La boutique
Je suis fou de chaussures féminines et je suis fétichiste des pieds, bas, collants chaussures. J’ai une collection de chaussures très très sexy et je me fournis sur le WEB. Cependant j’ai déjà eu de mauvaises surprises, des mules trop grandes, des escarpins douloureux.. Aussi je e suis mis à la recherche de boutiques où les travestis seraient acceptés et bien traités. Je trouvais beaucoup de sex-shops sordides à mes yeux et je commençais à renoncer quand j’ai posté une requête sur un forum de travestis. Au bout de quelques jours, une réponse m’interpella, une personne se disait gérant d’une boutique de chaussure dans le 16° arrondissement, et qu’il partageait mon gout et mes fantasmes. Il me proposait de me recevoir après sa fermeture pour essayer en toute discrétion les chaussures que je voulais, il mentionnait qu’il n’était pas une boutique « spécialisée » et qu’il n’allait pas au delà de la pointure 41. Il précisait qu’il était gay et fétichiste des chaussures féminines et que c’était un plaisir de me recevoir car il connaissait très peu de gens partageant ce type de gout. Nous primes rendez-vos pour la semaine même.
Ce soir là, à la sortie du boulot, je me rendais dans le 16°, costard , cravate, etc… La boutique est sur une rue très commerçante et connue de Passy. La vitrine est alléchante et je vois des tas de merveilles…. Le magasin est fermé et juste une lumière au fond, est allumée. Je tape à la porte vitrée.
Voici qu’apparait mon contact, Laurent, il est de taille moyenne, mince, entre 30 et 35 ans. Il est vêtu très « fashion « , pull près du corps, jeans très serrés (on dirait un legging) , cheveux blonds, avec une grande mèche. Je pense qu’il doit se faire traiter de tapette, car il est très efféminé. Il m’ouvre en souriant.
– Bonsoir, bienvenue, je suis Laurent, entrez vite que je puisse refermer, on sera tranquille.
Je pénètre dans la boutique et nous nous dirigeons vers le fond du magasin, je remarque que mon hôte tortille ses fesses et surtout qu’il est pieds nus dans de petites ballerines en daim. Je le complimente sur ses ballerines.
– Merci, j’adore les ballerines et celles ci sont discrètes et ne soulèvent presque pas de commentaires de me clients.
– Moi aussi j’adore porter des ballerines, c’est sexy et très confortable, j’aime beaucoup celles qui découvrent la naissance des orteils, je trouve ça hyper sexy.
– Aaaah, monsieur est fin connaisseur. Allons dans l’arrière boutique , nous serons plus tranquilles.
Je le suis dans une grande pièce tapissée d’étagères croulant sous les boites de chaussures, une épaisse moquette me surprend. Au milieu, un fauteuil de style Louis XV , blanc et velours rouge, à coté , un petit escabeau de chausseur , présentant une partie horizontale pour le chausser et une partie inclinée pour le pied de la cliente. Un grand miroir sur pieds, du même style que le fauteuil, trône au milieu.
– Que cherchez vous comme chaussures?
– Je suis venu pour une paire d’escarpins, talons hauts, et surtout très décolletés.
– OK, je vois, en 41 je suppose?
– Exactement mais j’ai le pied fin, et il faudra voir.
– Couleur?????
– J’aime le noir vernis, le rouge, mais n’ai pas d’a priori….
Mon vendeur part à la recherche dans ses étagères et revient avec 6 ou 7 boites. Je m’assieds dans le fauteuil, il pose les boites au sol et s’assied sur son tabouret. Il me montre de jolis escarpins, très très sexy, et je le complimente sur son choix.
– Je crois que nous avons les mêmes gouts et je sens bien ce qui vous branche je crois. Déchaussez vous s’il vous plait.
Je retire mes chaussures de ville, mes chaussettes noires et me voici nu pieds, montrant mes orteils vernis marron.
– mmmmm, très jolis pieds, féminins, fins et j’aime votre pédicure!
– Ah bon?
Il me répond en souriant et retirant une de ses ballerines, il me montre un adorable pied au vernis très très proche du mien. Il porte un anneau sur un orteil. Son pied me fascine et je sens mon sexe se durcir dans mon pantalon.
– Vous avez de s pieds très mignons, adorables. Dis-je
– Merci, passons à vous , vous allez chausser ces protège-bas pour essayer, ça facilite l’essayage.
Laurent me tend une paire de fins protège-bas, chair que je chausse avec délice. Ils laissent voir mes orteils vernis. Mon érection est maximum.
Laurent sort une paire d’escarpins noirs vernis, aux talons de 10 cm, et dont le talon est ouvert. Ils me les présentent:
– De ce que vous m’avez dit, celles la semblent être de votre gout, elles sont vraiment mimi! Vous voulez les passer?
– Je les aime bien, essayons.
Il prend mon pied droit, ajuste le petit bas en me massant la pulpe du pied, ses mains sont douces et tièdes. Il me glisse l’escarpin et répète l’opération pour le second pied, mais son massage est plus assuré et je ne peux m’empêcher de gémir de plaisir.
– Vous vous sentez bien dedans?
– Super, de vrais chaussons.
– Allez vous voir dans la glace.
Je me lève et vais près du miroir, il faut que je relève mas pantalons pour regarder. la forme des chaussures est très sexy, les talons bien hauts, et on voit bien la naissance des orteils. Laurent me dit:
– Très chouette mais enlevez votre pantalon, car on ne pas voir le galbe de la jambe.
– C’est assez gênant, répondis-je en sentant mon érection se durcir.
– Ne craignez rien, j’ai bien vu votre bosse, n’ayez pas honte , je suis dans le même état et mon jeans me serre trop.
Sans plus de manières, il se déchausse et retire son jeans, ses jambes sont parfaitement épilées et il porte un petit string noir qui ne parvient pas à contenir son sexe qui apparait dressé. Pieds nus, il s’approche et me dit :
– Mets toi à l’aise et retire ce vilain costume.
– Avec plaisir, dis je excité, moi c’est Dominique.
Me voila nu, les jambes épilées, en escarpins. Mon sexe est dressé et turgescent. L’atmosphère est brulante. Pas gêné, Laurent me montre une autre paire d’escarpins rouges, au bout ouvert, il les chausse et me prends par la main et m’amène devant le miroir. Nous voila en talons, cote à cote.
– Tu pourras comparer dit il en pointant devant la glace. Je tourne mes pieds et mire nos chaussures; Je surprends Laurent à se caresser doucement le haut du sexe.
Je n’en peux plus et commence à me branler doucement en nous regardant dans la psyché. On pose tous les deux, on se déchausse, rechausse puis en se rapprochant on se branle mutuellement. Nous sommes très excités et nous rapprochons de plus en plus, je tourne doucement Laurent et frotte mon pénis entre ses fesses contre la ficelle de son strings, il grogne de plaisir.
– Arrête on ne va jamais pouvoir essayer toutes les paires….. Halète-t-il.
Je chausse les escarpins rouges pendant que Laurent me présente une paire de hauts talons à semelles noires vernies et la tige est complètement transparente. Il les chausse. Adorable! Il tourne devant moi, son sexe entre deux doigts… Je ne peux m’empêcher de m’agenouiller et le de le prendre entre mes lèvres, son sexe est humide et a un goût sucré, à lui de gémir maintenant. Je branle doucement sa tige et lui caresse les bourses tout en le suçant.
Je sens sa sève monter, il me prévient, mais je veux qu’il jouisse dans ma bouche. Il éclate en deux longues rasades tièdes et sucrées. Je me branle comme un fou.
Il me dit d’arrêter et s’agenouille pour me rendre la pareille. J’éclate entre ses lèvres.
– J’aurais aimé que tu m’encules dit il.
– Tu as le temps ce soir?
– Hélas non, j’ai des engagements pour ce soir.
Je choisis finalement la paire de vernis noirs avec juste une lanière au talon. Laurent m’offre sa paire de ballerines en ’souvenir’ .
Nous nous quittons en se promettant de remettre ça.
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