De plus en plus salope
Nous faisons l’amour dés que nous le pouvons. J’ai remarqué qu’après de timides débuts, Béatrice aime désormais l’amour anal. Elle me laisse jouer avec son anus poilu, souple et plissé, brun et odorant. Sans qu’elle le demande, je pose souvent ma langue sur son rond brun et son entre-fesse que je lèche doucement et longuement. Je la vois se masturber délicatement sans un mot lorsque je m’attarde sur son anus et elle me laisse le pénétrer de ma langue vicieuse. Il s’ouvre facilement sous la poussée de la pointe de ma langue. Ma belle-mère accepte ensuite le baiser profond et ému que je lui fais sur la bouche. Ce sont des jeux pervers totalement étrangers à ce qu’elle a pu imaginer jusqu’à présent, et elle semble vouloir ratt****r le temps perdu.
Ma belle-mère me laisse aussi la sodomiser après avoir posé un bon lubrifiant. Je n’en reviens pas de la désirer tant lorsque mon gland turgescent pénètre tout doucement son anus puis que je vais et viens longuement dans son rectum de vieille femme. Il m’arrive dans un grand cri d’éjaculer dans son cul. Lorsque je lui en parle, elle me dit qu’elle se sent flattée et que ça lui procure d’autres sensations. Je n’ai jamais autant joui avec sa fille, mon ex-femme. J’aime totalement ma belle-mère et lui dis souvent.
Elle exige parfois que je pose des pinces à mes tétons très sensibles et que je les étire. Nous faisons cela quand nous sommes ensemble ou à distance. J’espère ses coups de martinet et ses crachats dans ma bouche ou sur mon visage. Son urine est le cadeau ultime.
Lorsque je suis chez moi, dans ma chambre (Anne ma femme et moi faisons chambre à part, et lorsque le soir chacun y est, on ne va pas chez l’autre), je continue à recevoir les instructions de ma belle-mère adorée par mobile. Je sais qu’elle me regarde par la caméra discrète installée dans ma chambre depuis son ipad. Elle mate son ipad en face de son mari sans qu’il ne soupçonne rien.
Elle m’ordonne parfois de me masturber, ce que je fais portant une de ses petites culottes sales à mon visage, un de ses protège-slips odorant ou bien en regardant la photo encadrée d’elle. Je le fais ostensiblement afin qu’elle me voit bien me branler à distance.
Ma belle-mère peut exiger que j’e m’introduise l’un des plugs que nous avons achetés ou même un des godemichets que je cache dans ma chambre. Je dois alors m’allonger face caméra, les jambes relevées, dans une pose vraiment impudique et je me gode devant elle à distance. Ma belle-mère sait que je regarde des vidéos hétéros et homos d’éjaculations et que je fantasme de sucer une grosse queue, un gland bien dur. Je continue de m’habiller en femme hors sa présence le plus souvent, mais elle me voit par la caméra. J’ai très envie lorsque je suis en Corinne de caresser et de sucer un homme, de le faire jouir et d’avaler.
Enfin un ordre tombe :
« Ca suffit » ou bien « Jouis ». Dans ce cas, je dois recueillir mon sperme dans la paume de ma main puis je dois boire ce jus devant la caméra.
Béatrice me demande souvent de porter ma cage de chasteté surtout quand on sort faire des courses, nous promener ou aller au restaurant. Il ne m’arrive plus jamais de jouir sans elle ou sans un ordre d’elle d’éjaculer.
Il lui arrive souvent d’être exigente, de me demander de la conduire ça et là au dernier moment, même quand je suis au travail. Je règle quasiment tous ses caprices.
Une catastrophe change la situation
Je reviens de mon travail un jour et découvre ma femme dans ma chambre, le tiroir du haut de la table de chevet ouvert et toutes les petites culottes de sa mère étalées sur mon lit. Anne éructe entre deux sanglots :
Jean, je cherchais des piles et je découvre cela dans ta table de chevet. ….Des culottes de femme, en plus sales, avec des protège-slips, des collants, un soutien-gorge, des strings et même des grandes culottes… tu me trompes ? …..Depuis combien de temps ? Me dis pas que tu es fétichiste car ce sont des culottes portées….. A qui sont-elles ? Tu me dégoûtes….. Et que fais-tu avec tout cela ? Tu te masturbes ? A qui est-ce ? Réponds-moi, salaud…
Mon cœur bat vite, je transpire et je dois être blême. Je réalise qu’Anne ne sait pas que cette lingerie appartient à sa mère. Je suis immensément soulagé, mais reste choqué. Elle n’a pas eu le temps d’ouvrir le tiroir du dessous dans lequel je cache un portrait encadré de sa mère… Elle n’a pas vu non plus les 2 culottes qui séchent dans ma penderie. Elle me prendrait pour un fou pervers.
Je balbuitie que j’ai acheté cela sur internet, et qu’on trouve des femmes qui vendent de la lingerie portée. Mes excuses et mon ton apaisant n’y suffisent pas. Anne plus tard dans la soirée me demande de quitter la maison dans un délai d’une semaine car elle ne me croit pas.
Le lendemain, je parle de tout cela à ma belle-mère. Peu après, elle me rappelle et me demande de visiter un studio libre dans l’immeuble en face de sa maison. Comment puis-je voir mes enfants si je vis dans un studio ? Je comprends son plan un peu machiavelique. Moi en face, c’est pour elle 1) m’avoir sous la main et son contrôle à tout instant 2) profiter pleinement de ses petits-enfants qui veindront forcément chez elle pour me voir.
C’est imparable et je ne cherche pas à décider autrement. Le sudio est propre et moderne, je le prends.
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