Cette histoire est une pure fiction
J’étais un homme sans problème jusqu’à l’histoire que je vais vous raconter. Marié à une merveilleuse femme, Carine, nous vivions une vie de couple épanouie jusqu’au jour où après trois ans de mariage nous décidâmes d’avoir un enfant ensemble. Cette décision mûrement réfléchie ne s’accompagna malheureusement pas du résultat escompté. Après plus d’un an à essayer, nous nous sommes rendus à l’évidence qu’il y avait un problème. Nous sommes allés voir des spécialistes et après plusieurs séries de tests, on nous a annoncé que le problème venait de Carine.
La conception naturelle étant presque impossible, nous sommes passés par la méthode médicalisée. Sans plus de résultats. Nous avons essayé plus de fois que je ne saurais le dire, toutes nos économies y sont passées et nous avons emprunté autour de nous, mais rien n’a fait.
Après notre dernier échec, Carine est entrée en dépression. Enchaînant les heures sup pour rembourser nos dettes et espérer retenter une fois de plus notre chance, je ne pouvais pas être suffisamment là pour l’aider à surmonter cette épreuve. Heureusement, Carine n’était pas seule. Devant sa détresse, Delphine, sa sœur venait la voir quotidiennement avant de finalement s’installer chez nous pour la soutenir.
Ce soutien a pris pourtant une forme que je n’aurais jamais pu imaginer. Un lundi soir, alors que je revenais du travail, Carine m’a dit qu’elle voulait me parler sérieusement. J’étais inquiet et surpris lorsque nous sommes allés dans le salon où nous attendait Delphine.
— Voilà, Delphine et moi nous avons discuté, beaucoup discuté, et nous avons trouvé une solution pour que nous ayons un enfant.
— Laquelle ?
— Delphine doit le porter à ma place.
Je les regarde avec de grands yeux.
— Les mères porteuses sont interdites en France et tu imagines ce que cela va nous coûter d’aller à l’étranger pour le faire ?
— C’est pour ça que nous allons devoir utiliser une méthode naturelle ?
— Naturelle ?
Je les regarde toutes les deux sans comprendre où elles veulent en venir quand soudain l’évidence me saute aux yeux.
— Non ! Tu ne veux tout de même pas que je couche avec ta sœur et que je la mette enceinte ?
— Si.
— Mais vous n’êtes pas bien toutes les deux !
— C’est la seule solution.
— Je refuse.
Je les abandonne toutes les deux, Carine, en larme après mon refus, qui est réconforté par sa sœur. Nous n’échangeons pas un mot jusqu’au lendemain soir où ma femme revient à la charge, m’expliquant qu’au moins ainsi l’enfant lui ressemblera un peu. Je lui dis une fois de plus non et le lendemain c’est Delphine qui tente de me convaincre, insistant sur le fait que l’idée venait d’elle.
Pendant une semaine encore, elles se relaient pour tenter de me convaincre. Petit à petit, elle sème le doute en moi.
À bout de nerfs, je décide le vendredi en fin d’après-midi de passer voir mon meilleur ami à la sortie du travail. Lorsqu’il me voit, il comprend que quelque chose ne va pas. Il m’offre à boire et après quelques verres et avoir échangé quelques banalités, je lui révèle ce qui me tourmente ainsi.
— Non, tu déconnes !
— Pas pour un truc pareil.
— Et tu as dit quoi ?
— Non, bien sûr, mais ça ne les a pas arrêtées pour autant et maintenant je doute.
— Et tu voudrais savoir ce que je ferais à ta place ?
— Oui.
— Eh bas, à ta place, la belle-sœur, elle serait déjà en train de rebondir sur moi, ma queue enfoncée dans sa chatte déjà fourrée d’une première dose de sperme, et je ne la laisserais pas filer avant d’avoir drainé l’intégralité de mes couilles dans son con.
— Ami de la poésie…
— Va pas te plaindre, bien des mecs tueraient pour avoir une femme qui leur offre leur sœur à tirer. Allez, fonce. Surtout que la Delphine, c’est pas une mocheté.
— Si c’était histoire de tirer un coup, je n’aurais pas besoin de ton avis.
— C’est certes spécial ce qu’elles te demandent, mais elles se sont mises d’accord. Ça reste en famille, alors, profite.
Pendant le trajet de retour, je continue de réfléchir. Dois-je vraiment suivre son conseil et céder ? Je dois reconnaître que parler avec lui de ma belle-sœur a réveillé de vieux souvenirs des débuts de notre relation avec Carine. Le souvenir de ces nuits où j’avais pu fantasmer de sa sœur, m’imaginer la baiser elle ou bien de les prendre toutes les deux. Toutes les deux sont deux grandes et belles brunes. Si Carine n’a pas à se plaindre au niveau de ses formes, Delphine la surclasse de très loin. Sa poitrine est lourde et opulente et elle a les fesses qui vont avec.
Plus je roule, plus je pense à Delphine et plus j’ai du mal à retenir un début d’érection. Néanmoins, une fois arrivé chez moi, alors que je sais qu’elles vont une fois de plus venir me voir pour me convaincre, je reste dans ma voiture pour réfléchir une dernière fois.
Lorsque je rentre, je me sens nauséeux et regrette déjà ma décision. Quand Carine me voit, je me sens mal et je décide d’aller au plus vite et d’éviter toute discussion ou explication.
— Où est ta sœur ?
— Elle vient de rentrer dans la salle de bains pour se doucher.
— Bon, reste là.
Alors qu’elle comprend soudain que je me suis rangé à leur idée folle et qu’elle se lève pour me remercier, je tends une main vers elle pour lui dire de ne pas bouger.
Je vais dans la salle de bains. Delphine est sous la douche et chantonne. Je me déshabille une boule au ventre et j’ouvre la cabine de couche. Delphine sursaute en me voyant. Je ne peux m’empêcher de détailler son corps ruisselant d’eau. Je fixe sa large poitrine, ses imposants tétons. Je me sens rougir au moment de baisser les yeux pour admirer sa chatte taillée en triangle. Devant ma réaction, Delphine me lance un regard mutin et sans dire un mot, voyant que je suis toujours mal à l’aise, elle prend ma main et m’invite à rentrer. Nous voilà serrés dans ce minuscule espace. Elle me place sous le jet avant de prendre une bonne dose de savon et commencer à me laver. Je suis forcé de reconnaître que sentir ses doigts glisser sur mon corps est plutôt agréable. Elle fait ça très délicatement pour bien me détendre. Je ressens un frisson au moment où elle commence à s’occuper de mon pénis. Elle le frotte sur toute la longueur, le fait glisser entre ses doigts. Elle se met à me masturber doucement, son souffle dans mon cou. Il ne faut pas longtemps de ce traitement pour que ma verge se redresse.
Elle me fait alors me retourner, et tout en continuant de s’occuper de moi, elle se saisit de ma main droite et porte mes doigts à ses lèvres, les aspire un à un dans sa bouche, avant de les présenter devant sa chatte.
— Occupe-toi de moi.
De nouveau mal à l’aise, je me contente au début de lui caresser maladroitement la vulve ce qui la fait sourire.
— Enfonce tes doigts en moi.
Je n’ose pas franchir ce cap. Elle se saisit alors de ma main et guide elle-même mes doigts en elle. Je me retrouve avec deux doigts enfoncés en entier dans sa chatte chaude et déjà bien humide. Contrairement à moi, Delphine semble souffrir de bien moins de scrupules et d’état d’âme. Elle est tellement à son aise qu’elle se masturbe elle-même avec ma main qu’elle ne lâche pas. C’est elle qui dirige la profondeur et le rythme. Ce qu’elle se fait semble lui faire du bien, car elle s’appuie un peu plus contre moi et j’entends sa respiration s’accélérer. Elle finit par se crisper légèrement. Elle s’est donné un petit orgasme.
— Passons aux choses sérieuses.
Elle m’embrasse dans le cou et commence sa descente en posant des baisers sur mon torse jusqu’à atteindre mon gland gonflé qu’elle embrasse. Mon corps tressaute quand ses lèvres sont remplacées par sa langue. Elle la fait tourner autour de mon gland avant de la faire glisser à plusieurs reprises sur toute la longueur de ma hampe. Malgré la sensation délicieuse qu’elle me procure, ma morale refait surface.
— Attends, Delphine. Il faut arrêter, il doit bien y avoir une autre solution, on ne peut paaaaas…
Ma voix m’échappe au moment où ma belle-sœur fait glisser ma bite au fond de sa bouche. Je perds tous mes moyens à mesure qu’elle m’avale.
— Oh Putain !
Je sens mon gland qui arrive au fond de la gorge de Delphine et qui continue encore sa progression jusqu’à ce que je sente enfin ses lèvres sur mon pubis. Elle garde cette position plusieurs secondes avant de me recracher complètement.
— Tu disais ?
— On ne peut…
Une fois de plus, je suis incapable de finir ma phrase. Elle m’a repris en bouche et me gratifie d’une nouvelle gorge profonde. Elle répète ce petit manège encore trois fois, me rendant muet à chaque fois. Puis, voyant que je continue à avoir des scrupules, elle renonce à me recracher et me suce comme une folle.
Après plusieurs minutes de ce délicieux traitement et malgré tous mes efforts pour résister, je sens mon jus monter.
— Putain, je vais jouir.
Sur ces mots, Delphine arrête de me pomper. Elle se redresse, se saisit de ma bite qu’elle dirige vers sa chatte avant de s’embrocher sur moi. Je n’ai pas le temps de réagir ni de retenir mon éjaculation, et je me répands dans sa chatte à gros flots de sperme.
— Voilà, tu as joui en moi. Maintenant, à toi de me dire si on va continuer comme ça ou si tu vas enfin prendre les choses en moi et me donner du plaisir. Parce que j’aime bien tailler des pipes, mais j’aime aussi me faire baiser.
Ce qui vient de se passer et ces quelques mots ont raison de mes dernières réserves. Je pose mes mains sur ses épaules pour la faire s’agenouiller. Elle semble déçue de ma décision, mais résignée, elle me reprend en bouche.
— Vas-y, suce-moi, fais-moi rebander bien dur, que je puisse te baiser !
Satisfaite de ma décision, elle me lance un regard empli d’excitation avant de plonger sa tête entre mes jambes et de me pomper avec avidité. Elle est vraiment très douée pour sucer et il ne faut pas longtemps avant de me retrouver avec une belle érection.
Estimant ma queue assez dure, je la fais se relever et la plaque brusquement contre la cabine de douche.
— Écoute-moi bien. On va mettre les choses une dernière fois au clair. J’aime Carine et avec elle je fais l’amour. Toi, je te baiserais. Je te ferais toutes les saloperies qui me passeront par la tête jusqu’à ce que tu sois grosse. Tu es toujours partante ?
— Qu’est-ce que tu attends pour te servir de moi pour te vider les couilles ?
Elle me lance un regard d’une indécence folle auquel je réponds en présentant ma bite à l’entrée de sa chatte avant de m’enfoncer d’un coup sec jusqu’à la garde. Je la tire par les cheveux pour la faire basculer en arrière. Elle pousse un petit cri et je profite de sa bouche ouverte pour fourrer ma langue à l’intérieur et lui rouler un patin bien baveux. Ses couinements sont ainsi étouffés tandis que je me mets à la limer de façon furieuse.
Ma belle-sœur est particulièrement réceptive à ce que je lui fais parce qu’il ne lui faut pas longtemps avant de partir dans un premier orgasme. Sa jouissance passée, je la fais s’agenouiller avant de présenter ma bite devant ses lèvres entrouvertes où je force le passage. Cette fois-ci, ce n’est pas elle qui me suce, mais moi qui lui baisse la bouche ou plutôt la gorge. Je la prends d’un rythme furieux, toute la cabine de douche vibre sous mes coups de reins.
Lorsque j’abandonne enfin ses lèvres, son visage est écarlate, mais elle a toujours ce même regard lubrique. Je la force à se relever, enroule une des jambes autour de moi avant de l’embrocher pour la tringler comme le dernier des salauds, mes deux mains cramponnées sur ses seins.
— Ils te plaisent, mon salaud ! Depuis qu’on se connaît, tu n’arrêtes pas de les reluquer, tu as toujours fantasmé dessus.
— Et maintenant, ils sont à moi et j’en fais ce que je veux.
Tout en continuant à la baiser d’un rythme soutenu, je la fixe du regard au moment où je me saisis de ses tétons dressés que je pince fort avant de les tordre. Delphine hurle de douleur en soutenant mon regard. Je me penche sur elle et plonge ma langue dans sa bouche pour la faire taire.
J’abandonne sa bouche pour descendre sur sa poitrine et je les tète à tour de rôle. J’empoigne fermement son sein droit que je soulève et tire vers le haut.
— Suce-le !
Je la regarde faire tourner sa langue sur son auréole avant de refermer ses lèvres dessus. Elle l’aspire goulûment en observant la réaction. Pour toute réponse, je m’empare de son sein gauche que je porte à ma bouche.
— Vas-y, baise-moi, remplis ma chatte de sperme, engrosse-moi. Je veux que tu sois fou en voyant du lait sortir de ma poitrine que tu adores.
— Salope ! Je vais la remplir ta chatte de chienne !
Je ne sais pas ce qui me prend de lui dire de telles choses. Je devrais la remercier pour ce qu’elle fait, pour l’enfant qu’elle est prête à nous donner à Carine et moi, mais pour parvenir à coucher avec elle, j’ai complètement détruit son image de belle-sœur aimante pour la transformer en dernière des salopes. Tout ce qui me vient ce sont des insultes alors que je lui saisis les poignets que je tiens au-dessus de la tête comme pour la soumettre pendant que je pilonne sa chatte comme un sauvage.
Je finis par jouir en elle dans un râle pendant que Delphine pousse un long et sonore gémissement.
Nous restons emboîtés pendant de longues secondes à reprendre notre souffle. Quand nous nous séparons enfin, Delphine ouvre la cabine de douche et s’empare d’une serviette pour se sécher. Elle m’en tend une, mais je lui saisis la main et la ramène brusquement vers moi. Je la dévisage d’un regard a****l puis je glisse une main dans ses cheveux mouillés et je la tire vers le bas pour la faire s’agenouiller devant mon sexe à moitié bandé.
— Encore ? s’étonne Delphine.
— Tu ne quitteras pas cette pièce avant d’avoir définitivement essoré mes couilles, dis-je d’une voix autoritaire.
De ma main libre, je glisse ma queue dans sa bouche où je fais de nombreux allers et retours pour me faire bander une fois de plus. Quand celle-ci est de nouveau dure comme du béton, je m’enfonce entièrement au fond de sa gorge et je tiens cette position de longues secondes. Je ne bouge plus jusqu’à ce que Delphine me fasse comprendre qu’elle étouffe en me frappant les cuisses. Je la libère enfin et alors qu’elle reprend difficilement son souffle, je la fais se basculer pour qu’elle soit à quatre pattes. Je présente ma bite dressée à l’entrée de son cul.
— Oh là, qu’est-ce que tu fais ? Si on baise ensemble, c’est pour que je tombe enceinte et que vous ayez un enfant.
— Ne t’inquiète pas, je ferais comme toi tout à l’heure quand tu m’as sucé. Au moment de jouir, je me planterais dans ta chatte.
D’une main sur la tête, je plaque son délicat visage au sol et de l’autre je guide ma bite à l’entrée de son cul. J’appuie de toutes mes forces et dans un cri aigu, je finis par forcer son œillet et entrer mon gland. Après lui avoir laissé un moment pour s’habituer, je continue ma progression à l’intérieur de son cul. J’entre la moitié de ma queue avant de la retirer pour ne laisser en elle plus que la pointe de mon gland. Je fais ainsi plusieurs allers et retours jusqu’à ce que je sente son cul se détendre. Je sors finalement entièrement d’elle puis des deux mains j’écarte ses fesses et ouvre son anus dans lequel je crache à dix reprises. Je me représente à l’entrée de son cul et dans un grognement de bûcheron je m’enfonce à l’intérieur jusqu’à la garde.
— Ah ! Putain !
Je ne lui laisse pas le temps de se remettre et je ressors entièrement de son cul pour le limer de la même façon une vingtaine de fois.
— Ton cul est délicieux, je crois que je vais souvent le solliciter. Merci de m’avoir montré comment faire.
D’une claque sur les fesses qui lui fait pousser un nouveau cri, je me mets à défoncer son cul. Je la prends sans ménagement, alternant pistonnage intensif et grands coups de bite en sortant entièrement de son cul pour la remettre jusqu’à la garde.
Après plusieurs minutes de ce traitement, Delphine est soudain emportée par un orgasme terrible. Tout son corps se met à trembler et elle s’effondre au sol. Je l’accompagne dans sa chute pour ne surtout pas quitter son cul où je m’enfonce bien au fond d’un grand coup de reins qui lui fait pousser un nouveau râle.
— Eh bas putain, t’aimes ça te faire ouvrir le cul !
— J’ai déjà eu des orgasmes pendant une sodo, mais jamais d’aussi intenses.
— Et je compte bien t’en donner encore, je suis loin de jouir.
Je me dégage d’elle et admire un instant son cul ouvert qui se referme au rythme de ses spasmes. Je me penche sur son trou béant où j’enfonce ma langue. Je la lèche consciencieusement sous ses râles de plaisir. De deux doigts, je le maintiens grand ouvert et crache une fois de plus dedans avant de me planter au plus profond d’un violent coup de bite. Je me relance dans un limage intensif qui la fait une fois de plus hurler. Je suis vraiment devenu un gros pervers, car plus elle crie, plus je suis excité et plus je la défonce fort.
Je savoure avec délice les contractions de son cul quand un nouvel orgasme l’emporte. Sa jouissance passée, je la fais se relever, ma bite toujours plantée en elle. Je la plaque devant le lavabo et son large miroir.
— Regarde comme tu es belle quand tu jouis du cul. Tu as vraiment un visage de salope.
— Salope ? C’est comme ça que tu parles de ta belle-sœur qui t’offre son corps pour que vous ayez un bébé ?
— Ma belle-sœur qui a ma queue plantée dans son cul et qui aime ça.
Je donne trois coups de queue particulièrement puissants qui font se balancer sa poitrine.
— Dis-moi que le visage que je vois dans ce miroir n’est pas celui d’une salope qui aime ce que je lui fais.
Delphine fixe son reflet dans le miroir, mais ne me répond pas. Pour la faire réagir, je sors entièrement de son cul pour mieux replonger dedans et m’enfoncer jusqu’à la garde. Je lui donne ainsi plusieurs impressionnants coups de reins.
— Dis… le…
Elle tente de résister en me fixant dans le miroir, mais sa résistance à ses limites et son corps se met soudain à trembler. Elle vient d’avoir un petit orgasme.
— Ah ! Je suis une belle salope qui aime se faire ouvrir le cul par son beau-frère.
Heureux de sa soumission, je la tire en arrière pour l’embrasser avec fougue. Alors que nos langues s’emmêlent, je reprends ma sodomie. Je vais toujours plus vite et plus fort, enivré par le reflet que nous renvoie le miroir. J’ai l’impression de regarder un porno bien hard où ma belle-sœur et moi sommes les acteurs principaux.
Après de longues minutes à user et abuser de son cul, je sens que je vais bientôt jouir.
— Putain, ce que j’aimerais farcir ton cul avec mon sperme, c’est vraiment dommage !
Je sors de son cul pour me planter soudainement dans sa chatte.
— Je vais devoir me contenter de remplir pour la troisième fois ta chatte.
Une dizaine de coups de reins plus tard, je me fige au fond de son vagin où je décharge de nouveau une belle quantité de foutre provoquant une nouvelle jouissance chez ma belle-sœur. Je glisse une main sur son cou pour la forcer à regarder dans le miroir, pour voir à quoi nous ressemblons quand nous avons un orgasme.
Je me dégage finalement de Delphine et vais me laisser tomber le long de la porte de la salle de bains tandis qu’elle se laisse glisser au pied du lavabo. Nous restons sans rien dire, à reprendre notre souffle en savourant le plaisir du moment que nous venons de passer.
— Tu ne m’as vraiment pas ménagé. Ce sera toujours aussi intense ?
— Toujours. Quand nous sommes ensemble, tu n’es plus Delphine, tu n’es plus ma belle-sœur. Tu es juste une belle salope que je tringle selon mes pulsions.
— Et là, je suis de nouveau Delphine pour toi ?
— Ça dépend si mes couilles sont complètement vides.
En guise d’invitation, j’écarte mes cuisses et offre ma bite qui pend au sol. Ma belle-sœur répond à mon appel en rampant jusqu’à moi. D’une main, elle soulève ma queue et de l’autre elle se saisit de mes couilles qu’elles portent à sa bouche. Tout en me masturbant doucement, elle les avale à tour de rôle avant de parvenir dans une violente succion à les gober toutes les deux en même temps. Un tel traitement ne tarde pas à produire son effet et alors que je m’en croyais incapable je me remets à bander. Fière de l’effet qu’elle produit chez moi, elle me lance un regard d’une lubricité folle avant de quitter mes couilles pour reprendre ma bite en bouche. Elle m’avale en entier, me faisant le plaisir de revisiter le fond de sa gorge avant de me recracher.
— Cette fois-ci, le fond de tes couilles est pour moi seulement.
Delphine se met à me pomper avec une frénésie folle, je pousse des râles en continu tellement j’aime ce qu’elle me fait. Régulièrement, elle m’avale en entier et garde de longues secondes cette position en levant sur moi des yeux d’une lubricité folle. Elle me fait ma plus belle fellation de toute ma vie pendant de longues minutes avant de me quitter et de s’asseoir. Sa respiration est rapide après ce qu’elle vient de me faire.
— Aucun mec n’a jamais tenu aussi longtemps face à pareil traitement sans se répandre dans ma bouche. Tes couilles doivent vraiment être vides, c’est dommage.
Cette façon qu’elle a de présenter ses regrets de ne pas pouvoir boire mon sperme et le regard vicieux qu’elle me lance ont le don de me rendre fou.
— Attends, tu vas voir, tu vas y goûter à mon jus de couille.
Je la saisis par les cheveux, l’amène au sol et l’allonge sur le dos. Je passe une main sous son cou pour le relever avant de présenter ma bite à l’entrée de sa bouche.
— Ouvre ta bouche, que je puisse baiser ta gorge comme je baiserais ta chatte !
Delphine a un instant d’hésitation avant de finalement m’obéir. Je ne lui laisse pas le temps de changer d’avis et je la pénètre brusquement sur toute la longueur. Elle est parcourue d’un spasme sous la v******e de mon intrusion et tente de me recracher, mais je maintiens ma prise.
Les deux mains derrière la tête, je la prends comme le dernier des porcs ne sortant d’elle que de trop brefs instants pour la laisser reprendre difficilement souffle.
Les deux mains écrasées dans ses seins je me lance dans un ultime va-et-vient démentiel en l’insultant.
— Tu voulais mon foutre, sale chienne ? Tu voulais y goûter ? Il va falloir attendre une autre fois parce que je vais tout envoyer directement dans ton estomac.
Dans un râle monstrueux, je me fige aussi profondément que possible dans sa gorge avant d’expulser trois jets de spermes. La quantité est ridicule, mais le plaisir que chacun des jets me donne est énorme.
Je reste encore un instant planté dans ma belle-sœur avant de sortir d’elle et de me relever. Elle reste immobile sur le carrelage, son visage est écarlate. Elle regarde dans le vague ma bite qui pend.
— Maintenant, mes couilles sont vides, tu peux partir.
Elle est pourtant incapable du moindre mouvement et je l’abandonne là au milieu de la salle de bains pour rejoindre ma femme. Cette pensée a tôt fait de refroidir mon excitation. Ce n’est plus une quelconque salope que j’ai abandonnée derrière moi, mais ma belle-sœur et je fais demi-tour. Je la retrouve allongée dans la position où je l’avais laissée. Je la prends dans mes bras, l’enveloppe dans un peignoir et je la porte jusqu’à sa chambre. Je la dépose sur son lit. Je lui caresse doucement le visage en attente d’une réaction. Les quelques mots qu’elle parvient à me dire ont le don de réveiller mon côté pervers.
— J’espère qu’il me faudra longtemps avant de tomber enceinte.
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