Depuis toujours, ma petite soeur Celia et moi avons toujours été très proches. On se raconte tout, on se dispute, on se fait la gueule mais jamais plus d’une heure. On rigole aussi, on se raconte nos petites histoires, on se fait des câlins comme des frères et sœurs.
Depuis la mort de notre père, ce n’est plus la même. Depuis deux ans elle est très triste, n’est plus très sûre d’elle, et ça me fait mal de ne plus la voir sourire. J’essaie de la consoler, ma mère aussi, ainsi que sa mère qu’elle voit de plus en plus depuis la mort de Papa. Effectivement, nous ne sommes pas de la même mère. J’ai 24 ans et elle 21.
J’ai toujours observé ma petite soeur, très bien foutue, un petit cul parfait et un décolleté que j’ai toujours aimé regarder dans la plus grande discrétion. Ça m’excite, il m’arrive de penser à elle lorsque je me branle. Depuis un moment déjà, je l’observe du trou de la serrure de sa chambre, en train de se déshabiller. Je ne peux m’empecher de tenir mon pénis dans ma main en même temps: ma petite soeur a de très jolies fesses, elles ont l’air fermes, et ses seins, bien que de petite taille, pointent souvent lorsque je la regarde, ça m’excite, et sa chatte, complètement épilée, fait grossir mon engin et j’entame une série de va-et-vient de plus en plus rapide. Ce soir-là, je jouis dans ma main, en m’empêchant de gémir, de peur qu’elle n’entende.
Je retourne alors à la salle de bains, où je fais semblant de me préparer à la douche. Ma mère frappe, je mets un peignoir, elle prend de la lessive et ressort.
En ce soir très calme, il est 23 heures. Je me mets dans mon lit et commence à bouquiner mes magazines de voitures. Je n’ai pas sommeil et je m’ennuie, je décide donc de sortir de ma chambre. Ma mère dort à poings fermés. Je me rends à la porte de la chambre de Celia. Je frappe.
-Celia tu dors?
-Non, tu peux entrer.
J’entre et je l’aperçois dans son lit, en nuisette. Je porte un survêtement et un tee-shirt. Elle lit un livre.
-Tu n’arrives pas à dormir? Tu devrais, demain tu as cours tôt. Tu es angoissée?
-Je préfère lire, ça m’occupe l’esprit. C’est bien que tu sois venu, j’avais besoin d’un câlin.
Je me couche à côté d’elle. J’admire discrètement son décolleté alors qu’elle me raconte sa journée. Je commence à avoir une érection, que j’essaie de cacher. Elle se lève pour aller chercher de la crème. Elle veut que je lui en mette dans le dos. Je m’assieds sur le lit en prenant soin de garder ma bite surexcitée sous la couette. Elle s’assoit à son tour, dos à moi. Je lui fais un massage du dos avec la crème.
-Merci, tu me relaxes, je vais sûrement mieux dormir.
A ce moment précis, je rapproche ma tête de la sienne et je sens ses cheveux. Je mets ma bouche sur son cou tout en continuant de masser.
-Qu’est-ce que tu fais?
-Laisse-moi faire. Aies confiance.
Mes mains quittent son dos pour enrober son corps et atteindre ses seins. Je commence à les malaxer doucement. J’embrasse délicatement son cou et je commence à respirer fort.
-Arrête! Tu n’as pas le droit de faire ça! Je suis ta soeur! Arrête ou…
-Chut… Ça fait trop longtemps que j’en ai envie.
Je pose ma main sur sa bouche pendant que l’autre descend progressivement sur son ventre jusqu’à son intimité. Sa peau est si douce. Je continue à l’embrasser dans le cou. J’ai maintenant la confiance de Celia, elle ne dit plus rien, elle se colle à moi, je stimule son clitoris avec mon pouce. Elle gémit, la chaleur de mon corps et de mon sexe en érection collé à ses fesses l’excite. Elle commence à se dandiner pour mieux le sentir. Photos
-Retourne-toi, je lui demande en chuchotant.
Elle se retourne, retire sa nuisette. Ma petite soeur est nue, devant moi. Elle commence à me retirer mon survêtement, mon tee-shirt. Elle m’embrasse, son souffle rapide et ses seins qui pointent font gonfler mon sexe de plus belle.
-Enlève-moi mon boxer et branle-moi, petite soeur.
Elle s’exécute, elle saisit mon sexe.
-Je ne pensais pas qu’elle était aussi large et aussi belle, me dit-elle en souriant.
La voir sourire, j’aime ça, mais la voir prendre du plaisir, voir qu’elle a envie de moi autant que j’ai envie d’elle depuis si longtemps, ça me rend fou.
Elle me masturbe sans retenue pendant qu’on s’embrasse, que je lui touche les seins et que je touche sa chatte, ses lèvres toutes humides.
-C’est interdit ce qu’on fait, j’aime ça, mais c’est interdit, me dit Celia en m’entourant la taille des deux jambes.
-Alors allons plus loin dans l’interdit. Suce-moi.
-Avec plaisir…
Celia me suce comme une déesse. Je lui rentre un doigt, puis deux dans son vagin brûlant. Elle gémit très fort sous l’effet que lui procurent les va-et-vient de mes doigts.
-Entre en moi, je veux te sentir au fond de moi.
Je l’allonge sur le dos, les jambes écartées. Elle fait glisser mon gland dans sa fente avant de le rentrer d’elle-même. Je continue en enfonçant ma bite dans sa totalité, la faisant hurler de plaisir. Je pousse un gémissement très long et j’entame des va-et-vient en elle.
-Oh oui… continue… tu es un vrai grand frère. Jamais personne ne m’a baisée de cette façon.
Je l’embrasse langoureusement. J’ai très envie de finir en elle.
-Je vais venir.
-Oh oui, vas-y, remplit moi…
Je pousse un grand cri de plaisir et je donne un grand coup au fond avant de l’inonder de ma semence chaude. J’éjacule quatre ou cinq fois, Celia m’entoure de ses bras, m’embrasse la joue et monte peu à peu sur mon cou pour finalement me mordiller l’oreille. Je suis encore en elle. Nous prenons un certain plaisir tous les deux à sentir mon sperme chaud et ma bite perdre de son volume dans son intimité.
-Merci René, de m’avoir donné autant de plaisir. Je t’aime grand frère.
Nous nous endormons comme deux amoureux. Je sens mon foutre s’echapper peu à peu de son vagin. Ma soeur me sourit et m’embrasse une dernière fois avant de tomber de sommeil. Demain matin, quel sera son regard quand elle se réveillera?
A suivre…
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