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Luce a ZombieLand – 3

Luce a ZombieLand – 3



Les zombies

Malgré la délicieuse petite frayeur que provoquaient les zombies qui me poursuivaient, sans aucun doute des comédiens déguisés et toujours invisibles dans la brume qui nous entouraient, je stoppai devant cette chose incroyable qui s’élevait devant moi tellement le spectacle était époustouflant. Même, à peine croyable. J’avais sous les yeux un vieux gratte-ciel tout décrépit, enfin une imitation de gratte-ciel comme on en fait dans les studios de cinéma, dans le pur style baroque des années 1900, tout en faux granit et qui jaillissait du marais dans le quelle je pataugeais depuis un long moment avec mes deux sirènes. Les vagues qu’on avait provoquées en s’approchant clapotaient doucement contre ses fondations fissurer et recouvertes de lichen. Il n’y avait que quelques étages de visibles, le reste se perdait dans la brume tout comme ses flancs. Il était dans un triste état le pauvre, comme s’il avait survécus a la fin du monde : Fenêtres éclater, façade effriter, des racines sortaient de craques dans la pierre, même de petits arbres et il était recouvert de lierre et de mousse espagnole accrocher a des lianes qui s’étirait au loin vers ce qui m’apparaissait une forêt tropicale. Mais avec cette brume, mes yeux me jouaient peut-être des tours. Je souris de plaisir car les films et les images de fin du monde me fascinaient depuis toujours, y compris les bouquins de science-fiction. Présentement, je ressentais la même chose que la première fois que mes parents m’avaient amenée dans un parc d’attractions, surtout dans la maison des horreurs. Mon copain savait très bien à quel point tout ça me ferait flipper. Fallait que je songe sérieusement a le remercier et en nature.

Impossible de dire quelle largeur pouvait bien avoir ce bâtiment à cause du brouillard, mais il semblait sur le point de s’écrouler. Un autre décor en trompe-l’oeil mais vraiment impressionnant, surtout ici dans le sous-sol immense de cette étrange maison hantée, parc thématique ou bordel de l’horreur. Je ne savais plus trop avec ce qui venait de se produire entre mes deux jeunes accompagnatrices et moi.

J’aperçus des lumières jaunes et vacillantes qui brillaient dernière des fenêtres comme si des gens là-haut c’était regroupé autour d’un bon feu pour ce réchauffé. C’était sans doute pour rajouter a l’ambiance. Il y avait même un lampadaire pencher et vétuste à souhait entre moi et l’immeuble qui nous éclairait faiblement. 1 et 2 se trouvaient déjà devant la porte d’entrée qu’elles avaient grande ouverte malgré l’eau qui leur arrivait toujours jusqu’au sein. Elles me faisaient des signes pour que je les rejoigne au plus vite, mais je prenais mon temps pour admirer ce décor fabuleux. En baissant les yeux je vis que la porte donnait sur un couloir sombre et inondé, faiblement éclairer de l’intérieur d’une lueur rougeâtre qui semblait vouloir s’éteindre à tout moment. Encore de l’eau. Merde !

Elles me criaient après pour que je me dépêche mais je n’avais plus de souffle. Je soupirer longuement en regardant la peau de mes doigts qui c’était déjà toute plisser à force de patauger dans l’eau fétide de ce foutu faux marécage et on allait continuer a marcher là-dedans même dans l’immeuble. Wow !

— Vite Luce, ils te ratt****nt. Cria 2 en pointant du doigt derrière moi.

« Ben oui, » me dis-je en me retournant « Les zombies, je les oubliais ceux-là et me ratt****r, pourquoi pas ? Ils vont me faire quoi ? Me manger, la ou je pense, me caresser en grognant ! Hummmm… »

Je jeter un coup d’oeil et sursauter malgré moi car une bonne dizaine de zombies femelles arrivaient sortants lentement de la brume, bras lever, gesticulant et grognant en fendant l’eau d’un pas lent, traînant et instable, tout comme au cinéma. J’hallucinais pour de bon cette fois, les yeux tout ronds et le sourire aux lèvres. La vague qu’elle soulevait faisait déjà ballotter mes gros seins. Elles étaient si près que j’apercevais clairement tous les détails de leurs maquillages vraiment réussis; visage mutilé, sanguinolent à souhait, dents jaunâtres, vêtement en lambeau tacher de sang rouge ou d’éclaboussures noires virant au brun et pour la plupart, elles avaient les seins à l’air, évidemment. Sauf quelques-unes qui avaient encore leurs soutiens-gorge mais en partie déchirer. Même si je savais que ce n’était que des comédiennes, je ne pus m’empêcher de ressentir une peur instinctive qui me criait de fuir à mesure qu’elles se rapprochaient en gesticulant. De délicieux frissons me parcoururent le corps en ne pouvant m’empêcher de les reluquer. J’avais vraiment l’impression de me retrouver dans un film de Romero. Leurs seins tout blancs aux pointes tendues, gros ou petits, effleuraient la surface du marais en se balançant mollement et ils étaient recouverts d’une grosse chair de poule. Un drôle de spectacle toutes ses belles poitrines et ses visages mutiler, ses bouches cerclées de sang presque noir. Cet endroit était tout bonnement hallucinant. Et tout ça jute pour moi. Pas possible ! Jamais je ne pourrais oublier le jour de mes 50 ans. Encore quelques heures et je serais a moitié centenaire. Une pilule dure a avalé.

— Luce, vite elles vont…
— Elles vont quoi 1 ? Me dévorer toute crue ou me faire des cochonneries comme vous deux ?

Je riais comme une folle tellement je m’amusais, résistant toujours à l’envie de fuir.

— Non, si elle t’att**** le jeu est fini ma belle. Cria 1. Tu te retrouves au cachot jusqu’a minuit, jusqu’a ce que l’on sorte le champagne pour te souhaiter bonne fête. Mais c’est toi la cliente, c’est toi qui vois, fait comme tu veux.

Mon sourire s’évanouit tandis que ces paroles me revenaient en écho. Merde ! Je ne voulais surtout pas que cela finisse, pas maintenant, pas si vite. Je commençais juste à m’amuser. Oh que non ! Pas après l’orgasme que je venais d’avoir avec mes jeunes guides. Un peut paniquer cette fois je tourner les talons et me remit en route fendant l’eau le plus vite que je pouvais tandis que les grognements devenaient de plus en plus forts derrière moi. J’avais même déjà l’impression que leurs faux ongles griffus et noircis allaient me racler le dos à tout moment ou pire des dents. Ça me donna des ailes, mais marcher et garder l’équilibre avec de l’eau jusqu’au sein ce n’est pas évident.

Je dus même contourner une voiture immerger, écarter quelques corps flottants ça et la mais je fini par les rejoindre, a bout de souffle. On s’enfonça à toute vitesse dans les entrailles du bâtiment tandis que 2 réussissait à refermer la porte derrière nous malgré toute cette eau. Je n’eus même pas le temps de reprendre mon souffle qu’elles repartaient déjà. Je n’avais pas d’autre choix que de les suivent et c’était flippant dans ce couloir inondé. Les murs étaient recouverts de peintures écailler de couleur bourgogne, tacher de sang qui paraissait noir et couvert de graffitis obscènes ce qui rajoutait une atmosphère érotique délicieuse. En plus, les lumières clignotaient et menaçaient de s’éteindre à tout moment. J’avais l’étrange impression d’être soudainement dans la 4e dimension ou plutôt dans Silent Hill surtout quand on passa devant une vielle ascenseur fermer par un grillage noir et rempli de faux cadavres ricanent flottant sur l’eau ou tout simplement appuyer au mur comme s’ils dormaient. Toujours que des femmes aux vêtements en lambeau et recouvertes de sang brunâtre qui avait jailli de nombreuse blessure.

Tandis que je stoppais un instant, amuser ce tableau macabre et surtout pour reprendre mon souffle, ce fut le noir complet et quand la lumière revint, je sursauter violemment car un des cadavres c’était lever ou réveiller pour s’accrocher au grillage y passant un bras a toute vitesse et une main griffue essaya de m’agripper. Elle passa a quelques centimètres de mon épaule tandis que je hurlais comme une idiote en me reculant. Mon coeur bondit et mon sang ne fit qu’un tour. Je me retrouver dos aux murs m’y cognant la tête, vraiment effrayer tellement cela m’avait prit de cours. C’était une femelle zombie aux longs cheveux raides, aux dents noircit, maigre avec des seins lourds en forme de poire qui jaillissait de sa robe déchirer pour s’écraser contre le grillage. Une main sur ma poitrine j’hallucinais complètement les yeux tout ronds, heureuse de ne pas avoir subi une crise cardiaque. En plus elle claquait des dents comme si elle voulait vraiment me dévorer et sa bouche laissait échapper un flot de liquide noir qui lui couvrit les lèvres, le menton et la poitrine.

Une autre se réveilla lentement et vint la rejoindre. Celle-là, portait un masque a gaz et apparemment rien d’autre, difficile a dire avec cette eau. Elle avait un bras complètement tatouer et ses seins aux mamelons percer, tout rond, d’une blancheur spectrale s’écrasèrent eux aussi contre la grille et elle également tendit une main vers moi en montrant les dents. Puis une autre la rejoignit et encore une autre et elles secouaient toute a présent le grillage qui s’ouvrait peut a peut finissant de m’affoler complètement même si ma petite cervelle me disait que ce n’était qu’un spectacle pour me donner le frisson.

Leurs mouvements provoquaient une vague qui fit ballotter mes gros seins. Mes cheveux se dressèrent sur ma nuque tandis que je restais paralyser à les regarder faire bouche ouverte tellement tout ça semblait réaliste. Et voir toutes ces poitrines nues si près me troublait. Le grillage coinça tout à coup ce qui sembla les enrager, moi ça me soulagea terriblement. L’une d’elles essayait de passer, un bras tendu vers moi mais n’y arrivait pas. Je lâcher un autre cri quant on me toucha le bras gauche.

— Viens, ne reste pas la si tu ne veux pas finir comme elle, fit 2 tout sourire en me tirant puis me poussant dans le dos. Ce sont les clientes qui t’ont précédé.
— Ben oui, y me semble ! Fi-je en riant de nervosité en sentant mon coeur enfin ralentir tout doucement en jetant un dernier regard aux zombies qui gesticulait toujours coincer dans l’ascenseur. Dieux merci !
— Jésus, Marie, Joseph, lâchai-je en me frottant le derrière de la tête en me rendant compte que ma main tremblait et que mes genoux étaient tout mous, vous êtes vraiment malade ici !
— On ne voudrait pas te perdre trop tôt. Fit 1 en tête du peloton. T’es trop mignonne Luce, la plus jolie de la semaine. Malheureusement on les perd toutes, hein 2 ?
— WAIS, elles ne finissent jamais le parcours.

Orgueilleuse comme je suis, je me jurer bien de le finir moi ce parcours de dément tout en me disant qu’elles me faisaient probablement marcher. J’avais eu la frousse, oui, mais c’était amusant et pas question que ça s’arrête trop tôt. Je me remis de mes émotions peut a peut, mais côté frayeur, j’avais eu mon cota pour un moment. N’empêche que maintenant, mes yeux scrutaient chaque recoin de peur de me faire surprendre à nouveau et que j’étais bien contente d’être entre les deux filles.

— La plus belle de la semaine, continua 1, en tout cas, les plus gros seins de la semaine, je dirais même de la saison. Géniale ta poitrine Luce !
— WAIS ! Super ! Renchéris 2.
— OK ! OK ! Fi-je sur la défensive et embarrasser comme a chaque fois qu’on me parlait ou faisait des commentaires idiots sur ma poitrine.

Ados j’avais déjà les plus gros seins de tous mes amis, même de l’école et même su village. J’avais dû apprendre à vivre avec de tels commentaires et surtout les regards lubriques des hommes.

— C’est vrai cette histoire de cachot ? Demandai-je pour changer de sujet et même si j’étais septique tout en apercevant un escalier sur ma droite qui grimpait vers les étages supérieurs et d’où provenait toute sorte de bruit inquiétant. Les marches étaient recouvertes de sang et de membres humains. Pouash ! J’y serait tout de même grimper juste pour pouvoir sortir de cette eau poisseuse et pour pouvoir m’asseoir devant un bon feu, même juste un moment. Je commençais à voir mal aux mollets et aux cuisses et même si cette eau était tiède, je frissonnais par moment.
— Absolument ! Fit 1 qui venait de grimper quelques marches sans doute car le niveau de l’eau lui arrivait aux milieux des fesses maintenant. Elle marchait en se déhanchant joliment et la peinture blanche qui lui recouvrait la peau s’était envolée laissant voir pour la première fois un tatouage sur la fesse gauche, un petit lapin rose qui me fit sourire.
— Si elle t’att****, continua-t-elle, c’est la fin du jeu pour toi jusqu’à minuit. On ne pourra pas toujours de protéger.
— Ça veut dire quoi ça ? Demandai-je nerveuse a l’idée de me retrouver seul ici.
— Ça veut dire d’être prudente et attention aux marches sous l’eau.
— Mignon le tatouage 1.
— Merci et il adore les baiser et les caresses.

Entendre ça me fit frémir et même déglutir tandis que je faisant attention ou je mettais les pieds touchant finalement l’escalier submerger que je grimper prudemment. L’eau s’arrêtait maintenant à mon nombril.

Je n’y croyais pas trop à cette histoire de cachot. Au prix qu’ils devaient demander pour faire ce parcours de dément avec tous ces décors plus vrai que nature, je doutais fortement qu’on laisse un client se morfondre dans une cellule des heures durant. Tout de même, je n’avais pas envie de tenter le diable et je rester sur mes gardes en imaginant une horde de zombies dévalant l’escalier maintenant derrière nous.

En avançant en silence derrière 1 et toujours en admirant son dos étroit, sa chute de rein et son tatouage, je ne pus m’empêcher de repenser à mon doigt glissant dans son vagin étroit et le feu me monta aux joues. De plus mon anus pulsait toujours à cause du doigt de 2 qui l’avait visité. Je croiser les bras sur ma poitrine hors de l’eau a présent pour cachet mes seins trop visibles sous ma blouse échancrer et mon soutien-gorge détremper, mais surtout pour cacher mes maudits mamelons qui refusait de se détendre. Et je ne pus m’empêcher de dire :

— Vous êtes de sacrées cochonnes les filles.

Ma voix résonna trop fort à mon goût dans le couloir lugubre.

— Hummmm ! Fit 1. Et t’a rien vue encore Luce, alors, reste loin des zombies si tu veux continuer a t’amuser.
— Avec vous deux. OK, mais dans un endroit sec s.v.p. Vous faites ça pour payer vos études sans doute ? Demandai-je moqueuse.
— Absolument, répondit 2 derrière moi, et pendant que j’y pense, inutile de frapper les zombies. Elles sont lentes et pas très fortes, il suffit de les repousser Luce.
— Évidemment. Elles veulent me dévorer mais moi je dois être gentil avec elles.
— T’as tout compris.

Je tendis l’oreille en avançant plus facilement à présent dans cette eau sombre, presque noire et huileuse. Elle semblait me coller à la peau des cuisses comme quand on met trop d’huile parfumée dans le bain. Toute sorte de bruit inquiétant provenait de portes entre-ouvertes donnant sur des pièces plongées dans le noir et tout aussi inonder. Mon imagination travaillait, n’importe quoi pouvait en surgir. Mes bas nylon mouillés descendaient sans arrêt et je passais mon temps à les remonter inutilement. J’aurais dû les enlever mais ma pudeur m’en empêchait, même s’ils étaient tout déchirer. Quant à mon slip, il semblait avoir ****tissé et me renterait dans la craque de fesses et dans l’autre. Si on ne sortait pas de cette eau bientôt, ma peau serait tout aussi plissée que celle d’une momie mise à nue. J’avançais en me disant que dans les films d’horreur y a toujours une chose qui surgit justement de l’eau dans un couloir comme celui-là. Un tueur armé d’un long couteau ou un monstre aux dents acérer et recouvert de tentacules.

« Seigneur ! » me dis-je angoissé. « Si ça arrivait maintenant, je pense que mon coeur exploserait tellement j’avais les nerfs à fleur de peau, même en sachant que ce serait un comédien ou un monstre mécanique comme à Disneyland »

Les grognements reprirent de plus belle derrière nous et des clapotis. Les zombies femelles du marais devaient s’amener après avoir sans doute délivré celles de l’ascenseur. Je jeter un coup d’oeil derrière moi pour m’apercevoir que les rares ampoules du plafond, protéger par du grillage, s’éteignait après notre passage comme par magie. Impossible de voir quoi que ce soit, sauf 2 qui me sourit les yeux rieurs. Les miens baissèrent sans que je puisse m’en empêcher vers sa poitrine. La vue de ses seins lourds se frappant mollement hors de l’eau avec ses mamelons bruns et gonflés, recouvert d’une grosse chair de poule me fit saliver. Cette image s’imprégna dans ma rétine tandis que je regardais a nouveau devant moi, une nouvelle fois embarrasser de l’avoir regardé comme ça même si visiblement elles étaient la pour ça toutes les deux. Les filles n’avaient presque plus de peinture blanche sur le corps en plus. Elles aimaient s’exhiber ces deux la, surtout pour faire ce travail, pas de doute là-dessus, mais pas moi.

Je fis tout de même une prière pour que mon soutien-gorge et ma blouse résistent au parcours. Je n’avais vraiment pas envie de me balader seins nus ici ou pire, entièrement nu. Oh que non ! Pas questions, surtout à mon âge. Et il y avait sûrement des caméras cacher quelque part, ne serait-ce que par sécurité. Électricité et eau ne font pas bon ménage, me dis-je en regardant une ampoule clignotante. Des techniciens bien assit devant de nombreux écrans nous regardait sans doute présentement et ils avaient du se rincer l’oeil toute a l’heure tandis que les filles me tripotaient sans gêne en plein marécage, même si le plus important c’était passé sous l’eau. Une bouffée de chaleur me monta au visage à cette idée mais aussi en imaginant ce qui risquait de suivre. Qu’allait-elle me faire la prochaine fois sous l’oeil attentif de la caméra. Car j’étais maintenant convaincu qu’il y en avait. Elle m’avait déjà fait jouir. Alors ? La prochaine étape ce serait quoi ? Un gars zombie, musclé et bien membré ? Seigneur non ? Pas question de me faire mettre ici et par n’importe qui, même dans un coin sombre ou une pièce fermer. Je ne comprenais même pas comment des filles pouvaient faire ça ou se laisser filmer sous la douche dans les télé-réalités. Moi qui m’attendais à un petit souper tranquille avec Pierre, je déchantais même si j’adorais jusqu’à maintenant. Je m’éclatais c’est sur, mais le coté sexuelle de cette aventure me mettait quelque peux malaise. Et puis je n’avais vu que des filles jusqu’à présent. Tout ça n’était peut-être qu’une étrange trip de lesbienne. Et je ne suis pas lesbienne mais un peut bi et ça… mon copain leur avaient dit sans doute, je me sentais étrangement trahi. Même mes meilleures amies n’étaient pas au courant.

Je soupirer longuement en scrutant l’eau huileuse pour chasser mes appréhensions et tenter d’oublier l’idée qu’on m’observait en cherchant des tentacules ou des bras squelettique surgissant tout à coup de l’eau. Mais rien de tel ne se produisit, j’en fus presque déçu tandis que les petits vagues que l’ont provoquait s’écrasait contre les murs. J’étais sur le qui-vive, tous les sens en alertent, les veines comme chargées d’électricité. Je grimaçai en posant les pieds sur des choses molles et glissantes et lâcher un petit cri quand je faillis perdre l’équilibre et dut me retenir au mur. Ce qui fit rire mes guides évidemment. C’est à ce moment que j’entendis un bruit de gicleur qui se déclenche et on fut arroser de liquide brun foncer épais et visqueux comme de l’huile. Ça se faufila partout sur moi en me plaquant les cheveux au visage. Dégoûtant ! Les yeux à demi fermer je courus du mieux que je pus avec les filles pour sortir de cette douche dégueulasse. Ça se termina soudainement, on faisait peine à voir toutes les trois. Même après s’être lavé tant soit peut a avec l’eau du couloir, on resta brune, les cheveux tout gluants. Ce liquide glissant semblait nous coller à la peau. On avait l’air de petit chien mouiller.

Je n’en revenais pas de tout ça, d’être la, avançant dans ce couloir sombre d’un faux immeuble décrépit et inondé avec 2 filles nues qui m’avaient frenché et tripoter sans gêne. Sans parler des zombies qui nous filait le train seins a l’air et de mes vêtements détremper, recouvert d’huile qui me collait a la peau. C’était délirant, gênant mais en même temps excitant. Le couloir tourna et tourna à nouveau dans un sens puis l’autre. Un vrai labyrinthe, je perdit rapidement mes reperds. Parfois de la vapeur tiède ou du liquide visqueux jaillissait de bouches d’aération ou de tuyauterie sortant des murs nous arrosant encore au passage et pas moyen de l’éviter. Je finis par m’y faire. Certaines pièces étaient éclairées faiblement d’une lueur verdâtre laissant voir des faux cadavres pendus par les pieds et décapiter ou tout un bric-à-brac digne d’un tueur en série; table de dissection tacher de sang, outils de bouché acérer, etc. Parfois il n’y avait que des étagères remplies de gros pots en verre dans lesquelles baignaient des choses difformes et monstrueuses qui semblaient remuer. Le tout recouvert d’une épaisse couche de mousse et de champignon, comme si cet immeuble baignait dans ce marais depuis des centaines d’années. Répugnant mais flippant.

Je ne savais pas s’y j’allais remercier mon copain finalement pour m’avoir embarquer là-dedans ou lui sauter a la gorge car je ne savais pas encore ce qui m’attendait plus loin.

Et si je recevais un DVD par la poste de ce parc d’attractions pour adulte intitulé (Luce et les Zombies,) seigneur ! Juste à l’idée que des gens fassent un montage vidéo de moi quasi nu en train de tripoter les filles tout en ce disant des choses comme; ( regarde la veille elle en a une grosse paire hein ? WAIS ! Elle est bandante, regarde la ramper avec sa jupe relever on y voit toute la vulve ! ) Jésus Christ ! Là, je tuerais Pierre, ça s’est sur. Déjà que ça m’avait tout pris pour accepter qu’il me filme a la maison nue en train de lui faire une pipe ou filment nos ébats. C’était excitant oui de se regarder à la télé baiser, mais en même temps stressant, surtout en cas de séparation !

« Arrête de réfléchit ma vieille et profite de la balade et gare au cachot. »

Je soupirer longuement en regardant 2 maintenant devant moi, je vis qu’elle aussi avait un tatouage mais au creux des reins; deux ailes déployer. J’étais en train de reluquer ses jolies fesses huileuses plus rondes et plus molles que celle de sa copine de travail en nous imaginant dans un bon bain chaud et parfumé tous les trois quand, en passant devant une autre porte donnant sur les ténèbres, des mains décharner aux ongles griffus en jaillirent pour m’agripper par la blouse et me tirer brusquement. Comme au ralenti je vis un de mes boutons se décrocher et s’envoler tandis qu’une décharge d’adrénaline me traversait le corps. Je tourner la tête pour entrevoir une femme zombie qui me souriait à peine visible dans le noir et c’était quelque peux effrayant avec son maquillage plus vrai que vrai.

J’hurlai a plein poumon sans pouvoir m’en empêcher, le corps parcouru de frissons électrique en résistant du mieux que je le pouvais tout en me cramponnant au cadrage de la porte en sentant mes pieds glisser sous l’eau tandis que je sentais craquer les coutures de ma blouse. Elle tirait fort la salope même si l’huile qui me recouvrait faisant glisser ses longs doigts osseux. Une chance pour moi car mon dernier bouton risquait de s’envoler et je me dis qu’elle essayait probablement et simplement de m’arracher ma blouse. Je serrer les dents de rage en me jurant qu’elle n’y arriverait pas. Le coeur battant a tout rompre je lever ma jambe droite hors de l’eau pour poser le pied contre le montant en appelant les filles a l’aide. Ça soulevait complètement ma jupe dévoilant le haut de mes cuisses rester blanches et même mon slip devenu transparent laissant entrevoir ma toison pubienne sombre écraser sous le tissu, mais pour le moment, je m’en foutais. L’important c’était de résister pour ne pas me retrouver en cellule ou les seins a l’air.

Mes petits orteils plisser sur le cadre de la porte et qui sortait de mes bas déchirer devinrent tout rouges tellement je résistais. Je me demandais ce qui m’effrayait le plus en me sentant tout de même tirer peut a peut dans la pièce; me retrouver dans le noir avec ce zombie et que ce soit la fin du jeu ou perdre ma blouse qui menaçait de me lâcher à tout moment.

— Merde, les filles, venez m’aider !

2 rappliqua finalement pour délier les doigts griffus de mon vêtement et repoussa le zombie facilement du plat de la main et elle réussit à refermer la porte malgré toute cette eau avant de déguerpir non sans reluquer en souriant mon slip transparent avant que j’aie eu le temps de baisser la jambe.

— Pense au cachot Luce, dit-elle amuser et enjoué en me tournant le dos. Faudra bientôt que t’apprennes à te défendre toi même.
— T’as perdu un autre bouton, dit 1 en regardant ma poitrine le sourire aux lèvres. Fait attention, il n’en reste qu’un.
— Et il va rester la, fi-je agacer et encore sur l’adrénaline en refermant ma blouse comme je pouvais et remontant mes bas qui me traînait aux genoux. La bande élastique ne tenait quasiment plus et je faillis les enlever cette fois mais je ne me sentais pas encore prête à me dénuder de quelque manière que ce soit.

Je me hâter de la suivre seins ballottant avec ma blouse restant ouverte jusqu’au nombril et je n’y pouvais rien. Il s’en était fallu de peu pour que je me retrouve en soutien-gorge. J’étais si mouiller que de toute façon tout était visible mais tout de même. Et ma petite frousse avait rendu la pointe de mes seins deux fois plus gros. Je me les cacher a nouveau avec un bras. Puis je me dis que mes guides avaient tardé à venir m’aider en espérant sans doute que je me retrouve en soutien-gorge. J’eus des frisons justes à l’imaginer.

Le couloir sombre tourna une nouvelle fois, je perdis les filles de vue un instant, il y avait toujours des bruits ambiants et peu rassurants et des portes entrouvertes. Panique totale à l’idée de les perdre ces deux-là. Je tourner le coin au plus vite ayant une peur bleue qu’elles soient disparues pour me laisser seul ici. Mais non, soulager je les vis se diriger vers une porte qui semblait donner sur l’extérieur, enfin. Soudain, je faillis trébucher en marchant sur une grosse poitrine comme la mienne, je sentis très bien mon pied s’enfoncer dans les seins avec des mamelons durs. Et si c’était la dernière cliente ! Je chasser cette pensé idiote en sachant très bien que ce n’était qu’un mannequin traînant au fond de l’eau, mais cette idée me donna quand même froid dans le dos.

Et la…, sans avertissement, une chute de liquide rougeâtre remplie de reste humain en caoutchouc ou en gélatine me tomba dessus. Je du fermé la bouche et les yeux, puis baisser le menton en me protégeant la tête par réflexe avec les bras. Des choses gluantes rentrèrent dans mon décolleté et glissèrent entre mes seins. J’en frissonner de dégoût. Je me dis que j’avais du déclencher cette avalanche en marchant sur cette chose sous l’eau. Des pièges, il ne manquait plus que ça.

J’attendis que cette douche dégueulas finisse avant de baisser les bras et de m’essuyer les yeux et le visage recouvert de liquide visqueux ressemblant à du sang en reprenant mon souffle, les filles riaient. Je fis la grimace en extirpant du bout des doigts des choses rosâtres de mon décolleter, comme des bouts de cervelle que je jeter au loin décourager. Ma blouse, mon soutien-gorge et ma peau étaient rouges à présent. Je devais ressembler à Carie quand elle recevait ce sceau de sang de cochon sur la tête en plein bal. Ça me souleva le coeur.

— C’est dégueulasse ! Dis-je tout de même amusée en prenant de l’eau avec mes mains pour me laver le visage et la gorge encore une fois. Ma voie résonna étrangement étouffé.

Je les entendis rire et en levant les yeux je m’aperçus qu’elle fixait mes seins. Ceux-ci jaillissaient quasiment de ma brassière agrandie par l’eau.

— Petites obséder, fi-je en me redressant et me rajustant comme je le pouvais pour rire avec elle finalement.
— Vite Luce ! dit 1. En me faisant signe de me dépêcher toute en franchissant la porte avec 2. Les zombies derrière nous se rapprochent.

Je pris quand même le temps de lisser mes cheveux en arrière avant de jeter un coup d’oeil derrière moi. Je ne vis rien, mais j’entendais autre chose que des zombies qui se rapprochaient, de la pluie quelque part. D’autre gicleur sans doute. En soupirant je me dis que ce petit piège devait juste servir à me ralentir. Je me dépêcher donc de les rejoindre pour franchir la porte a mon tour et la, ma mâchoire se décrocha encore une fois.

— Ben voyons ! Fi-je abasourdie par ce que j’apercevais.

J’avais sous les yeux un nouveau paysage, un nouveau décor plutôt, et digne des meilleurs films d’horreur et baignant sous la pluie.

Devant nous le marécage se poursuivait jusqu’à un vieux quai de bois pourri et recouvert de mousse. Il semblait chambranlant et peu rassurant a lequel était attaché un bateau a moitié couler, un genre de chalutier. Un gros lampadaire de métal rouillé au bout du quai éclairait la scène faiblement d’une lueur orangée.

J’apparus une bonne dizaine de corps de femmes éparpillé sur l’embarcadère, mannequin ou comédienne, impossible a dire tant qu’on y serait pas et plus ou moins nu pour la plupart, mais d’autres l’étaient carrément. Je voyais clairement des fesses blanches battues par la pluie et des seins volumineux. Au début du quai, des caisses semblaient pourrir sur place a coté d’une porte ouverte trônant au milieu de la façade d’une immense usine abandonner qui s’élevait très haut jusqu’a l’inévitable brume. Je me serais cru dans un autre monde. Un autre trompe-l’oeil sacrément bien fait cette usine. Et pour la pluie il devait y avoir des tas de gicleurs là-haut dans le brouillard. Merde ! Sur la droite et la gauche de l’usine le marécage se perdait dans une forêt sombre comme celle que l’on trouve en Louisiane, presque une jungle avec les troncs et les branches des arbres recouverts de mousse. La forêt semblait réelle mais encore la, avec cette pluie c’était difficile a dire, sûrement des arbres en plastique ou peints, mais d‘un réalisme étonnant. À droite il y avait même l’illusion d’une ville au loin à travers les branches avec des lumières qui clignotaient sous l’averse.

— Wow ! Fi-je. Ils y on mit le paquet ici aussi ! C’est malade ! Mais, comment ces possibles dans ce sous-sol ? Je n’en reviens pas !
— OK Luce ! Dit-1. Faut réussir à grimper sur le quai par l’échelle au bout, juste derrière le bateau. Une fois la, quoiqu’il arrive, il faut entré dans cette usine. Là, on y sera en sécurité, temporairement.
— Eh, OK ! Mais il va ce passé quoi la ?

Je m’en doutais bien, les zombies sur le quai allaient se lever, mais je ne pus m’empêcher de leur demander.

— N’oublie pas, fit 2 sans répondre, on les repousse c’est tout.
— WAIS ! J’ai compris ! Mais…

Elles filaient déjà faisant sursauter leurs jolies fesses et je suivis sous la pluie grasse et tiède qui me martelait la tête et me décrassait. Je me sentais pas mal nerveuse même si tout semblait calme pour le moment. J’étais aux aguets, pas question de me ramasser au cachot. Et soudain je me rendis compte que l’eau devenait de plus en plus épaisse, même boueuse, merde ! J’imaginais déjà le tableau si je tombais là-dedans, si mes pieds glissaient. Je dus décroiser les bras de ma poitrine pour garder mon équilibre en soufflant de l’eau qui me gouttait du nez en me chatouillant. On finit par marcher carrément dans de la boue liquide et verdâtre, mais c’était de moins en moins profond. Ça m’arrêtait aux genoux maintenant. Il ne manquait que des crocos et des lutteuses en bikini aux seins plantureux pour faire un bon spectacle de télé.

« Ne tente pas le Diable » me dis-je aussitôt.

Je regarder vers la porte que l’on venait de franchir m’attendant a y voir jaillir les zombies mais rien, que l’arrière d’un vieil immeuble banal à peine visible sous cette pluie qui me plaquait les cheveux au visage. Puis je jeter un coup d’oeil vers le quai qui se rapprochait, les corps évidemment se levait et descendait lentement dans la boue par l’échelle pour avancer vers nous, d’autres restaient la, a se balancer comme de vrai zombie et pour garder la porte sans aucun doute. Certaines sortaient même du petit navire.

« Combat dans la boue, merde ! » Un frison glacer me parcourut l’échine.

— OK, fis-je en stoppant entre le quai et l’immeuble, je devine le jeu les filles, mais pas a mon âge ! Je vous laisse faire.
— Fait comme tu veux Luce. Dit 1 en se retournant. Ses pas nous qui allons finir la ou tu sais si tu ne nous aides pas, ou…

Elles me regardaient tout sourire en ayant l’air de petites chattes mouillées, je les l’aurais étranglé toutes les deux, mais pas sans les l’avoir baisé avant. Réalisé ça me fit suer un peu !

— Ou quoi ? Criai-je pour me faire entendre par dessus le martellement de la pluie sur la boue.
— Ben…
— Ben quoi ? Hurlai-je presque en m’apercevant que cette fois, derrière nous, la horde de femelles zombie qui nous filait le train arrivait. Une bonne dizaine. C’était perdu d’avance, il y en avait beaucoup trop et elles nous encerclaient lentement avec les autres.
— Ben… dit 2, elles vont essayer de nous empêcher de passé en s’agrippant a nous comme elles le peuvent, tes vêtements risque de (prendre le bord) comme on dit Luce, celle qui arrive par derrière aussi vont se jeter sur nous.

— Mais on va te protéger dit 1 sur un ton diablotin, du mieux qu’on peut évidemment, mais nous on est déjà nue !

Et la, elles me firent un magnifique sourire pour me laisser le temps de digérer ce quelles venaient de me m’annoncer. Que je risquais de me retrouver complètement nu ! Cette fois je frissonner en cherchant des yeux les maudites caméras complètement paniquer. Plus prude que moi tu meurs ! Mais en même temps je ressentais un petit frisson d’excitation.

— Et si je ne veux plus jouer les filles ?
— Faut retourner en arrière jusqu’au vestiaire et seul, mais… Dit 2 narquoises. Ce serait dommage Luce, ça vas devenir de plus en plus eh… Palpitant.

Je soupirer, les mains a nouveau croiser sur mes boules comme si j’avais peur de les perdent.

— Palpitant tu parles. Pour qui ? Il y a des caméras, j’en suis sur ! S’il y en a, je vous poursuis !
— Mais non ! Fit 1 se voulant rassurante mais je n’y croyais pas.

Je soupirer longuement pas mal décourager en voyant les zombies qui se rapprochaient inexorablement en marchant comme des marionnettes suspendues a des fils, levant les genoux très haut pour avancer dans cette boue. Mais des marionnettes pour adulte; visages grimaçants, mutilées et poitrines a l’air, certaines étaient même carrément nues. Tu me parles d’un emploi.

« Et puis merde ! Me dis-je,  autant me défouler tant qu’a être ici. Mais pas question de me laisser faire, pas de striptease. Oh que non ! »

— Allons s’y, dit 1, et Luce n’oublie pas… On est la pour avoir du plaisir et des frissons, faut pas les frappé hein, juste les repoussé, même si elle s’agrippe a ton soutien-gorge ou a ta petite culotte.

Shit ! Je n’allais pas me laisser déshabillé sans combattre, ça, pas question ! Mon coeur cognait soudainement plus fort, beaucoup plus fort. L’adrénaline grimpait en flèche. Je regrettais amèrement de ne pas avoir enfilé un bon vieux jean au lieu de cette maudite jupe.

« Pierre, je vais te tuer si ces zombies la me déshabille. WAIS ! T’es mort mon vieux ! »

— Je croix, que je vais étrangler mon copain les filles et en souriant comme une folle en plus, hum… WAIS !

Ça les fit rire mais pas moi. J’étais beaucoup trop nerveuse car le cercle se refermait autour de nous. On fini par se retrouver dos à dos toutes les trois, fesses contre fesses, enfoncer dans la boue jusqu’aux genoux mains tendues en avant prêtes les repousser. Mais mes pieds glissaient…

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