LU SUR LE NET
Il a suffi que je le croise au hasard d’une rue pour que surgissent tous ces souvenirs vieux de dix ans. Il était là, marchant dans la rue, une jolie femme à son bras forcément, lui mon jeune amant, mon seul amant. Même après ces années, sa simple présence suffisait à réveiller mon désir.
J’avais à l’époque 34 ans, j’étais ce genre de femme que la vie semblait combler, j’étais mariée depuis 8 ans à un homme adorable, j’avais deux beaux enfants de 5 et 2 ans et je travaillais comme responsable des ressources humaines d’une entreprise de région parisienne.
Un matin, je reçus dans mon bureau un jeune lycéen de 18 ans en vue d’un emploi pour l’été. Il s’appelait Vincent et semblait posséder un don pour le contact, telle fut ma première impression. Je lui proposais donc une place de vendeur qu’il acceptait avec plaisir. Ma seconde impression fut plus personnelle, pourtant habituée aux regards des hommes sur moi je n’arrivais pas à expliquer cette sensation de malaise quand il me fixait, il parvenait presque à inverser les rôles dans ce bureau. Après son départ, je décidais de mettre çà sur le compte de la jeunesse insouciante et je l’oubliais déjà.
Les vacances arrivèrent, mon mari et mes enfants partirent 15 jours dans ma belle-famille. J’étais seule pour la première fois depuis longtemps et après 2 jours je m’ennuyais déjà. Ce soir là je décidais d’aller au cinéma avec une amie, j’arrivais dans le bar où je devais la retrouver et je m’installais pour prendre un café. Quelques tables plus loin, je reconnus Vincent discutant avec des amis. De ma place, n’ayant rien d’autre à faire, je l’observais tranquillement et la même impression ressurgit… »charismatique », c’était le mot. De taille moyenne, bien bâti, un visage agréable, concrètement rien d’extraordinaire si ce n’est cette aura qui semblait l’entourer. Alors que je l’observais du coin de l’œil, son regard croisa le mien et je détournais les yeux comme prise en flagrant délit. De quoi ? Je ne sais pas. Toujours est-il que quelques secondes plus tard il était face à moi, souriant. Un simple bonjour et sans que je l’y invite le voilà assis à ma table me remerciant pour l’emploi que je lui avais trouvé, qu’il adorait la vente etc…etc…une discussion banale en somme. Pourtant j’étais surprise de me sentir si bien en sa compagnie, sans pouvoir l’expliquer, sa voix en était la principale responsable, grave, profonde comme envoûtante. Sans que je ne laisse rien paraître, je m’étonnais de mes réactions. Je faisais mine de m’intéresser à ses activités dans l’entreprise quand il me demanda ce qu’une belle femme comme moi faisait seule dans un café un soir de la semaine. Flattée par le compliment, je lui répondis « Vous êtes bien curieux jeune homme » avec un sourire avant de lui faire-part de ma « solitude estivale ».
A l’instant où mon amie arrivait, il me dit simplement de profiter de ces 15 jours et qu’il serait là demain soir si toutefois une autre envie de cinéma me prenait et qu’il serait ravi de m’accompagner. Prise de court, je le remerciais sans savoir quoi dire et je quittais le café avec Jacqueline mon amie qui plaisantait déjà sur le fait de m’avoir vue me faire brancher par un beau mâle selon son expression, ajoutant « remarque c’est tout à fait mon genre aussi ».Ce soir là en me couchant, ma famille semblait bien loin et je me surpris à repenser à mes réactions face à Vincent pensant qu’au matin il n’y paraîtrait plus.
Pourtant quelque chose s’était passé en moi que j’essayais à tout prix de nier, je faisais tout par exemple pour éviter de le croiser dans l’entreprise le lendemain de peur de sentir ressurgir cette impression qui m’était jusqu’alors étrangère. La vérité était que face à lui, je me sentais comme une petite fille sans pouvoir expliquer ce phénomène.
Le soir vint, seule je combattais l’envie de retourner dans ce café, consciente de ce que cela impliquerait. J’en souriais en essayant de me convaincre que la solitude était la seule explication. Mais les meilleures intentions du monde ne résistent pas à ce genre d’homme et dès le lendemain, je m’inventais d’innocentes excuses pour avoir à passer dans le bar. Je me souviens même avoir fait très attention à ce que j’allais porter ce soir là. Pour la première fois depuis longtemps j’observais mon corps dans le reflet du miroir. J’y découvris non plus une mère de famille débordante d’activités mais une femme prête à tout pour se rendre désirable et j’aimais çà, une femme aux formes sensuelles, toute en volupté, dotée d’une belle poitrine ferme et d’une chute de reins dont je connaissais les effets sur la gent masculine. La chaleur de ces nuits d’été m’incita à ne porter outre ma petite culotte noire en dentelle qu’un fourreau moulant mon corps à la perfection.
J’étais prête !
En entrant dans le café, je fus d’abord déçue de ne pas voir Vincent. Je pris un thé, patientait un petit moment et décidais de partir en me disant que j’étais folle d’avoir cru quoi que ce soit quand en sortant je me retrouvais nez à nez avec lui. Son sourire et sa voix firent ressurgirent instantanément ce sentiment de bien être, il me dit simplement « vous vous êtes décidé alors allons-y ».Sans rien dire je le suivis jusque dans la salle obscure. J’étais au cinéma à côté d’un adolescent avec qui j’avais échangé quelques phrases et je me sentais bien. Le film venait de commencer et je me plongeais dedans où plutôt j’essayais car je sentais son regard posé sur mon corps. Il n’essayait même pas de faire semblant, assis à côté il me regardait sans bouger. Dois-je vous l’avouer, je trouvais la situation extrêmement excitante, j’étais définitivement la proie de ce beau carnassier et j’aimais çà. Les minutes passaient, augmentant mon trouble, je me demandais quand et comment Vincent allait passer à l’action et surtout comment j’allais réagir.
Il me surprit d’un geste, posant sa main sur la mienne, je n’osais pas bouger. Puis ses doigts se mirent à caresser les miens me procurant immédiatement un plaisir démesuré par rapport à l’action. Mon corps avait cessé de m’appartenir, mon ventre m’offrait d’étranges sensations exquises au simple contact de ses doigts. Madame l’exécutive woman avait disparu, je me laissais envahir par le plaisir d’être sous contrôle et quand il m’attira fermement à lui pour prendre mes lèvres c’est avec délice que je m’abandonnais complètement. Toute la tension qu’il avait fait naître entre nous explosait d’un coup et pour la première fois de ma vie, je jouis d’une simple caresse quand absorbée par le plaisir de goûter ses lèvres, il posa une main chaude sur mes seins. Surprise par la force de mon plaisir, je poussais un cri d’a****l blessé, tremblante de tout mon corps. Maître de la situation, il se leva prit ma main et m’entraîna hors de la salle. »Offre-moi un whisky chez toi ! » me dit-il et 10 minutes plus tard, nous étions assis dans le sofa un verre à la main.
Je n’attendais plus qu’une chose depuis le cinéma, qu’il me fasse l’amour mais il semblait vouloir prendre son temps. Il me regardait en m’envoûtant de sa voix, me disant qu’il m’avait désiré dès la première seconde dans mon bureau. Je compris que j’avais eu la même envie sans me l’avouer. Puis doucement il s’est agenouillé face à moi, a commencé à remonter mon fourreau sur mes cuisses en m’embrassant, remontant petit à petit vers ma source, retardant le moment, décuplant mon envie. Quand sa bouche effleura le satin noir de ma culotte, j’explosais encore. Il semblait doué du don de me faire jouir où et quand il voulait. En me regardant il m’ôta délicatement ma culotte avant de me goûter avec une délicatesse extrême qui me rendait folle. Je l’implorais « Mange-moi, plus fort, c’est trop bon », j’avais besoin qu’il me possède là, immédiatement, sans retenue mais c’était lui qui contrôlait. Explorant toujours mon sexe et mon corps, il me dévêtit totalement, m’allongea sur le sofa et je m’abandonnais à la puissance du plaisir provoqué par sa langue experte.
Après un long moment, il me prit dans ses bras et m’emmena dans la chambre Nue sur le lit je le regardais se déshabiller, même la façon dont il enlevait ses vêtements semblait d’un érotisme torride. Des pensées inavouables traversaient mon esprit, une seule chose comptait maintenant voir et sentir sa queue. Quand il fit glisser son caleçon, mon corps fut encore prit de tremblements, ma première réaction fut de me dire « Comment cela est-il possible ? ». Son membre était une oeuvre d’art, une sculpture parfaite qui dégageait une telle impression de puissance que j’en étais bouche-bée. Déjà dur comme de l’acier trempé, le colosse remontait plus haut que son nombril sur son ventre musclé et son gland énorme était à lui seul une invitation à la dégustation. En cet instant, j’avais l’impression de découvrir pour la première fois ce que voulait dire être un homme, je me souviens même avoir eu un sentiment de peine pour mon mari qui disparut bien vite quand Vincent s’approcha. J’étais à genoux au bord du lit devant cet hommage à ma personne et j’implorais de mes yeux de biche mon futur amant de me laisser poser mes lèvres sur ce colosse. J’étais définitivement dans une position de soumission naturelle. A peine son gland vint-il effleurer ma bouche qu’une nouvelle lame de fond surgit de nulle part m’inondant d’un plaisir jusque là inconnu. Etait-ce bien réel, je jouissais simplement en suçant la queue d’un homme. Je ne souhaitais rien d’autre que montrer à Vincent à quel point j’avais envie de lui, jouant de ma langue sur ce gland qui à lui seul envahissait l’espace de ma bouche. Ses mains fermement posées sur ma nuque, il rythmait ma fellation à sa guise en me parlant, il me disait qu’il allait me prouver son désir pour moi, qu’il me ferait jouir comme jamais, qu’il allait me rendre accroc à sa queue puis de plus en plus cru qu’il avait deviné que je cachais une nature de salope, qu’il allait tout faire avec moi et que j’aimerais çà, que je devrais l’implorer pour qu’il me baise.
A ma surprise, ses mots achevaient de me rendre folle et ôtant ma bouche de son membre je lui demandais de me prendre maintenant sans attendre. M’allongeant sur le lit, oubliant toute pudeur, j’écartais les jambes en guise d’invitation, j’étais une fontaine, un ruisseau. Les deux minutes qu’il mit à me remplir de cette chair si dure et si chaude furent pour moi un plaisir indescriptible, une jouissance continue de mon corps et de mon âme. J’étais dans un état de transe impossible à retranscrire ici. J’hurlais, je gémissais, je criais, je le griffais alors qu’il ne m’avait pas encore entièrement pénétrée. Puis le temps se figea, il me posséda avec force et talent pendant longtemps, très longtemps. J’étais comme sortie de mon corps et je planais sur cette chambre me regardant jouir et jouir encore sous les assauts de cet étalon hors-pair qui ne semblait jamais vouloir s’arrêter. Combien de temps ? Combien d’orgasmes ? Aucune importance, quand il explosa enfin je compris qu’il avait raison, j’étais accroc, j’étais à lui.
La nuit fut blanche car en prime Vincent semblait doté d’une résistance à toute épreuve et d’une soif inextinguible de mon corps… il me prit debout, j’ai adoré, il me prit en levrette sur la table du salon, j’ai adoré, il me prit dans le Jacuzzi, j’ai adoré. Puis l’heure d’aller au boulot vint et nous nous y rendîmes chacun de notre côté. Avant de me quitter il me dit « Ce soir tu m’offriras ton cul et tu vas aimer çà » puis il disparut.
La journée fut terrible, j’étais incapable de me concentrer, incapable de rationaliser ce qui s’était passé.
Le soir venu, je rentrais, parlais à mon mari et aux enfants au téléphone, étonnée d’ailleurs d’avoir si peu de remords et m’installais devant la télé quand Vincent sonna.
Il était avec une jolie fille de son âge et fit les présentations très à l’aise. Décontenancée, j’allais chercher des verres au bar quand il surgit m’expliquant à voix basse que c’était son amie, qu’il n’avait pas pu s’en débarrasser et qu’il passait juste boire un verre. Je ne m’étais jamais sentie aussi déçue et humiliée de ma vie d’autant qu’il me faisait passer auprès de son amie pour une ancienne connaissance de voisinage et qu’il ne se gênait pas pour caresser et embrasser doucement sa copine. Ils restèrent une heure puis prirent congé. Je me ruais dans mon jacuzzi pour évacuer toute cette tension en me caressant, en pensant évidemment à lui et à son membre dont j’avais tant envie puis je me couchais. Dans la nuit, un bruit me réveilla.. Je hurlais de terreur en voyant un homme à ma fenêtre mais je me calmais vite en reconnaissant Vincent. Il avait escaladé la façade pour arriver jusqu’à ma chambre. Je lui ouvrais sans savoir trop comment réagir, d’ailleurs je n’en eus pas le loisir, il m’avait déjà saisi et fait glisser ma nuisette. Mon envie de lui ressurgit d’un coup. Il semblait avoir bien bu mais son pouvoir sur moi restais intact. Il me demanda si j’avais réfléchi à ce qu’il m’avait dit ce matin et sans attendre la réponse me fit agenouiller en face du lit. J’étais déjà trempée et sa main allait et venait sur ma chatte remontant jusqu’à mon petit trou qu’il se mit à lécher. Cette nouvelle sensation me procura un plaisir énorme sitôt la surprise passée, je sentis rapidement son gland énorme forcer sans grande douceur mon passage étroit. La douleur que je ressentis fut à la hauteur du plaisir qu’il me procura ensuite, il venait de me faire découvrir un autre monde et j’adorais çà aussi, çà comme le reste, tout étais bon avec lui. Empalée sur son membre et hurlant mon plaisir, j’avais réellement l’impression d’être devenue sa chose et que cette sensation était agréable. Après m’avoir possédée comme un mort de faim, il me quitta sans me dire quand et où on se reverrait.
Les trois jours suivants, je l’attendis, j’étais rassurée par sa discrétion au travail, pas un bruit de couloir, pas un mot, pas un contact mais dès que la journée s’achevait je voulais plus que tout retomber sous son contrôle. Pendant trois jours donc pas de nouvelles… le quatrième je me rendis au café à tout hasard où je le surpris avec trois amis. Il m’invita à sa table, gênée que j’étais de me retrouver aux milieux de jeunes gens j’acceptais malgré tout. Il me présenta à Yann son meilleur copain et à Laurent et Philippe des copains de classe. Nous discutions innocemment quand Vincent partit aux toilettes. Sans détour, Yann me fixa et me demanda « Il t’a baisée ? », choquée par la question je restais sans réponse, il continua « Si tu es là c’est qu’il t’a baisée ! ou qu’il va le faire, t’inquiète t’es pas la première »… inutile de vous dire la situation inconfortable dans laquelle je me trouvais. Heureusement Vincent réapparut et directif comme à son habitude me dit « Et bien on va tous finir la soirée chez toi ! »…Que pouvais-je dire, c’est moi après tout qui lui courait après.
« Bon Ok pour un verre » et nous partîmes.
Installés tous les cinq dans le salon, je les écoutais parler en vidant mes bouteilles, je n’avais qu’une envie, rester seule avec Vincent. Après un moment, je le vis me faire un petit signe de tête pour que je le suive… j’allais dans la cuisine où il me rejoignit. Je fermais la porte et lui demandais le pourquoi du comment des phrases de son ami Yann, est ce qu’il lui avait tout dit ? Il me répondit que non que c’était d’anciennes histoires de filles qui le harcelaient, que Yann se faisait des films etc… mais je commençais à comprendre que les talents de mon beau Vincent devaient être appréciés en ville. Après tout çà n’avait pas d’importance s’il savait rester discret. J’insistais pour en savoir un peu plus et il me dit qu’effectivement les femmes étaient plutôt « sympa » à son égard et qu’à son âge il n’allait pas se priver et que seul yann avait vraiment compris le manège. Il me prit par la taille m’attirant à lui en me demandant si çà me dérangeait. Et là dans ses bras çà ne me dérangeait pas, il connaissait son pouvoir, il en usait et je l’acceptais. Acceptant ma réédition, il fit glisser ses mains sur moi, se glissa dans les poches de mon pantalon de lin et entreprit de me caresser ainsi en m’embrassant dans le cou. La présence de ses amis dans le salon me mettait mal à l’aise mais je me laissais faire. Attaquant les boutons, il glissa sa main directement sur ma culotte de soie rouge puis en un éclair fit jaillir sa queue, baissa mon pantalon, arracha ma culotte, me posa assise sur le plan de travail de la cuisine et m’empala d’un profond coup de reins. Mon hurlement couvrit largement le son de la musique qu’on entendait dans le salon. C’est ce qui lui plaisait à l’a****l, il voulait me faire crier pour que ses amis entendent bien et c’était réussi, l’espace de 5 minutes j’eus l’impression d’être broyée au marteau-pilon mais quel pilon ! Je m’entendais gémir, pleurer sans retenue, des assiettes, des couteaux tombaient, toujours écartelée par sa queue, il me posa au sol, me retourna et entreprit de me faire hurler de plus belle en levrette, j’avais le souffle coupé et je jouissais sans m’arrêter. Je me souviens même être tombée quand il s’est retiré, sans force, les jambes molles et encore tremblante. Je remarquais alors que la conversation avait cessé à côté.
Je ne pouvais décemment plus retourner dans le salon, je demandais à Vincent de les faire partir. »Oui sauf yann me répondit-il ! ».Je le laissais faire, me rhabillait attendant qu’ils partent. Dans le salon Vincent et Yann m’attendaient. Vincent me demanda si je savais ce qui m’attendait, j’en avais forcément une vague idée, Vincent voulait m’offrir à son ami et je n’avais pas la force de dire non. Yann ne m’attirait pas mais j’allais coucher avec lui, je le savais. Chacun s’étant compris, Yann me déshabilla, me demanda de le sucer, la nature l’avait moins gâté que son copain et c’est sans plaisir que je le laissais me prendre. Excité comme un enfant il explosa rapidement puis s’éclipsa tout aussi rapidement. Je me nichais comme une petite fille dans les bras de Vincent qui me remercia. Cette nuit il me prit longtemps avec la plus extrême des douceurs, tout en caresses et en délicatesses qui me firent atteindre des sommets de voluptés. Je me surpris à lui dire que je l’aimais, j’en oubliais ma famille, mon boulot.
Après une courte nuit, nous décidâmes de la suite à donner à cette histoire devant le petit déjeuner. Il m’aida à retrouver ma raison et il fut convenu qu’au retour de mon mari, nous nous quitterions. Après ces quinze jours d’orgie j’eus beaucoup de mal à l’oublier, j’appris par la suite qu’il était devenu l’amant de ma sœur et de deux de mes amies puis je n’eus plus de nouvelle, je repris le cours de ma vie. Non sans revers de tant en tant au plaisir qu’il m’a donné, mon beau démon.
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