C’est prévu depuis un certain temps déjà ; ce repas d’entreprise de fin d’année est pour moi le dernier.
En effet, je souhaite évoluer professionnellement, voguer vers de nouveaux horizons ; et la boîte où j’oeuvre depuis environ 6 années ne me le permet plus.
Je quitte la société et mes patrons (la mère et le fils) en bons termes.
C’est pourquoi j’ai tout simplement décidé de passer un bon moment ce soir, partager du bon temps avec mes collègues et surtout me lancer un défi.
Quel défi ?
Je vais vous expliquer.
J’ai parmi mes collègues de travail de nombreuses femmes, mais une, en particulier, me fait tout simplement bander à mort quand je m’imagine en train de la baiser.
Je vous la présente :
Elle s’appelle Ève. 35 ans. Mariée et deux enfants. Cheveux noirs, yeux bleus, 1m70 environ, des formes pulpeuses, un gros cul et des seins assez imposants, eux aussi.
L’ensemble est particulièrement harmonieux.
Je suis tombé sous son charme dès notre première rencontre.
Les années ont passé et nous sommes devenus des collègues très complices.
Complices dans le sens où on rigole beaucoup tous les deux, notamment en sortant de nombreuses blagues de cul.
Je la trouve très jolie, et tout naturellement, je lui fais souvent un petit compliment sur sa tenue vestimentaire du jour.
Compliments qu’elle apprécie d’ailleurs.
Je me souviens :
– Il te va bien ton tee shirt, Ève.
– Tu dis ça parce qu’il me fait des gros seins?
– Euh oui, j’avoue…
– Tu es vraiment un pervers, toi !
– Peut-être un jour verrais-je ton Saint Graal ?
– Oui, tu peux toujours rêver !
Ah… Je désespère de voir ne serait-ce qu’une partie de son intimité, en particulier ses seins, qui me font tellement bander quand je les imagine.
Mais ce soir, je me lance ce défi. Arriver à mes fins par tous les moyens ! Passer du fantasme à la réalité.
Après m’être longuement préparé, histoire d’être impeccable pour ma collègue, me voilà fin prêt !
Et merde, je suis en retard !
J’arrive dans nos locaux de travail : et la pièce qui nous sert habituellement de salle de pause, a été transformée pour l’occasion en salle de réception, avec tout le nécessaire pour un apéritif dînatoire des plus copieux !
Mes collègues de boulot sont déjà quasiment tous là ; je dois être le dernier !
J’aperçois Ève, assise sur un fauteuil, une coupe de champagne à la main.
Elle est vêtue d’une minijupe en cuir noir, sans collants ; elle porte un haut de couleur blanche au col rond ; j’ai l’impression que ce haut la serre et met encore plus en valeur la grosseur de ses seins. Elle est chaussée de talons aiguilles noirs qui affinent sa silhouette.
Lorsqu’elle m’aperçoit à son tour, elle me sourit et m’invite d’un signe de la main à aller vers elle.
Je prends une coupe de champagne au passage et je me rapproche d’elle.
Je l’embrasse, en essayant de garder le plus possible mes lèvres en contact avec ses joues.
– Alors, j’ai combien de coupes de champagne de retard ?
– Tu en as trois de retard, copain !
– Ne perdons pas de temps, alors !
Je bois ma coupe de champagne d’une traite, et j’enchaîne sur une deuxième !
On se remémore certains souvenirs, et au fur et à mesure, je ratt**** mon retard sur les coupes de champagne.
Après quelques franches rigolades, j’invite Ève à aller fumer une cigarette à l’extérieur.
Dans le couloir, je la sens légèrement pompette à sa démarche.
Je la laisse passer devant moi ; m’offrant le luxe de mater la silhouette de son cul. Et quel cul ! On doit être vraiment bien à l’intérieur.
Nous sommes seuls dehors, aux marches d’entrée du bâtiment ; uniquement la lumière du couloir intérieur nous éclaire.
On continue à rire de nos conneries passées, en fumant notre cigarette ; puis, l’alcool m’ayant quelque peu désinhibé, je passe à l’action.
– Alors Ève, tu me montres tes seins ?
– OK ! Mais avant montre-moi ta bite !
Et elle rigole ; fière de sa connerie !
J’aurais, en temps normal, ri avec elle à sa bêtise mais ce soir, c’est différent.
Je pense à mon défi, et je n’ai pas envie de rigoler et de laisser passer cette occasion.
Je n’ai rien à perdre, alors FEU !
Je déboutonne la fermeture de mon jean, et je sors ma queue.
Je la tiens d’une main, et je sens qu’elle commence déjà à grossir.
M’exhiber comme ça devant ma collègue m’excite grave, et l’alcool aidant, je n’ai aucune honte.
– Et bien la voilà ma bite, copine !
J’esquisse un sourire à ma collègue, qui est en train de regarder ma queue.
– Éric ! Tu n’es pas bien ou quoi ? Range-moi ça tout de suite !
– Non ! Je te montre ma queue, alors, je veux voir tes seins maintenant.
– C’était une blague !
Je vois qu’elle a du mal à me regarder dans les yeux, et que cette situation la gêne quelque peu.
– Détends-toi. Relax ! Tiens !
Je prends sa main et je lui fais serrer ma queue.
Le contact de sa main avec ma queue me fait clairement bander. Quelle sensation !
Je commence à faire un va-et-vient avec sa main.
– Éric, arrête !
Je ne l’écoute pas et continue à branler ma queue avec sa main.
– Éric…
– Tais-toi !
Je continue, puis je m’aperçois que ce n’est plus moi qui contrôle le va et vient sur ma queue.
Je lâche la main d’ Ève mais elle reste agrippée à ma queue, la serrant très fort et me branlant d’un rythme rapide.
– Ève !
– Alors, c’est ce que tu veux, espèce de pervers !
– Oui, c’est ce que j’ai toujours voulu !
– Salop, va !
Elle continue de me masturber. Du liquide pré-séminal commencer à sortir de ma queue, et à chaque va-et-vient, mon excitation grandit.
– Tu as vraiment une grosse bite, toi !
Elle fléchit ses jambes, et sans avoir le temps de réaliser quoi que ce soit, elle fourre ma queue au fond sa gorge et commence à me pomper.
Elle me fait des putains de gorges profondes et de la salive sort de sa bouche à chaque remontée.
– Ahhhh! C’est trop bon ce que tu fais !
– Pervers !
– Salope !
Quelle bouffeuse de bite ! Je n’aurais jamais pensé ça d’elle ! Elle doit être grave en manque, tellement elle a l’air de se délecter de ma queue toute dure et humide.
Elle commence à lécher mes couilles, une par une, puis en prend une entière dans sa bouche.
– Ah, putain !
Elle prend mes couilles avec sa main, et dirige ma queue vers sa bouche mouillée de salive.
Elle me tient par les couilles et serre fort.
– Ahhhhh !
Et d’un coup, elle remet ma queue dans sa bouche et me pompe d’un rythme soutenu.
Elle retire ma bite de sa bouche, me serre fort les couilles avec sa main mouillée aussi désormais, et replonge sur ma bite la bouche grande ouverte.
– Tu es vraiment une vraie salope, toi !
– Oui ! Une salope mal baisée par son mari, en plus. Alors, tu as intérêt à assurer ; car ce soir, je veux que tu me déglingues comme une pute.
Je ne reconnais plus Ève. Une salope, une grosse chienne a pris sa place. La femme mal baisée qu’elle est devenue au fil des années de son mariage a brutalement décidé de se venger et de manger de la bite ; la mienne en l’occurrence.
– Oui, je vais te défoncer connasse. Mais continue, à me pomper pour le moment.
– Mais, vous faites quoi là?
Je me retourne, et soudain j’aperçois ma patronne sur le pas de la porte ; stupéfaite de ce qu’elle est en train de voir.
Ma patronne est une femme de 47 ans. Blonde, cheveux longs, petite de taille, de corpulence plutôt mince ; faisant ressortir sa grosse poitrine.
Elle est habillée d’une robe noire qui descend jusqu’aux genoux et de légers talons.
J’ai toujours eu de bonnes relations avec elle. Son vieux mari est à la retraite, passes ses journées devant la télévision en délaissant sa femme.
– Jacqueline??!!
Pendant ce temps-là, Ève continue de me sucer, quand soudain, elle recrache ma queue.
– Regardez-moi cette queue, Jacqueline ! Éric est un vrai pervers. Il m’a forcé à le branler, et maintenant je le suce de mon pleins grès.
– Éric ! Je suis choquée.
– Et bien, c’est que…
Pendant que j’essaye de trouver mes mots, Ève s’est remise à me pomper sans aucune honte devant Jacqueline. Je remarque que notre patronne ne détache pas son regard de ma queue plongeant dans les méandres de la bouche de ma collègue et remontant toujours plus dure et mouillée.
– Vous venez Jacqueline ? On ne sera pas de trop à deux pour sucer sa grosse queue.
– Alors comme ça, Éric, vous aimez vous faire sucer par vos collègues de travail ?
C’était à mon tour d’être choqué par les mots de ma patronne et surtout par le ton employé.
Son regard était devenu espiègle et sa façon de parler vicieuse.
– Euh… Oui, j’aime ça.
– Petit salop !
Elle s’approche de nous, descend lentement les marches de l’escalier ; elle se baisse, retire ma queue de la bouche d’ Ève et l’enfourne aussitôt dans sa bouche.
Putain qu’elle suce bien. Une vraie bouche à pipe. On sent qu’il y a de la place dans sa bouche, et qu’elle pourrait facilement avoir deux bites à l’intérieur.
– Oh oui, Jacqueline, c’est bon ce que vous faites !
Alors, qu’elle est en train de me tailler une pipe que j’ai rarement vu aussi baveuse, je n’arrive quand même pas à la tutoyer.
Ca rajoute une excitation supplémentaire.
– Alors, Éric ? Ça fait quoi de se faire pomper par sa collègue et sa patronne?
– C’est trop bon, les filles !
– Vas-y, suce le, Eve !
Jacqueline tend ma bite à Ève, qui la reprend aussitôt dans sa bouche ; et ma patronne commence à lécher mes couilles.
– Ahhhh, je vais jouir les filles.
Et d’un coup, Ève s’arrête de me sucer.
– Et puis quoi encore ! Je t’ai dit que je voulais que tu me défonces, salop.
Elle se met contre la rampe d’escalier et soulève sa jupe.
J’aperçois un string noir
, dont la ficelle est complètement rentrée dans la raie se son gros cul, à force d’avoir fléchi ses jambes pour me sucer.
Quel cul ! J’en avais rêvé tant de fois, et là, il m’était offert.
Elle retire la ficelle de sa raie, et la met sur le côté.
Son entrejambe est complètement souillé par la mouille accumulée pendant qu’elle me suçait.
– Je veux ta bite, Éric.
– Oui, baise-la, Éric. Renchérit ma patronne.
Je m’approche de la croupe d’Ève, baisse entièrement mon pantalon et enfourne aussitôt ma bite dans sa chatte. Quelle sensation ! Je suis en train de baiser la femme sur laquelle je m’étais tant branlé auparavant.
– Oh oui, Éric ! Vas-y, plus fort.
Je la prend de plus en plus fort, et mes couilles claquent contre sa chatte.
– Ahhhh ! Oui, c’est bon !
Pendant que je suis en train de baiser Ève ; ma patronne s’assoit sur les marches de l’escalier, remonte sa robe et commence à se caresser la chatte en nous regardant.
Sa chatte est aussi toute mouillée, et la mouille reste accrochée aux poils de sa chatte.
Elle a la chatte toute poilue et toute ouverte. Ça me donne de grosses envies tout d’un coup.
– Regarde, Éric. Je suis certaine que Jacqueline veut recevoir ta grosse queue, elle aussi.
– Oui, Éric. Je veux ta queue moi aussi. Mets-la moi dans ma grosse chatte.
Je sors ma queue de la chatte d’Ève, et elle commence à la repomper. Elle suce ma bite pleine de mouille et ça a l’air de beaucoup lui plaire, tant elle s’applique à lécher mon gland.
Pendant ce temps, Jacqueline est en train de se mettre en levrette sur les marches de l’escalier. Son cul est devant moi. Je l’écarte pour accéder à sa chatte et j’insère ma bite dans la chatte de ma patronne.
– Ah oui !
Ma patronne gémit.
J’ai beau avoir une grosse queue, j’ai l’impression que sa chatte est un vrai garage à bites.
Je la baise brutalement et sauvagement.
– Putain ! Tu me prends bien. Continue je t’en prie.
Et je la baise de plus belle, tandis que c’est au tour de Ève de se caresser la chatte.
Elle est toute rasée ; seul un ticket de métro est apparent, et c’est très bandant.
– Vas-y ! Bourre la !
Ève m’encourage à baiser encore plus fort ma patronne, qui gémit de plus en plus fort. A ce stade-là, on va se faire remarquer.
– Ah je vais jouir les filles !
Je sors ma bite de la grosse chatte de ma patronne et celle-ci s’empresse d’être la première à goûter sa mouille en me suçant. Quelle fabuleuse bouche à pipe.
– Vas y Éric ! Jouis sur nos gueules !
– Ahhhhhhh
Je sors ma queue de la bouche de Jacqueline et jouis immédiatement sur la gueule de mes deux salopes.
De grosses giclées arrivent dans leur face, n’épargnant pas leurs cheveux et leurs yeux.
– Putainnnnnn !
Quelle jouissance !
Les visages de Jacqueline et d’ Ève sont complètement maculés par mon sperme ; il commence à dégouliner sur leurs tenues.
– Tenez !
Je leur tends un mouchoir en papier qu’elles utilisent tant bien que mal pour s’essuyer. Leur maquillage a coulé, et elles ont l’air de deux salopes qui viennent de se faire déglinguer.
L’excitation commence à retomber, et je me rends compte que du coup, je n’ai pas vu les seins d’ Ève !
– Ève ! Tu ne m’as pas montré tes seins.
– Tu peux toujours rêver !
Un sourire si coquin ; le coin de ses lèvres dégoulinant encore de sperme.
– Viens, Jacqueline, on va se refaire une beauté dans ma voiture avant de revenir en salle. On a l’air de deux putes là !
– Oui, j’arrive.
Jacqueline s’approche de moi ; une partie de ses cheveux est collée par mon sperme.
Elle me dit :
– Alors, Éric, tu es sûr de toujours vouloir partir l’année prochaine ?
– …
Ecrit par SoMetal.
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