Les morts
J’avais sous les yeux un grand escalier menant au sous-sol avec les inévitables toiles d’araignée qui pendait ça et là. Mais ce qui me stupéfia ce fut de voir des cadavres mutiler, bouches ouvertes et grimaçantes, affaler sur les marches. De faux cadavres évidemment, des mannequins et ce n’était que des femmes, mais si bien fait que je sursauter. On aurait dit qu’elles avaient tenté de fuir quelques choses avant de venir rendre l’âme dans cet escalier de ciment. Ça donnait la chair de poule. Des femmes de tout âge, entremêlées et couvertes de fausses blessures. Certaines avaient l’air fraîchement décédées, d’autres depuis longtemps et presque momifier; peaux parcheminées, lèvres disparues exposant des dents jaunies. Plusieurs étaient nues ou à moitié habiller leurs vêtements déchirer laissant voir; slip, soutien-gorge de fantaisie ou seins tout blancs, de toute forme et de toute grosseur. Je voyais des vulves très réalistes et des pubis bomber, des toisons ovales ou en triangle ou rasé de différente manière. Certaines, des imitations d’adolescente parfaitement réussies, avaient des piercings au visage et même aux mamelons ou aux grandes lèvres comme la plupart des ados de nos jours, ça et leurs blessures ouf… C’était stupéfiant… Ça me glaça le sang et parlant de sang, il y en avait un peut partout, les murs et les marches en était éclaboussé comme si on les avait massacrés a la machette ou pire, a la tronçonneuse. Il y avait en plus une musique de fond de film d’horreur de série B ou comme dans certains jeux vidéo gore. Une imitation de charnier des plus réalistes qui faisait son petit effet et il y avait tellement de corps que l’on apercevait le planché nulle part aux pieds des escaliers.
— Votre copain a choisi le thème des zombies pour vous Luce. Annonça 1 comme si elle me vendait une cuisinière. Vous allez vous éclater si vous êtes aussi fan de films d’horreur qu’il nous la dit.
— OK ! Fis-je encore sous le choque. Je le suis mais ça… c’est peut-être trop malade à mon goût.
— Vient ! Fit 2 en me prenant la main pour m’entraîner dans les escaliers.
Elles me firent descendre prudemment en enjambant les mortes, je n’y croyais pas. Moi qui m’attendais a un petit souper en tête à tête bien tranquille, enfin presque. Au lieu de ça, je me retrouvais à descendre des escaliers couverts de cadavres encadrer par deux filles nue. C’était dément et digne de Pierre finalement. Gros frissons et dégoût en enjambant les premiers corps tout en me retenant aux murs de ma main libre, mais je m’amusais terriblement, tout ça avait l’air si vrai que s’en était troublant. Ici aussi les murs étaient recouverts de graffitis obscènes en plus d’éclaboussures de sang. Une fois en bas, plaçant les pieds prudemment où je le pouvais tout comme 1 et 2, j’aperçus un long couloir sombre éclairer seulement par quelques rares ampoules clignotantes et encore là, c’était rempli de cadavres. Seigneurs ! Cela formait comme une montée de mort vers le fond du couloir ou ça tournait à angles droit… Ils étaient empilés les uns sur les autres. Regarder de faux cadavres au cinéma, OK, mais là, ça me donna une sacrée chair de poule.
— Seigneur ! Lâchai-je tandis qu’elles m’entraînaient dans ce couloir dès plus macabre. Il va falloir marcher là-dessus ?
— Ne vous inquiétez pas Luce, dit 2, ils sont solides et ici, on s’amuse c’est tout.
— Oui… mais, hésitai-je, en enlevant de fausses toiles d’araignée de mon visage et de mes cheveux, tout ça à l’air si vrai !
— WAIS, ce sont des spécialistes qui font les décors, ils travaillent pour le cinéma ! Ils ont du talent non ?
J’entendis un bruit sourd provenant des vestiaires derrière nous tout en haut des marches et des râles en enjambant les premiers cadavres, c’était comme si quelque chose venait vers nous. Là, j’eus de sacrés frissons le long de la colonne en jetant un regard inquiet vers la porte que l’on venait de franchir. Tout ça c’était de la poudre aux yeux mais ça faisait tout de même son petit effet. Wow ! Tu parles d’un parc thématique !
— Oups, fit 1, ils arrivent !
— WAIS, grouillons-nous ! Rajouta 2 toute exciter en me poussant dans le dos.
Malgré moi, je souris pris aux jeux en faisant attention où je mettais les pieds et en grimaçant à cause de mes bas déjà tremper de fausse hémoglobine car sur le sol, ce faux sang était bel et bien liquide.
— Qui ils ? Fi-je nerveuse en étirant les jambes ce qui soulevait ma jupe trop courte a mon goût tout à coup.
J’entendais des pas traînants et des grognements de plus en plus forts derrière nous tout en admirant le décor. J’avançais en souriant car ma main droite glissait sur un mur ou une longue bite avait été dessinée à la canette. Celle-ci entrait dans un cul d’une femme zombie pour ressortir par son cou car elle avait eu la tête trancher mais une autre zombie suçait le gland couvert de sang. Plus loin encore une femme zombie avec des seins énormes semblable aux miens se faisait prendre par 3 hommes en même temps. Mais ils la baisaient en la découpant à la machette. Il y avait ce genre de scène partout sur les murs même au plafond, que des scènes de cul très gore et c’était très coloré, surtout de rouge. Quel travail il avait fallu pour faire ces décors magnifiques sûrement pas au goût de tous, mais moi j’adorais. Finalement ça commençait vraiment à m’amuser. Et derrière nous c’était probablement juste des sons pour m’inciter à avancer et me donner la chair de poule et ça marchait. Mais quelques pas plus loin je stopper car pour continuer il fallait marcher carrément sur les corps entremêler.
Elles me prirent les mains et je fus entraîné par mes jeunes esclaves au look primitif sur les faux cadavres. Sans mes souliers je sentais sur la plante de mes petits pieds les torses, les ventres mous, les visages, des mains, des seins, des pubis, des fesses… C’était délirant et me faisait grimacer et tout ça avait l’air si vrai que j’avais peur de blessé de faux morts surtout quand mes orteils entraient dans une bouche en déchirant déjà mes bas. Plus on avançait, plus je m’enfonçais dans les cadavres, parfois jusqu’aux genoux et c’était de plus en plus difficiles et dégoûtants à souhait. 1 et 2 me tiraient toujours plus avant en peinant à avancer elles aussi. Je m’efforcer de ne plus regarder ou je mettais les pieds et me concentrer sur les jolis corps des deux jeunes filles qui me guidait. J’avais l’impression de rêver. En fait, j’avais l’impression de faire un délicieux cauchemar.
C’était écoeurant à souhait. À tout moment je m’attendais à ce qu’une main se referme sur mes mollets ou des dents pour me faire hurler ou a ce que tous ses morts se relèvent soudainement. Jésus Marie Joseph que j’aimais ça ! Je finis par rire, de nervosité ou de peur, je ne savais plus. Quant à dévoiler le haut de mes cuisses, là, je n’avais plus le choix tellement je devais soulever haut les genoux pour avancer et les jeunes ne se gênaient pas pour me reluquer en souriant. Je finis par me demander si elle n’était pas vraiment lesbienne ces deux-là, que ce n’était pas juste pour le bouleau. Leur regard et leurs frenchs de toute a l’heure… ouf ! Y repensé me fit rougir a nouveau.
Derrière la porte, là-haut, ça grognait de plus en plus fort, seigneur !
Je grimaçais sous l’effort maintenant plier en deux pour avancer car ça grimpait vers le plafond. Ma tête y touchait, 1 et 2 aussi, pourtant je suis toute petite, je dépasse à peine les 5′ 3’’. Penché vers l’avant tout en évitant les ampoules clignotantes et poussiéreuses, j’étais obligé de regarder les visages émacier, pâles et grimaçants de femmes âgées ou jeunes en avançant péniblement un peu comme dans un marécage. Ma maudite jupe remontait évidemment encore plus haut jusqu’à dévoiler la large bande élastique décorative qui retenait mes bas noirs déjà déchirer à plusieurs endroits et je m’en foutais de plus en plus. On arriva finalement au bout, là où ça tournait. Une fois là on stoppa un moment, sans doute pour me laisser reprendre mon souffle. Je sentais tout le poids de ma future cinquantaine.
Puis elles me lâchèrent les mains car on devait à présent pour continuer a avancer se mettre 4 pattes sur les corps, j’hallucinais. En jetant un coup d’oeil plus loin, je vis que ça semblait se terminer en cul-de-sac en plus car les morts semblaient toucher le plafond. Un peu claustrophobe, j’en frémis.
— Allez Luce, dit-1 en se mettant a quatre pattes, faut continuer.
— Vous êtes malade ! Et c’est boucher devant, on va faire quoi ?
— Fait nous confiance, fit 2 en riant.
J’expirai longuement en faisant comme elles toutes en grimaçant de dégoût. Sentir mes doigts écraser des visages, des seins, des cuisses c’était pire que tout. 1 passa devant moi m’offrant une vue embarrassante de son beau derrière si ferme peint en blanc avec des mains noires imprimer dessus et de sa petite vulve ovale et bomber et également de son anus bien visible. Voir ça et de si prêt me mit dans tous mes états et fit pulser mon sexe. Je ne pus m’empêcher de détailler l’intérieur rose bombons de sa vulve entrouverte et humide qui détonnait avec sa peau blanche, ça me fit transpirer et m’aidait surtout a avancer sans avoir a regarder ce que je touchais. Elle avait de toutes petites lèvres pâles gonflé. J’aurais pu lui lécher le sexe si facilement, je n’avais qu’à sortir la langue mais je n’osais pas. Mais penser a cela et a son french de toute a l’heure et d’avoir senti ses petites mains sur moi me donnait des papillons dans le bas ventre. Cela me fit réaliser tout à coup que je devais être bisexuel. Moi, bi, je souris en me disant, « et pourquoi pas ma vieille ? » Tout de même, réaliser cela à 50 ans me paraissait étrange, bizarre, mais surtout drôlement excitant. En tout cas, jamais je n’aurais pu imaginer ce qui m’arrivait présentement en venant ici. Et comment mon copain avait-il connu cet endroit ? Par une pub, un ami, internet et est-ce qu’il était passé par ici, dans le même couloir, regardant la même vulve que j’avais sous les yeux présentement ? Une ondée de jalousie égoïste me traversa l’esprit mais fut vite oubliée par la vison que j’avais sous les yeux grâce a lui. Béni soit-il !
Et moi a quatre pattes présentement, en jupe courte avec 2 qui me suivait. Elle devait avoir une jolie vue elle aussi sur le haut de mes cuisses blanches comme du lait et sur mon sexe mouillé qui faisait que mes slips le moulaient parfaitement, je le sentais bien. Tant pis, je n’y pouvais rien et ça ne me déplaisait pas finalement surtout que mes fesses n’avaient pas trop ramolli. Un doux frisson me parcourut l’échine en fixant de nouveau la vulve de 1 qui avançait difficilement. L’envie de lui lécher devint presque intolérable et m’embrouillait l’esprit. Peut-être qu’un beau grand lit nous attendait après cette traversée macabre et une bonne douche chaude en plus d’un massage et que les deux coquines allaient s’occuper de moi avec dévotion. Ça, se serait un sacré beau cadeau d’anniversaire. Je pus m’empêcher de m’imaginer nue sur une table de massage, ma peau blanche recouverte d’huile et leurs mains me caressant tout partout…
Je chasser ces pensées qui me faisait saliver et mouillé plus, surtout avec mes seins étirer qui se balançaient tout en priant pour que mon vieux soutien-gorge blanc tienne le coup. Ma pauvre blouse était déjà toute tacher de faux sang et de liquide visqueux qui parfois suintait des morts, j’en avais même sur le visage, les mains et les bras.
— Wash ! Fi-je sentant trop tout à coup mes mains et mes genoux sur des visages, des seins, des jambes, de fausses blessures, tout avait l’air tellement vrai, même au toucher, les fesses, et tout le reste. De plus, le faible éclairage ambiant accentuait les ombres. Parfois l’un de mes bras s’enfonçait jusqu’a l’épaule et je me retrouvai nez à nez avec certaine partie du corps plutôt intime, ou des visages grimaçants langue sortie, gonflée et noire, 1 aussi devant moi. Parfois ses grands pieds touchaient mes genoux et mon visage venait près de heurter son beau derrière si ferme.
— Burk ! Fi-je en sentant mes doigts s’enfoncer dans une bouche édenter de vielle femme grimaçante touchant sa langue boursouflée recouverte de liquide visqueux qui me chatouilla.
Mes esclaves riraient tandis que je m’essuyais les doigts sur ma jupe. Elle se moquait de moi gentiment, mais elles peinaient tout autant à avancer coincer que nous étions entre les morts et le plafond et ses grognements derrière nous, toujours plus forts, me faisaient maintenant quasiment peur. C’était dingue, dément comme maison hantée et j’avais surtout vraiment hâte de voir ce qui m’attendait après cette petite randonnée des plus sinistre. Certaine de mes amis aurais déjà tourner les talons pour fuir l’endroit mais pas moi, j’adorais ça tout comme j’adorais les films d’horreur depuis l’adolescence, comme mon copain qui en possédait une collection impressionnante.
1 stoppa net, perdu dans mes pensées ma tête évidemment heurta ses petites fesses dure, j’en fus gêné en me reculant un peut, surtout que je sentis l’odeur exaltante de son sexe et 2 heurta les miennes les faisant rebondir ainsi que mes seins tandis que je ramenais mes cheveux derrière mes oreilles en rougissant de plus belle. Le plafond était si bas maintenant, ou plutôt la pile de cadavres si haute que mes seins trainait sur les talons de 1 et je sentais mes mamelons durcir en me chatouillant.
— À plat ventre les filles comme les commandos, annonça 1 qui semblait s’amuser terriblement en s’allongeant sur les cadavres jambe écarter. Malgré la pénombre je fixais toujours son sexe qui m’attirait de plus en plus comme un aimant en plus de ses fesses rebondit et de ses longues cuisses musclées.
J’attendis qu’elle avance un peut et je m’allongeai a mon tour écrasant mes pauvres seins sur les cadavres. Mon côté garçon manquer s’amusait énormément mais mon côté fille trouvait ça des plus répugnant. Je les sentais partout sous moi maintenait et je lâcher un petit cri quand 2 me toucha un mollet. Mon côté fille. Un courant électrique me parcourut l’échine.
— Désoler Luce ! Entendis-je et elle rit, elle l’avait fait exprès la maudite,
Je soupirer, sentant mon coeur battre à toute allure en me mettant a rampé en avançant sur les coudes et les genoux sentant mes grosses boules traîner sur ces choses et ma jupe se relever encore plus chaque fois que je bougeais les jambes. Sans parler de mes bas qui voulaient descendre et qui se déchiraient aux genoux maintenant. Et elles, elles étaient nues toutes les deux à ramper là-dedans, ça devait leur procurer de sacrée sensation. C’est quand même un drôle d’emploi qu’elles avaient !
Derrière nous, les grognements s’amplifiaient toujours comme si une meute de zombies affamés allait nous sauter dessus pour nous dévorer vivants. J’avais la nette impression que ce n’était pas très loin derrière maintenant. Je n’étais plus sûr du tout que ce n’était que des sons. Je serrer les fesses sans y pensé. Puis on arriva à une crête de corps, mon derrière touchait le plafond, celui de 1 aussi. On du longé le mur pour éviter une ampoule, la dernière apparemment et impossible de voir ce qu’il y avait plus loin tellement il faisait sombre. Ma blouse s’accrocha dans quelque chose et se déchira quelque part sur mon dos mais sans me blesser. Merde ! Ça devenait étouffant, oppressant maintenant et soudain, 1 disparue comme avaler par la montagne de cadavres. En fait, je vis son corps comme attiré vers l’avant pour disparaître dans le noir, comme si un monstre venait de l’att****r. Je stopper net, les yeux touts ronds en sentant 2 heurter mes pieds et me les pousser avec les mains pour que je continue a avancer tout en me les chatouillant. Au même moment j’entendis un splach lointains devant nous. Oh non, merde !
— Aller Luce avance, ils sont tout près !
Les lumières clignotèrent et s’éteignirent soudainement, ce fut le noir total. Tout ça devait être arrangé évidemment mais tout de même, mon coeur bondit. Totalement aveugle, j’étais plus consciente de ma position sur des corps. Le noir rendait les sons encore plus forts et plus stressants et j’étais essoufflé. J’entendais maintenant quelqu’un qui semblait patauger dans de l’eau et un léger bruit de cascade quelque part devant moi. C’était 1 sans aucun doute.
— Shit ! Fis-je en pensant à ma blouse.
En plein ce que je ne voulais pas, faire un concourt de t-shirt mouillé, plutôt de blouse détremper et devenant transparente en public. J’imaginais déjà une piscine m’attendant là-bas, quelque part dans le noir, avec des tas de gens autour prêts a ce rincer l’oeil en m’applaudissant suite a un plongeon tête première dès plus humiliant.
« T’aurais dû enfiler ton soutien-gorge noir à bonnet épais idiote, » me dit une petite voix.
Avoir su, mais comment j’aurais pu imaginer me retrouver dans une situation pareil. Je me sentais comme ces héroïnes de film d’horreur qui cherche désespérément à sortir d’un cauchemar.
Prudemment, j’avançai à l’aveugle toujours coincer entre plafonds et cadavre, nerveuse mais tout de même amuser aussi par tout ça. Je sentais plus intensément des nez se faufiler dans ma craque de seins échancrant plus ma blouse, étirant même mon soutien-gorge , des bouches aux dents saillantes glissées contre mes grosses boules, mon ventre et mes cuisses, déchirant un peut plus mes bas, des mains qui semblaient vouloir m’agripper. J’aimais ça, mais l’image d’une piscine me hantait. Soudainement je rester coincer, mon cul.
— Merde ! Fis-je me en me sentant idiote tout en me tortillant et forçant.
— Aller, avance Luce ! Lâcha 2 que je sentais toujours s’avancer entre mes jambes écarter et trop tard pour les refermer. Une ondée de chaleur me monta au visage. Mais elle stoppa juste avant que sa tête n’entre sous ma jupe en posant les mains sur mes cuisses comme une aveugle qui cherche à comprendre ce qu’elle touchait. Elle en profitait pour me tripoter la maudite. J’en frissonner de plaisir en sentant mon sexe pulser et gonfler tout en ayant des sueurs froides à cause de ma claustrophobie. Un délicieux mélange.
— Je suis coincer, c’est mon gros derrière ! Et arrête de me tripoter, aide-moi plutôt.
— Il est juste bien ton beau derrière, dit-elle en me le palpant sans gêne aucune par-dessus ma jupe et contre le plafond. Accroche toi Luce, je vais te pousser.
Elle me lâcha. J’en fus presque déçu en riant de l’absurdité de la situation et je l’entendis remuer et ses mains se refermèrent sur mes pieds a nouveau. Ça me chatouilla et me fit rire de plus belle et elle poussa avec force tandis que, les mains le long de mes hanches je poussais aussi, agripper a une tête et a ce que j’imaginais être un sein volumineux ou une fesse de cadavre.
Je fis un bon en avant pour aussitôt crier car mon torse et mes bras pendaient carrément dans le vide et dans le noir absolu. Un bruit d’eau qui s’écoule lentement se fit plus intense quelque part juste sous moi.
Je me retrouvai plier en deux comme une pub de couteau suisse sans pouvoir m’agripper a quoi que ce soit le coeur battant a tout rompre. Sans mon soutien-gorge j’aurais eu mes gros seins en plein visage en plus de mes cheveux fins. Il n’y avait que mes jambes coincer contre le plafond qui me retenait et les mains de 2 qui avançait à nouveau en me palpant les cuisses comme tout a l’heure. J’avais même l’impression de déjà sentir son souffle chaud sur ma vulve encore une fois. J’en frissonner de plus belle de me sentir aussi coincer le nombril a l’air. Puis le bout de mes petits doigts aux ongles courts toucha du métal lisse sur lequel s’écoulait un mince filet d’eau tiède. Là, je paniquai un peu je l’avoue.
— Toujours coincer Luce ? Demanda 2 qui semblait s’amuser follement bien installer sur mes jambes.
— WAIS ! Grognai-je tête en bas en déglutissant a l’envers. Ne pousse surtout pas, tire-moi.
— Quoi, poussé ? OK !
— Noooon !!!
Elle me prit les fesses à pleines mains et força. Je fus projeté vers l’avant en sentant un des boutons de ma blouse arracher par quelque chose puis je glissai en chute libre sur une espèce de toboggan en métal couvert d’eau en hurlant à pleins poumons et toujours dans le noir total. Bras en avant pour protéger ma tête, seins écraser et déjà détremper, je paniquais à l’idée de me casser le cou. La descente me parut une éternité même si elle ne dura qu’une fraction de seconde avant que je me retrouve dans le vide pour tomber lourdement tête première dans un basin d’eau tiède comme je l’avais prévu. Un peut paniquer je fermer la bouche puis les yeux avant d’être submerger. Je me retourner sous l’eau en m’agitant comme une démente, heurtant des jambes, sans doute celle de 1 qui m’aida a me relever en m’agrippant par un bras. Une fois debout je m’essuyai le visage avec les mains en reprenant mon souffle le coeur battant a tout rompre. J’avais de l’eau jusque sous les seins que je sentais flotter mollement tandis que mes pieds s’enfonçaient dans du sable. Je cligner des yeux pour regarder aux alentours mais nous étions toujours dans le noir.
— C’est flippant hein Luce ?
Je reconnus la voix de 1.
— Jésus-Christ, vous êtes malade ! Dis-je dents serrer tellement j’avais eu la frousse.
Elle me força a reculé un peut en riant tandis que je repoussais mes cheveux de mon visage et j’entendis un corps glisser et un plongeon suivit de clapotis et de vagues qui me firent ballotter un moment comme un bouchon de lège. 2 venait de nous rejoindre. Je sentais mes vêtements mouiller qui me collaient à la peau. Je pris une bonne bouffée d’air et me frotter les yeux tandis que mon vieux coeur ralentissait peut a peut. Puis, je remontai sous l’eau l’un de mes bas qui avaient glissé en essayant de distinguer quelque chose aux alentours, mais il n’y avait aucune lumière. Plongé tête première dans le noir c’est pas mal stressant, surtout dans de l’eau. « Une piscine sans doute » me dis-je toujours paniquer a l’idée qu’il y ait un public de voyeur. Des dizaines de personnes qui se préparaient a ce se rincer l’oeil des que des lumières s’allumerais, des hommes sans doute qui saliveraient a la vue de mes gros seins probablement bien visible maintenant, surtout mes mamelons que je sentais dresser. Si c’était le cas, j’allais faire passer un mauvais quart d’heure à mon chum. Mais un silence rassurant régnait. Merci mon dieu ! Je n’entendais que le son de la cascade d’eau du toboggan qui nous avait projetés ici.
— Seigneur ! Lâchai-je le souffle court. J’ai quasi 50 ans les filles, mon coeur aurait pu me lâcher.
Je n’entendis que de petits rires exaspérants tandis que ma voix résonnait avec écho comme si l’on était dans un grand hangar. Au même moment une lumière jaunâtre très faible clignota au dessus de nous suspendu à un trépied de métal rouiller émergeant de l’eau tout près pour finalement rester allumé. Le coeur battant, je m’attendais tout de même à voir des gens, mais non. Tout ce qu’il y avait autour de nous resta dans le noir total. Mais, malheureusement et comme prévus, la lumière nous éclairait suffisamment pour que l’on voie bien ma blouse très échancrer maintenant par le perte de mon premier bouton et devenue transparente qui laissait bien voir mon soutien-gorge blanc tout aussi transparent, ma craque de seins profonde et même mes mamelons pourtant pale et tendu par la glissade et l’eau tiède. Je refermai comme je pus ma blouse et je cacher ma poitrine volumineuse en l’écrasant de mon bas gauche tout en lissant mes cheveux en arrière très embarrassé par le regard amuser des jeunes filles qui n’avait que les seins les épaules et la tête qui sortait de l’eau. Une bouffée de chaleur me monta au visage surtout que, elles aussi, avaient les bouts durcis et moins de peinture sur le corps et elles me regardaient toujours sans gêne en se tordant les cheveux. Tout comme moi, la poitrine généreuse de 2 flottait mollement à fleur d’eau, mais même généreuse elles étaient deux fois plus petites que la mienne. Elle me vit regarder ses seins et me sourit, je détourner les yeux aussitôt. Seigneur ! Mon maquillage avait du foutre le camp en plus et mon mascara couler, je devais être belle a voir.
Soudain, en frissonnant, je me demandai s’il y avait des caméras à visions de nuit qui faisait profiter du spectacle que l’on offrait à quelqu’un, quelque part. Mon copain peut-être, qui sait ? Cette idée me hantait, l’idée d’être surveiller, épier, filmer ou pire, que ça se retrouve sur YouTube. « Pierre ne me ferait jamais ça, » me dis-je pour me rassurer. En tout cas, il avait intérêt.
Soudain j’aperçus des cadavres flottant sortant peut a peux d’une brume vaporeuse et verdâtre qui nous entourait. Les dépouilles semblaient venir vers nous en ballottant mollement et accompagné d’un tas d’autres choses : Faux rats morts, condoms, vieux jouet et des contenants en plastiques de toute sorte. La faible lumière rendait tout ça macabre à souhait en plus d’une bande sonore qui venait de démarrer tout doucement donnant l’impression que nous étions dans un marais; grenouilles, chouette et clapotis. En levant les yeux j’aperçus la cascade d’eau qui nous avait précipités ici haute seulement d’une dizaine de pieds. Elle sortait d’une fausse montagne d’immondice construite en trompe l’oeil pour qu’elle paraisse immense et elle était sans doute en carton-pâte. Le sommet se perdait dans la brume. Cela donnait l’impression qu’on se trouvait dans une espèce de dépotoir en banlieue d’une grande métropole en pleine nuit et qu’on pataugeait dans un marécage former par les eaux de pluie a la base de celui-ci et polluée par tous ces déchets. Il ne manquait que les mouettes et des barils de déchet toxique flottant un peu partout. Il y avait même de grosses bulles qui crevaient la surface sans bruit par moment et de gros nénuphar et des quenouilles. Puis j’aperçus un vieux frigo qui émergeait dans la pénombre et même le toit d’une voiture. Wow ! L’idée que j’en avais avaler de l’eau immondice dans laquelle flottait des cadavres et des rats morts me soulevait le coeur même si je savais que tout ça n’était qu’une mise en scène, mais tout de même, tout semblait si réaliste. Et tout ça a l’intérieur de cette maison, je n’en revenais pas. Quel travail pour planter ces décors et pourquoi ? Seulement quelques frissons. Voir leurs clientes mouiller, surtout celle qui avait de grosses poitrines comme moi, avec deux filles nues qui s’offrent en spectacle et filmer ? Et combien pouvait bien coûter à mon copain cette soirée des plus inhabituelle ? En tout cas, le sous-sol de cette maison hantée était gigantesque et s’étendait visiblement au-delà ce celle-ci. 1 et 2 toujours silencieuse me laissait le temps de regarder. Deux jolies sirènes qui m’entraînaient vers quoi ?
— Ahhhh. Fi-je tout à coup en baissant les yeux et repoussant un rat mort qui flottait vers moi et une tête de femme aux yeux crever. C’est dégoûtant ! Bon les filles, expliquer moi je…
1 s’avança, me prit le bras avec le quelle je cachais ma poitrine et voulu le baisser mais je résister.
— Je me donne assez en spectacles comme ça vous deux, protestai-je un peut courroucer en remontant a nouveau mon bas sous l’eau de la main droite. On est filmé ? Il y a des caméras ici ? Qui profite du spectacle ? Mon ami ?
— Non, aucune caméra, personne ne nous regarde Luce. Il n’y a que moi et 2 et on veut voir vos jolies rondeurs. Tout ce qui se passe ici est privé et juste pour vous.
J’ouvris la bouche pour protester mais 2 me contourna, m’enlaça sous l’eau se collant contre mon dos en croisant les mains sur mon ventre un peut rond tout en posant son menton sur mon épaule. Une vague de chaleur me submergea, je sentais trop bien ses seins écraser contre moi, son ventre sur mes reins et ses cuisses contre les miennes. Je déglutis embarrasser même si j’aimais bien sentir cette fille m’enlacer. Mes dernières traces de pudeur fondirent comme neige au soleil et mon bras gauche descendit tout seul, pour que 1 profite du spectacle et elle le fît. Ses petits yeux bleus en amande fixaient ma poitrine comme la plupart des hommes le font en m’apercevant, avec envie.
Elles rirent et moi j’avais de plus en plus chaud regardant les seins menus de 1 aux pointes tendues effleurant la surface de l’eau qui me firent saliver sans parler des mamelons de 2 que je sentais très bien et des miens qui me chatouillaient. 1 s’approcha, me prit les mains sous l’eau pour les lever et les poser sur sa poitrine si douce que je fixer en la caressant sentant ma vulve gonfler et pulser en mouillant plus que jamais. Je ne pouvais m’empêcher de presser ses petits seins au point que mes mains mouiller finir de laver la peinture blanche qui les recouvrait. 2 remonta les siennes croiser sur les miens et ses petits doigts s’y enfoncèrent. Une grosse chair de poule me couvrit les bras. Mon souffle s’accéléra, tandis qu’un désir puissant me submergeait. J’aurais préféré faire ça dans un bon lit douillet, nu tous les trois et non dans un marécage entourer de cadavres qui semblait nous épier, mais bon. Tout cela était étrange et surtout, très excitant.
Tout à coup je me foutais complètement d’être épier surtout que 1 se plaqua contre moi pour m’embrasser tendrement, mains sur mes hanches, tandis que 2 me léchait le coup me chatouillant terriblement en me pressant la poitrine a me faire soupirer de plaisir. Je laisser mes mains descendre sur les hanches étroites de 1 jusqu’a lui prendre les fesses sous l’eau. Des fesses de gamines dures et douces. Je planais déjà pendant que sa petite langue pointue se faufilait entre mes lèvres pour jouer avec la mienne encore une fois. Un feu grandissant me dévorait le bas ventre et me faisait plier les orteils sur le sable doux. Puis elle glissa une main sous ma jupe pour la remonter et me pressa le sexe sous l’eau par-dessus mes slips. Je gémis dans sa bouche tandis que mes genoux se frappaient en m’abandonnant à leurs caresses me sentant devenir toute molle mais si bien. Les frottements de 1 firent durcit mon petit clitoris peut a peut tandis que 2 écartait mes cheveux avec son visage pour m’embrasser et me mordiller la nuque en me pressant les mamelons avec ses pouces. Au même moment 1 pointa un doigt et enfonça doucement ma petite culotte dans mon vagin juste de quelques centimètres, juste assez pour m’agacer terriblement. Mes genoux flageolants plièrent sous l’eau pendant que nos langues se frottaient et se tortillant ensemble avec frénésie.
Être coincer comme ça entre deux jeunes filles qui me tripotait, c’était flippant a mort : L’endroit, être dans l’eau jusqu’aux seins, les filles si jeunes et désirables, leurs caresses et la petite frousse de ma chute, tout ce mélange me rendait folle de désir, en fait, j’étais déjà au bord de l’orgasme. Je glisser une main sur le pubis bomber de 1 sous l,eau jusqu’a touché ça vulve que je sentis ouverte et douce contre ma paume et que je caresser majeur en avant la sentant se raidir contre moi. Je sentais très bien sous mes doigts ses grandes lèvres ouvertes et les plus petites. 2 délaissa un de mes seins pour glisser sa main sur mon cul, sous ma jupe elle aussi, puis sous ma petite culotte sur ma craque de fesses un doigt en avant pour me tapoter l’anus un moment avant d’y pousser juste le bout du doigt. L’effet fut immédiat, je sursauter et gémit de plaisir en enfonçant sans réfléchir mon majeur par a coup dans le vagin étroit et humide de 1 qui gémit a son tour en poussant ma petite culotte plus profondément en moi, faisant aller et venir son doigt au même rythme que le mien en elle. Son vagin tout aussi détremper que le mien semblait me sucer le doigt tandis que le majeur de 2 s’enfonça jusqu’à la jointure dans mon rectum en s’agitant. Tout mon corps frémit et je manquer de souffle. Mes petits orteils se replièrent un peu plus dans le sable tandis que les gros muscles à l’intérieur de mes cuisses se raidissaient et était pris de tremblement. Je me tortillais coincer entre ses deux petites démones, cochonnes à souhait tandis que j’étais déjà au bord de l’orgasme. Un doigt dans le cul et un autre dans le vagin, ça donne de sacrées sensations. J’eus soudainement des contractions vaginales violentes qui me firent geindre dans la bouche de 1 et presque lui mordre la langue. Ma bouche glissa a son oreille tandis que je me cramponnais a elle car un orgasme vaginal puissant explosait en moi m’arrachant d’embarrassant crie de plaisir en me faisant serrer les cuisses. Secouer de spasme, le souffle couper, leurs doigts me rendaient presque folle. Je me tortillais en provoquant de petits remous autour de nous.
— Stop, stop… Criai-je sans pouvoir m’en empêcher, je jouis.
Une ondée de plaisir me traversa le bas ventre pour diminuer trop rapidement. Je planais en pleine extase, lèvres retrousser quand je sentis leurs doigts se retirer de moi laissant un grand vide et 1 me fit sortir mon doigt de sa vulve et… Elles me lâchèrent soudainement et reculèrent comme paniquer, jouant les filles effarouchées. Je me rendis compte, tandis que mon orgasme s’évanouissait, me laissant pantelante et essoufflée, que les grognements gutturaux qui nous avait suivis dans le couloir avant reprît de plus belle. Merde ! Je lâcher un long soupir de déception en remontant mon slip et rajustant ma jupe sous l’eau et encore mes bas. Comme toutes les femmes j’avais malheureusement l’habitude que tout s’arrête trop tôt. Tout de même, je me sentis abandonner. C’était ma fête après tout, enfin presque. Au moins j’avais eu le temps de jouir une fois.
— Vite Luce, ils approchent ! Fit 1 en se retournant pour avancer bras en avant dans cette eau répugnante tout en repoussant cadavres et déchet.
— QUI ! Hurlai-je presque d’exaspération me sentant si mal tout trempé et délaisser par mes jeunes amantes, m’essuyant encore les yeux qui me piquaient. Ces histoires de faux cadavres ne m’intéressaient plus tellement. Je ne songeais qu’à une bonne douche chaude avec les filles et une bonne séance de baise à trois dans un endroit bien sec. De plus j’avais toujours l’impression d’avoir le doigt de 2 dans le derrière et mon petit trou me piquait. Je ne pus m’empêcher de me le gratter sous l’eau en souriant tout en reprenant peut a peut mes esprits.
— Les Zombies Luce, susurra 2 a mon oreille en suivant 1, filons vite !
Je soupirer longuement en les regardant s’éloigner de moi vraiment déçut. « Ben oui, les zombies. » Murmurai-je avec encore le goût sucrer des lèvres de 1 sur les miennes sans parler de mon anus qui pulsait délicieusement et que je me palpais encore sous l’eau par dessous mon slip pour en diminuer la démangeaison. Je jeter tout de même un dernier regard a la cascade à peine visible dans la brume et froncer les sourcils car je crue voir quelqu’un en jaillir, puis un autre et encore un autre. Que des ombres mais, elle me semblait difforme de visage. « Mon imagination doit me jouer des tours, » pensai-je. Mais j’entendis des splash retentissant. Cette fois mon coeur bondit en sortant la main de mon slip et de ma jupe tout en me retournant pour suivre mes guides, bras hors de l’eau, avançant trop lentement à mon gout, les pieds glissant dans le sable. Je m’aperçus que 1 et 2 avaient déjà disparu dans le noir.
« Merde ! On était vraiment suivi dans ce satané couloir. » Cette pensée me donna la chair de poule même si ce n’était sans aucun doute que des comédiens. Je me mis à rire toute seule car tout ça m’amusait follement, à nouveau. Frisson, érotisme, zombie. Wow !
« Elle ma vraiment rentrer un doigt dans cul la petite cochonne ? » « Et toi ma veille, tu ne t’es pas gêné avec 1. » Seigneur ! Elle et l’autre avaient l’âge d’être mes filles et ça m’excitait en plus.
Soudain, mes pieds s’entremêlèrent et je trébucher. En sortant de l’eau, à bout de souffle, je m’aperçus en m’essuyant le visage a nouveau que d’autres lumières s’allumaient devant et au-dessus de nous. Je n’arrivais pas à croire ce que j’apercevais au loin. Tout à coup je me rendis compte que derrière moi, dans la brume, on s’approchait. Grognement et clapotis qui me firent dresser les cheveux sur la nuque. Le dos parcouru de frisons glacer, j’écartai du bout des doigts des corps en bandant les muscles de mes cuisses pour essayer de prendre de la vitesse sans perdre l’équilibre cette fois et sans regarder derrière, pas le temps. Je devais rejoindre les jeunes malgré mes 49 ans bien sonner, presque 50…
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