Histoires de sexe de voisins Histoires porno

Le chasseur d’escargots…

Le chasseur d’escargots…



J’ai toujours aimé me promener nu dans la nature. Depuis tout jeune. J’ai découvert ce plaisir en allant courir en forêt. Il faisait beau et l’envie est survenue dans crier gare : j’avais un besoin impérieux de me déshabiller. Ce que j’ai aussitôt fait et je ne l’ai pas regretté. L’émotion qu’on ressent, cette poussée d’adrénaline à communier ainsi avec l’herbe, les fleurs, les arbres et les animaux de la forêt est intense. Celle aussi d’être nu, la bite à l’air, dans un endroit où, normalement, si l’on en croit la morale, on ne devrait pas l’être. Le plaisir de l’exhibition. La peur toute relative d’être surpris (et je l’ai été souvent).
Adulte, marié et père de famille, j’ai continué à suivre ce goût pour le naturisme suvage et non encadré, mais aussi, de plus en plus, l’exhibition. Lorsque je suis arrivé en Seine-et-Marne, je me suis installé avec ma famille dans une petite ville résidentielle dans l’Ouest du département. Notre maison était toute proche d’une forêt domaniale où j’allais souvent courir. C’était fabuleux : après quelques kilomètres, je me déshabillais. C’était rapide car je mettais seulement un T-shirt et un short d’athlétisme, sans dessous. J’étais à poil en deux secondes. Lorsque j’allais courir le matin de très bonne heure avant de partir travailler à Paris, j’étais parfois nu dès l’entrée du bois. Le pied ! J’allais ainsi jusqu’au bout du chemin qui menait au bord de la nationale 4 où j’allais montrer ma bite quelques minutes aux voitures – et camions – de passage. Les routiers semblaient particulièrement apprécier le spectacle d’un mec à poil dans la lumière de leurs phares ! Ils klaxonnaient à tout rompre !
Je disais plus haut que j’ai quelquefois été surpris par des joggeurs, des promeneurs, des vététistes. Je cherchais à les éviter mais c’était parfois impossible. Le plus souvent, tout se passait bien : un sourire, un bonjour, des regards intéressés et précis sur ma queue en érection mais c’était tout. A deux ou trois reprises, cela est allé un peu plus loin mais toujours relativement soft et surtout sans culpabilisation de ma part : j’ai toujours pensé que voir une bite en érection – même un très beau morceau comme la mienne – était moins dangereux pour la santé mentale qu’un char d’assaut le 14 juillet sur les Champs-Elysées. Ce n’est pas vrai ?
C’est ainsi que m’est arrivé une histoire très sympathique avec un grand-père, chasseur d’escargots un jour de pluie d’été. Je vous jure que c’est vrai.
Vers midi, la pluie s’était calmée et je m’étais décidé à « aller courir », si vous voyais ce que je veux dire. Mon short, dont l’échancrure sur le côté pouvait laisser passage à ma bite quand je bandais, mon tee-shirt, et en route ! J’étais assez « chaud », avec des idées lubriques plein la tête. Une vraie poussée de testostérone. Normal à 30 ans passés. L’air était lourd malgré la pluie d’orage et des vapeurs s’élevaient déjà dans les allées. A peine en forêt, la pluie a recommencé à tomber, suffisamment doucement pour ne pas me forcer à rebrousser chemin mais au bout de trois minutes, mon T-shirt était trempé. Mon short aussi, bien sûr. Mon intention était d’aller, comme à mon habitude, m’exhiber sur les bords de la nationale 4. Au bout de deux ou trois cents mètres, presque en arrivant sur la route, je vois un vieux monsieur – que je connaissais de vu pour l’avoir déjà croisé les jours de pluie en forêt – tout occupé à chercher des escargots. Me voyant arriver à sa hauteur, il m’apostrophe :
– « i’ vaudrait mieux courir à poil, de c’temps ! ». Sur le coup, je n’ai pas bien réalisé mais, intrigué, je m’arrête :
– Pardon ?
– (hésitation) Vous seriez mieux sans rien !
– Euh… vous voulez dire… nu ?
– Mhoui…
Il regardait mon short, se dandinant d’un pied sur l’autre… J’étais tombé sur un vieux pervers, c’était évident. Pour ma part, je sentais le désir de montrer ma bite monter en moi d’une façon fulgurante et je m’entends dire, le souffle un peu coupé par l’émotion :
– Je le fais souvent, vous savez. Je cours à poil et je vais même me montrer là-bas, au bord de la route !
– Ah bon ?
– Vous voulez voir… ma bite, c’est ça ?
– Ouuui, mais pas ici !
– Non, bien sûr. Mais voilà déjà un aperçu…
Et je baisse la ceinture de mon short laissant surgir ma queue, dressée et fière ! Le vieux en avala sa salive. Il ne pouvait plus détacher ses yeux de mon engin, une bite de 19 cm avec un gros gland que tous ceux qui l’ont vue, branlée ou sucée ont toujours trouvée belle, sympathique ou magnifique. Sans mot dire, il avança la main, se saisit de ma queue et commença un mouvement de va-et-vient. J’étais aux anges : c’était la première fois qu’un homme me branlait !
J’eus une idée :
– Venez avec moi, je vais vous montrer comment je m’exhibe !
Et je l’emmenai vers la route toute proche. Arrivé à destination, je me déshabillai totalement sous ses yeux ébahis, me branlais deux ou trois secondes et allai sur le bord de la nationale 4. Il y avait peu de passage mais je me fis klaxonner tout de même par un camion.
Quand je revins vers le vieux qui s’était mis un peu à l’écart, il avait sorti sa pine, un engin court et épais, et la caressait doucement. Ce devait être une situation tout à fait nouvelle pour lui car il était nerveux, empressé, haletant. Et, en effet, il m’apprit plus tard qu’il était veuf et que côté sexe…
– Branle-toi, me dit-il.
Je ne fis pas prier. Je m’astiquais vigoureusement. La pluie n’avait pas cessé de tomber mais cela ne nous gênait pas. « Etre nu sous la pluie est un véritable délice » comme me le confessa un jour ma femme avec qui j’avais tenté l’expérience dans notre jardin. Mais je vous raconterai ça une autre fois.
Le vieux se branlait aussi doucement. Parfois, il venait me prêter main forte, notamment en me caressant le gland avec ses cinq doigts, ce qui est absolument délicieux ! C’est ce qui me fit éjaculer dans sa main.
Alors je suis devenu fou. Moi qui n’avais jamais touché un mec, le sperme coulant encore de ma queue, je me suis penché et j’ai sucé goulument la sienne. Elle sentait fort et elle grossissait à vue d’œil dans ma bouche. Quelques secondes suffirent. Je sentis que sa pine était secouée par des spasmes entre mes lèvres. Je me dégageai juste à temps pour le voir projeter au loin un jet de sperme diabolique suivi de plusieurs autres qui allèrent se fondre sur les feuilles mortes avec la pluie.
Dès qu’il eut un peu récupéré, il me dit en me caressant la bite de nouveau :
– Tu suces bien !
– Merci mais ta bite vaut le coup !
Puis, une idée totalement folle me venant soudain à l’esprit :
– Tu as des amis, seuls aussi, que tu vois de temps en temps ?
– Oui, j’ai deux copains, retraités aussi, des chemins de fer, comme moi. Pourquoi ?
– Ca te dirait qu’on fasse ça avec eux, un jour ? Ca les intéresserait ?
– J’sais pas mais j’crois que oui. C’étaient des vrais queutards quand ils étaient jeunes et j’crois que ça leur déplairait pas une petite réunion comme ça. Mais comment on va s’revoir si ils disent oui ?
– Bof, on se croisera bien un jour ou l’autre et tu me diras. Tu as aimé ?
– Oui, garçon. Tu es bien fait de ta personne (j’étais très sportif à l‘époque), tu as une jolie quéquette et cela faisait bien longtemps qu’une autre main que la mienne n’avait pas touché la mienne !
– Pas que la main !
– C’est vrai. Tu suces bien aussi. J’ai bien aimé !
– Moi aussi. Bon, grand-père, je continue ma ballade.
– A poil ?
– Oui. Je vais aller sur la butte là-bas et faire des exercices pour me calmer car ça m’a pas mal excité tout ça !
Alors qu’il rentrait sa pine dans son pantalon, moi, je repartais en courant, nu comme un ver, dans les colonnes de vapeur d’eau qui s’élevaient de la terre humide, vers cette butte où je connus aussi une autre aventure quelques semaines plus tard. Ce sera pour une autre fois si ça vous dit…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire