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Thérèse

Thérèse



J’augurais beaucoup de cette soirée entre collègues. Philippe, le chef de service, notoire libertin avait rassemblé dans son appartement outre sa femme, nombres de femmes et d’hommes résolus à bien s’amuser. Cette journée de mai prodiguait sa lumière et chaleur jusqu’à une heure avancée. Un parfum de désir saturait l’air. Nous nous considérions les uns les autres avec convoitise. Le patron crut devoir nous assommer d’entrée d’un perfide cocktail alcoolisé, breuvage fatal.

Toutes les femmes ici étaient d’autant de proies. Même celle du patron. Il était loisible d’emmener celle-ci dans l’une des chambres pour la sauter. De toute façon cette garce vous distinguait la première. Passablement avinée au bout d’une heure, elle suça dans la cuisine un copain. Par jeu nous passions la tête pour considérer l’avancée des travaux. Lorsque je vins à jeter un œil, le pote lui bourrait par-derrière son gros cul. Celui-ci était tout heureux d’être démoli de la sorte.

Dans tout ce choix de salopes je n’en aspirais pas moins à att****r Thérèse. Son air bourgeois et réservé m’avait toujours excité. Mon intérêt ou plutôt dépit avaient été augmentés récemment de savoir que Thérèse avait enfin jeté le masque. La vertueuse avait chu de son piédestal. Nous n’en sûmes jamais la cause. Je mets cela sur le compte de l’âge. La sotte n’avait point goûté de fêter ses cinquante ans. Un vent de panique avait du l’éprouver enfin convaincu de l’ineptie de sa vie et de son mariage.

J’étais désolé qu’elle céda en premier au patron. Nous sûmes de ce porc qu’il l’avait attrapé une après-midi dans son bureau. Après une vaine résistance il l’avait contraint d’abord à une courte fellation. Il l’avait ensuite enfilé. La chienne s’était rapidement déridée. Les jours suivants elle devint une parfaite salope et par trop amoureuse. On eût dît qu’elle n’attendait que d’être converti à une telle révélation. Un autre chef de service depuis usait de ses talents. J’escomptais beaucoup de cette soirée.

Elle fit un tour dans la cuisine avec le boss. Rien que de naturel qu’il la pointât le premier. Je fus outré cependant qu’un copain me prévint et l’entraîna dans une chambre. Il revint plus tard triomphant. Il l’avait enculé. Elle semblait adorer cela. Je me débrouillais comme un nigaud. Je fus à peine consolé d’être pompé par la patronne. Tous les gars se tapaient cette pute. Elle était hideuse mais suçait divinement.

Nous parvenions au terme de la soirée. Il faisait pénombre. L’alcool coulait tout autant à flots. Le pote me fit une confidence que Thérèse était prévenue contre moi car j’avais eu un comportement salaud avec une de ses amies. Cet épisode me revint. Il s’agissait d’une hystérique dont j’avais eu tant de mal à me débarrasser. A présent je compris la froideur de Thérèse à mon égard. Cette garce à l’instant suçait un collègue dans un fauteuil. Vers moi elle jetait de temps à autre son regard mutin.

Il était manifeste qu’elle se moquait. Tous les types de la soirée se taperaient son cul hors moi. J’étais prêt à renoncer et à capituler. De colère j’enculais avec v******e la patronne dans une chambre. La truie affectionnait ces soirées de partouze. J’avais exclu la chance du hasard. Thérèse était venue dans l’auto du patron. Il se trouva qu’elle habitait à peu de kilomètres de moi. Le patron insista pour que je la ramenas. Elle était dépitée. J’étais prêt à abonder dans son sens.

La patronne trancha mettant d’autorité sa main en la mienne. De toute façon les autres depuis s’étaient égayés. Il y eût silence d’abord entre nous. Le son de la radio apaisait à peine le malaise. C’est elle la première qui ouvrant les hostilités se répandit sur son amie. Un cave se rebiffe. Je protestais avec quelque véhémence. Son amie s’était toujours posée en victime. De toute façon et en dernière argument j’arguais que tous les gars du service pensaient comme moi. Ce trait sembla clore le débat.

Elle se radoucit en effet et s’excusa. De toute façon elle-même s’était fâchée depuis avec cette personne. Je convins cependant que je n’étais pas un saint et que sans doute j’avais à me reprocher. Elle sourit. Nous étions à la détente. Elle avait envie de parler et de se confier. Abruptement elle me demanda ce que je pensais d’elle. Elle ajouta que je devais la déconsidérer pour ce qu’elle avait montré durant la soirée. Elle usa même du mot de putain. Je protestais d’une telle sévérité.

Elle me confirma son désarroi. Elle se trouvait vieille et paumée. Le sexe lui paraissait une issue. Son mariage avait été médiocre. Son mari était un impénitent coureur. Elle avait décidé maintenant de se venger et de ratt****r le temps perdu. Elle ne se faisait guère d’illusion sur ce que pensaient d’elle ses amants d’occasion. Il lui peu importait que les autres femmes la rangeâssent maintenant au rang des traînées. Elle me demanda de go si j’avais envie d’elle.

Je n’avais pas vu le coup venir. J’étais las. L’alcool et la fatigue m’avaient entamé. Un autre que moi eût obtenu d’être branlé et sucé au cours du trajet et même l’eût besogné une dernière fois sur la banquette. Elle trouvait singulier que je ne me serve pas. Son cul avait été mis à contribution plusieurs fois dans la soirée. Elle me dit d’une voix lubrique qu’elle savait que j’étais assez renseigné sur ses vices. Elle tenait à me récompenser d’une façon ou d’une autre.

Elle me dit que ce soir-là son mari était en province et à cette heure sans doute dans les bras d’une maîtresse ou d’une prostituée. Bref elle insista pour je montas avec elle boire un dernier verre. De guerre lasse je dis oui. J’avais la mine stupide du condamné mené à un bûcher. Elle roulait du cul devant moi dans l’escalier. Au bureau nombre lui foutaient la main aux fesses. J’eus idée de faire pareil tant elle me provoquait. Sa minijupe signalait ostensiblement l’une l’autre fesse rebondies.

Après qu’elle eût ouvert la porte, elle se jeta sur moi et m’embrassa dans son vestibule. Elle était odorante et avait des lèvres de feu. Je bandais à nouveau. Son lourd cul fut pétri entre mes mains. Je découvris la chienne qu’on m’avait tant loué. Elle suçait comme une mort de faim. Visiblement les autres ne l’avait point rassasié. Elle convint un peu de sa nymphomanie. Bref je devrais trouver d’infinis ressources pour baiser toute cette nuit. Elle me mit dans la main du Viagra.

La salope était pleine de ressources. Elle tint à ce qu’on baisa dans le lit conjugal. Elle tenait à ce que je l’enculas à l’endroit où ronflait l’impénitent mari. Cette idée m’enchanta et avec un relatif sadisme je fis subir à son cul les derniers outrages. Le Viagra fit des miracles. Je repartais sans cesse à l’assaut. Un moment je contemplais avec circonspection l’anus que j’avais tant défoncé. Celui-ci impavide semblait encore demander. Il l’exhortait toujours à être pilonné.

Elle me concédât de dormir jusqu’à midi. J’étais fourbu. J’eus droit à un petit déjeuner tout vitaminé. Le Viagra n’étant pas en reste. Je lui fis observer des dangers de celui-ci pour le cœur. Elle me dit de son sourire que du moins serais-je mort au champ d’honneur en la baisant. Je lui fis confidence que j’avais été amoureux d’elle aux premiers jours et au temps où elle était encore timide et réservée. Cela la mit en colère. Elle détestait cette époque où elle était nunuche.

Elle n’en parut pas moins flatté de mon intérêt sincère car il lui pesait de temps en temps de son nouveau rôle. Elle était secrètement blessée que ses collègues la traitassent en putain et fille facile. Elle aspirait à une sorte de tendresse et à être admirée sans se départir du plaisir du sexe. Elle me demanda solennellement si je voulais être son amant. Elle me jura même fidélité pour peu que je parvins à la contenter. Nous convînmes de baiser chez moi le restant du week-end.

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