaine dernière, j’ai passé un nouveau cap sur la route de la perversion, en invitant ma sœur Catherine à assister à nos ébats. Elle et moi avons toujours été très proches et je lui ai tout raconté, sans omettre un seul détail lubrique. Elle m’a demandé à être témoin de nos relations qui sont pour le moins inappropriées, et j’ai accepté. C’était dimanche, à l’heure du thé. J’ai demandé à Quentin de se déshabiller devant nous, qui restions vêtues, histoire de déstabiliser un peu ce garçon pudique. Il était juste autorisé à garder ses lunettes et sa montre. Catherine a examiné mon fils comme si elle était médecin, lui a tripoté les organes génitaux, les a même mesurés avec un centimètre de couturière, avant d’enfoncer son index dans le trou d’entre les fesses, ce qui lui a procuré une très belle érection. Elle m’a félicité, parce qu’il est vrai qu’il est un beau garçon. Puis elle a enfilé le gode-ceinture qu’elle transportait dans son sac à main, et lui a demandé de s’asseoir sur elle, en lui tournant le dos. C’était un chibre énorme, hors normes, un truc effrayant, vraiment brutal. Ma petite sœur avait vraiment l’intention de défoncer la rondelle de mon fils ! Afin que vous puissiez en juger, j’ai pris une photo :
Pourtant, il s’est enfilé la tige sans difficulté, habitué qu’il était, jusqu’au fin fond de sa gaine rectale, ce qui lui déformait le ventre en une jolie bosse au niveau du nombril. Elle lui a chatouillé les couilles ; il fallait qu’il se branle.
Ensuite, à la demande de Catherine, je me suis mise à genoux devant le couple, et pour la première fois, j’ai prodigué une fellation jusqu’au fond de ma gorge à mon fils chéri. Celui-ci était, exceptionnellement, à jeun de sexe depuis la veille. Le gode lui appuyait sur la prostate, en allées et venues, d’une manière de plus en plus insistante. Quentin haletait, gémissait. Catherine lui ordonnait de se retenir le plus longtemps possible, mais il n’en pouvait plus. Je sentais sa verge palpiter sur ma langue. Quand il est venu, j’ai tout bu. Enfin, j’ai essayé, parce qu’une bonne partie a débordé de ma bouche. Il y en avait des litres – j’exagère à peine ! Catherine est restée jusqu’au lendemain matin et nous avons eu encore d’autres relations comme celle-là, toute la soirée et une bonne partie de la nuit.
Je me dois d’ajouter que Quentin ne va plus au lycée depuis la Toussaint. Il n’aura pas son bac cette année. J’ai également abandonné mon job de caissière dans un supermarché. Nous restons tous les deux dans notre appartement et nous passons tout notre temps à baiser. Quand nous n’aurons plus d’argent, je crois que je vais me prostituer.
Maintenant, nous dormons toujours dans le même lit, celui qui accueillait son père lorsque celui-ci était là. Quentin est très amoureux de moi. Il veut me féconder, pour que je lui fasse un enfant. Je ne prends pas de contraception. Nous n’avons encore jamais eu de relation sexuelle avec pénétration vaginale. Qu’en pensez-vous ? Peut-être que vous Scribouillard, qui savez raconter des histoires obscènes, ne jugerez pas trop sévèrement une mère qui s’écarte du droit chemin, pour prendre une direction radicalement opposée. Vous pouvez publier mon témoignage si vous le souhaitez, à condition de ne pas révéler mon identité ni même mon pseudonyme.
Bien à vous,
L’une de vos lectrices.
(1) J’ai changé les prénoms.
PS : je vous ai ajouté une photo de moi, en train de sodomiser mon fils, prise par Catherine qui est passée hier soir. Tous les trois, nous avons partouzé toute la nuit.
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