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Aiguilles, fouets et plaisirs

Aiguilles, fouets et plaisirs



Monsieur m’avait donné rendez-vous devant un sexshop.
J’étais un peu en retard, ou plutôt un peu à la bourre.

Il m’avait demandé de ne rien porter sous ma veste longue. Mais je ne me sentais pas à l’aise à l’idée de traverser la ville nue.
Je savais que cela ne lui plairait pas. Mais de toutes façons, n’allais-je pas me faire punir ce soir ? :p
J’en subirai les conséquences en tout conscience.

Je stressais fortement car j’avais vu dans notre historique commun quelques vidéos plutôt hard. Mêlant aiguilles, pinces, fouet. Mais c’est ce stress et cette peur qui sont le moteur de mon plaisir.

Toute la semaine j’avais pensé à cette rencontre, je brulais d’impatience de revoir Monsieur et de lui obéir.

Il était déjà passé ce matin furtivement pour jouer un peu avec moi avant d’aller bosser.
Il m’avait demandé de l’attendre, cul présenté et offert, yeux bandés sur un de mes canapés.
J’ai adoré sentir sa queue sans lubrifiant s’introduire dans mon cul qui n’attendait que ça.
Il n’est pas resté longtemps mais assez pour que je m’allume pour la journée ihih.Il est parti comme il était rentré chez moi, sans un mot et sans un regard.

Nous avons traversé la ville en transport en commun afin de nous rendre au lieu de déperdition que Monsieur avait choisi.
Le chemin m’a semblé durer une éternité.
J’avais peur. Le stress et l’angoisse de ma punition à venir.
Les mots que Monsieur employait augmentaient encore mon stress.
J’allais en toute conscience vers une douleur intense.

Une fois arrivés sur place, nous sommes montés dans une chambre au premier étage.
Ambiance sombre, obscurité partielle, miroirs. J’ai eu une sensation de bien-être. Comme si je devais être là. Que c’était ma place.
Monsieur m’a demandé de me foutre à poil et de vider son sac. Cordes. Fouets. Pinces. Plugs. Elastiques. Aiguilles. Désinfectant. Compresses.
Plus aucun doute sur ce qui m’attendait.

J’adore exécuter ses ordres. Laissant mon libre arbitre et ma liberté sur le seuil de la porte.

Je me suis assise à coté de lui. Monsieur a pris les élastiques et a commencé à les enrouler autour de mes seins. Je les sentais de plus en plus comprimés à chaque tour d’élastique supplémentaire.Avant de rencontrer Monsieur, personne ne s’était jamais vraiment occupé de mes seins.
Il me les a ensuite frappé avec ses mains. La chaleur de sa peau et la douleur de ses gestes.
Ce savoureux mélange.
Cette douleur de soulagement lorsqu’il me libère.

Monsieur m’a ensuite demandé de me placer où je le souhaitais tout en prenant son fouet.Gloussement. Je n’aime pas décider par moi-même. Coup de fouet sur le corps. Décide toi.Gloussement. Provocation. Coup de fouet.
Placée sur le canapé, mon cul offert.
J’ai encore une fois adoré sentir sa bite entrer dans mon cul. S’introduisant lentement en moi.Gémissements.
Excitation maximale. Envie de me faire baiser. Envie de me faire fouetter.Ca tombe bien, on est là pour ça.
Guidée par Monsieur tirant sur mon collier, je me place à quatre pattes sur le sol.
Joue contre la moquette, Monsieur a commencé à me travailler le cul, m’insérant un plug. Glissant ses doigts sans ménagement dans ma chatte toute humide d’excitation.
Hummmm… Que j’aime qu’on me fouille le cul.
(voir les vidéos)Pinces à linge sur mes lèvres, plug dans le cul, Monsieur a commencé à jouer gentiment de son fouet, celui à grosses lanières, celui que je crois que je préfère pour l’instant.Faisant bouger les pinces à chaque passage, me faisant pousser de petits cris mêlant la douleur au plaisir intense de lui appartenir.

Nous avons ensuite discuter. Il m’a demandé de lui dire quand je serais prête pour ma punition.
Stress. Peur.
Je ne l’ai pas dit de suite. J’ai même eu du mal à le lui dire. Mais je le veux. Je veux qu’il me possède et fasse de moi son jouet. Qu’il fasse de moi ce qu’il veut.

Tirant sur mon collier, Monsieur m’a emmenée sur le lit dans la pièce d’à coté.Assise sur le bord du lit, Monsieur m’a dit de ne pas bouger.
Il m’a désinfecté les seins avec les compresses. Je le regardais faire, angoissée, stressée, sentant ma peur monter et m’exciter.
Il s’est ensuite désinfecté les mains, et a sorti une aiguille.
Le safeword au bord des lèvres, répétant en boucle « j’ai peur », essayant de ne pas bouger.L’aiguille traversa ma chair sans soucis, cri de douleur que je n’ai pu retenir. Le laissant s’échapper sans filtre. Eprouvant cette peur qui m’excitait. Cette douleur qui me transporte.
Presque impatiente que mon autre sein subisse le même sort. Toujours la peur au ventre.
Adoré cette première expérience.
Monsieur avait 4 aiguilles à sa disposition, nous avons recommencé une seconde fois cette opération.
Avant de finir, Monsieur a piqué mes tétons, douleur extrêmement fugace, une goutte de sang perla.

Il a continué à jouer avec mes seins. Me plaçant des pinces sur les tétons, il m’a dirigé du bout de la chaine.
Je laissais échapper des cris de douleur lorsqu’il m’attirait à lui, me laissant totalement guider par sa volonté.
Couchée sur le dos, Monsieur est venu me barder les seins de pinces à linge.
Pincement léger comparé aux aiguilles juste avant.
J’aime me laisser aller à mes cris. Dans cette chambre.
Douleur vive lorsqu’il retira toutes pinces. Soulagement, douleur, excitation, plaisir.

Jambes écartées, offerte à lui, il a commencé à me fouetter le corps.
Fort. Très fort. Il ne m’avait jamais encore fouetter si fort je crois. Je sentais mon visage se déformer sous la douleur, sous le plaisir, sous ses coups.Il a alterné deux fouets. Le petit est beaucoup plus cinglant.
Le safeword était à deux doigts de sortir. Mais non. Je ne le dirai pas. Je ne le veux pas.
Je veux m’abandonner totalement dans mes sensations, et me soumettre totalement à la volonté de Monsieur.
Je veux recevoir ces coups de fouet qu’il m’impose.
Il m’a dit de me retourner, je sais ce que ça veut dire. Il va me fouetter plus fort encore.
Je sentais les coups s’abattre sur moi, avec énormément de plaisir. Devinant mon dos et mon cul rougir. Devinant les futures zébrures et marques.
Miroir, j’adore l’échange de nos regards. J’adore qu’il me regarde sadiquement, me faisant mal. J’adore le regarder lorsque je suis en demande de cette douleur qu’il m’impose.
J’ai eu envie de jouir à un instant. Je crois que la prochaine fois, je jouirai.
J’apprends à aimer la douleur. Mais je pense que je l’ai toujours aimée.
Je découvre que c’est le meilleur vecteur de plaisir. Le plus puissant que je puisse avoir testé à ce jour.

Je remercie Monsieur de me choisir pour Trainée et de me dresser à devenir parfaite à ses yeux.

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