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Une terrible erreur!

Une terrible erreur!



Cette histoire est totalement fictive. Elle est construite en trois parties. La première, vue de Marie. La deuxième, vue de Sébastien. La troisième l’épilogue.

1ère partie

Dernier jour de boîte ! Après 5 ans de bons et loyaux services, ma collègue et amie Laetitia voulais fêter dignement son nouvel emploi décroché avec brio. Nous nous sommes donc tous retrouvés, une dizaine de collègues pour une soirée qui devait rester dans les mémoires. Le moins que l’on puisse dire, c’est que je n’allais pas être déçue sur ce point.
Je m’appelle Marie, j’ai 29 ans. Je suis une petite brune d’1,64 m mais avec ce qu’il faut là où il faut. Mon joli 90D et mon petit cul (taille 36), rebondi font souvent tourner les têtes et me valent quelques commentaires et sifflets par moment d’autant plus que je suis une adepte des petites robes noires qui subliment mon corps bien affermi par mes séances de run intensives. Pourtant, depuis 4 ans, je file le parfait amour avec mon homme. Jamais de la vie je ne le tromperai. J’en suis folle amoureuse. Je n’ai jamais été une bombe au lit car mon éducation catholique me limite fortement question sexe. Nous nous contentons d’une séance de galipettes en missionnaire 2 fois par mois et puis c’est tout. Bref, je ne suis pas une actrice porno mais mon homme a l’air satisfait. Pourtant, sans doute par mon apparence mais aussi par mon naturel très pimpante, nombreux sont les mecs dans la boîte qui pensent que je suis une vraie nympho avec une expérience impressionnante. Cela me fait sourire ! S’ils savaient que mon homme est le seul et l’unique qui m’ait fait l’amour… Mais je les laisse parler, cela ne me déplaît pas d’être un objet de fantasmes.
Nous nous sommes donc retrouvés une quinzaine au bar, à fêter cela jusqu’au bout de la nuit. Comme j’habite la très grande banlieue parisienne, j’ai loué une chambre d’hôtel pas très loin du bar. C’est Sébastien, un des invités, mon mentor, celui qui m’a tout appris dans la boîte qui me l’a réservé puisqu’il habite à deux pas. J’éprouve à la fois une tendresse et une admiration particulière pour ce beau quinquagénaire à la chevelure poivre et sel, un peu typé Dubosc. Il m’a fait confiance, m’a pris sous son aile alors que je débarquais juste de ma fac de province, bercée par mes illusions. Le monde du travail a nécessité une difficile adaptation pour moi et Sébastien a été mon roc, celui qui m’a soutenu alors que je voulais tout plaquer. Il est un peu comme un père pour moi (pour l’embêter, je l’appelle papa !) Il m’avait donc trouvé cette petite chambre d’hôtel pas trop cher, un établissement tenu par un ami. Il m’avait négocié une jolie ristourne ! Je pouvais donc me lâcher et boire autant que je voulais sans me préoccuper de l’heure qu’il était. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on s’est lâché. Minuit ! Je ne compte même plus les shots de téquila et on a déjà vidé deux bouteilles de vodka généreusement offertes par Sébastien ! Il est trop cool ! Déjà l’heure de la fermeture approche ! Nous ne sommes plus que Laetitia, une autre amie, Sébastien et moi. Les adieux n’en finissent pas ! On est tous ou plutôt toutes bourrées puisque Sébastien, du fait de son gabarit mais aussi de ses habitudes tient bien mieux l’alcool que des demi-portions que mes collègues et moi-même sommes. Laetitia appelle un Uber qui la conduira directement chez elle. Sébastien, en grand gentleman, propose de me raccompagner. Je titube tant bien que mal, bien chauffée par l’alcool ! Arrivés à l’hôtel, il salue son ami à la réception et, dans la mesure où je suis incapable de monter les marches, me prend dans ses bras en ayant auparavant récupéré ma clé. Il me pose contre le mur, le temps d’ouvrir la porte, puis me reprend dans ses bras pour me déposer délicatement sur le lit. Il me regarde, assis sur le côté du lit, à hauteur de mes hanches. Soudain, il pose sa main sur le haut de mon genou. « Oh mon Dieu » me dis-je. J’avais compris que ce n’était pas un contact anodin. Son visage se rapproche soudain du mien. Il m’embrasse et moi, je ne réagis pas ! Ou plutôt si, j’ouvre ma bouche pour l’accueillir. Un baiser passionnel ! Sa main ne reste pas en place très longtemps ! Elle remonte le long de ma cuisse, sous ma petite robe noire jusqu’à ma culotte ultra-fine, de celles qui n’ont pas de coutures et ont un toucher imitant celui de la peau ! Mon homme l’adore ! Mon Dieu, mon homme ! Je suis en train de le tromper ! Et ce n’est pas un accident ! J’ai envie de Sébastien ! Je mouille comme je n’ai jamais mouillé. Et il ne tarde pas à s’en rendre compte étant donné la finesse de mes sous-vêtements. Il passe un doigt dessous et trouve ma vulve grande ouverte. Il joue avec mon clitoris ce qui démultiplie la fougue de notre baiser. Il enfonce un doigt ! Bon sang, je le veux ! L’alcool et l’excitation ont eu raison de mes valeurs et états d’âme ! La main dans le dos, il descend lentement mais surement la fermeture de ma robe. Ma peau est électrisée par la sensation de ses mains. Il me redresse et fait tomber ma robe par terre. Je suis là, en soutien-gorge et en culotte blanche, dans une tenue dans laquelle seul mon homme n’avait jusqu’ici vu ! Assise sur le lit, à quelques centimètres de sa braguette, je prends les choses en main, un peu maladroitement vu mon état ! Je le déboutonne et je plonge ma main dans son caleçon pour en extraire un sexe d’une belle taille. Après deux secondes à admirer la bête, je l’enfourne dans ma bouche et je commence mes va-et-vient du mieux que je peux car c’est ma première fellation. Un petit plaisir que j’ai toujours refusé à mon homme car je trouve ça sale, dégradant ! Mais à ce moment-là, l’alcool aidant, je m’en moque ! Et le pompe avec énergie. Ses grognements en attestent, je me débrouille bien ! Pendant ce temps, il se débarrasse de ses habits. Le voilà nu ! Un bel homme, bien conservé pour ses 50 ans. Pas une once de graisse ! Il met subitement fin à mes caresses et m’allonge sur le lit ! Il saisit ma culotte et en un instant, elle se retrouve au pied du lit ! Qu’est-ce que je suis en train de faire ? Je vais faire l’amour avec un autre homme ! Je vais tromper mon homme que j’adore et qui me satisfait très bien ! Celui avec qui nous avons juste commencé les essais pour avoir notre premier enfant ! Mon Dieu, ma pilule, je ne la prends plus depuis des mois ! Mon esprit est de plus en plus embrumé par l’alcool ! Soudain je sens son gland contre ma vulve ! Il n’a aucun mal à me pénétrer et viens buter au fond de mon vagin ! Que c’est bon ! Il commence ses va-et-vient. De plus en plus vite, de plus en plus fort. Il me pistonne sans ménagement et sans un mot ! Moi qui ai l’habitude des coïts doux, je suis à bout de souffle et en moins de deux minutes l’orgasme le plus extraordinaire de ma vie explose en moi. Je gémie, je crie ma jouissance. A tel point que, sans doute bien aidé par l’alcool, je perds connaissance

2ème partie :

19h00. Mon boulot est terminé ! Cadre célibataire dans une PME dans la finance, je rejoins sans réelle envie le bar auquel j’ai été invité pour fêter la fin de contrat d’une subalterne présente depuis 5 ans. Non pas que nous soyons amis mais nous sommes de bons collègues. Je la soupçonne de m’avoir invité pour faire plaisir à Marie. Cette petite brune presque deux fois plus jeune que moi que j’ai pris sous mon aile quand elle est arrivée dans la boite. Cette gamine pue le sexe à 10 m. Toujours en talons haut, en petite jupe légère avec un décolleté en V qui met en valeur une sublime poitrine ! J’ai eu immédiatement envie de la baiser mais je pourrais être son père donc en drague directe, je n’ai aucune chance ! Elle est amoureuse la gamine ! Et bien accro en plus ! Elle ne parle de son homme qu’avec des superlatifs ! Faut dire qu’il la joue prince charmant depuis des années. Bref, j’ai compris que si je voulais un jour la sauter, il vaut mieux que je la joue fine. Un travail de longue haleine ! Je me suis donc contenter de la mâter. Un coup d’œil dans le décolleté quand je me place au-dessus d’elle à son bureau, quelques photos de son entre-jambe sous le bureau ! Elle est conquête la salope, de beaux dessous. Je la soupçonne même de ne pas mettre de culottes par moment, un détail qui n’a pas échappé aux autres mecs de la boîte. Un jour, alors que nous étions en pause, elle se dirige vers la machine à café de l’autre côté de la pièce. Maladroite, elle fait tomber une pièce qu’elle s’empresse de ramasser en se penchant rapidement. Sous l’effet de la précipitation, de ses talons hauts… et d’une robe un peu courte, elle nous avait fait profiter d’une partie de ses fesses et d’une vue imprenable sur sa vulve, ma recouverte par un string blanc. Aucun mec dans la pièce n’avait raté la moindre miette du spectacle ! Et les regards échangés, pleins de lubricité, ne laissait aucun doute sur leur satisfaction
Je rejoins donc toute la petite bande au bar. Ils ont commencé sans moi ! 8 filles et un autre mec ! Belle brochette de fêtards ! Très vite je me suis retrouvé l’unique mec. Pour moi ! C’était cette soirée ou pas ! J’avais tout prévu ! Marie habitant dans un coin paumé de l’Oise, je m’étais empressé de lui proposer de prendre une chambre pour elle dans un hôtel de mon quartier, pas loin du bar ! Elle s’était réjouie de cette initiative. Le gérant est un ami avec lequel nous avons quelques arrangements ! Je lui explique mon plan ! Il me propose demi-tarif s’il peut se rincer l’œil par le biais du miroir sans teint qu’il a installé dans l’une de ses chambres. Banco ! Pour mettre toutes les chances de mon côté, je paye mes tournées, les bouteilles vont et viennent. J’y laisse un paquet de billets mais rien n’est trop beau pour arriver à mes fins. Arrivé à la fermeture, alors que les derniers restants se quittent, je me propose, en grand prince, de la raccompagner à l’hôtel ! Elle est totalement saoule ! Nous arrivons. Un clin d’œil au patron qui s’empresse de fermer la réception ! Je la porte, presque inerte, dans les escaliers et la pose contre le mur ! Elle est à point ! Je la dépose sur le lit. Je la regarde un instant, assis près d’elle. Ivre, elle a le regard fixé sur moi. Je me lance. Je pose ma main sur son genou. C’est maintenant ou jamais que je risque de m’en prendre une ! Pas de réaction même si elle se tend. Je tente le baiser. Ça marche ! Non seulement elle ne me repousse pas mais elle en demande la coquine. Je remonte mes mains le long de ses cuisses. Je suis sûre qu’elle ne porte rien dessous. Je l’ai longuement mâté : pas la trace d’une couture ou d’un élastique sur sa robe de soie noire. Je me suis trompé : culotte invisible. Je la caresse à travers ce mince tissu. J’ai perdu mon pari avec Rémi du boulot : pas d’épilation intégrale mais un minou qui m’a l’air parfaitement entretenu. Je passe à la vitesse supérieure. Toujours occupé à lui rouler un patin magistral, je lui mets un doigt. Elle est trempée la salope. Elle m’aspire le doigt sans difficulté ! Ce soir, ma petite, je vais te déglinguer ! Je lui retire sa robe. Je la redresse péniblement. Elle se retrouve à 10 cm de ma bite qui n’en peut plus, coincée dans mon pantalon. Même bourrée, elle a compris le message ! On va voir si t’es la suceuse que tout le monde pense ! Elle sort mon engin et le gobe en un instant. Putain que c’est bon ! Derrière son miroir, y’en a un qui ne perd pas une miette à mon avis. Pour autant, c’est pas la déesse de la pipe que j’imaginais ! Bon assez perdu de temps, j’ai pas prévu de gicler dans sa bouche… pas pour l’instant du moins ! Je retire mes fringues. Je me retire d’entre ses lèvres! Bye bye la culotte. Elle est là, allongée, à ma merci, le regard dans le vide. L’alcool fait bien son effet !!! Je pose mon gland à l’entrée de sa chatte ! Je la pénètre d’en coup ce qui la sort de ses pensées. Je commence à la limer, de plus en plus fort. Mes boules tapent contre ses fesses. D’une main, je dégrafe son soutien-gorge pour admirer ses obus ! Ils sont de belle taille, bien ronds avec une aréole d’un rose très clair et des tétons bien bandés. Je les dévore, les aspire, je joue avec ma langue et mes dents à agacer ses tétons. Je sens sa chatte qui se contracte, sa respiration qui s’accélère. Elle va jouir. Je la défonce de toutes mes forces et lui mort le téton droit pendant que je lui mets un doigt dans le cul ! Elle explose dans un orgasme dont je ne suis pas peu fier. Moi, je continue de la limer en changeant de rythme. Tantôt rapide, tantôt plus lent. Elle ne réagit plus. Je me redresse. Elle s’est endormi la salope ! L’alcool, l’orgasme et la fatigue ont eu raison d’elle ! Je vais pouvoir jouer avec elle ! Je la retourne et redresse sa taille pour la prendre en levrette ! Je m’enfonce dans ce corps inerte et reprend de plus belle mon pilonnage, les yeux rivés sur ma queue qui apparait et disparait dans ce trou dégoulinant ! Je me retire. J’ai envie de son petit cul de salope ! Je présente mon gland dégoulinant sur son petit trou ! Je bande comme un fou ! C’est encore plus beau que je ne l’avais imaginé ! Je la pénètre, centimètre par centimètre. Qu’elle est serrée. J’en connais une qui rate son dépucelage anal ! Mais alors, c’est peut-être pas la salope que je pensais. Qu’importe ! Je suis arrivé tant bien que mal au fond de son cul ! Son anus est totalement déformé par ma queue. Je reste là à admirer le spectacle ! Je saisi mon portable et je commence à la filmer pendant que je me mets en mouvement. Avec un cul aussi serré, je ne tiens pas deux minutes. Je lui envoie une première giclée dans les entrailles. Je me retire précipitamment et je la retourne sans ménagement. La deuxième giclée se retrouve en diagonale de son nombril jusqu’à son téton gauche. Je lui ouvre la bouche et lui enfonce ma queue un peu salie dans la bouche pour finir de me vider. Le pied total ! Mon pote gérant frappe alors à la porte. Je me lève ! Il me propose la chambre gratuite s’il peut profiter d’elle ! Ça me va ! Je m’assois dans le fauteuil près du lit et je le regarde se débarrasser de ses fringues ! C’est pas un apollon. Un petit gros dégarni d’au moins 100 kg qui s’allonge sur elle et la pénètre d’un coup. Elle ne réagit toujours pas ! Il la pistonne comme ça pendant une minute avant de beugler sa jouissance en se vidant dans sa petite chatte ! J’ai une idée ! Pourquoi ne pas en faire profiter Rémi ! Je sors mon portable et lui envoie un premier mms de la chatte et de l’anus de Marie dégoulinants de sperme ! Il me répond ! « C’est qui ? » Je lui envoie un deuxième mms du visage endormi de Marie avec un petit filet de sperme au coin des lèvres joint à une adresse, celle de l’hôtel. Dix minutes plus tard, on sonne à la réception de l’hôtel. Rémi entre quelques secondes plus tard. C’est un grand black d’1,90m, une masse de muscles spectaculaire. Nous sommes rejoints par mon pote gérant. En moins de deux tout le monde est nu dans la chambre silencieuse. Rémi nous tend à chacun une petite pilule bleue. « On va lui faire sa fête toute la nuit ». Il se place entre les jambes écartées de Marie, toujours gisant dans un paisible sommeil et la pénètre de son impressionnant sexe, au moins deux fois plus large que le mien. Elle émet un petit grognement puis plus rien ! Il la pistonne comme ça pendant une minutes avant que mon pote ne s’allonge à côté d’eux. Rémi la bascule sur le côté et quelques secondes plus tard, ils la pistonnent ensemble. Moi je me place près de la tête du lit et je lui enfonce ma bite dans la gorge tout en jouant avec ses seins. Rémi lâche un râle. Il vient de la remplir d’une quantité impressionnante de sperme. Il dégouline de sa chatte quand il se retire. Mon pote se vide à son tour dans ses entrailles et se retire. Il ne reste plus que moi. Je la tire, sur le dos, au bord du lit et fais basculer sa tête. Je peux ainsi m’enfoncer au plus profond de sa gorge qui se contracte. Mes deux complices d’un soir se branlent en voyant le spectacle. Je lui envoie alors une longue giclée dans l’estomac. Mes complices, eux, éjaculant sur son corps inerte. Nous nous quittons sans plus de cérémonie. Elle est là, devant moi, souillée mais tellement belle. J’immortalise l’instant avec mon portable et la nettoie du mieux que je peux avec la serviette que j’ai pris dans la salle de bain. Je la couche nue et quitte la chambre, heureux de ma soirée au paradis.

Epilogue :

J’émerge peu à peu. Quelle migraine !!! Il fait déjà jour dehors ! J’ai mal partout ! Je file sous la douche, ça me fera pas de mal ! Je me lave tant bien que mal. Mon sexe est grand ouvert, béant ! Un flash… je fais l’amour avec Sébastien. Il a éjaculé en moi ? Merde comment je vais faire ! Et pourquoi j’ai si mal aux fesses et à la gorge ? Je m’habille en vitesse et je file au boulot ! En chemin, je sens ma culotte toute humide. En arrivant au boulot, je file aux toilettes. Elle est totalement remplie d’un liquide blanc et gluant. Pas de doute ! En sortant je cherche Sébastien du regard ! Pas là ! J’ai passé la journée à faire des allers-retours aux toilettes et toujours la même quantité de liquide dans ma culotte. La fin de la journée approche ! Je dois chopper la première pharmacie venue ! Non ! Mon chérie est là à m’attendre devant l’entrée du bureau. Il m’a vu. Il m’embrasse. Je m’en veux ! Il est venu me chercher ! Après deux heures de trajet, nous voilà chez nous ! Le plan pharmacie tombe à l’eau. Il ne me reste plus qu’à croiser les doigts.
Un mois plus tard, je ressors des toilettes, tremblante, un test à la main. Il a viré positif ! Je suis piégée ! Tant pis, mon homme ne sera jamais…
Huit mois plus tard. Je suis en nage, l’accouchement s’est bien passé ! Mon homme me tient la main. Il est fier de moi. Il n’a jamais su ce qui s’était passé. Je sens comme un malaise de l’équipe médicale. Elle dépose mon bébé sur mon ventre… un bébé métissé !
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