J’ai 18 ans et j’ai un frère qui a 15 ans. Il est très sportif, il fait de la natation depuis qu’il a 6 ans, donc il est bien musclé, pectoraux, biceps et abdos. En plus il est bogosse, il a une gueule d’ange. Il me plaît bien et ça me fout la honte, parce que parfois je me branle en pensant à lui.
Il y a quelques mois j’ai commencé à piquer discrètement ses slips ou boxer, le soir dans le panier à linge sale pour les renifler. Ça m’excitait à mort de sentir l’odeur de son sexe, un mélange d’odeur de mouille, de sperme et de pisse.
Un jour, au printemps, j’avais pas cours l’après-midi alors j’en ai profité pour prendre le boxer de la veille de mon frère et le sniffer en me branlant. J’étais dans ma chambre, assis sur mon lit, avec mon jean et mon slip baissé sur mes genoux, et je sniffais son boxer en me branlant. Julien est rentré de cours et je ne l’ai pas entendu. Il est entré dans ma chambre sans frapper. Je suis devenu tout rouge, j’ai commencé à remonter mon jean. Il a sourit, est rentré et a refermé la porte derrière lui. Il a dit: « Fais comme si j’étais pas là, c’est normal de se branler… C’est un peu zarb que tu renifles ton boxer, mais bon, c’est ta vie, hein! » Et puis tout à coup, il a réalisé que c’était pas mon boxer, mais un des siens. Il l’a dit, ça l’a fait rigoler et je suis devenu tout rouge, j’ai eu honte et je me suis senti humilié mais ça m’a fait bander.
Il m’a dit qu’il savait que j’étais gay, il était tombé sur des photos de mecs sur mon ordi. Et il m’a dit de continuer à sniffer son boxer. Moi je voulais pas mais il a insisté d’un ton assez sec, et il m’a dit que si je sniffais pas son boxer devant lui, il dirait à nos parents ce que je faisais quand il est rentré dans ma chambre. Alors j’ai sniffé. Il s’est assis sur une chaise et m’a regardé. Puis il m’a dit de me foutre à poil, que je serais plus à l’aise pour me branler, et de m’asseoir par terre. J’ai protesté mais il m’a encore menacé de tout raconter, alors je l’ai fait.
J’étais assis par terre parce qu’il m’avait demandé de me mettre par terre. Il revenait du sport. Il m’a dit qu’il avait la flemme de se pencher pour enlever ses baskets alors il m’a demandé de les enlever. Je trouvais ça excitant alors je l’ai fait. Alors il m’a dit: « Puisque tu as l’air d’aimer l’odeur de mes sous-vêtements, t’as qu’à sniffer mes chaussettes! » J’ai rougi parce que je m’étais déjà branlé en pensant à ça et le simple fait qu’il le dise, m’a fait rebander et il s’en est aperçu. Il m’a dit: « Apparemment, t’en meurs d’envie, alors vas-y! »
Alors j’ai commencé timidement à les renifler. Il puait pas des pieds, c’était une odeur plutôt agréable. Puis il m’a dit que puisque je reniflais comme un petit chien, fallait que je me mette à quatre pattes comme un petit chien. Je l’ai fait et il a appuyé son pied sur mon visage et l’a frotté sur mon visage pour bien me faire sentir sa chaussette. Je me suis senti très humilié, et en même temps ça m’a beaucoup excité de faire ça et d’obéir à ce que me demandait mon frère. C’était d’autant plus humiliant (et excitant) que c’est moi l’aîné, et lui le « petit » frère, et que là c’était moi qui étais à sa disposition.
Après il m’a demandé d’enlever ses chaussettes et de lui lécher les pieds. Je l’ai fait aussi et ça m’a super excité. Et après il est sorti de ma chambre sans dire un mot de plus, il est allé dans sa chambre et je l’ai revu qu’au dîner. J’ai eu super peur qu’il dise quelque chose aux parents. Parfois il me regardait d’un air moqueur mais il m’a aussi fait un clin d’oeil qui m’a rassuré. Son regard sur moi m’excitait, d’ailleurs je me suis mis à bander, mais il m’a fait bizarre aussi. On est allé se coucher et il ne m’en a pas parlé. C’était un jeudi.
Le week-end suivant, mes parents partaient chez des amis. Ils sont partis directement après leur boulot le vendredi après-midi, donc on était tous les deux seuls tout le week-end. Quand nos parents nous avaient dit, 15 jours avant, qu’on serait seuls ce week-end là, j’étais content, mais après ce qui venait de se passer, j’appréhendais de me retrouver seul avec lui, j’avais peur qu’il m’en reparle et qu’il se moque de moi.
Le vendredi soir quand Julien est rentré, il est venu dans ma chambre. Il m’a dit tout de suite: « Déshabille toi! » Je lui ai répondu: « Mais t’es fou? » et il a conclu: « Si tu fais pas ce que je te dis, tu sais ce qui se passera. Alors dépêche. » Je me suis foutu à poil, je bandais déjà. Il m’a dit: « Tu vois, on dirait que ça te plaît, alors pourquoi tu protestes? » Il m’a dit de me mettre à quatre pattes, de venir devant lui en marchant à quatre pattes, d’enlever ses skets et de sniffer ses chaussettes.
Je l’ai fait et après j’ai dû lécher ses pieds comme la veille. Après il a enlevé son jean et son boxer et m’a tendu son boxer en me demandant de le renifler. Et je l’ai fait, je bandais comme un fou. Et après, il m’a dit: « Lèche-moi la bite! » Moi j’ai rougi et j’ai dit: « T’es fou, je peux pas, je suis ton frère! » Il m’a donné une baffe. C’est parti tout seul. Comme il est assez musclé, ça m’a fait mal, j’ai été super surpris et j’ai senti que les larmes me venaient aux yeux. Il a dit: « Quand je te donne un ordre, tu discutes pas, tu obéis! Ne proteste pas, j’ai tout pigé, j’ai bien compris que tu kiffais le fait d’être dominé! »
Quand il m’a baffé, ça m’a fait débander et quand il a dit ça, mon érection est revenue. Alors je l’ai sucé. Quand j’ai senti qu’il allait jouir, j’ai voulu me retirer mais il m’a attrapé par les cheveux et a tiré ma tête vers lui. Il a joui dans ma bouche et m’a dit d’avaler. J’avais pas le choix, il me tirait les cheveux et il est plus fort que moi. Alors j’ai tout avalé. En fait, je fantasmais depuis un moment sur le fait d’obéir et d’être un peu soumis…
Il m’a dit de m’allonger sur la moquette sur le ventre, jambes écartées et mains derrière la tête, qu’il sortait un moment et que je ne devais pas bouger jusqu’à ce qu’il rentre. Je l’ai fait. Il m’a dit de fermer les yeux. Je l’ai senti fouiller dans le tiroir de mon bureau et il est parti, j’ai entendu la porte de l’appart claquer. J’ai hésité à me relever, en me disant que de toute façon je l’entendrais rentrer dans l’appart et que je pourrais vite me rallonger… Et puis j’ai eu l’impression que je trahirais sa confiance en faisant ça. Et juste après je me suis dit « Merde, avec ce qu’il me demande de faire, il mérite que je trahisse sa confiance! » Mais j’ai réalisé que ça me plaisait et que j’avais envie de lui obéir, même s’il ne pouvait pas vérifier, alors je n’ai pas bougé.
Je n’ai pas ouvert les yeux donc je sais pas combien de temps il est parti, c’était pas évident de deviner. Je l’ai entendu rentrer. Il est venu dans la chambre et m’a dit de me mettre à quatre pattes et d’ouvrir les yeux. Il tenait dans les mains un collier de chien en cuir. J’ai tout de suite compris où il voulait en venir et ça m’a fait bander illico. Il l’a vu et s’est marré en disant: « T’es vraiment trop une salope mon frère! »
Il m’a mis le collier et m’a dit: « Tu vas le garder tout le week-end, jour et nuit, interdiction de l’enlever, sauf pendant les quelques minutes où tu prendras une douche. » Et sans réfléchir, j’ai fait: « Wouf! » Mon frère s’est encore marré et m’a dit: « Tu vas voir mon toutou, on va bien s’amuser tous les deux ce week-end! »
Pendant un court instant, j’ai réalisé que j’étais à poil, à quatre pattes, avec un collier de chien autour du cou, devant mon petit frère. Un énorme sentiment de honte m’a envahi et je me suis senti devenir tout rouge. J’ai regardé Julien. Je ne devais pas être si rouge que ça parce qu’il n’a pas fait de commentaire. Il me regardait en souriant. Puis il s’est assis sur mon lit en me regardant. Je ne bougeais pas, toujours à quatre pattes. Son regard me gênait alors j’ai regardé par terre. Mais il a dit aussitôt, d’un ton qui ne souffrait pas la discussion:
— Regarde-moi dans les yeux et ne détourne pas le regard!
Son ton autoritaire m’a fait frissonner et j’ai senti ma bite devenir encore plus dure. J’ai relevé la tête et je l’ai regardé dans les yeux. Ça a duré de longues secondes. J’avais l’impression que le regard bleu de Julien s’enfonçait dans le mien comme pour essayer de deviner ce que je ressentais. Julien s’est levé et m’a dit « Tu ne bouges pas tant que je ne t’ai pas autorisé! » et il est sorti de ma chambre. Je n’ai pas bougé d’un poil, restant à quatre pattes comme un petit chien. Je pouvais voir l’heure sur mon réveil, et j’ai donc surveillé du coin de l’oeil le temps qui passait. Une minute, puis deux, puis cinq. Je commençais à avoir mal aux genoux alors je me suis décalé de quelques centimètres vers la droite, juste pour bouger un peu tout en restant dans la même position. Au bout de dix minutes, Ju est revenu et s’est à nouveau assis sur mon lit.
— Ça va mon toutou?
— Oui, mais je commence à avoir des crampes.
— On va te faire faire un peu d’exercice alors. Assis!
Je me suis assis par terre, mais j’ai tout de suite vu dans le regard de Julien que ce n’était pas ce qu’il attendait. Il m’a dit de me remettre à quatre pattes, s’est levé, approché de moi, m’a mis une bonne claque sur les fesses, et s’est rassis sur le lit en disant: « Quand tu fais le chien et que je te dis de t’asseoir, tu dois faire comme un chien quand il est assis, pas comme un humain. Allez, recommence! Assis! »
J’ai ramené les genoux sous mon ventre, et je me suis mis à genoux, assis sur mes pieds, et les mains posées par terre devant mes genoux, bras tendus, le plus proche possible de la position d’un chien assis. Julien a souri. Il s’est relevé, s’est approché de moi, et m’a tapoté sur la tête en disant: « C’est bien, continue comme ça! » La situation avait un côté ridicule, mais moi ça m’a fait bander. Il s’est encore assis sur le lit et m’a dit: « Couché! » Je me suis allongé sur le ventre, genoux pliés sous le ventre, bras pliés.
— À quatre pattes!
Je me suis remis aussitôt à quatre pattes.
— Couché!
— Sur le dos!
Je me suis allongé sur le dos.
— Non, comme un chien, pattes en l’air!
J’ai levé les bras et les jambes (en les pliant).
— Aux pieds!
Je me suis remis à quatre pattes et me suis approché des pieds de Julien. Il a appuyé sur ma tête jusqu’à ce qu’elle touche ses pieds.
— Quand je dis « Aux pieds », tu dois lécher mes pieds si je suis pieds nus, renifler si c’est mes chaussettes, ou lécher le dessus si c’est mes skets.
J’ai immédiatement léché les pieds de Ju. Il m’a laissé faire une bonne minute, puis m’a redit: « Assis ».
Je me suis assis, il m’a regardé, et m’a dit:
— C’est bien. Ça te plaît?
— Putain, oui, à mort!
— On continue?
— Oui!
— Ok. À quatre pattes.
Julien a sorti de son sac une laisse de chien, l’a attachée au collier, et est sorti de la chambre en tirant sur la laisse. Je l’ai suivi maladroitement, à quatre pattes. Il m’a emmené dans le salon, m’a fait asseoir, puis est sorti de la pièce. Il est revenu avec ma couette, l’a posée par terre à côté du canapé, a enlevé la laisse et m’a ditL « Couché! »
Je me suis couché sur la couette. Ju a allumé la télé, c’était l’heure du journal de 20 heures. On l’a regardé tous les deux, lui assis sur le canapé, habillé, et moi à poil allongé sur ma couette posée par terre. Au bout de cinq minutes, Julien a approché son pied droit, nu, de mon visage, alors j’ai commencé à la lécher. J’adorais faire ça. Avoir mon visage, la partie la plus haute de mon corps, au niveau et au contact de ses pieds, la partie la plus basse de son corps à lui, ça m’excitait à mort.
Puis Julien a pris une de ses chaussettes, qu’il avait mis dans sa poche, l’a mise en boule et l’a lancé par terre.
— Va chercher!
Je me suis levé, j’ai marché à quatre pattes, j’ai pris la chaussette entre mes dents et je l’ai rapporté à ses pieds.
— Sniffe ton jouet, mon toutou!
Toujours à quatre pattes, j’ai longuement reniflé la chaussette, j’aimais son odeur légère de mec. Puis Julien m’a dit:
— À genoux!
Il a sorti sa queue et m’a demandé de le sucer. Cette fois, je n’ai pas hésité, j’ai gobé sa bite et je l’ai sucée avidement. J’étais super excité. Comme la veille, Julien a fini par jouir; cette fois je m’y attendais. Son sperme a rempli ma bouche, et j’ai avalé au fur et à mesure. Le goût était bizarre, mais j’y ai pris plus de plaisir que la première fois.
Julien m’a dit de me remettre sur la couette et on a commencé à regarder le film du soir. Je n’avais pas joui mais j’étais super content. Je bandais toujours. En regardant le film, je réfléchissais, j’avais le sentiment que cette relation bizarre qui commençait me rapprochait de mon petit frère…
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