Chapitre 6 : Laurine et mon voisin.
Le lendemain, Laurine disparaît l’après-midi sans qu’elle me dise ou elle va. Pas très gentil, mais après tout elle est majeure et…vaccinée !
Vers 18 heures, j’aperçois par la baie vitrée du mouvement au bout du jardin et je reconnais ma petite Laurine qui revient vers la maison. Elle ne peut venir que de la maison voisine et quand elle s’approche, je vois qu’elle est à moitié rhabillée et un sein sort de son sweet.
Avant qu’elle passe par derrière pour aller dans sa chambre, je l’interpelle et la tire dans le salon.
– D’où tu viens dans cette tenue !
Elle s’écroule dans le fauteuil et reprenant son souffle elle murmure
– De chez ton voisin. Un beau salaud, crois-moi. Mais putain ! Qu’elle queue il a !
Je n’en reviens pas ! Elle s’est faite baisée par mon voisin Claude.
Et d’un air vicieux elle me dit.
– Tu veux que je te raconte…
Au point où j’en suis avec elle, j’acquiesce de la tête.
Voici le récit de ma petite nymphette, accro au sexe.
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En fin de matinée, ton voisin me fait signe et il me dit.
– Passe me voir cet après-midi, j’en ai d’autres à te montrer.
Et il me tend une photo ou je me vois en train de sucer ta queue.
Intriguée voire excitée, je le défi du regard et je lui dis.
-OK, vers 15 heures.
Donc vers cette heure je frappe à la porte sa cuisine qui donne sur ton jardin et j’entends ton voisin qui me dit.
– Entre et monte à l’étage.
Arrivé en haut je vois Claude, ce cher voisin, qui me dit.
– Je me demandais si vous alliez venir… je suis vraiment heureux de vous voir.
Il me prend par la main et m’entraîne dans sa chambre. Elle est assez grande avec sur le mur en face du lit un grand écran télé. Sur cet écran je vois une belle jeune fille au visage angélique et innocent, avec des lèvres rouges qui suce une bite comme une belle friandise qu’elle adore.
C’est moi qui suce mon papy !
Je comprends tout de suite ou ce vieux salaud veut en venir et ce qu’il attend de moi. D’ailleurs il ne perd pas de temps et m’ordonne.
– Déshabille-toi, petite !
Je vois du désir dans ses yeux et ça me fait chaud au ventre. Il doit être plus vieux que toi, papy, et je me demande comment est sa bite et s’il peut encore baiser. Je sens que ça va me plaire d’exciter ce vieux cochon qui espionne son voisin et film ses ébats sexuels.
Je retire mon sweet et expose à son regard vicieux ma poitrine et mes tétons roses qui pointent déjà. Quand je laisse tomber ma jupette ses yeux s’écarquillent et il pause la main sur son entre cuisse. Je suis juste en petit slip devant lui et il détaille mon corps en léchant ses grosses lèvres. Il s’approche de moi et caresse d’un doigt mon bras en remontant sur mon visage puis redescend sur mes seins. Sa main se referme sur mon sein et l’autre passe sur mon dos, sur ma taille, mes hanches et s’arrête sur mon pubis protégé par mon slip.
J’essaye de contrôler ma respiration pour ne pas lui faire voir combien il m’excite quand la paume de sa main presse mon monticule et le frotte doucement.
Puis ses deux mains pressent mes fesses avant qu’il crochète mon slip de ses doigts et tire mon slip sur mes pieds. Je respire un peu plus vite et mon corps frissonne. Il lève sa tête vers moi et me sourit satisfait de ma réaction à ses attouchements.
Il reste un moment à fixer ma chatte, comme subjugué par mon intimité dénuée de tout poil ou par mes lèvres que je sens humides.
Je pousse un soupir quand sa main frotte et caresse ma chatte et qu’un de ses doigts passe entre mes lèvres moites pour les séparées. il pousse le bout de son doigts et le fait monter et descendre dans la fente de ma chatte je sens mon jus couler sur son doigt.
Je ferme mes yeux et respire fortement quand il retire son doigt et le porte à ses lèvres pour le suçer.
– Tu es autant excité que moi, ma petite. Mais qu’elle âge as-tu ?
Je ne sais pourquoi, mais je ne lui dis pas que je viens d’avoir 18 ans, et d’une voix enfantine et en minaudant je lui dis.
– Un peu plus de quinze ans, monsieur.
Il a un léger recul.
– Non ! 15 ans ! Et tu suce la bite à ton papy !
– Oui, monsieur…et j’aime ça….
– Arrête de m’appeler monsieur. Appelle-moi Claude. Et je ferais bien de te renvoyer chez toi avant d’avoir des problèmes.
Et là je décide de l’exciter à mort.
– Oooh, non, Claude. Ne t’en fait pas, je ne dirais rien à personne. J’aime le sexe et je crois bien que je n’ai pas de limites sexuelles, j’accepte tout, même avec des personnes du même sexe que moi. La nuit je fais des rêves assez hard, j’ai tout le temps envie de me faire toucher ou de coucher avec les beaux garçons que je croise et je fantasme sur les vieux en me disant qu’ils ont de l’expérience et que ce sera encore plus vicieux et plus violent.
Il en reste bouche bée un instant et me dit.
– Tu es une nympho précoce ma petite. Je ne sais plus ce que je dois faire avec toi. Mais je n’ai jamais vu une chatte aussi belle, et tu as un corps de jeune femme ! Mais ça fait un moment que je n’ai pas goûté à un si beau fruit !
Il me pousse sur le bord du lit et comme une pure jeune fille, je garde mes cuisses serrées avec une main sur ma chatte pour la cacher.
A mes genoux, Claude prend mes pieds et les soulève en les poussant vers l’extérieur. Il commence par m’embrasser l’intérieur de mes cuisses en remontant vers ma chatte et je commence à haleter quand ses lèvres emprisonnent mes grandes lèvres de mon sexe et qu’il doit sentir mon jus couler dans sa bouche tellement il m‘excite.
Il les écarte de ses doigts et il doit plonger son regard dans mon intimité et voir mon vagin tout rose et brillant de cyprine. Comme un assoiffé, il plante sa langue dans ma fente ouverte et lèche le nectar qui s’écoule de ma petite chatte.
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« Ma petite fille se délecte à me raconter ce qu’elle a fait et en plus je sens que ça l’excite autant que moi.
Je mets ma main entre ses cuisses et je dis.
-Continue ma puce, j’aime ta façon de d’écrire ce que tu as fait. »
-Toi aussi ça t’excite, papy. Dit-elle en posant sa main sur ma bite qui déforme mon short. Hum, je vois que ça t’intéresse, alors voilà la suite.
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Lorsqu’il fouille ma chatte de sa langue, je commence à gémir de plaisir et j’écarte bien mes cuisses pour ouvrir ma chatte et lui faciliter la tâche, afin qu’il me bouffe et déguste mon sexe comme il a envie.
Il lèche, aspire, embrasse ma chatte pendant quelques instants, puis il se concentre sur mon clitoris et je crie.
-Ooooohhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiii….
« Elle crie vraiment en serrant ma queue avant de continuer »
Et malgré moi je resserre mes cuisses mais ses mains m’en empêchent et les écartent encore plus pour me dévorer comme un goret.
Puis il se calme et ses mains quittent mes cuisses pour emprisonner mes seins et presser doucement mes tétons sensibles entre ses doigts.
Je gémis de plaisir, mon corps se tord et je me cambre quand je sens ses lèvres sur mon clitoris et qu’il commence à le sucer.
Une de ses mains se déplace entre mes cuisses et il insère son majeur dans ma chatte en même temps qu’il suce et lèche mon clito maintenant tout gonflé. Je soulève mon cul pour bien appuyer mon clito sur sa bouche et mon corps frémit sous son doigt qui pénètre encore plus loin dans ma chatte et commence de petits va et viens.
Mes muscles intimes se contractent sur ses deux doigts qu’il a maintenant en moi, car je sens mon orgasme arriver avec mon ventre qui se contracte et mes difficultés de respirer. Je bouge mon pubis en rythme avec ses doigts qui baisent ma chatte et je mets ma main derrière sa nuque pour le maintenir contre mon sexe quand je vais jouir.
J’explose d’un seul coup en écrasant sa bouche et ses doigts prisonnier de ma chatte qui se convulse dessus. Tout mon corps tremble et je laisse libre cours à mon orgasme en gémissant sans arrêt.
Claude continue de faire aller rapidement ses doigts dans ma chatte resserrée sous l’orgasme tout en suçant mon clito.
Quand il sent mon jus couler sur ses doigts, il les retire et il boit directement à la source jusqu’à ce que je m’effondre quand mon corps cesse de trembler.
Il a l’air assez fier de ce qu’il vient de faire et je me dois de le féliciter.
– Ça on peut dire que tu sais bouffer une chatte et faire jouir une fille !
– Et oui ma petite chatte, les vieux ont de l’expérience.
Il se relève et se déshabille mais la bosse dans son slip est tellement grosse qu’il a du mal à baisser son slip. Je pousse un « oh » de surprise quand je vois sa bite se redresser comme un ressort car elle est très grosse et très longue et son gland est pointu comme une tête chercheuse.
Ne te vexe pas papy, tu as une belle queue, mais celle de ton voisin est beaucoup plus grosse, comme mes poignets.
Il caresse sa bite et me tire pour me lever et prendre ma place sur le lit.
– Jeune fille dévergondée et vicieuse, tu sais ce qui te reste à faire !
Dit-il en prenant une de mes mains pour la poser sur sa bite.
Je ne fais pas entièrement le tour de sa queue et mon autre main rejoint l’autre pour pouvoir bien lui branler sa bite.
Son gland est déjà bien humide de pré-sperme et je sens qu’il force de ses mains, ma tête vers sa bite. Je lève ma tête pour le regarder et je vois dans ses yeux qu’il est vraiment excité de se faire sucer par une gamine de 15 ans comme je lui ai dit par vice.
Mes lèvres touchent le bout de sa bite et sous la pression de sa main, je les referme autour de son gland. Ma langue tourne autour et je suce son gland et le jus qui est dessus. Puis je fais entrer sa queue plus loin et je commence à monter et descendre ma bouche sur son sexe en l’enfonçant un peu plus à chaque fois dans ma petite bouche.
Claude commence à bouger pour aller plus loin dans ma bouche et je mets mes mains sur ses hanches pour l’empêcher d’aller plus loin.
Il me laisse faire et je le suce consciencieusement en essayant dans avaler le plus possible sans étouffer. Quand il est dans ma gorge, je dégluti et je manque de m’étouffer. Il se retire aussitôt pour que je reprenne mon souffle et j’ai de la salive qui coule sur mon menton et des larmes sur les joues.
Claude soulève mon menton et me regarde avec des yeux un peu fou mais il sait se contenir.
– Tu es encore petite pour avaler une grosse bite comme la mienne. Avec de l’entraînement tu y arriveras. Par contre ta chatte doit être beaucoup plus malléable et extensible.
Ensuite, il m’a levé mes jambes en l’air en les écartant et il m’a dit.
– Guide ma bite que je te baise !
J’ai attrapé sa grosse queue à deux mains et l’ai mise devant ma chatte en feu. J’ai senti son gros gland sur le bas de ma chatte et je l’ai fait glisser plus haut pour le frotter sur mon clito avant de le pousser entre mes lèvres trempées par mon jus. Je baisse ma tête pour voir le bout de son énorme bite passer mes lèvres pour enfin me pénétrer et je réalise que je n’ai jamais trouvé ça aussi excitant.
Cette bite massive, d’un vieux, commence à remodeler ma petite chatte rose d’adolescente. En regardant ce pieu de chair entre mes cuisses, je ne peux encore croire qu’il peut s’enfoncer à l’intérieur de ma chatte, ou d’ailleurs de n’importe quelle chatte d’une femme. Après quelques minutes de légers mouvements, sa bite avance petit à petit et fait son chemin dans mon vagin qui s’écarte pour lui permettre sa progression. Je retiens mon souffle craignant à tout instant de souffrir sous cette intrusion, mais inexorablement, sa queue avance et dilate mes chairs en feu.
Le point de non-retour est atteint. Son gland est passé et une bonne partie de sa bite a suivi. Mon corps réagis d’une façon, que je n’ai jamais connue auparavant. Instinctivement je relève mes jambes et j’entoure la taille de Claude qui ne bouge plus et attend sûrement que ma chatte s’agrandisse encore plus pour aller plus loin en moi. C’est un homme d’expérience et il connaît les dégâts qu’une bite comme la sienne pourrait faire à une chatte de jeune fille peut habituée à ce type de calibre. Aussi, il prend son temps pour calibrer une chatte, et surtout celle d’une jeune fille qu’il croit que je suis, avant de pousser plus loin son gros sexe, sans causer des dommages internes graves.
D’ailleurs, à chaque cm de plus en moi, ma chatte indépendamment de ma volonté, à tendance à repousser cette intrusion mais elle libère aussi plus de jus autour de ce mandrin dur comme du bois sec. Je couine un peu et Claude sort sa grosse bite pour soulager ma chatte malmenée par un truc aussi gros.
Quand il sort sa queue et soulage mon vagin, je ferme mes yeux et gémis de déception sous cette impression de vide en moi. J’ouvre mes yeux pour trouver son gland pourpre devant ma bouche et ma main s’empare instantanément de sa queue humide et je frotte ma chatte brûlante avec l’autre. Je lèche partout son beau sexe luisant de mon jus odorant et quand je la bouffe sauvagement, ma chatte en frémit de plaisir. Ma chatte crie famine, j’att**** mes genoux par-dessous et tirant mes cuisses vers moi en les écartant, je l’implore de me remplir de nouveau avec son sexe merveilleux.
– Remets-là moi ! Enfonce là dans ma chatte ! Je la veux !
– Oh Bébé… tu la veux encore ma bite ! T’es déjà en manque de ma grosse bite…T’en fait pas je vais mettre ton trou à petite bite définitivement à ma taille et te baiser comme jamais pour que tu penses à elle tout le temps !
Avec un grognement, il reprend sa grosse queue dans sa main, écarte de son gland mes lèvres rougies et replonge à nouveau en moi, centimètre par centimètre. Je délire et ma chatte hurle de bonheur sous sa queue qui l’écartèle. Mon vagin s’adapte à son incroyable sexe et je comprime son dos avec mes talons pour mieux contrôler sa progression et me remplir de sa merveilleuse bite.
Je sens enfin qu’il frappe mon utérus et qu’il ne peut aller plus loin. On s’embrasse sauvagement et ma chatte s’accroche à ce sexe comme une seconde peau. Tout en nous embrassant, Claude recule sa queue jusqu’à ce qu’il atteigne le bord de ma chatte de son gland, puis il replonge en moi, jusqu’à ce que ses grosses boules giflent mon cul. La sensation de cette bite remplissant chaque centimètre et chaque partie de ma chatte, combinée avec le claquement de ses énormes boules contre mon cul, me font jouir en hurlant et je perds un peu connaissance.
Quand je reprends conscience, je sens Claude qui respire comme un phoque et qui commence à me baiser par d’amples vas et viens en me disant:
– T’es une sacrée jouisseuse, petite ! Mais maintenant ta chatte va faire plaisir à ma bite qui s’affole.
Et il me baise comme une bête, de différentes manières, ce qui m’amène à avoir plusieurs orgasmes successifs quand il me défonce à fond. La pièce est remplie des sons de nos grognements et de nos cris de plaisirs ainsi que du bruit de ma chatte trempée pistonnée par sa bite qui projette mon jus en dehors. Je suis folle de son très gros pieu qui élargi ma chatte à un tel point que je ne pouvais l’imaginé.
– Putain ! Qu’elle est bonne ta chatte ! Maintenant elle est à ma taille et faite pour moi ! J’aime te baiser ma petite salope et je vais avoir du mal à me passer de toi.
Ma chatte n’arrête pas de jouir et d’avoir des spasmes sous cette bite exceptionnelle.
Je sais que j’ai un corps de rêve que tous les hommes ont envie de prendre, mais maintenant, je sais aussi que je suis une belle salope et que je suis devenue une accro de la bite et de préférence grosse et longues comme la tienne et celle de Claude.
– Jeune fille, tu as sans aucun doute la plus étonnante chatte que j’ai jamais baisée. J’adore la façon qu’on tes muscles intimes de retenir mon gland quand je sors ma bite. Et quand elle m’aspire pour se la prendre entièrement… c’est formidable ! Tu es faite pour moi, pour ma grosse bite.
Et moi je gémis en sentant les spasmes incroyables qui traversent mon corps à chaque coup de bite.
– Je suis sûr que ton Papy ne te fait pas autant jouir !
En pensant à toi au moment où je me fais baiser comme une salope par ton voisin, je jouis encore plus et ma chatte est une vraie fontaine qui coule sur sa grande bite.
– OOOhhhh, maintenant je sais ce que veut dire se faire baiser ! Ma chatte ne s’est jamais sentie aussi bien. J’aime chaque cm de ta bite et la façon qu’elle me remplit et baise ma chatte. Mais mon papy a aussi une très belle bite, crois-moi ! Pas aussi grosse, mais aussi longue. Et il sait s’en servir !
– Tant mieux pour nous ! Ta chatte est fabuleuse ! Si étroite ! Et heureusement pour moi, très extensible. J’avais peur de te blesser. Certaines femmes mûres on même refuser que je les pénètre. En plus j’avais l’impression d’être le premier à passer par là tellement ta chatte serrait ma bite !
– Pas le premier… mais le deuxième Claude. Le premier c’est mon papy il y a quelques jours. Jusqu’à là, je n’ai offert que mon cul. Lui il en a pris des coups de bites, crois-moi !
« En disant cela, ma petite fille me confirme qu’elle est une salope de première classe, doublée du nympho qui offre son corps dès que sa chatte la démange. »
-Il a dû être surpris mon salaud de voisin quand tu lui à dis ça…
-Sûr ! Mais il a principalement retenu quelque chose car il m’a dit.
– La prochaine fois je prendrais ton petit cul, ma petite salope. Et si tu aimes tant les grosses bites, je te présenterais mon fils. Il est aussi bien monté que moi et il aime les jeunes gamines.
– En parlant de gamine… en fait… je viens d’avoir 18 ans…mais je fais très jeune. Tout le monde me le dit et ne crois pas que je suis majeure. Mais ne le dis pas à ton fils, il sera plus excité s‘il croit baiser une toute jeune fille.
– Ok, je te tiens au courant. Je vais arranger ça.
Ensuite je suis allé me rincer la chatte et essuyé tout je jus qui a coulé sur mes cuisses, avant de rentrer te retrouver.
– Tu sais Laurine, tu racontes bien et c’est super excitant, mais j’aurais bien aimé assister à ça !
– Mais, papy, rien n’est perdu…tu pourras sûrement combler cette lacune… un jour prochain…
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« Voilà le récit de ma petite-fille et vous vous douter bien que quelques secondes plus tard, elle se retrouve à quatre patte et je la baise sauvagement comme une salope ! C’est tout ce qu’elle mérite cette petite pute ! Mais le pire c’est qu’elle adore ça et qu’elle en redemande ! »
Phantome
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