Je jettais un rapide coup d’oeil à ma montre. Il s’en etait fallu de peu pour que je rate mon vol, mais après avoir bousculé moultes passagers, je passai le quai d embarquement et me dirigeai dans le sas pour entrer dans l’avion. Le capitaine lui-même me souhaita la bienvenue et m’indiqua ma place en 1ere classe.
Mon patron ne s’était pas foutu de moi ! Je disposais d’un petit espace de travail avec un confortable siège en cuir, une tablette spacieuse pour y mettre mon ordinateur et une cloison délimitait de moitié mon espace, pour me donner un semblant d’intimité. Oui, vraiment, cela m’aiderait à mieux supporter mes 4h de vol.
Je m’installai, et sortai mon ordinateur, prêt à mettre ce temps à profil pour travailler.
Les moteurs de l’ avion démarrèrent. Deux hôtesses apparurent alors pour faire leur speech habituel. Une blonde se dirigea vers le milieu de la salle, où trois autres hommes d affaires étaient, tandis que la deuxième hôtesse resta devant moi, pour moi et un autre homme un peu derrière moi.
Je ne pu me concentrer sur ce qui était dit, car l’hôtesse m’avais soudain hypnotisée. C’etait une beauté aux cheveux noir de jais sagement coiffé en un chignon réglementaire, ses yeux noirs m’harponèrent quand ils se posèrent sur moi, sa bouche peinte en rouge s’étira sur un petit sourire auquel je répondit par une oeillade. Mon regard descendit ensuite le long de son corps, moulé dans sa robe d’hôtesse de l’air, laissant deviné une poitrine ferme, qui devait parfaitement tenir dans mes mains, puis sur ses jambes fuselées, sa robe s’arrêtant à mi cuisse. Je ressenti un élan de désir tel que je n’en avais pas ressenti depuis longtemps. Je voulais cette femme, là immédiatement.
Quand le speech fut terminé et les hôtesse reparties, je restai un moment immobile, à reflechir à la meilleure manière d’arriver à mes fins. J appuyais alors sur le bouton pour appeler l’hôtesse, croisant les doigts pour que ce soit elle qui vienne, et ce fut le cas. Elle s’approcha et demanda à voix basse si elle pouvait faire quelque chose pour moi, je lui repondit que j espèrais en effet, elle du comprendre le sous entendu dans ma voix, car elle se mordit nerveusement la lèvre, ce qui eu pour effet de me donner une decharge dans tout le corps. Ses yeux de chattes etaient à la fois timides et pleins de promesses sulfureuses. Je lui demandais si elle pouvait s assoire un instant à mes côtés. Elle répondit d’une voix chaude que ça aurait été avec plaisir (insistant sur ce mot), mais qu’elle devait apporter le chariot à nourriture, et que si j’avais faim, elle pourrait s’occuper de moi par la suite… Parlait elle de nourriture ou… D autre chose ?
Je la regardai s’éloigner avec frustration, qui redoubla quand elle me lança un dernier regard et passa brievement sa langue sur ses lèvres rouges. J’imaginai alors toute sortes de scénarios où je la prennais sauvagement de tous les côtés, mon imagination suffit à me rendre à moitié dur très vite. Quand elle revient avec son chariot elle commença par le fond de la salle, en me jettant un regard de braise au passage. Quelques minutes après, je passais ma tête à travers la cloison et la vit penchée en train de servir un café, sa jupe remontée me laissant entre apercevoir le haut de ses cuisses. Ma queue eut un léger soubresaut qui trahit ma vive envie d’elle. Enfin elle revint vers moi, et me proposa de choisir ce qui me ferait plaisir. Je lui demandai un café. Quand elle posa ma tasse sur ma tablette je saisi son poignet. Elle s’immobilisa en me regardant de son regard qui invitait au sexe. Je fit glisser ma main le long de son bras, jusqu’en haut, lui arrachant un frisson. Puis en retirant ma main, je frolai volontairement la courbe de son sein. Je lui demandais une nouvelle fois de s’assoire à mes côtés. Elle acquiesça en me disant qu’elle devait d abord ramener le chariot. Quand elle revint, elle s assit enfin prêt de moi, sa cuisse collée à la mienne. Je lui demandais quel était son petit nom, elle me dit Lena. Je me penchais alors a son oreille et lui murmurai dans un souffle » Vous êtes une invitation au plaisir Lena », et j’ accompagnais mes paroles par ma main qui se posa sur sa cuisse, juste là où s arrêtais sa robe. Je la senti frémir. De mon pouce, je commençai à faire de douces caresse à l’ intérieur de sa cuisse. Sa bouche s’entrouvrie, tandis que ses jambes s’ecartait pour m’inviter à poursuivre. Cette coquine avait autant envie de sexe que moi, j’en étais persuadé. Je fit remonter ma main plus haut sur sa cuisse, nos regards s’accrochant l’un à l’autre pleins de désir. J’avais envie de la baiser comme jamais ça ne m’étais arrivé. Quand mes doigts atteignirent sa chatte à travers ce que je devinais être un string à dentelles, elle stoppa ma main, retenant son soufle. Tentant de l’inviter à me laisser continuer de toute la persuasion dont mon regard était capable, elle finit par lâcher ma main et à fermer les yeux pour savourer mes doigts qui la titillait. Son souffle s’accelera quand j’ecartais son string pour glisser mes doigts dans sa fente déjà trempée. Elle laissa échapper un petit gémissement, et sa main se posa sur la bosse que formait ma queue à travers mon pantalon. Putain j’avais tellement envie de la prendre comme une chienne !
Elle glissa alors sa petite main dans mon pantalon pendant que je continuais à la doigter profondément. Elle se mit alors à me branler d’une main experte, je devais me retenir pour ne pas laisser échapper des gémissements de plaisir.
Je l’attirai alors à califourchons sur moi, et sorti mon sexe dur de mon pantalon. J’empoignais alors la jolie Lena par les fesses et l’empalla sur ma queue. Elle était tellement trempée que j’entrais en elle sans aucun problème. Elle se mit alors à onduler sur moi pendant que je malaxais ses fesses, et j’embrassai alors sa bouche aussi passionnément que j’avais envie d’elle. Je melai ma langue à la sienne tandis que le plaisir lui arrachais des gémissements qu’elle s’efforçait d’étouffer. Je sentit tout à coup une vague de plaisir m’envahir tandis que je jouissai en elle.
Bien décidé à lui donner un orgasme dont elle se souviendrait, je continuais à la prendre. J’etais de toute façon loin d’etre rassasiée de son corps, je fut de nouveau dur en elle presque immédiatement. Je sentais qu’elle allait bientôt jouir quand soudain le panneau lumineux qui indiquait qu’on appelait une hôtesse se mit à clignoter.
Ma sublime brune dut se lever précipitamment, et tout en rajustant ses vêtements, elle s excusa et parti répondre à la demande d’un autre passager.
» Pas question d’en rester là, pensais-je. » je rangeais avec difficulté mon sexe tout dur, et je me postai juste avant l’espace réservé aux hôtesses, où je savais qu’elle repasserait. Quand ce fut le cas, je l’attirai par le bras et la plaquai contre le mur, l’embrassant avec frénésie et glissant mes doigts sous sa jupe pour la doigter de nouveau. » Pas ici », me dit elle. Ce fut alors à elle de m’ entrainer dans une petite salle de bain, qu’elle verouilla. Elle fit alors glisser mon pantalon et prit ma queue dans sa bouche qu’elle suça avec frénésie. Elle donnait l’impression de vouloir m’avaler. Je défi ses cheveux en tirant sur son élastique, et je l’attrappais alors par ses longs cheveux noir pour lui indiquer le rythme qui me plaisait. Je lui prit la bouche sauvagement, lui enfonçeant mon sexe jusque dans la gorge. Quand je vis qu’elle manquait d’air je la relevai, la soulevai par les fesse et la porta sur le lavabo en marbre. Je remontais sa jupe et la pénétra brutalement, lui arrachant un petit cri. Elle noua ses jambes autour de mes reins et quand son dos se retrouva plaqué contre le miroir je lui donnai de gros coups de reins. Elle rentra ses ongles dans mon coup et je redoublait alors en enfonçeant ma queue aussi profond que je le pouvais dans sa chatte. Elle s’accrocha de plus en plus fort à moi jusqu’à pousser un cri de plaisir, le corps secoué de spasmes de plaisir tandis qu’elle jouissait. Quand elle relacha son etreinte, je la fit descendre, la retourna et la plaqua contre le lavabo. Je relevais d avantages sa jupe pour bien voir ses fesses rebondies, je continuais alors a la baiser en fixant son regard dans le miroir. Et quand elle passa de nouveau sa langue sur ses lèvres un deuxième orgasme, plus puissant encore que le précédent, m’emporta et je lachais mon sperme en elle…
Alors qu’elle se recoiffait, je remerciais ma superbe brune pour ce vol si agréable, et elle me dit qu’elle aurait grand plaisir à m’avoir de nouveau comme passager…
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