J’ai toujours ressentis la supériorité des femmes sur les hommes en général et sur moi en particulier. Malheureusement, peu d’entre elles en ont conscience et c’est bien dommage pour elles. Si elle savaient le pouvoir qu’elle ont sur nous , pauvre petits mâles, leurs vies en seraient changées et elles s’éviteraient bien des souffrances.
Moi je l’ai toujours ressentis, depuis ma plus tendre enfance. Je ne saurais m’expliquer l’origine de ce besoin de soumission mais du plus loin que je me souvienne, je l’ai toujours vécu. Même si à l’époque, je n’avais aucune conscience du sexe, je pressentait qu’il y avait quelquechose de l’ordre du plaisir à me sentir inférieur aux femmes et même aux petites filles que je côtoyais alors dans ma vie. Je précise que ma mère n’était pas du tout autoritaire, bien au contraire.
Le souvenir le plus lointain du plaisir ressentit à la soumission féminine dont je me souvienne remonte à mes cinq ans environs.
Nous jouions mon frère et moi avec ma cousine qui avait un an de plus que moi et était donc de l’âge de mon frère.
Je ne me souviens plus à quel moment nos jeux ont dérapés mais je me souviens qu’à un moment donné, notre cousine s’est déculottée au dessus de nos visages et nous a menacé de faire pipi dans la bouche et même de faire caca sur nos visage. Ce dont je me souviens, c’est que mon frère et moi étions tétanisés par ce dont nous n’avions pas conscience alors. Un inconscient plaisir sexuel…
Voilà le tout premier souvenir de soumission au sexe « faible » dont je me souvienne.
Dans mes rêveries de l’époque, il était toujours questions de filles qui m’obligeaient à me déshabiller totalement devant elles et qui riait de moi quand j’étais entièrement nu devant elles. Je me souviens notamment d’un couple de jeunes filles qui devaient avoir environs 15/16 ans à l’époque, je ne saurais pas trop dire précisément. Je les revois encore parfaitement tant l’image de leurs « féminité » est gravée en moi !
Plus tard, vers l’âge de six/sept ans je me souviens du culot de deux soeurs qui un jour provoquèrent un intense émoi à la bande de gamins que nous étions alors sur la place du village. Elles passèrent plusieurs fois devant nous en ayant bien conscience que nous les trouvions très jolies et que celà nous troublait beaucoup. Elles étaient c’est vrai, très jolies. Très brunes et la peau très pâle ce qui est très important pour la suite de ma vie car depuis, ce sont ce genre de physiques féminins qui me trouble le plus… Ça explique également ma fascination pour les femmes très brunes et pour les chattes aux touffes abondantes, très noires et touffues !
En tous cas à un moments donné, la plus jeune des deux qui devait avoir un an de plus que moi, releva sa jupe au dessus de ses hanches et la bloqua ainsi avec ses bras ce qui découvrait totalement le bas de son corps. Elles repassèrent une dernière fois devant nous en ralentissant le pas pour que nous profitions bien du spectacle.
La gamine en rajouta encore en tortillant des fesses, totalement consciente du trouble qu’elles provoquait en nous. Elle poussât le vice encore plus loin en tirant vers le haut sur sa culotte qui lui rentra totalement dans la raie des fesses. Je revois son sourire et l’expression hautaine et arrogante de son visage et entends encore comme si c’était hier, leurs ricanements quand elles se sauvèrent en courant…
Je pense que ces gamines sont peut-être à l’origine de ma fascination et la conscience de la supériorité des femmes sur les hommes.
Le hasard fit que nos route se croisèrent de nouveau un an ou deux plus tard lorsque que je fut hospitalisé pour une raison qui s’avéra anodine. La même gamine encore plus jolie avec ses dix ans triomphants était également hospitalisée et dormait dans la chambre voisine.
Je ne sais pas ce qu’elle est devenu aujourd’hui (elle doit avoir 62 ans) mais elle était à l’époque très vicieuse et très portée sur le sexe déjà ! Elle prenait plaisir à me mater en se penchant sous la porte des toilettes lorsque que j’étais assis sur le siége des wc.
Quelques jours plus tard, elle m’obligeat à ne plus fermer le verrou de la porte. Elle me suivait aux toilettes et prenait plaisir à ouvrir brutalement la porte de mon wc. Elle l’ouvrait totalement et se plaçait devant moi, arrogante et matait mon anatomie totalement exposée ! Il était visible qu’elle prenait un énorme plaisir à mater mon sexe ainsi exhibé. Je revois son regard insistant sur ma petite nouille toute recroquevillée et son sourire narquois de gamine vicieuse et arrogante. Elle retenait la porte d’une main pour que je ne puisse pas la refermer et m’ordonnait de retirer mes mains de mon entre-jambe. La scène me semblait à l’époque durer une éternité et elle enfonçait le clou en me disant : allez vas-y, fais caca, chies devant moi, je veux entendre ta merde tomber dans la cuvette !
Lorsqu’elle entendit les premier flocs, elle se mit à ricaner et poussa un cri de dégoût. Puis elle partit en ricanant en laissant la porte du wc grande ouverte…
La veille de mon départ, elle entra dans ma chambre pour me rendre un jouet qu’elle m’avait emprunté. Il s’agissait d’un jeu ou l’on dessinait des paysages en enfonçant des sortes de punaises de toutes les couleurs sur une plaque cartonnée et trouée. Elle de demanda d’ouvrir la boite pour vérifier qu’il ne manquait rien. Je lui obéis et constata instentanément qu’elle avait déchiqueté les plaques en cartons et que mon jeu était ainsi inutilisable. Elle me regarda avec le même sourire arrogant et narquois que le jour ou elle défilait le cul à l’air, la culotte enfoncée dans la raie des fesses devant nos regards de gamins et comme elle me regardait exhibé, le zizi à l’air et mon short recroquevillé sur mes chevilles, assis sur la cuvette des toilettes.
Je pense que le plaisir que je ressens aujourd’hui à étre humilié et soumis par les femmes trouve son origine à cette époque. En effet, non seulement, j’aime être soumis aux femmes mais le plaisir procuré par l’humiliation est encore plus intense !
Je fais partie des hommes qui prend plus de plaisir à être humilié que par la souffrance physique. La souffrance morale provoquée par la honte d’être soumis et humilié par une femme est pour moi le summum…
Le summum pour moi serait que mon épouse m’humilie devant une ou plusieurs de ses amies, ce que nous n’avons jamais eut l’occasion de faire à ce jour… Ma femme m’a avoué que même si cette situation l’exciterait effectivement, ce qu’elle préfèrerait, c’est m’humlier devant un homme qui la baiserait devant moi, ce que nous n’avons jamais réalisé non plus à ce jour, bien que l’envie devienne de plus en plus forte de sa part et je l’avoue à ma grande honte, de ma part aussi.
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