Alors que la honte me fit suppliée mon beau frère de me laisser, je le laissé me pénétrer malgré mes supplications. Entre son regard pour moi, le sentir entièrement en moi et qu’il me donne un baiser, j’étais aux anges. Il pouvait se passait n’importe quoi, je m’en fichais. Ma seule préoccupation, c’était de le faire jouir. J’étais dans un état second. Je voulais qu’il me baise comme une bête, qu’il aggripe mes seins à me les arracher, qu’il me secoue dans tout les sens. Sentir sa queue en moi, après toutes ses années à fantasmer sur lui. Après avoir mit enceinte ma soeur, c’était dans ma chatte qu’il avait fourré sa queue et ma bouche qu’il embrasser. Je pourrais parler pendant des heures de cette sensation et de cette excitation sans réussir à vous décrire l’envie de me sentir à lui et de le faire jouir.
Je me mis à bouger pour sentir sa queue en moi, j’avais qu’une chose en tête, le faire jouir à tout prix.Il m’insulta sur le fait que j’étais qu’une grosse chienne. 10 secondes plus tôt j’étais en train de le supplier d’arrêter, et non seulement je m’étais laissée me pénétrer, mais je bouger mon corps de moi même. Il me dit:
– Ça te plaît dis donc de rendre ta soeur et ton mari cocu.
Tu es consciente que ta soeur à tout fait pour toi, et toi tu l’as remercie en se tapant l’homme de sa vie.
Et ton mari, lui qui éprouve un amour si sincère. Tout les hommes que tu as rencontrés ont jamais eu de respect pour toi. La seule chose qui les intéresser, c’était te baiser. Combien de fois tu as pleurer dans les bras de ta soeur que tu voulais un homme qui t’aime par amour et non juste pour le sexe. Tu trouves enfin un homme aimant et attentionné, et toi tu fais quoi quand tu trouves enfin l’homme que tu cherchais?, tu le rend cocu à la première occasion.
Je le sentis jouir en moi. Physiquement je n’avais pas jouie, mais peu importe à quel point j’avais honte de la description qu’il a fait de moi, peu importe que je n’ai pas jouie, j’étais trop heureuse de l’avoir fait jouir. Lorsqu’il me dit que jamais personne ne lui avait vider les couilles comme moi, je me sentais si fière que je sautais à son cou pour l’embrasser à mon tour.
Après se baiser échanger de manière réciproque, il se mit assis au bord de la piscine, sa queue ressortant aisément de l’eau et la mettant à hauteur de mon visage. Il aggripa mes cheveux avec force (il m’avoua bien plus tard qu’à se moment là, il voulait pas me tirer les cheveux si fortement, mais qu’il c’était sentit glisser et que pour garder l’équilibre tira beaucoup plus fort qu’il le souhaitait). Alors qu’il me tira les cheveux d’une manière brutal, j’étais persuadée qu’il voulait me gifler. Je lui suppliais presque en hurlant de me frapper. Surpris il me demanda confirmation mais la plainte suppliante que j’avais gémis pour lui supplier de me frapper laisser peu de doutes à un refus de ma part. Aucun homme avait été violent envers moi. J’avais été baiser brutalement, sans que l’on se soucie de se que je pouvais ressentir, mais on m’avait jamais frappée. De me faire tirer les cheveux si fortement, me sentir si docile et soumise face à lui, après m’avoir clairement décrit mon comportement si honteux, c’était comme si je méritais cette gifle. Il me l’a donna. Une grosse gifle cinglante qui fit un magnifique bruit sur ma joue avec une douleur cuissante. C’était la première fois qu’on me frapper. Je ne sais pas si c’était l’humiliation ressentit plus tôt, que cela soit mon beau frère ou bien que j’avais jamais été si excitée de ma vie, mais je lui dis le plus sincèrement possible « encore ». Il me gifla puissamment une seconde fois et pour la toute première fois de ma vie je me suis sentie à ma place. J’étais entre ses cuisses, le visage à porter de bouche de sa queue mais la tête relevé en me tirant les cheveux pour me faire gifler. Je sais que c’est stupide ou autre, et je ne dis pas ça pour vous excitez, mais je me suis réellement sentit à ma place pour la première fois. D’ailleurs il me frappe pas par plaisir de me faire mal, mais pour me corriger et me dresser. C’est pas des gifles qui sont là pour blesser et laisser des bleues. Se sont des gifles cinglantes qui font rougir seulement. Se sont des gifles qui claque très fort et non qui tape. La différence change tout. Je suis déjà repartit avec les joues rouges et en feu, mais je n’ai jamais eu de bleus. Il ne m’a jamais tapé, seulement giflé. Et malgré cette relation « violente » que l’on partage et que je subis de sa part, ça jamais été par méchanceté et j’ai toujours ressentit cet Amour et se désir extraordinaire qu’il possède envers moi.
Après avoir sucer sa queue, il rester 3 bonnes heures avant que ma soeur arrive. On parla une bonne heure de se qu’on venait de vivre et justement des deux gifles reçu. On commença à mettre en place notre relation à venir. J’ai une confiance aveugle envers lui et se fut très simple, du moment que nos relations respectives étaient pas mises en danger, je ferais tout se qu’il désir et il me fera tout se qu’il désir même si je suis contre. A se moment là je savais que si on partait dans une relation ou il me « frapper », je savais que je serais en sécurité et que ma vie ne serait pas mise en danger. Je lui ai même dit qu’il pourrait se défouler sur moi. Comme par exemple rentrer chez moi et venir me prendre par le cou pour me gifler fortement en me plaquant contre le mur et me gifler encore et encore pour se défouler si ma soeur l’avait énervé par exemple tant que ça rester des gifles qui claque et non qui tape. On parla ainsi une bonne heure afin de partir ensemble sur le chemin où je pourrais enfin vivre pour lui.
On sorta de la piscine et il me fit aller dans sa chambre. Il me demanda de me mettre à 4 pattes à l’endroit où ma soeur dormait. La situation revenait à nouveau très humiliante. Non seulement ma soeur que j’aime était désormais une femme bafouée par ma faute, mais j’allais prendre plaisir à me faire baiser par son mari à l’endroit où elle se repose, à l’endroit même où chaque nuit elle se sent bien avant de s’endormir paisiblement. D’ici peu j’allais rendre son emplacement à elle un lieu où je l’ai rendu cocue.
Mon beau-frère se dit impressionné de me voir mouiller autant en m’expliquant se que viens de vous décrire. Il se plaça derrière et me prit d’un coup. J’étais tellement mouillée qu’il rentra sans aucune difficulté. Il me baisa comme une chienne un bon moment avant de s’immobiliser et de m’ordonner de bouger mon cul. Je commençais ainsi à bouger. Je pouvais y aller à mon rythme et à ma manière. Avec ses insultes et ses humiliations, contre toute attente je jouie très fort, se qu’il me fit remarquer tout de suite. Je venais de me faire jouir sur la place de ma soeur. Il sortit sa queue et la plaça à l’entrée de mon cul. J’étais vierge et je lui dit que même mon ex avait respecté le fait que je voulais pas me faire sodomiser. C’était sale, et c’était un trou de sortie seulement. Il força lentement pour faire rentrer le gland. J’ai cru qu’il était en train de me déchirer et j’ai jamais eu autant mal. Il venait de rentrer sa queue entièrement en moi. Pour lui c’était impossible que je sois vierge du cul au vue de la facilité dont sa queue à fait preuve pour rentrer. Il a pas une queue énorme. 17cm pour 4,5 de diamètre, mais ça commence à faire et elle rentré d’une facilité déconcertante malgré la douleur immense que j’ai ressenti. Il m’encula brutalement, ressortant lentement sa queue et laissé juste le gland de rentrer et s’enfoncer d’un coup sec et brutal, m’arrachant de véritable cris de souffrances. Mes yeux pleurait de douleur tant la souffrance était immense. Lorsqu’il jouit en moi, ce fut une délivrance. A peine retiré que je me suis allongée pleurant de toutes mes larmes ma douleur anal. Il s’allongea doucement à côté de moi et me remercia. C’était notre vrai premier moment de tendresse, même si je pleurais de douleur. Il me prit dans ses bras et me remercia à nouveau. Jamais on lui avait procuré un tel plaisir et un tel bonheur. Le laissais m’enculer ainsi, pleurant en silence sans me plaindre et sans bouger, jamais on l’avait rendu si heureux. Je me tournais vers lui et il me caressa tendrement le visage. Je sentais sa main caresser lentement et tendrement ma joue. Ses yeux étaient pleins d’amour. En dehors de cette douleur, je me sentais bien allongée ainsi à ses côtés. Le moment le plus tendre et agréable que j’avais vécu jusque là. Même dans mes fantasmes je n’avais jamais imaginée un tel moment de tendresse entre nous. Il me demanda si j’étais d’accord de pleurer à nouveau pour lui la prochaine fois. Qu’il avait jamais vue une femme aussi belle que moi en train de pleurer. Je lui ai répondu que je serais heureuse de pleurer pour lui aussi souvent qu’il le voudrait à condition qu’il ressent toujours se plaisir d’être avec moi. Il m’embrassa et je me laissais aller à m’endormir tout près de lui.
Il ne s’endorma pas. Il resta a mes côtes pendant la petite heure qui nous rester. Un petit quart d’heure avant que ma soeur arrive, il me réveilla. Me réveiller à ses côtés, en sentant ses lèvres sur les miennes, ce fut mon plus beau réveil. A se moment là je pouvais désormais mourir en paix. Il m’ordonna gentillement de le sucer. Que j’avais pas nettoyée sa queue après ma sodomie. Que désormais, après qu’il ait jouit, je me devais de le prendre en bouche pour qu’aucune trace soit visible sur sa queue. Il éjacula au fond de ma bouche et après avoir conscieusement nettoyer sa queue, on se rhabilla. Ma soeur arriva au moment où il enfonca un doigt dans mon cul pour me voir grimacer de douleur.
Ma soeur rentra et embrassa son mari. On voyait qu’elle était heureuse de le retrouvait. Malgré que le sexe n’était plus présent dans leur vie, je voyais son amour pour son mari dans son regard et son comportement. Ma grande soeur, celle qui a toujours été là pour moi. Qui m’a recueillie, qui m’a aidée comme personne ne l’a fait, qui a prit ma défense contre nos parents, qui m’a toujours soutenue et encouragée. Ma grande soeur pour qui je possède un amour et une reconnaissance éternel. Tu es désormais une femme cocue et bafouée par ma faute. Ma grande soeur que j’aime, ton mari aimant à fait de moi une chienne soumise pour mon plus grand plaisir. Ma très chère soeur, merci de ne pas aimer le sexe, je te promets de l’aimer pour toi envers ton mari
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