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un chien qui s’ignore 3

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J’étais très inquiet pour le lendemain et si j’avais pu utiliser mon portable, j’aurais appelé les flics. J’étais allé trop loin mais ma femme avait pété les plombs. Je ressassais toute la nuit une méthode pour implorer son pardon et repartir à zéro.
Finalement le matin arriva, ma femme me rejoignit au salon, en simple nuisette, la plus excitante, celle que je lui avais offerte.

‘Ouh quelle odeur de porc ici !’
‘Tu as fait sous toi sale dégueulasse, heureusement que j’ai prévu les serpillères’

Elle m’humiliait et je ne me rebiffais pas, perclus de douleur, ankylosé, honteux d’avoir du pisser sur le sol. Elle fini par enlever mon jean et ma chemise en les découpant au cutter, me laissa mon bâillon. Elle prit plusieurs photos en me forçant à ne pas tourner la tête. C’était pour son compte face book. Elle me dénoua les liens qui retenaient mes coudes et mes genoux sous le plateau de table, j’étai s toujours lié par mes pieds et mes poignées aux 4 pieds de la table basse, mais je pus bouger mes membres. La douleur de mes flagellations m’arrachait des grognements. J’aurai voulu qu’elle m’enlève mon bâillon pour essayer de la calmer, au lieu de ça elle me passa sur la tête un étui de duvet qu’elle ferma au niveau du cou, je n’y voyais plus que des ombres. Elle se mit à califourchon sur ma nuque pour m’empêcher de bouger et glissa un manche à balai entre mon coude gauche qu’elle tirait en arrière et mon dos. Elle le fit coulisser jusqu’à mon coude droit, dans un tressaillement de douleur. Elle se releva, mes bras étaient tirés en arrière et plaquaient le manche à balai contre mon dos meurtri. Des larmes de douleurs me venaient aux yeux, j’hurlais dans mon bâillon. Elle commença à nouer mon bras à mon avant bras autour du manche, me libéra mon poignet gauche du pied de la table et tira violemment la boucle de manière à bloquer mon avant bras en arrière sur le côté de mon dos. J’hurlais dans mon bâillon. De douleur, d’humiliation et de peur de ce qu’elle manigançait. Je ne pouvais pas reprendre le dessus. Elle n’était pas décidée à me relâcher.
Jusqu’où irait-elle ?
A ce moment, j’étais loin d’imaginer que ce n’était que le début d’une descente dans un cauchemar dont elle tenait les rênes. Elle avait tourné de côté et achevé mon immobilisation de mon avant bras droit. Je n’avais plus aucun contrôle de mes bras, immobilisés en arrière. Le manche à balai s’enfonçait dans mon dos, dans sang coulait de mes plaies rouvertes, je respirais brillamment dans mon bâillon. Je croyais en avoir fini quand elle reparti dans la cuisine, mais elle avait du prendre d’autre lien car je sentais qu’elle s’attaquait à mes jambes ! Elle devait attacher chaque cheville au manche de balai car je sentais un autre lien. Lorsqu’elle détacha le lien qui me tenait la cheville gauche au pied de la table, elle tira encore violemment sur un lien coulissant qui me tira douloureusement mon pied en l’air. Je sentis le manche à balai être lui aussi tiraillé vers le bas. Elle refit la même opération en se déplaçant du côté droit. Le manche était tiraillé ver le bas. Mes cuisses tirées en arrière, accentuaient la pression du manche sur mes plaies. J’hurlais de douleur.

‘Voilà !’ me dit elle ‘Je n’ai pas dormi beaucoup de la nuit après ce que j’ai appris hier soir. J’ai eu le temps de réfléchir à ta punition. Et puis je me suis dit que tu recommencerais à fourrer ta sale bite n’importe où. Il fallait que tu payes et que tu regrettes. Pas des regrets comme ce que tu dois éprouver maintenant. Non des regrets de tout ton corps, des regrets de tout ce que tu n’auras plus. J’en ai discuté avec Laurence. Elle pense que tu es incurable et m’a donné beaucoup d’idées. C’est elle qui m’a expliqué comment te mettre à ma merci. Je me suis bien débrouillé non ? Regardes toi ! On dirait un morse échoué sur la banquise ! Et puis on a discuté de ton avenir. Et nous sommes tombés d’accord : tu ne me nuiras plus et tu ne nuiras plus aux femmes en général. Je sais que ce n’est pas la première fois que tu fais tes saloperies. Mais je peux te dire que c’était la dernière !’

Un frisson me parcouru le dos devant sa résolution calme et d’avoir évoqué ma collègue Laurence me faisait instinctivement paniquer. Je ne reconnaissais plus ma femme, j’avais du la tromper une fois de trop. Ce calme et cette colère retenue…

Elle se leva et je l’entendis ramasser une chaine. Elle me passa un collier au cou et tira violemment en arrière, écrasant ma glotte. Je toussais dans mon bâillon.

‘Tu vas voir que la laisse de Toby va beaucoup te servir !’

Elle tira la laisse de côté de manière à me forcer à ramper pitoyablement sur le côté de la table.
Elle tirait de toute ses forces (je pesais à cette époque plus de 90 kilos et ma femme à cette époque à peine 50), je devais bouger sur le côté pour ne pas suffoquer. Finalement mon corps tomba sur le côté sur mon épaule, le bas de mon corps était encore coincé sur la table. Elle tira celle-ci en avant et je sentis mon corps entier s’affaler sur mon ventre. J’étais comme rivé au sol, les bras bloqués en arrière, les chevilles tirées au dessus de mes fesses. Impossible de bouger. Je tournai la tête pour pouvoir respirer. Elle enleva l’étui de mon visage et pris à nouveau des clichés.

‘Celles-ci seront peut être pour ton patron’…

Que pouvais-je faire à part la regarder de mes yeux embués de larme de douleur. Elle était toujours dans sa nuisette, au dessus de moi. Couché à ses pieds, je pouvais voir sa culotte et ses cuisses nues. Elle avait raison, je commençais à regretter du plus profond de mon âme.
Elle ne s’occupa plus de moi et alla déjeuner, prendre sa douche, s’habiller et sortit sans explication. J’entendis la voiture démarrer et s’éloigner. J’essayais d’analyser la situation : mes mains ne pouvaient rien atteindre, mon portable devait être dans mon jean resté là, au pied de la table lacéré au cutter. De toute façon pas moyen d’appeler à l’aide ou encore moins de taper un sms. J’essayais de ramper, rien à faire, j’étais plaqué sur le ventre, impossible de pivoter, ni même d’avancer. Je commençais à paniquer et tremblais de froid. Est-ce qu’elle était partie ? J’allais mourir de faim ou de soif ? Elle avait parlé de punition, de dernière fois..Ca n’avait rien à voir avec les flics, enfin sauf si la stagiaire portait plainte…Elle n’allait quand même pas m’émasculer avec un couteau de boucher ? Ma respiration devenait haletante, je tremblais de froid et de douleur. Je dus finir par m’endormir, car la porte d’entrée claqua. Le jour avait baissé. Ma femme entra dans le salon et posa plusieurs sacs sur le canapé derrière moi, en m’enjambant. J’avais l’impression d’être devenu un simple meuble. Elle préparait toutes ses affaires sans s’occuper de moi

‘Bon voilà tout est prêt ! Laurence m’a fait dresser une liste de tout ce qu’il te faut, dans des magasins spécialisés.Ca m’a pris du temps, mais j’ai tout trouvé. Et puis je suis repassé au cabinet pour compléter tout ça’.

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