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Vie Libertine Chapitre 4 : Découverte de taille…

Vie Libertine Chapitre 4 : Découverte de taille…



Une petite sieste réparatrice aura suffi à me revigorer. Comme prévu mon réveil sonne, j’ai comme doux souvenir la sensation de la main de ma belle me caressant le cuir chevelu. J’émerge, je cherche à voir Ila mais elle n’est plus à mes côtés.
Je la voie alors dans la baignoire, prenant son bain.
-« Coucou chéri, t’es-tu bien reposé ? »
« Oui super merci, j’en avais vraiment besoin » je ne suis pas surpris de la voir se laver et me rappelle alors de ce que j’ai pu distinguer de mon poste de guetteur…
« Et toi qu’as-tu fait pendant ce temps ? »
-« Rien de plus, je suis restée longtemps sous la douche puis j’ai découvert la véritable personnalité de l’épouse de Victor. »
« Ah oui ? et alors ? Qu’en as-tu pensé ? » Je m’attends alors à la pire des réponses ! Je me souviens de plus de la gifle reçue par cette dernière après l’avoir surprise…
-« C’est une femme que j’apprécie beaucoup figures toi. Notre douche a été très féminine et amicale. Nous avons beaucoup discuté de choses et d’autres.
Je ne peux l’interroger d’avantages de peur qu’elle ne devine ma petite séance d’espionnage. Je fais donc comme si de rien était mais me demande combien de temps elle me cachera un tel moment de perversion vécu en mon absence…
De plus, je ne peux m’empêcher de repenser à la soirée d’hier soir. C’est plus fort que moi et je ramène alors ça « sur le tapis ». Il est possible que certains hommes puissent trouver cette situation dérangeante, ce qui serait tout à fait logique, voir normal. Mais moi, franchement, j’ai trouvé cela super excitant comme d’habitude…
« Hier soir au fait, tu sais que c’est moi qui t’es trouvé très féminine ! Tu t’es bien joué de ces deux hommes ! »
Très sûre d’elle, connaissant les bienfaits visuels de son anatomie elle trouve important de me préciser que l’alcool n’est pas le seul responsable dans cette histoire. Ila aime cette liberté que je lui octroie de plus, c’est chez elle un réel besoin physiologique !
Alors que nous nous échangeons toujours sur cette soirée d’hier, une voiture arrive dans la cour. Tiens ? Celle de Monsieur le maire a déjà disparue. C’est visiblement la même jeune femme qui arrivait hier dans l’après-midi. Cette artiste « grunge » qui avait pris direction de l’atelier après avoir échangée un instant avec la maîtresse de maison.
Ila s’étonne alors. « Au fait, quelle heure est-il ? On devrait aller déjeuner non ? »
Je regarde alors ma montre puis j’en conviens. Déjà treize heures, je me prépare et Ila elle, achève sa toilette.
Pour patienter, je décide alors de redescendre, d’aller faire un tour et de trouver Victor car il me serait fort agréable de pouvoir visiter les ruines du château des Barbuc durant notre séjour.
Je me rends alors dans la pièce à vivre mais personne. Je me rends alors vers la cuisine, puis le jardin mais toujours personne. Par déduction j’en conclus que Béatrice se trouve dans son atelier et que… Non ! à tous les coups il profite de reluquer ma femme dans son bain depuis sa pièce secrète !
Un lourd bruit retentit soudain dans le séjour, je m’y empresse et à ma grande surprise j’y trouve Victor. Mais comment est-ce possible, il y a encore une minute il n’y avait personne. Là c’est un vrai tour de magie !
Victor se dirige alors vers moi, il semble incommodé et surpris de ma présence.
-« Alors quel programme pour notre petit couple d’amoureux aujourd’hui ? »
« Nous profitons de nous reposer un peu et de profiter de votre formidable demeure ! »
Il ne me parle pas de son frère, ni de son épouse, je suis mal à l’aise de connaître la vérité. Qu’il semble candide à mes yeux. Je dois préserver ce secret et décide de ne pas me mêler de ces histoires. Soudain, mon regard est attiré par des résidus de poussières déposés sur le cuir chevelu de mon hôte. De nouveau, je constate et me demande bien d’où peuvent émerger ces derniers… A ce que je sache il ne revient pas d’un chantier ?
Victor m’abandonne et me souhaite une bonne après-midi. Il semble pressé de quitter les lieux. Avant qu’il s’en aille je lui demande s’il est possible de visiter les ruines du château ainsi que la tour qui juxtapose la maison. Entrant dans des explications un peu confuses, il en arrive à la conclusion : Impossible tout a été condamné car trop risqué et dangereux. Cela date du 17ème siècle tout de même. A défaut de, il me propose de l’accompagner en ville pour boire un verre mais je refuse en prétextant attendre ma douce.
Au bout de quelques minutes, il sort puis monte en voiture. Celle-ci disparait dans la grande allée de l’entrée principale. Je suis donc rassuré de ne pas le savoir où je pensais. Cela ne répond toujours pas à ma première question… mais d’où s’en revenait-il ?
Manifestement il doit se passer des choses étranges dans cette maison. Je décide donc que je mènerai une « petite enquête » tout au long de notre séjour. Je me fais des films à moi tout seul… Comme quand hier je découvrais la pièce d’observation derrière le miroir me direz-vous… Pourtant j’ai comme l’impression que cette maison nous réserve encore des surprises.
Je m’assois dans le canapé, Ila ne devrait plus tarder à descendre pour que nous partions en balade. Le journal ! Tiens voilà une bonne idée pour me changer les idées. Je n’ai que des scènes de sexe en tête tellement mes idées sont confuses avec tout ça. La soirée d’hier, le maire, son adjoint, Béatrice « la dominatrice » et sa liaison secrète, cette artiste « grunge » et enfin le « candide » Victor !
Je saisis le journal. La première page et la « une » attirent toutefois mon attention.
« On a retrouvé la disparue du bois de la Chaise ! » Et bien il semble que même l’île de Noirmoutier n’échappe pas aux faits divers.
Je lis l’article :
« La jeune femme de 26 ans disparue il y a cinq jours a été retrouvée hier soir totalement nue sur le bord de la nationale 14. Il semblerait que celle-ci ait été sexuellement maltraitée mais se refusant à tout examen, impossible pour les experts de donner un verdict vérifiable. Victime d’amnésie, cette jeune femme sans aucun blessure physique, n’a pour autant aucun souvenir de ces 5 jours. Affirme-t-elle ! Là je trouve que même si celle-ci a pu être violée, elle a beaucoup de chance car au moins l’issue n’est pas la mort de la victime.
Je continue alors l’article,
« Cela porte donc à 7 le nombre de cas similaires. Alors que la gendarmerie est sur l’affaire, le dossier piétine. Rien si ce n’est que cette perte de mémoire imminente et le refus catégorique de chaque victimes à se contraindre à des examens, qui sont pourtant les éléments communs qui permettent de penser à un seul et même « agresseur » ne peuvent aider les hommes de lois dans leurs investigations. »
Bon ça me suffit. Je suis en vacances, je ne vais pas parler de cela à Ila. La connaissant elle s’en inquièterait. Trouvant le temps long je me lève et fais les cent pas dans cette immense pièce pour passer le temps. Ma tête regarde le magnifique parquet de la pièce, arrivant aux abords de la cheminée, je découvre tout d’un coup de la poussière le long de cette dernière. Je m’abaisse comme un expert de la police scientifique pour analyse… Je m’y crois trop mais je m’en amuse. Etrangement, cette poussière est récente. Elle me rappelle alors celle aperçue sur les cheveux de Victor. Qu’y-a-t-il eu comme travaux pourtant ? C’est tout de même surprenant. Alors que je me relève, mon regard est de nouveau attiré par une espèce de levier dissimulé dans l’antre de la cheminée. Ce levier m’est accessible, je dois juste me pencher un peu pour m’en approcher. Curieux de nature, je regarde alors autours de moi, puis ne voyant et n’entendant personne, je décide d’actionner ce dernier.
Je le saisis, je le dirige alors vers le bas, puis surgit le déclic ! Je me sens alors bouger puis quelques secondes plus tard, je me sens vibrer avec la cheminée qui pivote sur elle-même à 180 degrés. Quelle découverte !!! Un passage secret me fait me retrouver dans un immense couloir. Des voutes en pierre le surplombent, il fait humide et frais. Des lumières s’allument grâce à un détecteur de mouvement. Il règne alors une ambiance médiévale dans ce couloir. Des peintures décorent les murs, je reconnais la touche de la maîtresse de maison. Les toiles ont totalement changé de registre, j’y découvre l’instinct dominant qui a su maitriser Ila plus tôt dans la journée. Les toiles sont très objectives, on y voit des femmes attachées par les mains, nues, offertes. La qualité et le détail de ces toiles nous dévoilent avec précisions les intimités « usées » de ces femmes attachées. Un peu plus loin sur une autre toile, toujours une femme attachée, des hommes abusants d’elle chacun leur tour. Une de ces toiles me rappelle même ce que j’ai vu ce matin à la piscine car on découvre des orifices peints en gros plans, déversant des quantités de « sirop de corps d’hommes »… On se croirait dans un sexshop tellement le sexe est omniprésent.
Bref, je continue à avancer dans ce couloir étrange et obscure. Après une dizaine de mètres, je tombe alors sur trois autres accès très sombres. Je comprends alors que je suis dans l’antre du château des Barbuc et que Victor m’a menti !
Rebroussant chemin, j’écoute alors avant d’actionner le levier, si quelqu’un se trouve dans le séjour. En écoutant, un œil de bœuf discret m’apparait. Celui-ci est idéal pour être certain de ne pas dévoiler le passage secret à des personnes présentent dans la pièce.
Un, deux, trois, j’actionne le levier puis me retrouve aussitôt de l’autre côté. Personne ! C’est bon. Je me frotte la tête pour éviter de commettre la même erreur que Victor. Puis reconnait à cet instant un bruit de talons qui m’est familier. Je découvre comme au premier jour ma dulcinée en mini-jupe, ces jambes n’en finissent pas. Elle me jette un regard coquin puis soulève le temps d’un instant sa mini-jupe pour me dévoiler un tout petit string rose…
La journée promet d’être riche en évènements…
Ila et moi décidons de quitter la demeure, nous nous dirigeons vers la voiture et sommes obligés de passer devant l’atelier de Béa. Alors que nous arrivons à la hauteur de ce dernier, nous ne pouvons-nous empêcher de jeter un œil par une petite fenêtre et découvrir l’artiste dans son art. Difficile d’y distinguer quelque chose cependant. J’att**** alors la main de ma belle.
« Viens, on y va, ce n’est pas bien d’espionner les gens » lui dis-je en repensant soudain à notre séance de voyeurisme de tout à l’heure.
Au même moment nous entendons Béa qui vient de sortir à notre rencontre.
« Mes amoureux préférés ! voulez-vous entrer un instant dans mon univers ? »
Ila et moi décidons d’accepter son invitation, alors que Béa est déjà rentrée, nous passons la porte et entrons.

Après avoir passé l’entrée, où se situe plusieurs chevalets portant esquisses et croquis, le centre de la pièce nous dévoile l’artiste et son modèle. Ainsi, Béa est derrière sa toile agitant ses pinceaux. Face à elle, cette « grunge » totalement nue, qui totalement impudique nous lache un timide « Bonjour ».
Sa position ne me laisse pas indifferent, elle est à quatre pattes, de dos à l’artiste fesses totalement relevées. Elle offre ainsi à Béa une vue totalement dégagée sur son intimité.
Béa : -« J’espère que cela ne vous incommode pas trop… Je comprendrais si vous préfèriez sortir car je vous met dans une situation embarassante. »
Ila : « Alors là, détrompez vous Béatrice. Je n’ai moi même aucun problème avec la nudité et comprend donc aisément l’impudeur de votre muse. »
Impossible pour moi de ne pas évoquer avec cette perche tendue par ma belle, le fait que moi-même artiste dans l’âme, il me plait beaucoup d’immortaliser l’anatomie douce et athlétique de ma « muse » ici présente! « Oui c’est vrai que je souligne et voue aussi un culte au corps féminin à travers ma moitié qui sait se dévoiler pour moi en toute impudeur laissant toutes ces craintes derrière elle. Nous comprenons donc facilement et ne sommes nullement dérangés n’est-ce pas chérie? »
« Au contraire! » me répond-elle avec un magnifique petit sourire coquin comme elle seule en à le secret! » Béatrice s’en amuse et propose si elle le souhaite de prendre la pose pour elle a une autre occasion. La jeune muse a en tout cas l’air « frustrée ». « Tu as un corps dont les formes dessinées dégagent une puissance et beaucoup de sensualité. Ce genre de pose doit être très intéressant à reproduire avec un corps comme le tien Ila! » « Pourquoi pas? A l’occasion dans ce cas… »
Nous sommes en train de sortir et entendons alors l’artiste demander à sa muse une pose des plus originales pour saluer ses amis… « Cette jeune femme alors s’allonge sur le dos puis nous présente son intimité béante, jambes en l’air. Je sens à ce moment là une légère frustration d’Ila, comme si elle mourait d’envie de se montrer elle aussi et surprendre Béatrice quand… Ila proposa fièrement de prendre la pose au coté de cette grunge juste pour le fun!
« Mon chéri ne verra surement aucun inconvénient à ce que je me mette à l’aise à mon tour, aussi si tu le souhaites Béa, je serai ravie de te présenter à mon tour ce que tu aimes le plus artistiquement. Tu me diras si justement, je te conviens ou non. »
Nous sommes tous trois « bluffés », Ila ne perd pas de temps pour oter son haut, en un éclair sa mini tombe au sol. La belle semble indomptable. Ses bras passent dans son dos pour dégraffer délicatement ce haut quand de ses deux pouces tournés vers l’exterieur se précipitent autour de l’élastique de son string pour le rouler doucement jusqu’aux genoux. Ma miss retire enfin ses talons puis se dirige au coté de la jeune femme. Prenant alors la même position, Béa à l’air envoutée en découvrant ces deux croupes ainsi offertes.
Afin d’alimenter son fantasme, Béatrice leur demande de prendre une pose trés spéciale. Trés simple mais à la fois compliquée, chacune doit regarder l’autre dans les yeux, puis, de leur index, doivent visiter le petit cratère de l’autre. J’avoue que la scène est démentielle. Je suis un peu à bout… Ila n’hésite alors pas un instant à Béatrice de venir pour se faire, leur humidifier leurs entrées et faciliter n’importe quelle introduction. Difficile de refuser pour Béa qui se doit de participer pour un bon état d’esprit ente ses muses et elle!
Posant son pinceau qu’elle tenait dans la main depuis tout à l’heure comme un baguette de chef d’orchestre, elle s’approcha de ces deux corps sculptés puis saisit alors brièvement les fesses de chacunes puis leur insèrer le bout de sa langue en y salivant abondament. Aprés quelques minutes, une claque sur les fesses de chacunes retentirent alors dans l’atelier! Puis leur lanca comme un défi : « A vous de jouer maintenant! » Sans complexes, la petite grunge enfile alors son index dans la rosette de ma belle, puis Ila apprèciant tout particulièrement lui rend la pareille. Chacune ont enfoncée Leurs grandes lèvres roses, entre-ouvertes, tout juste ruisselantes apparaissent leurs sombres petits cratères aux contours assouplis et imberbes sont dirigés vers le ciel, visités par les deux premières falanges de leurs index tendus au maximum! J’imagine que Béatrice doit satisfaire indirectement ses pulsions dominatrices avec cette jeune femme et à travers cette autorité du moment sur ma douce. Je repense tout d’un coup à leur aventure de tout à l’heure. Rien ne pouvait, ni dans le comportement d’Ila ni dans le sien ; transparaître une once de suggestions ou allusions à ce qu’elles avaient déjà vécues toutes les deux. « Stop! Ne bougez plus » demande Béatrice. « Vous êtes superbes les filles, ce que nous voyons et magnifique. C’est ça… regardez vous dans les yeux, j’arrive presque à ressentir le désir naissant entre vous! Maintenant je vous demanderai une dernière faveur, libérez vos intimités puis portez chacune vos doigts au visage de l’autre… oui… très bien,découvrez mutuellement vos parfums de femmes! »
Les deux muses s’exécutent…. Je trouve la scène érotiquement obscène mais visiblement à la portée de ces modèles. Ila alors décide qu’elle en a assez montré puis se relève alors pour se rhabiller. Ila saisit alors un bout de serviette dans lequel elle essuie ses doigts…
Je la vois ainsi fière d’elle. Elle aime laisser ses proies sur leur faim pour faire grimper le désir de la voir encore plus!
Nous les quittons, je sens une grande frustration chez Béa que nous laissons seule avec sa muse et ces révélations réciproques de nos véritables personnalités!
Ila et moi reprenons la voiture direction le village. Nous sommes heureux de ce moment tous les deux. Je lui fais savoir à quel point cela a été excitant. Ila veut alors savoir si c’est cette autre femme qui m’a autant excité mais elle n’y est pas une seconde!
« Il est vrai que cela a été excitant de voir nue toutes les deux surtout avec ce que vous vous êtes fait… mais moi j’ai adoré quand tu lui as demandé de venir vous humidifier! là tu m’as scotché et franchement je n’aurai pas cru une minute qu’elle l’aurait fait avec autant de ferveur! C’est ça qui m’a excité tu sais?! » -« Je suis d’accord avec toi, c’est vrai qu’elle m’a également surprise. Mais ce qui est certain, c’est qu’elle ne le faisait pas pour la première fois! »
« Qu’est ce qui te fais dire ça? »
-« Tu sais, j’ai rarement été visitée par une langue de cette manière! On aurait cru à un serpent tellement sa langue est venue profondément en nous. Elle nous a très facilement mises dans l’ambiance! voilà pourquoi! »
Je trouve étrange sa manière de me décrire son ressentis avec ce qu’elle lui a déjà fait ce matin! Je ne comprend pas à dire vrai. Je ne relève toujours pas.
« Ah ok je comprend mieux vu sous cet angle! » Nous nous approchons et nous embrassons comme pour approuver tous les deux cet instant comme beaucoup d’autres que nous avons su apprécier de cette manière. »
Nous arrivons dans le village, l’accès au centre ville est bloqué par les gendarmes. Tiens? Qu’y a-t-il? Une brocante, un défilé… Je blague alors avec Ila mais changeons vite d’état d’esprit lorsque nous apprenons l’enlèvement d’une femme.

Je repense avec effroi à l’article parcouru rapidement dans le journal tout à l’heure. Je trouve une place et finissons le trajet à pied. Un gendarme vient alors à notre rencontre en nous priant de lui dire si nous avions ou non aperçu une femme assez petite, de type asiatique, brune, la quarantaine… Mais venant d’arriver sur les lieux, il nous est difficile de l’aider. Je parle donc à Ila du fameux article de ce matin, j’avoue que cela n’a pas l’air de la rassurer au contraire… Nous avons décider de retourner à notre petit restaurant d’hier soir. Aussi surement est-ce du à l’envie de peut-être retomber sur ces hommes, de pouvoir la voir à nouveau se libèrer, ou… Nous arrivons devant la porte mais avec regrets, nous ne pouvons que lire un petit écriteau avec noté dessus « Fermé ce jour ». Nous sommes en veine!
Un petit « food truck » est installé sur le parking de la mairie de l’autre coté de la place, je pense qu’Ila et moi y trouverons notre bonheur.
Nous nous approchons, une dame et son mari sont là pour nous servir. Nous passons commande puis profitons du temps d’attente de la préparation de nos sandwichs, et d’en savoir plus sur la présence des gendarmes ainsi que cette fameuse disparition.
L’homme semble relativement bien informé, il s’agirait d’une femme étant venue là pour un petit boulot saisonnier. Ce matin alors qu’ils déballaient, ils nous disent l’avoir aperçue partant à la mairie pour sa déclaration d’embauche et peu de temps aprés qu’elle n’en soit sortie, un jeune du village signalait qu’une camionette où à son bord, se trouvait surement des malfrâts l’avait fait monter de force pour l’enlever. De là la police a débarqué puis tout est allé trés vite, pose de barrages, etc…
C’est donc tout de même inquiètant pour l’aspect tranquille et paisible de la région car avec les disparitions déjà survenues dans le secteur cela laisse à penser que ce n’est peut-être pas terminé.
Nous sommes servis rapidement, nous prenons alors place sur un banc, nous déjeunons comme nous pouvons. Ila me confie préferer retourner à la villa car cela ne la rassure pas du tout et de plus, cela ternis l’image idylique que nous nous étions donnée de ce petit hameau. En peu de temps, nous terminons ces délicieux sandwichs. Toujours sous un soleil radieux, nous nous dirigeons vers la voiture. Je demande à Ila ce qu’elle souhaite que nous fassions pour occuper notre aprés-midi et je lui suggère alors une petite plage non loin de là et qui devrait lui permettre de bronzer en totalité!
Cette plage est à 10 mn en voiture, je lui propose de passer à la villa pour prendre quelques affaires. Au même moment, nous constatons la présence de la voiture de Victor. Celle-ci est garée devant la mairie, surement est-il parti rendre visite à son frère pour le déjeuner.
Quelques minutes plus tard nous arrivons à la demeure. Béatrice en a visiblement terminé avec son « oeuvre » car elle est allongée sur un transat et prend un bain de soleil.
Nous sommes obligés de passer devant elle pour regagner l’entrée. A peine à sa hauteur, la maîtresse de maison nous interpelle.
-« Alors, déjà de retour? »
Ila lui raconte alors ce que nous avons vu et entendu en ville. Celle-ci tente de nous rassurer en nous expliquant que ceux sont des choses qui n’arrivent normalement jamais par ici et que nous ne devons surtout pas nous inquiéter. « J’espère que cette histoire se terminera aussi « bien » que les autres! » nous nous doutons qu’elle évoque le fait que les victimes sont toutes retrouvées saines et sauves.
Elle en profite pour revenir rapidement sur notre vécu de ce matin dans son atelier et nous précise qu’elle souhaite que cela reste un souvenir artistique et qu’en aucun cas, elle ne veut que nous en parlions à son mari. Cela est pour nous évident, et nous respecterons ce choix. -« Sans vous déranger, pouvez vous contourner le séjour? Mon mari déjeune avec son frère et un représentant étranger venu pour entretenir un jumelage que nous avons avec un autre petit village de côte d’ivoire. » « Oui bien sur » lui répondons Ila et moi.
Nous passons donc directement par le séjour en évitant la salle à manger que nous voyons fermée d’ailleur pour l’occasion. Nous montons nous préparer. Arrivant à notre chambre, je constate que la porte qui m’avait conduit à découvrir la pièce secrète est restée de nouveau entre-ouverte! Je m’interroge alors sur l’évetuelle présence de voyeurs derrière le miroir… Nous rentrons dans notre chambre. Je vais donc faire comme si de rien était. Cela m’excite de pouvoir ainsi exhiber ma belle devant ce miroir. Peut-être n’y a-t-il personne me dis-je mais en tous cas, je reste je ne sais pas pourquoi, persuadé du contraire.
Alors je m’allonge sur le lit, je demande à ma belle ce qu’elle compte mettre pour aller jusqu’à la plage. Elle me sort un tas de petits bikinis de sa valise.
« Franchement je ne sais pas lequel te conseiller, peux tu les essayer rapidement s’il te plait? »
Ila semble surprise mais ravie de procéder à une petite séance de d’essayage.
Elle retire son tee-shirt, elle a la poitrine à l’air, je m’imagine que peut-être certains regards sont sur elle. Elle enlève en suite sa mini jupe et se retrouve juste avec son petit string rose aperçu plutôt. Elle cherche alors celui qu’elle passera en premier puis se met dos à moi pour regarder dans la valise. Aprés avoir otée ce petit bout de tissu, elle se regarde nue face à la glace, je suis aux anges. Inquiète de sa silhouette, elle se met dos à la glace et regardant par dessus son épaule, me demande si je ne trouve pas qu’elle ait grossie.
Admiratif de cette jolie petite paire de fesses tout comme les voyeurs si ils sont derrières ce miroir d’ailleurs! La belle ignorante prend des poses naturelles qui permettent une vue détaillée de son intimité. Elle me demande alors si j’ai aimé son petit show avec artistique devant Béatrice qui la regardait tout à l’heure. Là j’espère que si il y a quelqu’un, ils ne comprendront pas ce dont nous parlons. Quelqu’un frappe soudainement à notre porte. Ila enfile une serviette puis s’en va ouvrir. C’est Béatrice qui vient proposer à ma belle une petite visite de la plage privée qui lui permettrait si elle le souhaite de bronzer totalement nue. Je comprend que je n’y suis pas le bienvenu car pour ma part, il m’est impossible de me mettre « à poil » devant d’autres personnes. Plutôt pudique, je ne veux pour autant pas priver ma belle, et l’incite à suivre Béa.
-« T’es sur, cela ne te dérange pas? » me demande-t-elle.
« Pas du tout au contraire, si cela te plait alors vas-y je comprends. »
Tout de suite après, Ila referme la porte puis enfile un bikini jaune très jolie. Elle m’embrasse, Béatrice l’attendait derrière la porte. Je les entends causer puis s’éloigner. Je reste alors seul puis quitte la pièce à mon tour pour le séjour.

En descendant je constate que la pièce où s’était retrouvé Victor et ses invités est vide. Toujours aussi curieux je constate cette même poussière toute fraîche devant la « cheminée secrète ». Il semblerait que quelqu’un l’ait emprunté il y a peu de temps. Que faire? J’y vais, j’y vais pas? La maison semble vide, personne pour me surprendre, je peux à mon avis retourner faire un petit tour… Ni une ni deux, j’actionne le levier, la cheminée se retourne à l’identique de ce matin, je me retrouve alors à nouveau dans ce souterrain. En revanche, inutile de trainer, on ne sait jamais. Je me précipite alors pour arriver jusqu’aux trois couloirs. Au loin dans celui du milieu, je crois entendre des voix. Ce n’est pas mon imagination qui me joue des tours, je reconnais même la voix de Victor et son frère. Il semble même que leur invité diplomatique soit avec eux.

Je m’approche alors sans faire de bruit pour les écouter de façon plus claire. Je trouve même un petit bout de rocher derrière lequel je me dissimule. Idéal pour la discrétion, et suffisant pour entendre leur discussion.
C’est Victor qui visiblement palabre. « Alors que dîtes vous de cela Mr Bongo? Ma demeure est truffée de gadgets qui vous permettrez de profiter pleinement des joies de la vie si vous décidiez de venir passer quelques jours comme vous l’a suggèré mon frère. De plus nous pouvons répondre à toutes vos exigences! Qu’en pensez vous? »
Ce monsieur Bongo doit avoir une soixantaine d’années, il est clair que c’est un homme important. « La France me plait par dessus tout pour ça mes amis! Je vous connais depuis maintenant quelques années et vous me connaissez aussi. Vous savez mes besoins quotidien en jeunes femmes. C’est pourquoi je les veux les plus délurées possible. D’ailleurs, qu’en est-il de votre parfum d’hypnose dont vous deviez me faire voir les bienfaits? » Mr le Maire prend alors la parole, « Il est totalement au point figurez vous! Nous avons passé du bon temps grâce à lui et il est sans trace. Toutes les femmes sur qui nous l’avons testé sont rester inconscientes et amnésiques dès la première absorbtion du parfum. C’est même sur la femme de mon frère que nous l’avons testé en premier. Il semble même qu’elle y est pris goût »
Mr Bongo : « Donc les effets sont-ils à la hauteur de ce que nous attendions? Avez vous su profiter de la dame de votre frère aussi pleinement que vous l’avez voulu? »
Victor confirme alors, « Oui tout à fait, je dois dire pour avoir observer mon frère à l’oeuvre avec ma femme, ne pas l’avoir reconnue tellement elle a été bestiale avec lui! »
-« Bestiale! A ce point là? » « Oh que oui, je pourrai même vous faire voir une vidéo car quand cela s’est produit, mon frère s’est occupé de Béatrice dans la pièce où nous avons logé nos invités. Le miroir a été un objet d’excitation fabuleux pour moi. » -« Ouiiii, ce fût d’ailleurs une belle entrée en matière que de me montrer cette grande et belle blonde candide tout à l’heure! Quel cul divin elle avait! »
« Là je peux aussi vous dire l’avoir testé tout à l’heure sur cette femme. Béatrice et elle ont été très docile avec moi sous la douche et ni l’une ni l’autre n’a visiblement souvenir de ce qui s’est passé…..

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