Après cette soirée incroyable, le repos du guerrier ne fut pas inutile.. J’ai encore mal à la queue d’avoir autant bander la veille. Je me réveille avant Émilie, j’entends du bruit dans la cuisine. Florence est déjà debout. Je décide de descendre et debrifer avec elle avant le réveil d’Emilie.
– Bonjour belle maman…
– bonjour mon salaud…
Elle m’offre un grand sourire.
– Bien dormi ?
– Autant qu’une salope qui s’est fait baiser devant sa fille.
– elle t’a même doigté… Tu l’as entendu, elle a adoré.
– oui oui… Juste avant qu’elle me leche le cul pour nettoyer ta giclée.
– comment le vis tu ?
– Je suis ta pute David… Ta soumise. Je fais ce que tu demandes. Sans pudeur.
– arrête tu vas encore me faire bander…
– Tu bandes déjà, je le vois.
– Sers moi un café.
Florence me sert le café, je suis assis à la table de la cuisine, elle pose la cafetière.
– viens la, a genoux.
– Tu veux comment ?
– Tu Branles, tu suces, vides moi.
Florence a toujours son peignoir. Je lui demande de le retirer, ça m’excite davantage. Elle me branle fort, leche mes couilles, la prend en bouche, bien baveuse. Ça me fait vite arriver à la jouissance.. A l’étage j’entends qu’emilie ouvre les volets.
– Je vais gicler dans ta bouche, mais n’avale pas. Attends.
Émilie descends l’escalier alors que je suis entrain de me vider dans la bouche de sa mère. Elle a le temps de remettre son peignoir, je range ma queue, croise les jambes pour cacher mon érection.
Elle entre dans la cuisine et m’embrasse. elle fait la bise à sa mère. Dans son dos je vois Florence, café en main, la bouche pleine. Un peu en panique elle sait qu’elle ne peut avaler. Je la vois cracher discretement mon sperme dans son café. Quelques secondes plus tard, mère et fille sont mal à l’aise… L’une d’avoir le goût de mon sperme en bouche, l’autre de ce qu’il s’est passé cette nuit.
– bien dormi ma fille ?
– très bien… Et toi….?
– Comme un bébé. Je vais lever le pied sur ses médicaments, ça me donne des hallucinations j’ai l’impression.
– oui c’est peut être mieux.
Le petit déjeuner se poursuit… On parle de tout et de rien, comme si de rien n’était.
Je me lève pour débarrasser.
– Vous ne finissez pas votre café…?
– Heu… Si.
– allez Cul sec, il est presque froid.
Je lui offre un large sourire et lui tends sa tasse. Si Émilie portait son regard sur la tasse, elle verrai clairement le sperme flotter. Florence ne se demonte pas et finis son café.
– Merci !
– Maman, on part tôt on a un déjeuner avec des copains à Paris..
Nous remontons prendre nos douches et faisons nos valises. Je prend le volant… Je prétexte d’avoir oublié un truc. Je retourne dans la maison, embrasse tendrement Florence.
– Merci pour ce que tu nous a offert hier…
– Merci de m’eduquer… Toujours plus loin.
– Tu vas me manquer cette semaine… Appelles Thomas, raconte moi… Et vides Philippe aussi.
– Merci… Je pensais inviter Chantal à prendre le café cet après midi… Thomas aussi… Je peux alors ?
– Fonces…
Nous prenons la route.
– Sur l’oreiller hier tu évoquais l’idée de me voir faire l’amour avec ta mère… C’est toujours d’actualité !?
– Autant que celle de me trouver des mecs… Ca m’a plu hier. Même si c’est ma mère, même si c’était soft finalement. On a franchit un cap, autant le garder.
– Mais même avec de solides arguments, jamais ta mère dira oui. Tu le sais. Puis, même si j’en rêve, si tu veux me voir baiser une autre on peut trouver une autre… Pourquoi ta mère ?
– C’est tabou, c’est interdit, ça m’exciterai terriblement. Mais je ne sais pas comment je réagirais avec le recul, notre couple… Ma relation avec elle etc.
– Alors ?
– Alors une autre… Que je connaisse aussi.
– une de tes amies ?
– non ça mettrait en danger notre couple aussi.
– alors a cet instant je n’en vois qu’une… Chantal.
– Chantal…? Ma voisine ?
– Elle est célibataire… Plutôt attirante… Le challenge de la draguer…
– Banco. Essaie. Tu penses pouvoir ?
– il n’y a qu’un moyen de le savoir.
– Oui, je te passe son numéro et vois ce que tu peux en tirer.
– Vendu. Et toi, ces mecs, c’est quoi l’idée ? Club libertin j’imagine ?
– Ah Nan… Je pensais à quelque chose de plus glauque.
– OK… J’ai quelques idées alors.
Nous arrivons à notre déjeuner. Je sors mon téléphone et voit le message de Florence.
– Chantal et Thomas viennent prendre un café cet après midi.
– Super. Raconte moi tout en détails. Aufait, Chantal… Elle est célibataire ?
– Oui pourquoi…?
– J’aimerai bien la baiser. Tu m’aides ?
– une deuxième vide couille !? Je vais être jalouse à force…
– non ça sera un bonus..
– OK. Bon vu que tu m’as donné le fils, je peux essayer de t’avoir la mère. Mais elle ne doit pas savoir ce qui se passe entre nous. OK ? À voir si elle est branchée cul et jeune homme aussi…
– sondes la. Dis moi.
La journée se passe, sans ombres au tableau. Émilie m’a donné le numéro de téléphone de Chantal. On se connait, souvent des diners chez les beaux parents ensemble mais comment l’approcher… J’attends que Florence me debriefe sa journée..
– Chantal, je suis passé chercher quelques pâtisseries pour tout à l’heure, je compte sur vous hein !
– Bien sur Florence, pas de soucis !
– si Thomas est disponible avant ça serait sympa qu’il passe, je n’arrive plus à me connecter à internet.
(l’excuse la plus mauvaise de tous les temps, mais plus c’est gros plus ça passe…)
– désolé Thomas bosse la, il m’a dit qu’il verrait en venant tout à l’heure… Bise
Florence a perdu l’habitude d’être stoppée dans ses envies et lui écris directement.
– Tu crois vraiment quoi je veux que tu viennes avant pour un problème d’internet ?
– Ah bah je croyais pardon. C’est pour quoi…?
– je préfère quand tu bandes. Tu es davantage force de proposition.
– J’osais pas trop vous relancer depuis…
– Tu n’as pas osé du tout même. Tu m’as souillé et tu t’arrêtes la ? Ta mère arrive dans 1 heure. Tu as 5 minutes pour sonner à ma porte ou tu peux effacer mon numéro.
Il n’en faut pas plus pour que Thomas sonne dans les temps.
– Entre.
A peine la porte d’entrée fermée elle attaque.
– À genoux, goutte ma chatte.
– Ah carrément…
– cette fois, tu es chez moi. C’est moi qui dicte les règles.
Thomas se met à genoux. Florence ne perds pas une seconde et écarte ses cuisses avant de prendre la tête entre ses mains pour le diriger.
– alors… Tu me leches la chatte dans mon entrée, tu aimes ?
– Putain elle est bonne… J’aurai du vous rappeler avant.
– J’étais seule toute la semaine… Tu aurais pu te vider les couilles tous les soirs c’est con hein ? Dis moi, tu t’es déjà branlé en pensant à moi ?
– Oui plusieurs fois…
– Continues de lecher petit pervers.. Ou est ce que tu me baisais ?
– Dans votre salon, je connais que cette pièce…
– Alors vas y, baises moi dans le salon…
Florence l’invite à se relever et la suivre.
Déshabilles toi. Entier. Florence est déjà à poil, elle n’avait pas quitté son peignoir après sa douche. Elle s’installe en levrette sur la méridienne. Ici même où je la baisais devant sa fille hier soir.
– prends moi, perds pas de temps Putain… Comme chez toi, fort.
Thomas se lance, il le sait, il réalise aussi un de ses fantasmes à cet endroit… Il la pilonne de toute sa jeunesse de longues minutes.
– Je veux vous la mettre dans le cul Florence…
– Pas ici alors. Tu vas me baiser dans mon lit.
Elle lui demande de la suivre. Ils prennent l’escalier. Florence s’arrête un instant au milieu des marches.
– leche mon trou un peu… Il a pas été ouvert depuis un moment puisque je ne t’ai pas vu…
Thomas s’applique. Il prend un plaisir fou. Je le sais, je vous le confirme, bouffer le cul de Florence est un bonheur… Elle gémit toujours autrement, elle se sent encore plus Chienne..
Elle s’allonge sur son lit, ça sera missionnaire pour cette pièce, Thomas se place à genoux sur le lit devant elle. Florence crache sa salive sur ses doigts, l’étale et branle un peu sa queue avant de se l’enfiler toute en douceur mais sans interruption jusqu’au fond de son cul.
– Allez vas y, lime moi… Encules mon cul de chienne.
Florence commence à gémir fort, hurler..
– je vous fais mal ?
– Putain mais arrête de me vouvoyer, t’es entrain de me defoncer le cul dans mon lit bordel…
– OK pardon.
– Attends stop. On va être clair 2 secondes. Tu viens pour te vider les couilles et moi pour sentir ta grosse queue. Alors arrête tes blabla. Vide toi les couilles. Éclate moi comme une pute…
Thomas relève ses jambes, les écarte en V, la saisit par le bassin…
– alors tu vas prendre ton tarif sale pute..
Il l’encule de toute sa longueur, Florence retrouve le baiseur dont elle a gardé le souvenir. heureusement que les fenêtres sont fermées, elle en déclencherai les alarmes des voitures. Elle hurle… C’est aussi violent que mon collègue il y a quelques semaines…
– Il te defonce pas comme ça Philippe hein ?
– Tu m’eclates tellement Putain…
Il garde le rythme… Un kiff incroyable pour lui ce moment… Je le sais, je l’ai connu… Et a chaque fois c’est le même sentiment… Quelle Chienne tu es Belle maman… Florence entre deux hurlements et souffle court s’interroge… Perversité… Toujours.
– Tu te Branles sur ma fille Thomas… Dis le…
– ouais… Depuis toujours…
– elle te plaît…?
– Putain je la baiserai bien Émilie. Surtout si c’est une Chienne comme toi… Il a du bol David…
– sa chambre est à côté, je les ai entendu cette nuit… Elle gueule ma fille aussi… Comme sa mère..
– Putain tais toi, je vais gicler direct sinon…
– attends stop viens. Je vais te finir…
Thomas sort de son cul, sa queue marbrée de traces…
Elle sort de la chambre et rentre dans la chambre d’Emilie.
– Viens… Sens… Il y a encore son parfum… Elle est partie il y peu de temps..
Elle est soudainement plus douce… A genoux au milieu de la pièce, Thomas la rejoins.
– je vais te nettoyer…
Elle prend à pleine bouche sa queue souillée…
– Tu pensais que tu venais pour une branlette ?
– je sais que ça t’aurait pas suffit…
– Tu veux me baiser et vider ici ?
– C’est bien bandant… Ca te dérange ?
– nan… On va même aller plus loin…
Elle m’avouera après qu’elle avait prémédité la suite..
Elle se met à 4 pattes sur le rebord du lit de sa fille. Passe sa main sous un oreiller et sors une culotte en dentelle noire… Une culotte d’Émilie…
– tiens… Enfile moi cette culotte… C’est celle qu’elle porte quand elle dort… Baiser la mère en sous vêtement de sa fille… Ca te plairait?
– oh putain ouai…
Elle la leche un peu avant de la mettre.
– regarde… Le fond est un peu sale… Ca doit être le sperme de David… Cette nuit tu crois ?
– Putain c’est mal ce que tu fais là….
– j’arrête de la lecher…!?
– t’imagine pas comme ça m’excite … T’es encore plus Chienne que j’imaginais…
Thomas saisit la culotte, il enfonce la moitié dans le cul de Florence avec deux doigts. Son trou baille tellement il est ouvert. Il commence à reprendre sa chatte en levrette.
– je vais me finir… Et gicler sur la culotte ça te va ?
– Tu voudrais te vider sur Émilie… Avoue…
– je me branle sur elle depuis des annees… Elle a jamais voulu.
Florence ne répond pas, Saisis un cadre photo sur la commode. Une photo Émilie et elle il y’a quelques années. Elle se remet en levrette et pose le cadre entre ses reins.
– regarde cette photo. Baise moi, finis toi, je ne suis qu’un trou maintenant pour toi. Ejacules sur la photo s’il te plaît…
– vraiment ?
– Allez dépêche toi, ta mère arrive bientôt.
Thomas la defonce, se concentre sur la photo.
– t’es qu’une pute.
– je suis pire que ça…
Il se retire, saisit le cadre et ejacules à abondamment sur cette photo de famille mere et fille souriantes en vacances.
– ouah… C’était fou… Merci
– me dit pas merci.
Florence retire la culotte de son trou du cul. Lui jette sur la queue.
– essuies toi. Rhabilles toi. Va chercher chantal, je vais preparer le café. Laisse moi 15 min.
Il est un peu moins de 15h. Florence m’envoie une photo. Cette photo que je reconnais couverte de sperme, cette culotte… Bravo Florence… Mère pute… Chienne sans limites.
Mais jusqu’où iras tu…
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