Il y a une dizaine d’année, Marguerite, 51 ans à ce moment-là, faisait office d’assistante dans la société dans laquelle nous travaillons, et m’aidait dans l’ensemble de mes tâches quotidiennes, bien que 20 ans de moins qu’elle.
J’ai toujours aimé son professionnalisme, elle était très respectueuse de la hiérarchie et était une vrai professionnelle dans tout ce qu’elle faisait. Elle n’a jamais hésité à faire des heures supplémentaires pour m’aider à clôturer un dossier, ou même venir un peu en avance si c’était nécessaire. Jamais une réclamation, toujours super pro.
Un jour, lorsque nous étions en réunion, elle m’assistait pour un projet que nous avions à présenter à l’un de nos partenaires. Elle avait préparé les slides, et était persuadé que tout était en ordre. Lorsque je fis mon exposé et fit défiler les documents, je me rendis rapidement compte que certains ne correspondaient absolument pas à ce qui devait être présenté ni à ce que j’avais sur mes fiches. Je mis rapidement fin à cette mascarade, et demandait à mes partenaires de m’excuser pour cette erreur, et leur proposais de continuer en allant leur faire des photocopies et continuer ainsi.
Marguerite fut rouge de honte, et je lui demandai de servir nos hôtes en quelconque boisson le temps que j’aille faire ces copies. Lorsque je revins en salle, Marguerite avait servi l’ensemble de nos partenaires, et je lui demandai également un verre d’eau. En me le ramenant, elle trébucha, et me renversa l’ensemble du verre sur ma chemise et costume. La situation fut plus que gênante, elle s’excusa, je lui dis que c’était bon mais que l’on verra ça plus tard, allait me sécher un peu, puis ai fini la réunion. D’habitude si professionnelle, Marguerite est passée complètement à côté de la plaque.
Une fois tout terminé, elle est venue une nouvelle fois s’excuser. Elle était vraiment confuse, que cela n’arriverait plus et qu’elle était prête à travailler tard s’il le fallait pour se faire pardonner. Je lui ai signalé que le temps n’était pas au pardon, mais plutôt à la punition, car j’étais profondément déçu d’elle, et lui demandait s’il ne fallait pas qu’éventuellement je prenne une assistante plus jeune qui elle ne se tromperait pas dans les slides et serait peut-être moins maladroite. A cette question elle devenait rouge comme phare, commençait à avoir les larmes aux yeux, et me dit qu’elle acceptait toute punition ou humiliation, mais qu’elle avait besoin de ce boulot depuis sa séparation, sinon, elle n’arriverait pas à joindre les deux bouts. Je lui ai dit que la nuit porterait conseil, qu’elle n’avait qu’à rentrer chez elle, de venir demain matin et de faire en sorte que je ne sois convaincu qu’il va falloir que je la garde elle.
Le lendemain, lorsque j’arrivais au bureau, Marguerite était déjà en place à son poste. Elle portait un chemisier blanc dont les deux premiers boutons étaient exceptionnellement ouverts et laissaient deviner les formes très avantageuses de sa poitrine généreuse. Une fois à ma place, je lui demandais de venir et de me ramener un café. Elle entra dans mon bureau, et je vis qu’elle porta une jupe mi-cuisses noire, des bottes remontant sous les genoux et visiblement des bas noirs, même si je n’en étais pas sûr à ce moment-là. Elle me rapporta mon café, et me dis que pour me faire plaisir et se faire pardonner de ses « exploits » de la veille, elle allait porter ce type de tenue et me faire oublier que je voulais la remplacer par une plus jeune.
Je lui répondis que je n’avais pas besoin d’une femme jolie et sexy pour me faire plaisir et avoir un tableau sympathique à mes côtés, mais de quelqu’un qui sache exécuter convenablement tout ce que je lui disais et évite que je passe pour une truffe auprès des clients. Je lui demandais ensuite si elle était toujours prête à tout pour se faire pardonner, ce à quoi elle acquiesçait de la tête.
Marguerite devint, une fois de plus tout rouge. Je lui ai demandé de se retourner pour que je puisse aussi la voir de derrière. Lorsqu’elle me tourna le dos, lui ai demandé de retirer sa culotte. D’abord hésitante, elle s’exécuta ensuite très rapidement, beaucoup trop à mon goût. Lui ai demandé de remettre sa culotte, puis de la retirer mais beaucoup plus lentement à présent. Elle refit l’opération comme je lui ai demandé. Je lui ai dit que c’était la dernière fois qu’elle portait une culotte au bureau, et que je vérifierai souvent et que si ce n’était le cas, je la changerai. Elle me dit que oui, c’était la dernière fois qu’elle portait une culotte au bureau. Toujours dos tourné, je lui demandai de relever sa jupe pour que je puisse voir ses fesses. Très lentement, elle comprit vite, elle remonta sa jupe et resta ainsi de longues secondes pour elle, devant moi. Je lui demandais de rester dans cette position, mais d’enlever son soutien-gorge et de faire plonger ses seins au-dessus de son chemisier. Une fois que l’opération fut terminée, lui ai demandé de se retourner.
Elle était, rouge comme une tomate. Lui ai demandé de mettre les mains derrière la tête, et d’écarter ses jambes. Je lui ai signalé que c’était la position, et que lorsque je lui demanderai de se mettre en position, c’est toujours ainsi qu’elle devait se présenter à moi. Lui ai également signalé, que les poils sur le pubis devaient disparaitre dès le lendemain. Marguerite me regarda avec un air un peu désespérée, mais me dit un « oui » timide que je lui demandais de répéter pour que j’entende convenablement. Lui ai demandé de rester dans cette position pendant que je lisais mes mails. Je me levais pour aller me chercher un autre café, et en profitais pour tirer sur les poils pubiens de ma chère assistante. A mon retour, elle était toujours en place.
Me suis rassis à ma place, et ai demandé à Marguerite de venir me voir et se mettre à mes côtés. Je lui demandais si elle pensait que cela serait suffisant pour se faire pardonner, et elle me dit qu’elle n’avait jamais été humiliée et exposée de telle façon, et que pour elle c’est une épreuve très difficile. Va pour l’humiliation, mais pour le moment, il n’y a pas encore eu de punition. Je lui demandai d’aller chercher une des chaises en face de mon bureau et de la mettre à mes côtés. Les chaises pour accueillir des personnes, sont sans accoudoirs, beaucoup plus pratiques pour le programme qui allait suivre.
Je changeais ainsi de siège et demanda à Marguerite de se mettre sur moi, en position OTK. Elle hésita quelques secondes, je lui pris le poignet et elle s’exécuta. Marguerite savait ce qui allait se passer. Elle me demanda de ne pas être trop dur, et de ne pas lui faire mal. Je lui ai simplement dit que c’était moi qui décidais, et qu’à la moindre contestation, les coups seraient doublés, ou beaucoup plus appuyés. Elle acquiesça.
Le premier coup, fut celui de la marque. J’aime, lorsque je donne mon premier coup, que la marque de ma main apparaisse sur la fesse. Le coup doit à la fois être puissant et bien placé. Marguerite, poussa un petit cri de surprise, mais cette première caresse me laissa pleins d’espoirs. Mes caresses commencèrent alternativement, sur une fesse, puis sur l’autre, plus ou moins fortes, le temps de voir les fesses rougir au fur et à mesure. Marguerite se cambrai et bougeait lors de certains coups, bien que je lui demandais de rester immobile. Comme promis, lors d’un nouveau petit cri poussé, je lui demandais de se lever. Me suis levé à mon tour, et lui demandais de se mettre en position. Lui pris ses tétons, et l’emmena devant mon bureau, en lui demandant de se coucher en avant pour que son haut soit posé sur mon bureau et les fesses à bonne hauteur. Je lui mis 51 ans, coups, qu’elle comptait en me disant, 1, merci, 2 merci, 3 mercis… Ces fesses furent rouge et j’entendis quelques sanglots, les 10 derniers étant effectivement relativement puissants, ma main en eu elle aussi quelques picotements. Je demandais ensuite à Marguerite d’écarter ses fesses et de me présenter son petit trou. A l’aide de ma règle, celui-ci eut également droit à quelques caresses. Là encore, des sanglots se firent entendre.
Cela fit presque une heure que Marguerite était dans mon bureau. Son maquillage coulait, elle était humiliée. Je lui ai demandé de se mettre à genoux, et lui demanda de me lécher les chaussures. Elle me proposa une fellation, lui a expliqué que ce n’était pas elle qui décidait, et elle reprit 20 coups. Une fois terminé, lorsque j’ai réédité mon souhait, elle s’est exécutée sans broncher.
Marguerite fut à présent humiliée et punie de sa mésaventure de la veille. Elle était aussi devenue ma soumise, mon objet, avec laquelle, j’allais encore passer de très nombreux et agréables moments.
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