CHAPITRE 7 (THOMAS) : LE PROJET DE SARAH
Ah oui, je jouis !!!
J’éjacule une nouvelle fois dans la bouche de marraine. Cette dernière n’en perd pas une goutte. Une fois l’affaire terminée, elle se recouche à mes côtés et nous nous enlaçons.
Cela fait deux mois maintenant que les nouvelles recrues sont désormais des nymphes officielles du club. Une soirée a été organisée peu après pour fêter cela. Deux autres ont été organisées plus tard. Les trois se sont aussi terminées en orgie. C’était vraiment le pied !
— Fillot ! J’ai un service à te demander.
— J’écoute, lui réponds-je, intrigué.
— Je suis en train d’organiser une nouvelle soirée initiation car deux filles de ta promo ont manifesté leur envie de rejoindre le club. Le problème, c’est que deux filles, ce n’est pas suffisant pour une soirée initiation. Il m’en faudrait une troisième. J’aimerais donc que tu ailles parler à ton amie Louise et que tu la convainques de rejoindre le club
— Quoi ? Louise ? fais-je, surpris. Alors là, il y a vraiment peu de chance qu’elle accepte. Ce n’est pas son genre.
— Crois-moi, fillot, si je te demande cela c’est qu’il y a des chances qu’elle accepte.
— Et pourquoi Louise, d’abord ? Je suis sûr qu’il y a d’autres filles qui seraient plus aptes à rejoindre le club.
— Non, il faut que ce soit Louise. Nos favoris de troisième année ont manifestés leur désir de voir Louise rejoindre le club. Ils sont plusieurs à l’avoir draguée sans succès.
— Tiens, il me semblait que le club n’obéissait pas aux mecs et faisait ce qu’il voulait.
— Et c’est le cas, fillot. Les troisième année m’ont juste soumis une requête ; rien ne m’oblige à accepter. J’ai examiné cette requête puis j’ai décidé de l’accepter et de faire ce qui était en mon pouvoir pour intégrer Louise.
— Dans ce cas, moi aussi je te fais une requête : laisse Louise en-dehors de tout ça.
— Ça suffit, fait-elle, légèrement énervée. J’ai déjà pris ma décision. Louise doit nous rejoindre et tu vas nous aider à la faire venir.
— Et pourquoi moi, d’abord ? Tu ne peux pas dire à Aliénor de faire ça ?
— Aliénor s’en est déjà occupée. J’ai tenté moi aussi ma chance ; sans résultat, mais nous avons eu une longue discussion. Je suis sûr que toi, tu réussiras à la convaincre. Reste à savoir si tu vas le faire.
— Bon, d’accord ; je peux toujours essayer mais je ne promets rien.
Louise ? Pourquoi Louise ? Parce que cinq types de troisième année ont fait une « requête » ? C’est louche, quand même. Mais bon, je ne peux pas me permettre de ne pas rendre ce service à marraine, après tout ce qu’elle a fait pour moi. Mais comment demander à une de ses meilleures amies d’aller se faire baiser par un tas de gars ?
— Merci, fillot. Il faut que tu fasses ça demain : l’initiation est pour ce vendredi.
J’entame donc la journée suivante avec une boule au ventre. Louise s’étonne de mon silence et cherche à tout prix à savoir ce que j’ai. Je cherche toute la matinée comment aborder le sujet, mais rien ne me vient en tête. Finalement, je décide de me jeter à l’eau lors de la pause de midi. Nous nous sommes isolés des autres pour discuter tranquillement. Le moment ne pourrait pas être mieux choisi.
— Euh… Dis-moi, Louise, balbutié-je. Il paraît que t’es maintenant au courant pour le club…
— Oui, il paraît bien. Je me demandais quand tu allais te décider à m’en parler. Ça doit faire plus de deux mois que t’es au courant de cette histoire, c’est ça ?
— Euh, oui, c’est ça…
— Bon. Alors, qu’est-ce tu as à me dire ? demande-t-elle devant ma réticence à continuer sur cette voie.
— Eh ben, dis-je d’une voix hésitante, je me disais que peut-être ça te dirait de le rejoindre.
— Tu veux que je le rejoigne ? fait-elle, pas du tout choquée mais intriguée.
— Euh, non, pas moi ! me défends-je. Mais je me disais que peut-être que toi tu en avais envie, et que si c’était le cas il ne faudrait pas hésiter.
— Écoute, Thomas, je n’sais pas trop.
— Tu fais comme tu veux ! Il ne faut pas te sentir obligée.
L’arrivée de David et Sylvain met fin à cette conversation qui me mettait vraiment mal à l’aise. Ce n’est pas plus mal. Au moins, je pourrai dire à marraine que j’ai essayé. Nous partons donc sur d’autres sujets de conversation, puis rejoignons notre prochain cours à la fin de la pause. L’après-midi se passe tranquillement ; je n’aborde plus le sujet, mais je remarque que Louise a l’air soucieux. J’espère qu’elle ne me prend pas pour un pervers.
En fin de journée, nous nous séparons et je pars chez marraine.
J’ai la surprise de la trouver très joviale. Après m’avoir fait entrer, elle m’embrasse passionnément.
— Merci, fillot ; t’es le meilleur ! me fait-elle.
— Ah bon ? Pourquoi ?
— Pour avoir convaincu Louise de rejoindre le club.
— Quoi ? Elle a accepté ? m’exclamé-je, dubitatif.
— Bien évidemment ; tu as su la convaincre. Elle m’a envoyé un SMS en début d’après-midi pour dire qu’elle était d’accord.
Bah ça, pour une nouvelle, c’en est une ! Pourtant je n’ai pas fait grand-chose pour la convaincre. Comment se fait-il qu’elle ait finalement accepté, et ce quelques minutes seulement après notre discussion ? J’ai du mal à m’imaginer Louise en nymphe.
Mais marraine m’empêche de poursuivre mes interrogations. Elle me pousse sur son canapé et commence à défaire son chemisier avec un sourire coquin. Je sens que je vais avoir le droit à une petite récompense…
***
Seconde soirée initiation de l’année. Nous sommes encore une fois installés dans le cocotier, exactement comme la dernière fois. Sauf qu’il y a moins de mecs : en me comptant, il y en a seize en tout. Étrange… Il est prévu cinq garçons par recrue, mais comme il n’y a que trois recrues ce coup-ci, cela veut dire qu’il y a un mec en trop.
Marraine fait son apparition et recommence le même discours que la dernière fois à propos de Samantha Angevin, la fondatrice.
Arrive le moment d’accueillir les nouvelles recrues, exactement dans la même tenue que leurs prédécesseurs : c’est-à-dire complètement nues et chaussées de talons aiguille. La première est Anita Calais, une petite rousse très mignonne. La seconde est Sandrine Gimenez, une brune au teint hâlé originaire d’Espagne. Enfin vient le tour de Louise de faire son apparition. À son arrivée, les favoris de troisième année redoublent d’efforts pour lui faire bon accueil ; Aliénor participe aussi avec enthousiasme au raffut. Pour ma part, je ne me sens pas vraiment d’humeur. C’est étrange de voir Louise nue devant toutes ses personnes. Malgré moi, mes yeux s’attardent sur ses attributs de femme. Elle n’est pas mal du tout, en fait !
Marraine leur indique ensuite de faire le service et leur fournit à chacune un chariot, exactement comme la dernière fois. L’heure vient à la distribution des objets. Camille me tend ce coup-ci un boomerang. Je tends une main dubitative et le récupère.
— Ouais… C’est moi qui ai eu le gant ! s’exclame Aliénor, encore une fois assise à ma droite.
Sur ma gauche est installée Miss Punk, qui a obtenu un crayon à papier. Elle semble tout excitée de revivre une initiation, mais de l’autre côté. Marie, à sa gauche, a obtenu un nouveau plumeau pour chats.
La première à venir nous servir est Anita. Marie et Miss Punk lui demandent si elle n’est pas trop nerveuse. C’est vrai qu’elles sont toutes les trois amies. Pas besoin de se demander qui l’a convaincue de rejoindre le club… Marie lui chatouille les seins avec le plumeau, ce qui lui fait pointer les tétons. Peu de temps après, c’est Aliénor qui lui tâte les seins grâce à sa main recouverte du gant. Ils ont l’air bien ferme ; hum, ça donne envie ! La voir si proche et si disponible commence à m’exciter.
Je tends le boomerang et lui frotte la vulve. Par cette opération, un peu de cyprine est récoltée. J’apporte le boomerang à portée de bouche et goûte son nectar. Anita rougit de me voir faire.
Nous la libérons finalement et dégustons les verres qu’elle nous a servis.
Depuis les deux derniers mois, on s’entend plutôt bien avec Marie et Miss Punk, si bien qu’on discute assez souvent. D’ailleurs, les autres aussi se sont mis à surnommer Anzhelina « Miss Punk ».
La discussion démarre donc tout naturellement et Marie raconte comment Miss Punk et elle ont appris à Anita l’existence du club des nymphes et comment elles l’ont convaincue de le rejoindre.
Je repère du coin de l’œil Louise pour voir comment elle s’en sort. Visiblement, elle est en train de servir Élodie et ses favoris. Cette dernière prend un malin plaisir à claquer le martinet qu’elle a obtenu sur les fesses de Louise. Si au début elle se contente d’y aller doucement, la force de ses coups augmente progressivement et finit par faire grimacer Louise. Heureusement, Sarah passe derrière et fait comprendre à ma sœur d’y aller doucement.
Miss Punk semble être surexcitée. Elle se dit impatiente d’atteindre la dernière partie de la soirée. Du coup, on s’embrasse et je lui tâte ses jolis seins. La vie est si simple avec les nymphes ! Aliénor est aussi en train d’embrasser un mec à sa droite. Marie, en bout de canapé, se plaint qu’elle n’a personne pour s’occuper d’elle. Elle finit par s’asseoir sur les genoux de Miss Punk et me roule à présent des pelles. Anzhelina passe une main sous sa jupe, et visiblement commence à la masturber.
— Tiens, on n’a encore jamais baisé toi et moi, me fait Marie.
— Effectivement.
— On se ratt**** tout à l’heure ?
— Avec plaisir.
Arrive Sandrine qui vient nous remplir nos verres. Miss Punk s’amuse à lui enfoncer le crayon dans le sexe tandis que Marie passe encore le plumeau sur sa poitrine. C’est au moment où Miss Punk et Marie commencent à jouer l’une avec l’autre que Louise se ramène pour nous servir à boire.
— Alors, comment tu te sens pour le moment ? lui demande Aliénor.
— Ça peut aller, marraine, lui répond-elle.
— Et ma sœur ne t’a pas trop fait mal tout à l’heure ? l’interrogé-je.
— Si, un peu mais ça va, me répond-elle sans oser me regarder.
Tandis qu’elle est en train de me préparer un cocktail, la main gantée de sa marraine se pose sur sa chatte. Elle finit par lui enfoncer un doigt et lui fouiller le sexe. Moi, je n’ose rien faire et me contente d’observer la scène. C’est étrange de voir Aliénor masturber ainsi sa fillote. Ça fait un drôle d’effet. Louise fait tout son possible pour taire ses gémissements, mais des filets de cyprine s’écoulent de sa chatte et viennent ainsi trahir son excitation.
Plusieurs minutes plus tard, marraine annonce qu’il est temps de passer à la première épreuve. Elle appelle Camille, Élodie et Aliénor afin qu’elles accompagnent les nouvelles recrues dans leur salle.
— J’ai décidé d’instaurer une nouvelle règle ce soir, poursuit marraine. Interdiction de commencer l’orgie avant que tout le monde ne soit revenu.
Elle appelle ensuite les trois premiers gars. Ma sœur, Camille et Aliénor une fois réapparues les guident jusqu’aux filles.
Sarah m’appelle alors à mon tour et me demande de la suivre. Je la suis sans savoir à quoi m’attendre ce coup-ci. Elle m’amène jusqu’à une salle de classe où nous rentrons tous deux. Il n’y a personne. Il se trouve juste un ordinateur portable posé sur une table devant deux chaises.
— Vas-y, assieds-toi, me fait marraine.
J’obéis. Elle s’installe à côté et ouvre une fenêtre sur l’ordinateur. Apparaît une image vidéo où l’on voit une jeune fille à genoux, les yeux bandés et les mains attachées dans le dos par une paire de menottes.
— Mais c’est Louise ! m’exclamé-je.
— Chut, pas trop de bruit, me dit-elle. Elle est juste à côté. Nous avons installé une webcam dans la pièce et nous l’avons reliée à cet ordinateur. Ainsi, nous pouvons suivre la scène sans en déranger les protagonistes.
— Et pourquoi elle est attachée ? demandé-je. Ce n’est pas dans le règlement !
— Oui je sais, mais je fais une exception pour elle. C’est un cadeau aux troisième année.
Justement, on voit à l’écran Christopher Larbat, le parrain d’Aliénor sortir son sexe et le frotter sur les lèvres de Louise. Une langue timide fait son apparition et lèche doucement le gland du type. Un peu plus tard, Louise ouvre grand la bouche et l’autre y engouffre sa bite d’un coup. Il positionne ensuite ses mains derrière la tête de Louise et commence à lui baiser littéralement la bouche.
— Eh, mais ça aussi c’est interdit ! protesté-je. Il est sensé la laisser se débrouiller toute seule.
— Cadeau aux troisième année, se contente de dire Sarah en me passant une main sur l’entrejambe.
Les assauts du type sont assez violents, et en plus il a l’air pas mal membré. Louise semble ne pas aimer beaucoup la situation. Elle essaie de reculer la tête pour se défaire mais son grand-parrain la maintient et continue de lui baiser la bouche. Il se retire finalement. Louise tousse et crache pas mal de salive qui atterrit sur sa poitrine. Bien malgré moi, le spectacle m’excite. Voir Louise ainsi soumise est bandant. Marraine sent ma bite se tendre sous sa main. Elle la libère et commence à me sucer.
— Qu’est-ce que tu fais ? dis-je, surpris.
— Chut ! Contente-toi de regarder ton amie se faire prendre la bouche, dit-elle juste avant un coup de langue sur mon gland.
Dans la pièce d’à côté, Christopher réinvestit de nouveau la bouche de Louise pour la lui baiser. Il ne se montre pas plus doux qu’auparavant. À chaque va-et-vient, un filet de bave est expulsé de la bouche de Louise et vient s’écraser sur sa poitrine. En peu de temps elle semble trempée. Je suis fasciné par ce spectacle.
Pendant ce temps-là, Sarah continue de me pomper la bite et use de tout son talent pour me rendre l’expérience la plus agréable possible.
Christopher profite bien de la situation ; il pelote les seins de Louise et lui enfonce bien profondément la bite dans la gorge.
Finalement, après plusieurs minutes à lui malmener la bouche, je le vois retirer sa bite, se branler énergiquement et éjaculer des jets puissants sur le visage et la poitrine de Louise. Cadeau aux troisième année, je suppose ! Je ne prends pas la peine de poser la question à marraine ; de toute façon, elle a la bouche pleine et je ne voudrais pas l’interrompre.
Après s’être rhabillé, Christopher disparaît de la pièce en laissant Louise couverte de sperme. Je la regarde attendre patiemment le prochain type qui ne devrait pas tarder à arriver.
Je suis moi-même pas très loin de jouir. L’excitant spectacle et la bouche de Sarah me procurent un plaisir certain. En fait, je prends un pied d’enfer ! Je n’aurais jamais cru ressentir autant de plaisir à voir mon amie se faire baiser la bouche comme cela. Pendant un instant, j’ai même souhaité être à la place du grand-parrain afin de lui baiser moi-même la bouche.
C’est la dernière ligne droite ; marraine me pompe passionnément la bite et provoque mon orgasme. Je me libère une nouvelle fois dans sa succulente bouche.
C’est le moment que choisit le prochain type pour entrer dans la pièce. Lui aussi est un troisième année. Oh ! Je viens seulement de comprendre que marraine a réservé les cinq favoris de troisième année pour Louise. Elle va donc subir la même chose cinq fois.
Ajouter un commentaire