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La maman dévergondée, 4° partie

La maman dévergondée, 4° partie



Au cours des épisodes précédents, nous avons vu comment ma mère a sollicité l’une de ses amies pour que je quitte les rangs des puceaux ; à dix-huit ans, il était temps. J’ai refusé de faire d’elle ma compagne de sexe, mais elle, de son côté, n’a pas renoncé…

Le lendemain de ces fameux ébats, au petit déjeuner, elle avait les larmes aux yeux. Chagrin d’un désir insatisfait ? Je l’ai accueillie d’un simple baiser sur la joue, sans doute bien trop chaste pour elle. Elle avait la mine défaite, des poches sous les yeux, et dans sa robe de chambre, sous sa chevelure défaite, elle sentait fort la sueur et la cyprine. Probablement, elle s’est branlée toute la nuit dans son lit trop grand pour elle depuis le départ de Papa.

– Je te demande pardon, Stéphane, pour les avances que je t’ai faites. Tu es mon fils chéri et je ne mérite pas d’être ta maman : je suis une obsédée, une nymphomane, une s…
– Tais-toi ! Arrête de te dévaloriser tout le temps. Toi aussi, tu es ma maman chérie et je t’aime comme tu es. D’ailleurs, je suis le dernier à te reprocher d’aimer le sexe. Il faut juste que tu te trouves d’autres partenaires que moi, qui suis ton fils.
– Tu as raison, et pourtant, je ne peux pas m’empêcher d’avoir envie de toi, jusqu’à devenir folle. Toi qui étais jusqu’à hier un garçon innocent, je suis en train de faire de toi un obsédé sexuel. J’ai honte. Je mérite d’être punie.
– Punie comment ?
– Tu devrais m’attacher par les poignets, prendre un fouet et me flageller jusqu’au sang.
J’ai éclaté de rire.
– Ce serait une punition qui aurait des allures de satisfaction de fantasme masochiste, non ?
– Oui, tu as raison… je ne suis pas raisonnable… je devrais travailler au lieu de penser tout le temps au sexe, avec des pensées sales et perverses qui sont tournées vers toi. Mais il faut quand même m’infliger un châtiment qui soit suffisamment sévère pour que je ne recommence pas.

Elle a regardé vers le bas, un doigt dans sa bouche, comme une petite fille prise en défaut d’avoir dit une bêtise et attendant sa fessée avec une gourmandise perverse. Un regard empli à la fois de tendresse et de dépravation, le tout accompagné des odeurs de luxure féminine qui émanaient de son corps ; tout cela me troublait, et j’étais tout prêt de céder à se demande. Elle m’a regardé d’un œil suppliant.

– Alicia est une femme très belle, ai-je dit, et j’ai beaucoup aimé ce que nous avons fait ensemble. Elle peut revenir quand elle veut.
– Je lui proposerai. En attendant, si tu veux… enfin… je n’ose pas trop te dire…
– Dis toujours ! Je te promets que je ne me moquerai pas de toi, ma Maman chérie !
– Que pensent tes copains de moi ?
– Les quelques-uns qui t’ont croisée trouvent que tu es une femme très belle. Ils ont parlé de toi en des termes pas très élégants – tu imagines sans doute lesquels, mais à leur âge, il faut leur pardonner – mais qui disaient aussi ton pouvoir de séduction sur eux. Certains même te voient comme une sorte de déesse Aphrodite, aussi belle qu’inaccessible, le fruit juteux et mûr, la Femme cueillie à maturité.
– Eh bien, voilà… J’aimerais m’offrir à trois ou quatre d’en eux comme esclave sexuelle, le temps d’une journée. Ils feront de moi ce qu’ils voudront. Ils sont en forme et en bonne santé, non ? J’espère qu’ils vont se déchaîner et que ce sera un moment de folie. Je veux souffrir sous le joug de leur virilité… Oh, j’en mouille d’avance ! Tu veux bien que je me caresse devant toi, en attendant que tu les fasses venir ?

Sans attendre ma réponse, elle a retiré sa robe de chambre sous laquelle elle était nue, s’est allongée sur la table du petit-déjeuner, et a plongé ses doigts dans sa chatte qui ressemblait à un marécage. Quand elle me l’a demandé, je lui ai passé le pilon qui sert à préparer la mayonnaise, et son vagin a englouti l’ustensile. Elle s’exhibait en écartant les cuisses avec une souplesse étonnante, le grand écart, afin que je puisse tout voir de sa fleur intime et poilue, ouverte au maximum, le tout dans un déferlement de parfums féminins qui se mêlaient à celui des tartines de pain grillé. Je l’ai regardée faire en finissant tranquillement mon café, et en me gardant bien de la toucher, même si elle me suppliait de céder à son désir. Je refusais cette union contre nature. Même si je n’en bandais pas moins…
Ensuite, nous avons regardé ensemble un porno, affalés sur le canapés, nus tous deux, mais sans nous toucher. Un film de bondage et de domination qu’elle avait acheté au marché, avec un scénario se déroulant du temps des Romains, ultra violent. Une femme, incarnée par une actrice blonde aux seins généreux, subissait l’initiation sexuelle des prêtres d’une sorte de secte immonde où les pires débordements étaient permis, à l’ombre d’idoles de pierre grimaçantes. Moi, je préférais les scènes de tendres lesbiennes qui se sucent le clito et se bouffent la chatte à n’en plus finir, avec des orgasmes non simulés de préférence. Le jus de betterave n’était pas très réaliste en guise de sang, mais il coulait à flots sur les marches du temps antique. L’héroïne a fini par être crucifiée sous les hourras de la foule qui partouzait avec conviction. Il y avait ensuite d’autres scènes, encore plus glauques.

– J’aimerais bien subir ça, a-t-elle murmuré en fourrant des doigts dans sa chatte. Tout le monde la regarde. Ça doit être terrible !

Maman a utilisé ses boules de Geisha et a joui comme une dingue, plusieurs fois. Je n’ai pas regardé avec elle jusqu’à la fin, et je suis sorti faire un tour dehors, pour respirer de l’air frais, en me disant que décidément, ma mère était devenue dingue et que ses désirs foutraques étaient en train de me contaminer.

À suivre…

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