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Flogie

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J’adore être flagellée. Le contact des lanières mordant ma peau m’échauffe la peau et m’excite les sens. Cela me fait mouiller la chatte. C’est pour moi le meilleur préliminaire. Après avoir été bien fouettée je suis d’une sensualité sans limite et je n’ai plus aucun tabou. Trouver le bon scénario a été une longue recherche. La qualité du fouet est primordiale. Il faut des lanières qui fassent mal sans ouvrir la peau. Le choix des zones à frapper et l’ordre de leur sollicitation est important. Commencer par les fesses et le dos prépare le corps à subir plus. Commencer par les seins ou le sexe bloque l’organisme et plus rien n’est possible. Trouver le partenaire, qui fonctionne bien, est difficile. Il doit y prendre du plaisir sans se laisser déborder par son instinct sadique. Il doit aussi avoir de l’empathie pour la femme qu’il traite pour observer la montée de son plaisir en même temps que sa douleur. Quelques accessoires secondaires, tels que des pinces de tétons et de clitoris, peuvent participer à la puissance de l’orgasme. Le local où se déroule la séance doit créer une situation d’inconfort et la présence de spectateurs crée une douleur supplémentaire très mentale qui redouble la sensation d’avilissement et renforce le plaisir.
Quand c’est bien fait avec la bonne progressivité et la bonne durée dans l’ambiance qui convient j’ai un orgasme sous le seul contact répété du fouet sans que mon partenaire n’ait à me toucher.
J’ai 35 ans, je suis une intello très cérébrale qui exerce le métier de juriste en droit patrimonial. Je suis de taille et de corpulence moyenne avec un corps plein, des fesses dodues et musclées, des petits seins. J’ai rencontré mon partenaire dans un club échangiste où un couple d’amis plus âgés m’avait entraîné pour me faire faire une nouvelle expérience. C’est un homme de soixante ans, grand, mince avec des cheveux gris très courts, un visage marqué éclairé par des yeux très pâles. Il a un look d’ancien militaire. Il m’a dragué et m’a très vite dit qu’il aimait l’amour hard, les femmes soumises. Il ajouta « si ça te tente je peux t’initier, j’ai beaucoup d’expérience ». Il avait vu au premier regard que j’étais ce genre de femme à aimer se soumettre à la douleur. Il m’a laissé son numéro de portable en me disant « viens faire un essai, tu ne risques rien avec moi ».
J’ai laissé passer un mois. Il m’avait profondément troublée et j’y pensais tous les jours et souvent la nuit en me masturbant. Je l’ai appelé. Lors de notre première rencontre il a longuement discuté pour connaître mes fantasmes inavouables. J’étais pudique et je mis un bon moment avant de lui céder. En buvant un verre de vin ensemble il m’a dit je crois qu’il faut qu’on se revoit et qu’une petite séance de flagellation nous dira si ce que je ressens à ton propos est pertinent. Viens donc passer la soirée samedi nous ne serons que tous les deux pour la première fois. Je vais te surnommer Flogie et il me fit une simple bise sur les lèvres avant de me raccompagner à sa porte. Il avait semé la perturbation car toute la semaine j’ai cogité à sa proposition et regardé des vidéos concernant cette pratique et ça m’excitait vraiment.
Le samedi on a pris un verre et on est descendu dans une grande cave sous sa maison. Il m’a indiqué une chaise en me disant « laisse tous tes vêtement là ». Il m’a regardée me dévêtir sans rien dire. La cave était sombre hormis un rond central où deux cordes écartées pendaient du plafond. Il m’attacha un poignet à chacune avec un bracelet en cuir, un peu au-dessus de ma tête ce qui me laissait la liberté de bouger sur une faible distance. Puis il revint devant moi avec un fouet à manche en bois et plusieurs lanières. Il me présenta l’objet en me disant « voici celui qui peut devenir un très bon ami ». Il mit l’extrémité du manche devant ma bouche en disant « embrasse le et suce le ». Puis il le retira et le passa entre mes jambes en frottant ma vulve doucement. Il s’écarta et me fouetta les fesses vivement une première fois. La douleur fut très vive mais pas insupportable. Il recommença. Au dixième coup j’ai commencé à gémir et à bouger pour éviter le fouet. Au vingtième j’ahanais et me surpris à tendre le cul pour mieux recevoir le coup. Sans rien dire il remonta sur les reins puis le dos et les épaules avec chaque fois une vingtaine de coup qui rendaient ma peau brûlante. Il s’arrêta et mis sa main entre mes cuisses. Il me regarda dans des yeux et fit ce commentaire « je ne suis pas trompé petite Flogie, tu mouilles comme une vraie petite salope, je crois qu’on va bien s’amuser tous les deux ». Il s’écarta de nouveau et m’envoya les coups suivants sur l’avant des cuisses puis il remonta sur le ventre, la poitrine et frappa un peu moins fort quand il arrivé aux seins qui devinrent durs. Ma peau était rougie mais pas blessée. Chaque coup était supportable mais enchaînement créait une sensation d’excitation extrême. Mon bas ventre se contractait à chaque contact des lanières sur ma peau. Il s’arrêta et me posa des pinces qui serraient fort les tétons puis il frotta mon clitoris avec le manche du fouet qui était un peu rugueux. J’eu un orgasme d’une puissance inouïe qui me laissa sans connaissance pendue par les deux bras. J’avais trouvé mon maître qui s’était, cette fois-là, seulement délecté de me manipuler à sa guise avec un franc succès.
Il y a eu beaucoup d’autres séances de fouet y compris en présence de spectateurs et dans des lieux insolites. J’adore jouir comme ça et quand il me détache je fais tout ce qu’il demande y compris avec les spectateurs présents.

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