Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe lesbiennes Histoires de tromper

Mamie Louise 05

Mamie Louise 05



Le reste de la journée se passa dans une hyperémotivité grandissante pour Jérémy. La proposition que sa grand-mère lui avait faite ne cessait de lui titiller l’esprit. Oserait-il lui rappeler sa promesse lorsque le désir se ferait sentir ? Comment alors ferait-elle pour le calmer comme elle l’avait fait quelques instants plus tôt si son grand-père était présent à la ferme ?
Comme sa grand-mère avait repris ses occupations journalières, s’occupant des différents travaux de la ferme, désœuvré Jérémy parti se promener à travers les sentiers qui longeaient les champs entourant la ferme.
Atteignant la mare où il avait l’habitude de venir, il s’assit au pied d’un saule pleureur et ignorant le coassement des grenouilles, il se plongea dans ses pensées ; se remémorant ce qu’il venait de vivre. La découverte de sa grand-mère faisant l’amour avec le commerçant qui venait leur acheter des fromages l’avait surpris et même choqué. Mais la vision des seins charnus de cette dernière, objets de ses fantasmes, avait gommé l’infidélité de sa grand-mère. La découverte des généreux appas mammaires avait fait naître en lui une extraordinaire excitation.
Occupée à la confection de ses fromages de chèvre, Louise ne pouvait empêcher son esprit de se polariser sur ce qu’elle venait de vivre. Julien avait en virtuose joué avec les différentes zones érogènes de son corps, lui faisant connaître plusieurs jouissances. Chaque nouvel orgasme l’avait plongé dans une extase fabuleuse, telle qu’elle n’en avait plus connu depuis de longues années. Mais le souvenir de l’émotion qui l’avait étreinte lorsque, offerte aux coups de boutoir de son amant, elle avait découvert le visage de Jérémy les épiant lui revint en mémoire. La surprise avait été telle, que bizarrement elle en avait ressenti une excitation perverse et son plaisir s’en était trouvé décuplé.
Après le départ de Julien, elle s’était empressée de rejoindre Jérémy afin de l’adjurer de ne rien dire de ce à quoi il avait assisté. Or au cours de la discussion, qui s’était mieux passée que ce qu’elle avait craint, son regard s’était posé par hasard sur la bosse significative qui déformait le devant du short de son petit-fils. Surprise par cette preuve de l’émoi sexuel qui perturbait Jérémy, elle avait immédiatement, sans réfléchir, décidé qu’elle devait venir en aide à son « bébé » comme elle continuait à l’appeler.
Même s’il avait eu l’air surpris, lorsqu’elle avait entrepris de le calmer, Jérémy l’avait laissé faire, acceptant même avec un certain plaisir les attouchements i****tueux qu’elle lui avait prodigués. Mais à branler ainsi la jeune verge prête à exploser, afin de soulager son petit-fils, Louise en avait étonnamment éprouvé un certain plaisir. Et lorsque le premier jet de sperme avait jailli, tel un minuscule geyser blanchâtre, cela avait déclenché en elle une véritable exaltation. Suite à cette euphorie érotique, sous l’emprise de ses sens attisés, elle avait alors proposé à Jérémy de le branler aussi souvent qu’il en aurait besoin !…
Or tout en confectionnant ses fromages, Louise se rendait compte que sa promesse faite dans un moment de lubricité l’avait engagé dans un sentier dangereux et même interdit !… Mais alors qu’elle cherchait comment elle pourrait se tirer de ce mauvais pas, elle comprit soudain qu’elle n’en avait pas vraiment envie. La sensation qu’elle avait ressentie à faire jouir son petit-fils avait été d’un tel érotisme, que dans son subconscient elle mourrait d’envie de retrouver ce plaisir ; même si cela la conduisait à un acte i****tueux condamnable.

*
* *

Dix-neuf heures sonnaient au clocher du village lorsque toute la famille se regroupa autour de la table de cuisine pour le diner. Seul Maurice parla, expliquant son travail de la journée : l’élagage et le fauchage des bordures des chemins vicinaux. Louise et Jérémy l’écoutaient en silence, se jetant de temps à autre des regards complices : chacun se remémorant les sensuels instants passés lors de l’absence de Maurice.
Devenu plus assuré depuis que sa grand-mère s’était si bien occupée de lui le matin même, l’ayant si agréablement masturbé jusqu’à l’éjaculation finale, Jérémy ne pouvait s’empêcher de regarder cette dernière d’un œil nouveau. Attablé face à elle, il ne craignait plus de fixer avec insistance les bosses alléchantes qui déformaient le devant de sa blouse. Ces bosses lui rappelaient les lourdes mamelles qu’il avait découvertes quelques heures plus tôt, dans des circonstances surprenantes.
Louise, dont les souvenirs de ce qu’elle avait éprouvé avec Julien, puis avec Jérémy se mélangeaient en un kaléidoscope érotique, écoutait d’une oreille distraite les explications de son époux. Comme elle fixait attendrie son adolescent de petit-fils, elle remarqua immédiatement le regard de celui-ci en direction de sa poitrine. La fixité avec laquelle Jérémy lorgnait ses appas, l’attendrit et la troubla en même temps. Mystérieusement, ce regard plein de désir la combla d’aise, la renseignant sur l’effet érotique que sa forte poitrine provoquait sur les sens d’un adolescent. C’était la première fois que son petit-fils fixait aussi ostensiblement ses rondeurs mammaires. Elle réalisa alors que suite à son initiative du matin, Jérémy avait pris de l’assurance : cette assurance de jeune mâle qui vient de découvrir sa première jouissance grâce à une femme. Un sentiment de fierté et de tendresse envahit Louise ; Jérémy était devenu un homme et cela grâce à elle. Impulsivement, elle gonfla ses poumons, faisant saillir les rondeurs jumelles de ses seins, sachant combien l’adolescent apprécierait le spectacle.
Le repas terminé, alors que Louise aidée par Jérémy plaçait les couverts dans le lave-vaisselle, Maurice s’installa, comme chaque soir, devant la télévision afin de prendre connaissance des dernières informations.
Libérée de ses tâches ménagères, Louise se saisit d’une de ses revues avant d’annoncer :
— Je vais lire dehors !…
— Je peux venir avec toi, s’empressa de demander Jérémy ?
— Si tu veux mon chéri, répliqua Louise qui espérait cette demande.
Comme chaque soir en ce mois de juillet où les soirées sont longues et les températures douces, Louise laissant son mari scotché devant sa télé allait s’installer sur le banc de bois placé contre la façade de la ferme. Là, elle s’occupait à quelques travaux de couture ou bien elle feuilletait une de ces revues à potins. Heureuse que son petit-fils ait choisi d’être à ses côtés, elle plaça un coussin sur le banc avant d’y prendre place.
Jérémy, qui pendant tout le repas n’avait cessé de contempler les alléchantes bosses qui déformaient le devant de la blouse dont était revêtue sa grand-mère, n’avait pas tardé à éprouver un certain désir et un début d’érection. Aussi, c’est le membre tendu à l’intérieur de son slip soudain trop étroit, qu’il s’installa aux côtés de sa grand-mère, ne sachant comment lui rappeler la promesse qu’elle lui avait faite le matin. Il ne pouvait décemment demander à cette dernière de le branler, ainsi qu’elle l’avait fait le matin même. De plus, la présence proche de son grand-père risquait fort de ne pas faciliter les choses.
— Tu ne veux pas te faire cajoler, comme tu le faisais avant, demanda soudain Louise, avec une arrière-pensée.
— Oh si !
Tout heureux d’avoir cette autorisation qu’il espérait, Jérémy s’empressa de s’étendre sur le banc, posant sa tête sur les cuisses de sa grand-mère, comme il le faisait lorsqu’il était enfant.
Aussitôt, comme si elle n’attendait que ça, Louise glissa sa main gauche dans la chevelure de son petit-fils, éprouvant un doux bonheur à lui caresser doucement la nuque.
— Tu es bien, mon chéri ?
— Oui, murmura Jérémy qui avait l’impression de se retrouver quelques années plus tôt.
Mais si à l’époque le fait de percevoir la rondeur du ventre de sa grand-mère contre sa joue lui était indifférent, ce soir il en était autrement ; ce contact lui procurait une troublante excitation. Excitation qui ne fit que s’accentuer avec la vision au-dessus de son visage des affolantes rondeurs de la lourde poitrine. Fixant ces deux proéminences, Jérémy se remémora leurs formes et de leurs volumes tels qu’il les avait découvertes le matin même, libre de toutes protections. A ces souvenirs, son membre se rappela à lui en se durcissant un peu plus.
Tout en passant tendrement les doigts de la main gauche dans la chevelure de son petit-fils, Louise posa sa main droite sur le torse de l’adolescent qu’elle caressa tendrement. Tous deux demeuraient étrangement muets chacun se souvenant les scènes érotiques du matin ; ne sachant comment les faire revivre. Si Jérémy se repassait en boucle les images sexuelles où sa grand-mère lui était apparue dans une tenue et une activité terriblement indécentes, et même complètement obscènes, Louise de son côté ne pouvait s’empêcher de songer à la douceur de cette verge qu’elle avait tenue en main. Pouvoir de nouveau serrer cette jeune virilité entre ses doigts était son désir le plus cher, mais un reste de gêne l’empêchait de mettre à exécution ce projet. Lorsque le matin elle avait entrepris de branler Jérémy, elle était encore sous l’émotion sexuelle due à ce qu’elle venait de vivre en compagnie de son amant ; mais présentement, l’extravagance de ce qu’elle désirait entreprendre lui apparaissait clairement, modérant ses convoitises érotiques.
Mais tout en tentant de raisonner ses envies i****tueuses, Louise ne pouvait s’empêcher de jeter de furtifs coups d’œil en direction du bas-ventre de Jérémy, dans l’espoir de découvrir une preuve d’un début de désir. Aussi, lorsqu’elle discerna soudain une bosse qui déformait anormalement le short de l’adolescent, elle éprouva une immense émotion : cette découverte l’incitait à assumer ses intentions perverses, refoulant du même coup ses hésitations. Rejetant alors toute retenue, oubliant ses scrupules, Louise posa une main dominatrice sur cette affolante excroissance.
Alors qu’il s’était résigné à devoir se servir de sa main pour se faire jouir dès qu’il serait dans son lit, Jérémy, la tête calée contre le ventre de sa grand-mère, sentit soudain la main de cette dernière se refermer sur sa virilité gonflée. Un long frémissement voluptueux lui parcourut l’échine. Un espoir insensé l’envahit. Le cœur battant, il attendit la suite des évènements, l’excitation à son comble.
— Mais qu’est-ce que je sens là, minauda Louise d’un ton coquin ?…
Resserrant ses doigts autour de la forme allongée qu’elle percevait sous le tissu du short, elle continua sur le même ton :
— J’ai l’impression que tu as encore une grosse envie ?… Tu veux que je te… soulage ?… Tu ne peux pas aller te coucher comme ça, continua-t-elle après quelques secondes passées à presser la verge tendue entre ses doigts…
Décidément, les mots qu’elle utilisait si facilement habituellement et même avec un certain plaisir vicieux avec son amant et son mari lors de leurs ébats amoureux avaient des difficultés à franchir ses lèvres, lorsqu’elle s’adressait à Jérémy. Le jeune âge de ce dernier l’empêchait de s’exprimer aussi crûment qu’elle en avait l’habitude lors de ses frasques sexuelles.
— Mais Papy, s’inquiéta Jérémy.
— Chut, laisse-moi faire…
Se saisissant d’un plaid qui se trouvait à disposition sur le banc de bois, Louise en recouvrit le bas-ventre et les cuisses de son petit-fils :
— Voilà, maintenant Papy peut venir, on est tranquille, expliqua-t-elle en glissant sa main droite sous le plaid.
Assourdi, le son de la télévision rassurait Louise sur la présence de Maurice face aux images des informations de la journée.
Rassurée et impatiente d’assouvir ses désirs secrets, Louise dégrafa le bouton de la ceinture du short. Puis dans l’espace ainsi pratiqué, elle glissa une main fébrile. Ses doigts frôlèrent l’excroissance notable qui déformait le slip. Un gémissement étouffé accompagna son attouchement. La main bien à l’abri à l’intérieur du short, Louise prolongea son effleurement le long de la proéminence que faisait le membre bandé, la frôlant du bout des doigts, s’ingéniant à accroître le désir de Jérémy, ainsi que le sien par contrecoup.
Lorsque les doigts fureteurs de sa grand-mère s’infiltrèrent à l’intérieur de son short, effleurant au passage son membre dilaté, Jérémy ressentit un intense frisson, lui parcourir le bas-ventre. Mais quand les doigts explorateurs commencèrent à presser l’extrémité de sa verge, dans un sursaut érotique, il se cambra brusquement, comme pour mieux offrir son membre aux attouchements. Un nouveau gémissement qu’il tenta d’étouffer s’échappa de ses lèvres.
Louise, que la réaction de Jérémy à son frôlement n’avait pas échappée, éprouva un sentiment d’extrême satisfaction : procurer du plaisir à son petit fils était devenu sa quête depuis le matin où elle avait osé cette caresse i****tueuse. Le ravissement qu’elle avait pris, à branler la jeune verge, l’avait comblé de bonheur, puis quand le sperme encore particulièrement liquide lui avait poissé la main, elle en avait ressenti les effets à l’intérieur de son sexe.
Pressant plus fortement le gland à travers le slip, elle questionna dans un souffle :
— C’est bon ?… Tu aimes ?…
Bien qu’il ait souhaité qu’elle pratique sa caresse à même sa verge, Jérémy bredouilla :
— Oouui, Mamie…
Ressentant, sans le savoir, les mêmes désirs que son petit-fils, Louise entreprit de fourrager à l’intérieur du short afin de glisser sa main dans le slip qui protégeait encore la jeune verge gonflée. Refermant ses doigts autour du gland dilaté, elle le pressa comme elle l’aurait fait avec un fruit pour en extraire son jus. Mais à découvrir l’extrémité sensible du membre sous ses doigts, elle éprouva un émoi d’une telle intensité qu’elle sentit son sexe s’humidifier soudainement. Comme le matin même, elle ressentit une bouffée de désir, l’envahir. Massant voluptueusement la collerette du gland gonflé, Louise ressentit une envie folle de pouvoir saisir cette queue dont les dimensions l’avaient étonné, dans sa bouche pour la sucer. Jérémy n’avait certainement pas encore connu de fellation. Etre celle qui lui dispenserait ce plaisir nouveau la fit saliver et pas seulement de la bouche, comme si elle avait déjà entre ses lèvres le bourgeon sexuel. Mais, ce que Louise désirait surtout était de sentir ce gland qu’elle palpait, exploser dans sa bouche et cracher sa semence intime ; sentir le sperme juvénile fuser jusqu’au fond de son gosier, en savourer son bouquet avant de l’avaler.
Cependant, trop à l’étroit dans le slip ajusté qui l’empêchait d’œuvrer à son aise, Louise, à l’abri du plaid, repoussa le slip et le short loin sur les cuisses de Jérémy. Alors, à son aise, elle se concentra sur sa caresse, frottant longuement l’extrémité sensible du gland. Au nouveau soubresaut qui agita le bas-ventre de Jérémy, elle réalisa combien sa caresse devait bouleverser son petit-fils :
— C’est meilleur comme ça, questionna-t-elle un brin perverse ?…
Percevant l’excitation envahir ses organes, Jérémy, comme il l’avait lu sur les histoires érotiques qu’il parcourait sur les sites spécialisés, tenta de toute sa volonté de retarder la montée du plaisir dont il sentait l’évolution. Cette main qui coulissait lentement le long de sa verge lui procurait une sensation voluptueuse qui lentement le coupait du reste du monde. Soudain une onde de plaisir particulièrement intense le fit se cambrer violemment : les doigts qui le branlaient si agréablement venaient de presser subtilement ses couilles, en une caresse nouvelle pour lui.
— Tu aimes ?
La question de Louise parvint aux oreilles de Jérémy dans un souffle. Comme il levait les yeux en direction du visage de sa grand-mère, son regard s’arrêta sur les affolantes rondeurs qui déformaient la blouse. Depuis sa position couchée, les deux grosseurs à quelques centimètres de son visage prenaient un volume impressionnant. Une soudaine envie de les toucher s’empara alors de lui. Timidement il porta sa main gauche jusqu’à l’attirante poitrine pour y empoigner l’un des seins opulents. Mais comme il agrippait la masse volumineuse, il réalisa l’audace de son geste. Craignant une réprimande pour cet attouchement interdit, il s’immobilisa soudain, les doigts crochetés dans la lourde mamelle dont il percevait l’élasticité malgré les tissus qui la recouvraient.
Totalement surprise par cet attouchement auquel elle ne s’attendait pas, Louise en cessa ses palpations le long des jeunes couilles si lisses. Comment Jérémy avait-il pu oser ce geste ?… S’interrogeant sur la hardiesse de son petit-fils, elle en vint à se questionner sur sa propre responsabilité. La réponse lui apparut évidente : si Jérémy avait eu cette audace, elle en était la première responsable. En voulant, sous l’excuse de soulager sexuellement ce dernier, assumer son propre fantasme, elle avait permis à Jérémy de gagner en confiance : d’où cet attouchement dont il ne se serait jamais autorisé auparavant.
Acceptant son imputation dans l’audace de Jérémy, Louise reprit ses pervers attouchements, revenant à sa masturbation initiale, non sans oublier la main qui pressait son sein.
— Qu’est-ce que tu cherches-là, questionna-t-elle mutine ?

Craignant de nouveau une réprobation pour avoir empaumé cette rondeur qui le fascinait, Jérémy retira vivement sa main de l’opulente grosseur mammaire.

Sans cesser de masser le gland de plus en plus dilaté, Louise, qui avait éprouvé un véritable émoi sexuel lorsque la main de Jérémy avait enserré son sein, ressentit une privation évidente quand celui-ci relâcha sa prise. Aussi s’empressa-t-elle de saisir la main de Jérémy pour la ramener sur sa mamelle.
— Non reste, lui murmura-t-elle… J’aime que tu touches mes lolos… Je sais que tu les aimes… J’ai bien vu comment tu les regardais…
Réconforté, Jérémy ne se fit pas prier pour refermer de nouveau ses doigts sur le renflement qui déformait la blouse, le pétrissant avec une ferveur maladroite.
— Oui, c’est ça, l’encouragea Louise dont le massage de son sein, même s’il manquait de délicatesse lui procurait un certain plaisir…
Ainsi encouragé, Jérémy n’en malaxa que plus fiévreusement la sensuelle protubérance, y enfonçant ses doigts avec ivresse. Même si les différents tissus de la blouse et du soutien-gorge l’empêchaient de palper ce sein tant désiré, il ressentait une formidable excitation à pouvoir palper cette partie féminine qui le faisait tant fantasmer. Excitation qui se répercuta en un éclair dans ses organes génitaux. Se sentant proche de l’orgasme, il tint à prévenir sa grand-mère de l’imminence de son éjaculation :
— Mammiiie, réussit-il à murmurer dans un souffle, tandis que son corps traversé par une onde sexuelle d’une puissance extraordinaire s’arquait frénétiquement.
Aux premiers soubresauts qui agitèrent le bas-ventre de Jérémy, Louise comprit que celui-ci atteignait la jouissance, qui allait le délivrer de son désir. Faisant fi de toute prudence, par rapport à la présence toute proche de Maurice, elle repoussa vivement le plaid. Découvrant la verge convoitée tendue et gonflée à l’extrême, elle s’empressa de la saisir entre ses lèvres. A peine eut-elle le temps de s’enfoncer le gland à l’intérieur de la bouche, que celui-ci explosa subitement, éjectant avec force des jets de sperme, en rafales rapprochées.
Pour la seconde fois de la journée, Jérémy éprouvait une jouissance d’une intensité incroyable. Jamais lors de ses masturbations solitaires il n’avait éprouvé un tel plaisir. Les doigts de sa main refermés sur le sein qu’il malaxait avant de jouir, il eut l’impression que sa verge n’en finissait plus de cracher son trop-plein de sève. Haletant, il accompagna chaque giclée d’un râle qu’il tenta d’étouffer, du fait de la présence proche de son grand-père.

Lorsqu’elle sentit la semence virile chaude et épicée lui emplir le gosier, la forçant à déglutir du fait de l’abondance des éjections, Louise en éprouva un tel émoi que la jouissance la saisit brusquement. Alors qu’un mini-orgasme lui trempait l’entrejambe, elle se força à continuer à sucer le gland vibrant, aspirant chaque nouveau jet de sperme, le dégustant avec gourmandise. Comme elle l’aurait fait avec un fruit juteux, elle pressa le bourgeon de chair de ses lèvres, tandis que de sa main droite, elle pressait les testicules gonflés, aidant ainsi la longue éjaculation.
Ce n’est que lorsque la verge cessa ses salves, que Louise se décida à recracher le gland devenu amorphe. Doucement, elle remonta le plaid sur le bas-ventre de Jérémy, recouvrant la longue queue momentanément assagie. Resserrant ses cuisses sur sa vulve trempée, elle contempla son petit-fils. Celui-ci, les paupières closes, semblait savourer sa jouissance. Fixant avec amour le visage d’angelot de l’adolescent, elle savoura avec délice les saveurs épicées du sperme juvénile qui lui restait au fond de la gorge.
Le bruit diffus de la télévision, qui lui parvenait depuis le début de la soirée, cessa soudain, signe que Maurice venait d’éteindre le poste. Celui-ci apparut sur le pas de la porte :
— Je vous laisse, prévint-il. Je suis crevé, je vais me coucher !
Les paroles de son grand-père tirèrent Jérémy de sa torpeur sexuelle. Ouvrant les yeux, il découvrit le visage de sa grand-mère, penché sur lui, le fixant en souriant.
— Ça va mieux, lui murmura-t-elle ?…
Les sens apaisés, Jérémy fixa sa grand-mère d’un œil nouveau. Le sentiment qu’il ressentait pour elle à présent dépassait ce que tout enfant se doit d’éprouver pour sa grand-mère. Un penchant affectueux plus intense le poussa à se jeter au cou de celle qu’il continuait à appeler « Mamie », l’enlaçant de ses bras.
— Je t’aime Mamie, murmura-t-il dans un souffle.
— Moi aussi je t’aime mon chéri, affirma Louise terriblement émue par cette réaction.
Ils demeurèrent ainsi un long moment, tendrement enlacés, leurs cœurs battant à l’unisson. Dans un geste plein d’amour, Louise caressa tendrement la nuque de son petit-fils, percevant le souffle de ce dernier contre la chair sensible de son cou.
— C’était bon, questionna-t-elle soudain, rompant le silence qui s’était établi et curieuse de connaître les impressions de Jérémy ?… Tu as aimé ?…
— Oh, oui, s’empressa de répondre Jérémy… … On recommencera ?…
Encore une fois, Louise dut reconnaître que son petit-fils avait énormément changé ; et ça depuis le matin, depuis qu’elle avait pris la décision de calmer l’émoi sexuel qu’elle avait involontairement engendrée. C’était comme si le fait qu’elle ait été la responsable de sa première réelle jouissance avait créé chez Jérémy une connivence amoureuse. Et c’est pourquoi il n’hésitait pas à lui faire part de ses désirs.
— Peut-être… On verra…
Elle ne pouvait avouer à Jérémy qu’elle-même avait ressenti un réel plaisir lorsque le gland avait tressauté dans sa bouche, lâchant sa semence virile au fond de sa gorge : elle demeurait étonnée sur la quantité de sperme qu’elle avait dû avaler. A quinze ans, Jérémy avait autant déchargé que Julien, son amant de trente ans.
Or ce plaisir avait réveillé ses sens toujours prompts à s’émouvoir. Tout en cajolant tendrement son petit-fils, elle ressentait un début de désir lui embraser les entrailles. Entre ses cuisses moites du précédent orgasme qu’elle avait ressenti, sa vulve émettait un chaud filet de mouille. Tentant de calmer sa libido perturbée, elle entreprit d’établir un dialogue avec son petit-fils :
— Tu as une petite copine, interrogea-t-elle ?
— Ouu oui…
— Ah, oui !… Comment s’appelle-t-elle ?
— Virginie…
— C’est jolie Virginie… Elle a ton âge ?
— Oui.
— Et qu’est-ce que vous faites ensemble, questionna-t-elle, espérant des aveux plus intimes ?…
— Ben heu…
— Vous vous touchez ?
— Oh non !… Elle ne veut pas !… S’exclama Jérémy gêné.
— Tu veux dire que Virginie ne t’a jamais… caressé comme je l’ai fait ?
— Non, mamie.
— Alors je suis la première à t’avoir… branlé ?
— Heu ouuii…

Mais contrairement à ce qu’avait espéré Louise, ce début de confidence de la part de Jérémy ne fit qu’accroitre le désir qui lui échauffait l’entrecuisse. Apprendre qu’elle était la première à avoir donné du plaisir à un adolescent, même si celui-ci était son petit-fils lui procura un immense sentiment de bonheur, et en même temps une nouvelle flambée de désir. Au plus secret de sa féminité, la chaleur pernicieuse s’était diffusée au plus profond de son vagin. Le besoin de calmer cette envie sexuelle se fit soudain impérieux chez Louise. Il lui fallait calmer ce brasier qui commençait à se répandre dans ses entrailles. Aussi incita-t-elle Jérémy à s’éloigner :
— Il va falloir que tu ailles faire un brin de toilette mon chéri, puis tu iras te coucher, lui recommanda-t-elle, soudain impatiente de se retrouver seule…
Bien qu’il eut aimé rester encore un moment blotti dans le giron de sa grand-mère, Jérémy acquiesça, encore ébahi par ce qu’il venait de connaître. Alors qu’ils s’apprêtaient à se souhaiter une bonne nuit, Louise et Jérémy, dans un même mouvement, approchèrent leurs visages l’un de l’autre pour échanger un baiser. Mais alors qu’elle attendait à recevoir le baiser de Jérémy sur la joue, comme chaque soir, c’est sur ses lèvres que les lèvres de son petit-fils se posèrent.
Surprise par ce contact à laquelle elle ne s’attendait pas, Louise n’en demeura pas moins immobile, songeant, amusée, à la gêne que devait éprouver Jérémy. Mais lorsqu’elle sentit soudain la langue de ce dernier tenter de forcer ses lèvres, elle demeura un instant interloquée par l’audace de son petit-fils. Stupéfaite, elle demeura pétrifiée. Jérémy tentait de l’embrasser comme il le faisait sans doute avec Virginie sa copine : en amoureux.
Bouche hermétiquement close, refusant ce baiser hors nature, Louise tenta d’analyser la situation et le comportement de Jérémy. Alors que la langue de ce dernier lui léchait les lèvres lui procurant un certain plaisir, elle eut soudain une révélation. Quelques instants plus tôt, Jérémy, reprenant conscience après son abondante éjaculation, l’esprit encore perturbé par la jouissance, lui avait avoué qu’il l’aimait. Et ce qu’il tentait présentement, en voulant l’embrasser, était sa façon à lui de lui prouver son amour. Attendrie par cette tentative de la part de son petit-fils, elle cessa de refuser ce baiser et s’abandonna à l’agréable plaisir que lui procurait cette langue qui lui effleurait les lèvres.
Il y avait si longtemps qu’elle n’avait pratiqué ce genre de baiser. Au bout de quarante ans de mariage, ni elle, ni son mari, n’éprouvaient l’envie de s’embrasser ainsi, même pendant leurs ébats amoureux, devenus il est vrai de plus en plus rares. Au désir de savourer une nouvelle fois la saveur de ce genre de baiser, la curiosité de savoir comment Jérémy se débrouillait dans cet art s’empara de Louise. Doucement elle entrouvrit ses lèvres, avide de connaitre comment allait se comporter son petit-fils.
Bien que déçu que sa grand-mère ne réponde pas à son baiser, Jérémy n’en avait pas moins continué de lui lécher les lèvres avec tendresse. Sentant soudain celles-ci s’entrouvrir légèrement, il s’empressa d’y infiltrer sa langue, comblé de bonheur. Fier de montrer son savoir, il entreprit aussitôt d’agiter sa langue dans la bouche qu’il avait investie, cherchant, comme le lui avait appris Virginie, à débusquer la langue de sa partenaire.
D’abord attentive aux sensations que lui procurait le baiser maladroit mais plein de fougue, Louise tenta de retrouver les souvenirs de sa jeunesse : du temps où Maurice et elle s’embrassaient à tout bout de champ d’une langue avide. Peu à peu d’anciennes saveurs qu’elle croyait oubliées à jamais vinrent lui titiller les papilles. Lorsque ces piments érotiques devinrent par trop prédominants, faisant naître en elle un long frémissement de plaisir, Louise décida de répondre au baiser de son petit-fils ; voulant en même temps se prouver à elle-même qu’elle était encore capable de pratiquer ce type d’exercice. Aussi c’est le cœur battant qu’elle repoussa la langue de Jérémy. Et retrouvant automatiquement ses habitudes d’antan, elle enfonça la sienne dans la bouche de son jeune partenaire, qu’elle parcourut avec délectation. La saveur de la salive de Jérémy la grisa, au point qu’une bouffée de chaleur l’enveloppa de la tête aux pieds.
Se laissant guider par un plaisir insidieux, elle explora habilement la bouche de son jeune partenaire, léchant délicatement les gencives avant d’en agacer la langue et le palais ; se grisant des sécrétions buccales de ce dernier.
Totalement passif, Jérémy goûta au baiser de sa grand-mère le cœur battant. Ce qu’il ressentait à l’exploration de cette langue experte le transportait dans un bonheur infini. Cela n’avait rien de comparable avec les baisers échangés avec Virginie. Envoûté par l’art avec lequel sa grand-mère fourrageait à l’intérieur de sa bouche, il s’abandonna au bien-être qui l’envahissait.
Retrouvant dans ce baiser les saveurs de sa jeunesse, Louise sentait le désir devenir de plus en plus intense au creux de ses entrailles. Au plus secret de son entrejambe, une source bien connue suintait d’entre les grandes lèvres de sa vulve en émoi. Comprenant que si elle prolongeait plus longtemps ce baiser qui lui causait tant de félicité, elle risquait de ne pouvoir contrôler ses sens en ébullitions, elle s’arracha avec regret de la bouche de son petit-fils.
— Il faut que tu ailles te coucher mon chéri, réussit-elle à prononcer, d’une voix que le désir rendait étrangement enrouée…
*
* *
Restée seule, Louise médita longuement sur ce qu’il venait de se passer entre elle et son petit-fils : la journée avait été riche en évènements. Tout avait commencé avec la venue de Julien son amant, qu’elle avait attiré dans la remise pour qu’il lui fasse l’amour en l’absence de Maurice, son mari. Tout avait démarré de là !… Alors que Julien la prenait avec toute la fougue de sa jeunesse, Louise avait soudainement découvert le visage de Jérémy les épiant depuis la soupente.
Suite à cette découverte, elle avait décidé d’avoir une explication avec son petit-fils. Mais lorsqu’elle avait découvert l’excitation évidente de celui-ci, tout avait basculé dans son esprit. Encore perturbée sexuellement par ce qu’elle venait de vivre avec Julien, l’idée lui était venue qu’elle devait venir en aide à Jérémy. Et c’est avec énormément de plaisir qu’elle l’avait masturbé, jusqu’à le faire jouir. Or depuis, Jérémy semblait lui vouer un amour qui dépassait ce que tout adolescent se doit d’éprouver pour sa grand-mère. Elle-même ressentait pour son petit-fils plus qu’une simple affection : le fait d’avoir tenu en main la jeune verge, de l’avoir senti vibrer entre ses doigts, avant qu’elle éjecte sa semence, lui avait apporté un plaisir étrange, mais prodigieux. Et pour retrouver cette euphorie, elle était prête à rejeter tout principe moral, et même à ignorer le lien familial qui la liait à Jérémy…
*
* *
Seule dans la salle d’eau, Louise se dévêtit prestement. Une fois sa blouse ôtée, elle dégrafa son soutien-gorge libérant ses seins, qui, privés de leur soutien, retombèrent mollement sur son torse. Puis glissant ses pouces sous l’élastique de sa culotte, elle repoussa son vêtement intime le long de ses hanches, la faisant glisser jusqu’à ses pieds avant de s’en débarrasser. Dans un réflexe, tiré de son adolescence, elle se saisit de son slip, et le porta à ses narines, humant l’entrejambe. Un fumet épicé la renseigna sur l’humidité qui maculait le tissu. Le désir qui l’avait saisi alors qu’elle masturbait Jérémy avait laissé des traces évidentes dans sa culotte.
Rejetant son vêtement intime souillé, Louise, interrogative, se plaça face au grand miroir qui ornait l’une des portes du meuble installé face à la baignoire. Longuement, elle examina, critique, l’image que lui renvoyait le miroir. Ce qu’elle y découvrait, bien qu’elle y fût habituée, la laissa perplexe. Etait-ce à cause de ce sentiment nouveau qu’elle éprouvait à l’encontre de son petit-fils, elle ressentit une contrariété à découvrir les rondeurs qui enveloppaient son corps. Fixant les deux masses lourdes et amollies de ses seins, elle les saisit au creux de ses mains, les rehaussant en les pressant l’un contre l’autre. Sa poitrine, qui avait fait sa fierté du temps de sa jeunesse, et qui lui avait attiré nombre de louanges masculines, avait perdu de son arrogance, même si elle avait peut-être gagné en sensualité. C’est ce que lui avait avoué Julien, sous l’emprise de l’excitation…
Tout en massant lascivement les fruits gonflés de sa poitrine, aux tétines moelleuses dressées au centre de leurs aréoles bistre, Louise laissa descendre son regard jusqu’à son ventre au bas duquel moussait une abondante toison encore sombre. Là par contre, le dur travail de la ferme lui avait permis de garder un ventre plat, contrairement aux femmes de son âge, que la ménopause boursouflait disgracieusement.
Pivotant lentement sur elle-même Louise suivit son mouvement de rotation dans le miroir scrutant la partie pile de son anatomie. Contrairement à son ventre, ses hanches s’étaient particulièrement arrondies, façonnant automatiquement sa croupe, la rendant plus large et même plus pulpeuse. Une vraie croupe de jument comme aimait la taquiner Maurice en lui claquant le derrière. Pinçant les chairs de ses fesses, séparées l’une de l’autre, parle la longue raie, elle les trouva encore fermes, ce qui lui redonna du baume au cœur.
Satisfaite de son examen, Louise se dirigea alors jusqu’au lavabo afin de nettoyer sa vulve des sécrétions vaginales qui l’avaient poissée, lors de la masturbation de Jérémy, et surtout du long baiser sensuel qu’ils avaient partagé. Dédaignant le gant de toilette, elle se savonna copieusement les mains jusqu’à ce qu’une mousse blanche les recouvre entièrement. Alors, elle passa sa paume moussue le long de sa vulve, frottant ses grandes lèvres sexuelles afin de les débarrasser des restes de cyprine qui pouvait les souiller.
Mais à s’astiquer ainsi le sexe, ne fit que réveiller chez Louise ce sournois désir qui avait pris naissance dans ses entrailles lors des attouchements qu’elle avait effectués quelques instants plus tôt sur son petit-fils. Lorsque la liqueur virile de ce dernier avait giclé avec force à l’intérieur de sa bouche, un frisson lui avait parcouru le bas-ventre et elle avait senti son sexe s’humidifier. Ce désir qu’elle avait alors ressenti à ce moment, se rappelait à elle par un élancement voluptueux au creux du ventre. Ses doigts, dans leur besogne d’ablutions, venaient d’effleurer cette excroissance magique, dispensatrice de félicité, nichée au creux de ses petites lèvres.
Comprenant qu’elle ne pourrait trouver le sommeil si ce désir continuait à lui mordre ainsi les entrailles, Louise comprit qu’il lui fallait à tout prix calmer ce brasier qu’elle percevait au plus profond de son vagin. Ne pouvant compter sur son mari, maintenant profondément endormi, elle décida qu’elle ne pouvait être mieux servi que par elle-même…
Aussi, jambes largement écartées, se maintenant au lavabo de la main gauche, elle continua à frotter les doigts de sa main droite le long de sa vulve, insistant plus particulièrement sur son clitoris dardé hors de son capuchon. Chaque passage de ses phalanges sur son bouton d’amour déclenchait des ondes voluptueuses qui lui procuraient d’intenses bouffées de chaleur par tout le corps. C’était comme si un brasier depuis son sexe en émoi se répandait dans tout son corps, attisant ses sens avides.
Sous ce plaisir de plus en plus ensorcelant, pressée d’atteindre l’orgasme, Louise accentua sa masturbation. Fixant son visage ravagé dans le miroir placé au-dessus du lavabo, ce qu’elle y découvrit ne fit qu’accentuer encore un peu plus son émoi. Ses joues s’étaient étrangement colorées. De ses lèvres entrouvertes, un souffle précipité s’échappait. Ses yeux brillaient d’un éclat étrange, comme celui d’un être possédé : dans son cas elle était possédée par le plaisir.
Alors qu’au creux de son vagin les langues de feu devenaient plus ardentes, Louise, rendue impatiente par ce sournois désir qui la faisait chanceler, abandonna momentanément le massage de son clitoris exacerbé. Sans avoir à chercher, tant l’orifice de son sexe se trouvait dilaté, elle plongea son index et son majeur accolés à l’intérieur de sa vulve gorgée de sucs vaginaux. Connaissant parfaitement les secrets de son sexe, elle entreprit d’en frôler la partie supérieure. Cet endroit secret de son vagin, où se situait cette zone qui lui procurait systématiquement un début de jouissance lorsqu’il était habilement massé. Après ce qu’elle venait de connaître avec son petit-fils, Louise était impatiente d’éteindre ce brasier qui lui consumait les entrailles.
Mais alors qu’elle agitait avec habilité ses phalanges à l’intérieur de sa vulve, frôlant cette partie de son vagin ultrasensible, son regard se posa sur la tablette du lavabo. Trois verres y étaient alignés, chacun contenant une brosse à dents. La première appartenait à son mari, la seconde était la sienne et la troisième celle de Jérémy. A la vision des têtes de ces instruments aux poils raides, une idée aussi saugrenue que lubrique lui traversa l’esprit. Que pourrait-elle ressentir si elle se frottait le clitoris à l’aide d’une de ces brosses ?… A peine l’idée l’ayant effleurée que Louise décida de tenter l’expérience. Retirant ses doigts de sa chatte ruisselante de mouille, elle se saisit, comble de perversité, de la brosse appartenant à son petit-fils.
Le cœur battant, terriblement émue à l’idée de ce qu’elle allait entreprendre, Louise plaça la tête de la brosse contre son bouton d’amour gonflé. Curieuse de connaître les effets que pouvait procurer le frottement des poils contre son clitoris, elle fit coulisser l’instrument sanitaire en un mouvement de va-et-vient le long de sa fente. Sous la friction de la brosse contre son excroissance sexuelle, Louise ressentit un plaisir étrange qui la fit frissonner. Etonnée, mais enchantée par cette onde voluptueuse créée par le brossage de son bouton, elle répéta le mouvement, mais en appuyant plus fortement les poils contre son clitoris. Au bout de deux ou trois frottements, une nouvelle houle sensuelle prenant naissance au plus profond de ses entrailles se propagea dans tout son corps, la faisant se cambrer.
Alors sous ce plaisir lancinant, qui tel un raz de marée, envahissait par vagues successives ses terminaisons érogènes, Louise accéléra le va-et-vient de la brosse à dents. Le persistant désir qu’elle ressentait depuis que Jérémy lui avait déchargé sa semence dans la bouche, ne put résister plus longtemps aux frottements accélérés que subissait son bouton d’amour. Percevant l’imminence de la jouissance qui allait l’emporter, Louise, dans un geste fou, glissa la brosse à l’intérieur de son vagin embrasé, qu’elle ramona activement. Les poils mi-durs raclant les parois de sa vulve embrasée embrasèrent alors la totalité de son vagin. Le corps soudainement tétanisé, sentant ses jambes se dérober sous elle, Louise se cramponna désespérément au lavabo, tandis qu’un orgasme d’une rare v******e la faisait haleter…
Durant un long moment, agrippée au lavabo, Louise demeura dans une sorte de torpeur sensuelle, étrangère à tout ce qui l’entourait… Lorsqu’elle reprit ses esprits, ses sens enfin assagis, elle retira délicatement la brosse à dents de son vagin apaisé. Avec un sourire complice, elle reposa l’appareil dentaire qu’elle avait détourné de son usage premier, à sa place dans le verre appartenant à Jérémy, avant de regagner sa chambre…

A suivre…..

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire