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[VU SUR LE NET] Kary-08

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Samedi 9 avril

Je suis arrivée chez moi et la première chose que j’ai faites a été de me mettre entièrement nue pour regarder mon corps dans le miroir de la chambre, bien sûr après avoir envoyé le texto à Madame. J’ai tourné la tête et j’ai vu mes fesses, rougies et parsemées de quelques ecchymoses. J’ai senti immédiatement la cyprine couler sur ma jambe, je mouillais comme une possédée. Je sentais encore la chaleur se dégager de mes fesses. C’était merveilleux, une personne avait pris le contrôle de mon corps et en avait disposé à sa convenance. javais un sentiment d’euphorie à l’intérieur de moi. J’avais ma dose de souffrance qui me faisait du bien et je perdais peu à peu mon autonomie, ce qui procurait à mon esprit une dose d’adrénaline et d’exaltation. je ne pouvais m’empêcher de caresser mes fesses et de regarder les belles couleurs qu’elles avaient. J’étais quand même un peu triste de savoir que j’avais la fin de semaine de cogné et que Madame ne pouvait me garder près d’elle.

Avec cette matinée, j’en avais appris beaucoup au sujet de ma Maîtresse, mais elle restait une énigme. il y avait tant de question qui hantaient mon esprit. Comment ce goût pour la domination s’était développé au fils des ans? Qu’est-ce qu’elle recherchait chez sa soumise? Avait-elle un mari? Un copain? Peut-être des enfants? Quoique, vu son jeune âge, cela me semblait peu probable. Bien des questions restaient sans réponses. J »espérais seulement qu’elle me recontacterait rapidement et que nous ferions un bon bout de chemin ensemble.

La fin de cette journée du samedi 9 avril a été bien ordinaire à part toute cette tempête de questions qui virevoltaient dans ma tête. A présent, Madame faisait littéralement partie de moi, elle occupait toutes mes pensées. La nuit précédente qui avait été agitée et cette journée m’avait épuisé. Après avoir fait ma toilette, j’ai rédigé mon journal pour Madame.

« Cher journal,

Aujourd’hui a été une journée merveilleuse. Madame m’a permis d’aller chez elle. Grâce à sa générosité, je la connais désormais un peu plus. Cela me fait tout drôle d’appartenir à une femme de près de 4 ans ma cadette. Juste à penser à mes parents, cela provoque des chaleur en moi. Mais j’ai confiance en Madame pour préserver la vie vanille.

Aujourd’hui, Madame a commencé mon éducation. J’ai eu droit à une fessée pour avoir hésité à obéir à un ordre et à plusieurs coups de palette de bois pour avoir écrit mon journal trop tôt dans la journée. Cette correction a été très difficile, j’ai versé beaucoup de larmes, mais je la méritais. Désormais, je dois lui obéir sans hésiter, je dois lui faire confiance aveuglément et faire tous ce que je peux pour lui faire plaisir et la satisfaire. C’est mon rôle en tant que soumise, et ma place est à ses pieds attendant un ordre que j’exécuterai avec rapidité et en utilisant toute mon énergie à son service.

Oui, cher journal, je suis heureuse d’être la soumise de Madame. j’ai tellement hâte de la revoir … »

Puis 20h30, je me suis mise au lit, fatiguée, mais ayant quand même beaucoup de difficulté à trouver le sommeil. Le lendemain, tout allait bien, je n’avais rien de prévu.
Driiing…

-Oui? Hello

-Allo chérie, comment vas-tu?

-Euh!…, très bien…, et toi maman?

-Ça va, que dirais-tu de venir souper avec nous ce soir?

-Euhh!…, ben…, d’accord, je vais y aller…

-Tu as l’air occupé…, Ça va?

-Oui, oui maman, je vais chez toi cette après-midi.

-A tantôt chérie…

Ouf! Je n’avais rien de prévu, mais si Madame me contacte aujourd’hui… Vite, un texto…

« Madame, je vais souper chez mes parents ce soir. »

J’ai pris une douche, je suis retournée à ma chambre pour m’habiller. Soudain, je perçus que mon téléphone indiquait une réception de texto. Merde, je venais probablement de manquer une rencontre avec Madame. Vite, j’ouvre le texto.

« Vas-y sans culotte à ton souper, salope. »

J’ai donc remise ma culotte dans le tiroir et j’ai enfilé une jupe avec un porte-jarretelle, des souliers à talon et un petit chemisier assortie. Madame me contrôlait même à distance, humm. Je suis donc partie chez mes parents pour souper. Tout s’est bien déroulé, mais j’étais dans la lune, Madame hantait mes pensée, ce fût très difficile de soutenir la conversation avec mes parents ce soir-à. J’ai prétexté à plusieurs reprise la fatigue du à mon travail et des nuits de sommeil agitées. Cela était tout à fait plausible, car tout le monde sait que dans le domaine santé, les heures de travail et les exigences sont hors normes. Le soir venu, de retour chez moi, j’ai écrit de nouveau mon journal relatant ma soirée chez mes parents et les sentiments qui mon habités tout au long de la journée.

La semaine suivante, aucune nouvelle de Madame. J’ai toujours pris soin d’envoyer des texto pour qu’elle puisse suivre ma vie en direct et bien entendu, j’ai écrit mon journal intime quotidien. Pendant cette semaine, j’ai travaillé de jour. J’avais juste le soir pour ronger mon frein. Mais, épicerie, vaisselle et repas oblige, il ne me restait pas beaucoup de temps libre et c’était tant mieux.

Puis, il y a eu une fin de semaine complète sans nouvelle de Madame. Le lundi suivant, je faisait un horaire de 16h00 à minuit du lundi au mercredi. Encore une fois, aucune nouvelle de Madame. J’angoissais terriblement, si elle m’avait abandonné?

Je me souviens très bien de cette période. Je revenais chez moi après ma soirée de travail, me disant que j’allais encore passé deux journée de congé seul, sans elle. Je devais me rendre à l’évidence, elle me manquait terriblement. Je souffrais, je me demandais si j’étais capable de supporter encore longtemps cette absence. Demain, je lui enverrais un texto pour lui demander de ses nouvelles. Je commençais à désespérer, même mes fesses et mes seins commençaient à être rétabli, j’avais de moins en moins de choses qui me rappelaient Madame.

J’ai ouvert ma porte de garage et j’ai immédiatement aperçu la voiture de Madame. Mon corps s’est glacé. Je me suis dirigée vers la porte qui mène à mes appartements et il y avait un mot de collé près de la poignée.

« Fou toi à poil et monde faire ta toilette. Ensuite, tu iras te coucher sur la paillasse au salon et interdiction de le lever sauf si tu as une urgence, genre pipi. Tu attends jusque demain que je te donne la permission de te lever. »

Ha!, comme j’étais heureuse, enfin Madame reprenait contacte avec moi. Je me suis dépêchée d’enlever mes vêtements et je suis montée à l’étage complètement nue et heureuse. Sans bruit, je me suis dirigée vers la salle de bain. J’ai discrètement jeté un coup d’oeil au salon pour y découvrir un lit de fortune par terre. Madame avait installé un petit matelas d’exercice, une couverture et un oreiller. Je m’y suis allongée et j’ai essayé de fermer l’oeil pour être en forme le lendemain pour servir Madame…

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