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Anne, mon adorable stagiaire…..

Anne, mon adorable stagiaire…..



Anne…

J’ai eu la chance quelques fois au cours de ma vie de séduire ou d’être séduit (hmmm….) par des femmes beaucoup plus jeunes que moi. Il faudrait relire Freud pour comprendre ce qu’un homme mûr, grisonnant, vient alimenter comme fantasmes chez les femmes…. Mais ce n’est pas l’objet ici.
Un jour, alors que je dirigeais une cellule commerciale dans une grosse agence de publicité à Bruxelles, j’accueille une jeune étudiante en Marketing-Pub qui vient faire un stage de 3 mois chez moi. Elle a 22 ans, et je pourrais être son père.
Elle est très intelligente, très volontaire, mais aussi très séduisante: pas seulement par sa fraîcheur et sa beauté, mais aussi par son humour et sa joie de vivre.
Nous passons beaucoup de temps ensemble, nous devenons gentiment complices, et je me rends rapidement compte que je ne lui suis pas indifférent, elle est très gentille avec moi, presque câline, comme un petit chat… Un jour, nous consultions un livre ensemble dans mon bureau, elle était debout à ma gauche, et chaque fois que je tournais une page, mon bras venait à effleurer sa poitrine. Au lieu de s’écarter un peu, elle se rapprocha encore de moi, faisant mine de se pencher sur le livre, son sein droit venant parfois s’appuyer sur mon avant-bras…. Hmmm…. je trouvais cette situation assez érotique ma foi…. et très agréable…
J’en étais très flatté et honoré, mais je ne savais pas trop quoi faire avec cela: elle était si jeune, je me sentais un peu coupable, et notre relation en resta là.
Jusqu’au jour où, après la fin de son stage, elle m’appelle et me demande si je suis d’accord de superviser son travail de fin d’étude, son mémoire.
J’accepte avec joie, et nous fixons un rdv quelques semaines plus tard, dans son petit appartement près de l’Université de Louvain-la-Neuve, pour que je vienne travailler avec elle, et relire les premiers chapitres de son travail.
Anne m’accueille: elle est comme toujours, enthousiaste, enjouée, délicieuse et charmante. Elle porte un joli petit pull noir, avec un décolleté en V devant et derrière, une minijupe plissée grise, des bas noirs sur des chaussures à talons aiguilles (elle était très petite, et compensait sa petite taille avec des hauts talons). On s’assied à table, elle m’offre une tasse de café, nous parlons de la vie comme de vieux copains, c’est très détendu.
Nous nous mettons au travail, et elle vient se placer debout à ma gauche, alors que je reste assis pour relire son travail. Nous échangeons nos points de vue, je lui fais des remarques sur des éléments de son travail, elle se rapproche, vient se coller contre mon épaule, se penche en avant pour voir ce que je lui indique dans son texte… Je ne peux m’empêcher de regarder dans son décolleté ses très jolis petits seins très fermes, emprisonnés dans un très joli soutient gorge en dentelle noire, qui laisse entrevoir la couleur de sa peau et de ses tétons… Hmm…
Elle a vu que je regardais ses seins, je rougis, elle le voit, me souris d’un air complice, place doucement sa main droite sur mon dos, remonte vers ma nuque et caresse doucement mes cheveux, et elle me dit doucement à l’oreille: « Tu es très beau, tu sais, Martin, et j’ai très envie de toi…. »
Je n’en reviens pas, je la regarde tout perdu, elle me souri, pivote et viens s’asseoir sur mes genoux, en travers de mes cuisses. « Chhhhhut…. » dit-elle en plaçant un index volontaire sur mes lèvres, anticipant une protestation de ma part. Puis elle a déposé tout doucement sa bouche sur la mienne, délicate, d’abord des petits baisers furtifs, puis des petits coups de langue auxquels je répondais d’abord timidement, puis plus volontairement.
Je découvre chez elle une immense sensualité, qui s’exprime par un mélange d’une infinie douceur, doublé d’une lenteur, d’une retenue dans les gestes et les mouvements, comme si elle voulait faire durer infiniment la volupté de l’instant.
Nos bouches se cherchent, se trouvent, nos lèvres se découvrent, nos langues se caressent, la respiration d’Anne s’accélère, devient plus profonde, ses mains commencent à parcourir mon corps, mes cheveux, ma nuque, ma poitrine… Je glisse prudemment une main sous son pull, dans son dos, j’effleure sa peau et le petit duvet de poils qui recouvre ses reins. Elle se cambre en frissonnant et en poussant un petit gémissement de plaisir.
Je la soulève en la prenant sous les aisselles (elle était toute menue), et je la place face à moi, à califourchon sur mes cuisses, et nous reprenons nos baisers passionnés, nos caresses deviennent plus entreprenantes.
Elle déboutonne doucement ma chemise, lentement, prenant son temps, et à chaque nouveau bouton ouvert, elle dépose un baiser langoureux sur ma peau, puis elle déplace ses lèvres sur ma peau pour venir embrasser et sucer doucement un de mes tétons…. Hmmm…. J’adore cette sensation subtile… et très excitante.
Pour tout dire, à ce moment-là, je suis comme sur un nuage, je plane, c’est très érotique et très, très bon.
Je bande, mon sexe emprisonné dans mon boxer short forme une bosse dans mon pantalon. Anne l’a senti, et elle commence à faire des petits mouvements de bascule, d’avant en arrière avec son bassin, et elle vient délicatement frotter son sexe sur le mien.
Mes mains parcourent son corps, sous son pull, sous sa jupe où je découvre avec surprise que ses bas noirs sont des « Dim Up », et que je peux caresser le haut de ses cuisses, ses hanches, ses fesses.
Je remonte mes mains sous son pull, je dégrafe délicatement son soutien gorge, et je remonte mes mains avec infiniment de lenteur, de douceur sur sa peau pour venir les placer sur ses seins. Elle se cambre et gémi de plaisir… je remonte son pull, j’ai envie de voir ses petits seins tout durs, si fermes. Ils sont en forme de poire, avec de très grands mamelons tout roses, et de petits tétons tout durs. Je pose ma bouche sur l’un puis sur l’autre, je les embrasse doucement, puis je saisis un téton entre mes lèvres et je me mets à le sucer et à le lécher avec ma langue.
Anne adore cela, elle tient ma tête avec ses deux mains, pressant ma bouche sur son sein… Elle gémi …. « Hmmmmm….. c’est booooonnnnn, continue, j’adore ça…. Hmmm » et les mouvements de son bassin sur mon sexe tendu se font plus précis, plus intenses, je sens qu’elle vient presser son sexe, son clitoris sur la bosse de ma bite, au travers de mon pantalon.
À nouveau, je la soulève par les aisselles et je la pose sur la table, devant moi, j’écarte les papiers et les bouquins pour lui faire de la place, je l’oblige à se coucher sur le dos, face à moi, cuisses écartées, sa minijupe relevée.
Ma bouche glisse sur la peau du haut de ses cuisses, juste là où ses bas s’arrêtent, je remonte tout doucement en faisant glisser mes lèvres et ma langue sur sa peau, je plaque ma bouche dans le pli de l’aine que je lèche en pressant ma langue sur sa peau….
Anne gémit, soupire, sa respiration est profonde, elle se cambre….
Tout doucement, je dépose un baiser sur sa petite chatte, au travers du tissu de sa petite culotte. Anne pousse un petit cri de surprise et de contentement.
Je glisse prudemment un doigt sous l’élastique de sa culotte tout en continuant à déposer des petits bisous sur son clitoris que je sens tout gonflé sous le tissu : elle est toute mouillée, sa petite chatte coule, coule…. Hmmmm… J’adore sentir cela, j’aime l’odeur sucrée-poivrée, le goût de la p’tite mouille des femmes, et la sienne particulièrement.
Je glisse doucement mes mains sous ses fesses, je prends l’élastique de sa culotte et j’entreprends de la lui enlever, tous doucement, très lentement, en faisant glisser sensuellement le tissu sur sa peau.
Elle soulève un peu ses fesses pour m’aider à l’enlever.
Sa petite chatte coule tellement, elle est tellement excitée, qu’un long fil de sa mouille reste un peu collé au fond de sa petite culotte pendant que je la lui enlève. Je trouve cela très excitant. Et je n’en peux plus, je n’y tiens plus après tant de retenue.
Je jette sa culotte par terre, je saisis ses jambes en dessous des genoux et je relève ses cuisses sur sa poitrine, la maintenant fermement pour qu’elle ne bouge plus et, avec ma langue, j’ai saisi le fil de mouille, puis je suis remonté tout doucement depuis l’entrée de son vagin d’où provenait ce délicieux nectar vers son clitoris.
Anne s’est tendue, arquée, cambrée sur la table et elle a poussé un cri de plaisir.
J’ai collé ma bouche sur sa chatte, sur ses longues lèvres charnues, sur son clitoris, j’alternais les bisous, les petites léchouilles sur ses lèvres, sur son clito, à l’entrée de son vagin, tout en caressant doucement ses deux mamelons. Anne gémissait profondément « hmmmm….Martiiiiin…. c’est booonnnn…..j’adore ce que tu me fais…..hmmm… »
À nouveau elle pris ma tête entre ses mains, caressant mes cheveux, maintenant ma bouche collée à son sexe, pendant qu’elle reprenait ses mouvements de bascule avec son bassin, frottant sa chatte et son clitoris sur ma bouche et sur mon visage.
Puis, j’ai senti sa main droite glisser sur son pubis, descendre sur sa chatte, ses doigts venant se mêler à mes lèvres et à ma langue sur son clitoris, sur les lèvres de sa chatte, entrant et sortant de ma bouche, puis elle a glissé un doigt dans l’ouverture de son vagin, m’indiquant ainsi ce dont elle avait envie.
Tout en continuant à lécher et embrasser sa petite chatte, j’ai glissé un doigt, le majeur, dans l’entrée toute mouillée de son vagin. J’ai d’abord fait de petits mouvements d’allers-retours, puis avec le bout de mon doigt légèrement replié à l’intérieur vers le haut, j’ai commencé à caresser la paroi de son vagin plus fermement, en exerçant une pression.
Et là, un premier orgasme a submergé Anne, elle criait, la bouche grande ouverte, son visage empourpré. Cet orgasme a duré longtemps, son corps était secoué de contractions, de spasmes, les muscles de son vagin se serraient et se desserraient autour de mon doigt.
Et elle tenait toujours ma tête à deux mains, pressée contre son pubis qu’elle faisait glisser de haut en bas sur mon visage.
Cet orgasme n’était que le premier d’une série, comme je continuais à la caresser et à la lécher doucement. Anne avait atteint un plateau de jouissance où je la maintenais sans trop de difficulté, et elle faisait des orgasmes à répétition, qui parfois se suivaient très rapidement. Anne soupirait : « hmmmm…. Mais qu’est-ce que tu me fais là… .hmmmm »
C’est alors que j’ai décidé de faire une petite variation, et je suis descendu avec ma langue sur son anus qui était tout trempé de la mouille qui coulait de son vagin et de ma salive, tout en continuant à caresser sa chatte et son clito avec une main.
Je lui léchais son p’tit trou, entrant et sortant ma langue de son anus.
Anne a poussé un cri de surprise et de plaisir : « mais ? mais qu’est-ce que tu fais ? on ne m’a jamais fait ça !…. Hmmmm…. C’est booooonnn ! »
Je suis remonté avec ma bouche et ma langue sur l’entrée de son vagin, puis son clito, pendant qu’avec un doigt je caressais doucement, lentement, délicatement, son anus.
À ma très grande surprise, j’ai senti la main d’Anne se glisser sous ses fesses, saisir la mienne par un doigt et elle s’est mis à tirer dessus fermement, pour obliger le doigt qui caressait son anus à rentrer dedans !!
Je me suis alors mis à faire des petits mouvements tout doux dans son p’tit cul avec mon doigt pendant que je continuais à lui lécher le clitoris. J’ai glissé un autre doigt dans son vagin, et je pouvais les sentir bouger au travers des parois anales et vaginales.
Cet alors qu’un orgasme fulgurant, violent, long a littéralement submergé Anne, toute cambrée, hurlante, sur la table, les muscles de son anus et de son vagin se contractant spasmodiquement autour de mes doigts.
Je l’ai laissé « redescendre » tout doucement, j’ai retiré doucement mes doigts, ma tête posée sur la toison de son pubis. Puis elle a posé ses mains sur mon dos, m’a caressé doucement les cheveux, et elle m’a dit « hmmmm…. Martin, jamais quelqu’un ne m’a fait jouir comme ça, c’était fabuleux…. Hmmm…Merciiiii…. c’était si bon, si fort…. »

J’ai adoré ce moment très érotique, parce qu’il y avait de l’abandon, de la tendresse, de la volupté, et que c’était si bon de lui montrer que moi aussi, j’avais envie d’elle, mais surtout que son plaisir était plus important que le mien.
Il n’y a pas d’amour possible sans respect, sans partage, sans empathie.

Bien sûr nous avons fait l’amour (elle faisait divinement bien l’amour…), nous sommes restés amants quelques années, ce ne fut que du bonheur, plein de complicité et de sensualité.

Mais ça, c’est une autre histoire….

Je pense qu’Anne avait besoin de retrouver de la confiance en elle dans les bras d’un homme doux, tendre et patient, attentif à elle, elle avait aussi besoin d’apprendre sur la vie et sur les relations humaines et notre différence d’âge (20 ans) est venu à un moment donné de sa vie comme combler un manque, réparer quelque chose…

Martin.

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