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Belle maman, ma soumise … (10)

Belle maman, ma soumise … (10)



Avant qu’il n’arrive, elle m’envoie une photo en lingerie. Porte jartelles, bas… Tout de noir vêtu. En légende de la photo :

– Payé avec l’argent de ma prostitution. J’ai d’autres envies d’achat, ton collègue ne suffit pas. Il faut me donner d’autres couilles à vider à l’avenir.
– j’ai d’autres projets pour toi… Étape par étape..

Le téléphone sonne, le rendez-vous commence.

– Émilie je sors faire une course.
– OK, je vais prendre une douche. Rachetes du lubrifiant pour tout a l’heure…

A peine le temps d’enfiler les écouteurs, Florence ouvre la porte.

– Bonjour Nathalie.
– Bonjour entre !
– comment allez vous ?
– Tu es vraiment venu pour savoir comment va une inconnue ?

Je rigole seul dans la rue, elle prend tellement d’assurance maintenant !

– Heu … Non, enfin c’est pour sympathiser quoi !
– Tu viens pour te vider les couilles, pas pour te faire des amis… Déshabilles toi.
– Ah heu OK.

Elle me l’avouera plus tard, mais cet homme ne lui plaisait pas du tout, pourtant ça l’excitait de se forcer. Florence retire sa robe, juste vêtue de sa lingerie. Elle l’entraîne vers la chambre de cet appartement qu’elle a loué, plein de photos et de souvenirs. Elle l’allonge sur le lit. C’est une pro maintenant.

– Tu préfères que je sois coquine ou chienne…?
– Chienne évidemment. On m’a dit que tu l’etais, j’aurai été au bois de Boulogne si c’était juste pour une levrette contre un arbre.
– retournes toi, mets toi sur le ventre.
– Massage ?
– en quelques sortes.

A peine le temps de se retourner qu’elle atr**** son cul, écartes ses fesses et plonge sa langue sur son trou du cul.

– Sur le chemin de la chambre, j’ai tout de suite aimé ton cul… Je ne peux pas attendre pour te le lecher…
– Vas y eclates toi salope.

Florence intensifie, multiplie les allers retours, elle lui demande de se relever, à genoux, en levrette. Elle commence à entrer sa langue dans son cul, le baise. C’est une première pour lui. Il commence à bander comme un âne, elle le voit. Florence saisit sa queue et le branle en même temps. Apparemment sa queue est énorme. Elle m’a dit qu’elle faisait à peine le tour avec sa main.

– Calmes le rythme, je vais jouir sinon…
– T’es venu pour ça nan ?

Elle ne le laisse pas répondre, le remet sur le dos et se place à croupis au dessus de lui.

– Tu veux me defoncer avant de gicler ?
– Heu oui…

Lui qui prétendait assurer est enfait bien timide… Florence adore le dominer ainsi.

– Je vois ton alliance, tu es marié… Elle la prend dans le cul ?
– Malheureusement non, ma queue est trop grosse pour elle.
– elle est énorme, justement, moi je veux la sentir dans le cul.

Elle saisit la queue, branle un peu pour s’assurer qu’elle soit bien dure, glisse une capote et plonge ses doigts dans la gorge, et étale son jus de bouche sur le gland. Toujours accroupi, elle dirige le gland sur son anus.

– Tu veux pas que je mette quelques doigts avant pour ouvrir le passage ?
– Non, reste immobile, laisse moi gérer le début… J’ai envie de la sentir… Vraiment.

Elle descend, péniblement le gland passe, elle pousse un souffle de douleur…

– Putain ta queue est énorme… C’est un peu douloureux.
– Tu veux qu’on arrête ?
– Non, c’est aussi bon que douloureux…

Elle fait quelques allers retours, se contentant du gland pour la dilater doucement…

Il commence à donner quelques mouvements de passer pour s’enfoncer de 2 ou 3 centimètres. Elle grimace, cette queue est aussi grosse que son gode, mais jamais elle n’a fait d’anal avec.

– Tu la sens bien la !?
– oh Putain, tu me dilates comme jamais…

Il accentue les vas et viens, s’enfoncant encore et encore…

– Tu vas prendre… J’ai pas enculé depuis 10 ans.
– Defonce moi, te soucis pas de ma douleur… Éclates moi. Je suis la pour ça.
– Je veux me vider dans ton cul…
– Fais ce que tu veux… Je suis ta vide couille… Vas y

Elle se relève, il n’a pu rentrer que la moitié de sa queue. Florence retire la capote et se réempalle aussitôt. Elle regarde la capote

– Tu racles bien l’intérieur de mon cul… La capote est dégueulasse..

Pas le temps d’en dire davantage, il la saisit par la hanches et l’encule jusqu’au fond. Florence hurle de douleur plus que de plaisir..

– Voilà la tu la sens…
– Casse moi le cul.

Il la defonce hard, comme un bouquet final.

J’entends Florence Hurler de plaisir, elle sanglotte.

– T’as mal sale pute ? T’en veux encore ?

Florence est en pleur.

– Je vais jouir du cul Putain, defonce le,…

Elle gémit, n’en peut plus… Il lui impose des coups de bites rapides pour se vider. Florence le regarde, le, joues ruisselantes, son maquillage qui coule, elle vient en même temps que lui, un orgasme intense. Elle sent qu’elle est entrain de se faire remplir le trou du cul par un inconnu … Elle a mal, mais elle a joui du cul pour la première fois.

Il la jette sur le lit, elle est prise de spasme, en pleur. Mon collègue s’essuie la queue sur sa joue et lui impose en bouche.

– Nettoie la.

Il lui jette les 200 euros sur le lit, se rhabille et claque la porte. Florence est encore perchée… Dépassée par ce final imprévu…

– Allo tu es la David ?
– Oui… Ca va?
– Je peux me mettre 4 doigts dans le cul sans problème… Il m’a détruit.
– C’était trop ?
– Je me suis fais defoncer comme un bout de viande. J’ai le cul qui dégouline de sperme.
– Et ?
– Merci David… J’ai le cul dilaté comme jamais. J’ai adoré mais c’était violent, très violent.
– Vous êtes la pire des chiennes belle maman.. Fonce à la douche. On arrive dans une heure. Je le met la cagoule devant la porte. Tu peux ouvrir sans crainte. Pas un mot, comme pas la dernière fois.

Nous arrivons au pied de l’immeuble.

– C’est ici ?
– Oui. On va droit au but puisque tu es en mode anonyme ?
– OK. Je te fais confiance.
– Elle ne dira pas un mot… C’est son souhait. Domination lesbien.

Devant la porte de l’appartement, mise en condition.

– déshabilles toi, enfiles la cagoule.
– Quoi la ? Tu veux que je me mette à poil sur le palier.
– Tu connais du monde dans l’immeuble ?
– Non.
– Alors on s’en fout, on vit pas ici !

Émilie se met dans son rôle de pute, retire ses vêtements, ajuste sa cagoule au niveau de la bouche et pour faire passer sa queue de cheval. Je fais une photo d’elle, atypique de la voir ainsi sur un palier. On entend la télé des voisins… Le risque est présent, je commence déjà à bander.

– Putain, je perds tous mes sens avec la cagoule, heureusement que c’est pour la bonne cause.
– Ça cache ta jolie gueule, c’est dommage… Mais c’est ainsi.
– Tu as pas la même voix quand j’ai la cagoule, ça change.

Je suis interloqué par sa remarque, ça peut changer la donne. ..

– ah bon ? Et si je chuchote ?
– ça etouffe vachement le son. Ca le rend neutre.

Je frappe, Florence ouvre, elle a mis un peu de musique en fond. Je prends les affaires d’Emilie et les jettent dans l’entrée. Belle maman est simplement vêtue de ses bas. Les fesses encore rouges de sa passe, ses tetons déjà durs. Je me lance.

– Bonjour Florence, enfin on se rencontre. je sais que tu veux pas qu’on entende ta voix mais Émilie vient de me dire que la cagoule alterne le son et ne reconnaît pas ma voix, surtout si je chuchote. Si tu veux… Parles lui.

Belle maman me regarde interloquée, ne sachant pas quoi faire. Émilie répond :

– Bonjour Florence, je suis à toi aujourd’hui…
– Bonjour, tu es magnifique. Répond doucement Florence.

Mon cœur s’arrête, j’imagine que le sien aussi. C’est maintenant qu’elle peut réaliser que la Florence face à elle n’est pas celle du couple, mais sa propre mère.
La pression redescends d’un coup :

– Guides moi Florence… Je suis novice, mais je serai une bonne petite pute pour toi.

Émilie ne veut pas entendre parler d’un plan à trois, je ne dois rester que spectateur, mais je compte bien profiter du fait qu’elle ne voit pas pour en profiter un peu…

– Mets tes mains dans le dos.
– Whoua, en exagérant un peu, ta voix ressemble à celle de ma mère… Troublant

Nouvelle panique !

Je ne sais pas quoi répondre… Presque envie de fuir. Florence réagit avec brio… Je n’aurai pu imaginer mieux :

– Appelles moi maman alors ?
– Si tu me le demandes… David appréciera aussi… Réponds elle en souriant.

Florence me lance un grand sourire et me fait un clin d’œil. Mission accomplie. Elle prend sa main et la guide vers le séjour. Elle lui attache les mains dans le dos, pour la soumission et toujours pour éviter qu’elle retire sa cagoule de façon imprévue.

– mets toi à genoux, je veux te regarder soumise quelques instants avant.
– oui Florence…
– pardon?
– Heu.. Oui maman…

Je me déshabille à mon tour.

– Tu vas montrer tes talents de suceuse à Florence ?
– oui mon amour…

Je m’installe dans le canapé, Émilie est à genoux à mes pieds. Je saisis sa queue de cheval et guide sa bouche jusqu’à ma queue déjà dure.

– Voilà… Suce moi lentement, du gland, jusque dans ta gorge…

Derrière Émilie, Florence revient, un concombre en main.

– Tu aimes les légumes Émilie ?
– oui pourquoi ?
– goutte ça…

Florence semble complètement dominer la situation pourtant extrêmement dangereuse. Elle parle à sa propre fille… Soumet sa fille… Elle qui trouve une similitude avec la voix… Mais comment se douter que c’est vraiment sa mère qui lui impose maintenant une fellation d’un concombre ?

– Florence, att**** la par la queue de cheval, elle encaisse bien…

Belle maman la saisit au niveau de l’élastique, forçant sa fille à prendre profondément ce légume en gorge.

– Mon amour, dis lui qu’elle peut encore y aller plus fort…

Florence est debout entre elle et moi, j’ai vu sur son cul, je ne peux m’empêcher de le caresser silencieusement. De toute façon, le son de gorge d’Emilie couvre celui des caresses. J’ecarte ses fesses, son anus est encore ouvert… Rougi par mon collègue. Florence écarte les cuisses, je lui glisse discrètement quelques doigts… Entre les cuisses, j’aperçois Émilie, sa bouche dégouline d’une bave épaisse. Elle reprend son souffle.

– Tu me baises bien la bouche…
– Tu es une belle traînée Émilie…
– Merci maman…

Florence se met accroupi, libère une main et met ma queue jusqu’au fond de sa chatte en s’asseyant sur moi. Elle reste au fond, se contente de faire des cercles avec ses hanches à défaut de faire des vas et viens qui feraient claquer son cul. Je vous rappelle que je ne suis pas censé toucher cette fameuse florence… Je me lève à présent, si Émilie me suce maintenant ma queue a le goût de chatte, pas de sa bouche… Je vais rincer ma queue dans sa chatte.

– Je vais te baiser un peu avant le concombre. Si Florence veut bien ?
– maman, je peux me faire baiser comme une pute avant..?

Émilie en levrette, à genoux, face sur le parquet. Je la pénétre sans précaution.

– T’es trempée salope… T’as pas honte devant ta mère ?
– Je suis une traînée, je suis trempée d’être une chienne soumise.

Florence lui donne des fessées en même temps.

– Et tu baiserais en vrai devant ta mère petite pute ?
– je ne sais pas. Je pense pas…

Elle gémit en même temps…

– alors mon amour, imagine la tout de suite que je te baise dans le canapé de tes parents, devant ta mère qui regarde. Ça te plaît? Imagine qu’elle est à poil à côté de nous à me regarder de te defoncer le cul comme une vide couille. Ça te plaît ?
– Continue putain… Ca m’excite…. Putain tu me baises bien profond…..!!!
– Imagine que je te baise, que ta mère te leche les seins, te les pincent !!
– je te laisserai même te vider les couilles sur elle et je lecherai tout si tu veux..

Florence n’en revient pas, et moi encore davantage. Le plaisir transforme une femme… Belle maman approche ses pieds de sa bouche.

– leche moi les pieds comme si c’était une queue…

Émilie s’exécute, elle leche pour la 1ère fois sa mère… Ce n’est que le début.

– t’aimes ça lecher l’orteil de ta mère ?
-oui maman… J’adore lecher ton pied. Ah Putaaaaain je viiiens…

Je me retire, raide comme un piquet, j’aurai adoré me finir mais ce n’est pas terminé.

Florence lui demande d’arrêter, elle saisit le concombre, j’ai a peine le temps de me retirer qu’elle la pénétre.

– Tu peux me le mettre bien profond, hésites pas…

Je savoure cet instant. Florence defonce sa fille, elle me fixe du regard. Elle a ce regard de chienne de guerre. Elle réalise sans doute qu elle est dans l’interdit le plus ultime. Sans demander elle glisse un pouce dans le cul en même temps. Émilie décolle…

– Viens mon amour, je veux te sucer en même temps.

Quel bonheur, cette scène est surréaliste, intense.

– Elle est trempée ta copine…
– Bah alors mon amour, c’est le concombre ou le fait que tu te fasses defoncer par ta mère !?
– Les deux. C’est dégueulasse mais je ne pense qu’à ma mère me defoncant dans leur canapé devant toi.
– Oh ça me plaît comme idée… Tu crois que c’est possible en vrai ?
– Jamais de la vie non… Oh Putain defonce moi la bouche aussi fort que je me fais baiser…
– Non… Maintenant je veux que tu gouttes florence. Leche ta première chatte. Pense que c’est celle de ta mère…

Florence s’installe en levrette, à genoux sur le canapé. Je guide Émilie à quelques centimetres du cul de sa mère. Je m’assois devant elle, sur le dossier du canapé. Florence lui ordonne alors.

– Leche moi le cul d’abord. Je veux sentir ta langue.
– Tu as la voix de ma mère Florence… Ca m’excite Putain…
– Alors pense à elle.

Florence me regarde au moment où sa fille pose sa langue pour la première fois sur elle. Elle a honte.

– Mon amour, je crois que Florence a un peu honte de se faire lecher par sa fille… Rassures la.
– n’ai pas honte maman, je suis né pour vider les couilles de David, je suis une chienne, une pute.. Qui adore lecher sur demande…

En même temps, je prends florence par les cheveux lui impose ma queue en gorge, doucement, silencieusement. Cet instant est délicieux, nous partageons un moment impensable, secret, interdit.

– Ton trou du cul dégouline… Tu mouilles même du cul…
– Ce n’est pas de la mouille Émilie… C’est un cadeau d’Antoine.

Je regarde Florence et comprends de quoi il s’agit, j’ai écouté quand elle a baise avec mon collègue. Il s’est fini dans son cul…

– Avant de vous accueillir, Antoine m’a enculé… Je me suis vidée mais il y en a encore un peu apparemment… Nettoies bien.
– Tu aimes mon amour ?
– C’est à toi qu’il faut demander… Tu sais comme j’aime le sperme…
– J’adore te voir lecher un cul plein de jus… Surtout s’il s’agit de jus d’un inconnu…

Émilie est entrain d’avaler le sperme de mon collègue. J’adore… Florence me suce encore et se pénétre avec le concombre pendant qu’emilie lui nettoie le cul. Sans prévenir, elle jouie… Baiser par un légume, lecher par sa fille. Elle est trempée, Émilie lui bouffe la chatte il n’y a pas d’autres mots. Son orgasme semble durer de longues minutes..

– Je veux me vider les couilles mon amour.
– Ou tu veux.

Je m’assois par terre, demande à Florence de lubrifier son cul. Émilie s’accroupie dos à moi et passe ses jambes de part et autres de moi.

– J’aimerai que Florence guide ma queue un peu… Elle t’a bien fait goutté le sperme d’Antoine… Tu peux bien m’offrir ce plaisir…?
– Oui…
– Tu crois que ta mère aime la prendre dans le cul ?
– Je ne sais pas, mais j’ai envie de penser que oui.
– Quand on rentrera tu lui demanderas… J’aimerai savoir.
– Promis, je trouverai un moyen de lui demander.

Florence me branle pour garder rester bien raide. Elle crache sur ma queue et bifle la chatte de sa fille avec.

– oh mon amour, c’est bon de se faire branler par une autre en ta présence…
– Tu penses à qui ?
– Ta mère évidemment.

Florence présente mon gland devant le cul d’Emilie. Elle s’assoie dessus lentement, Florence est spectatrice de cet instant. Je commence les vas et viens. Émilie gemit de plaisir. Elle a toujours les poignets liés dans le dos.

– mon amour, j’aimerai beaucoup que Florence nous leche un peu…
– Profite David… Profite.

Je garde ma queue dans le cul d’Emilie, écarte les cuisses.
J’offre une vue parfaite à Florence. Elle écarte encore plus mes jambes.

– Oh Putain, ta mère est entrain de me bouffer le cul comme une chienne…
– C’est bon ça… Quelle petite pute… Leche bien le cul de mon homme.

Quelle sensation extraordinaire… Defoncer un cul pendant qu’on se fait lecher le sien. Florence remonte de mon trou du cul vers mes couilles, les leche à en avoir presque mal, j’arrête les vas et viens ne laissant que le gland à l’intérieur. Je sens sa la langue qui passe de toute sa longueur sur ma queue, en même temps, elle me glisse un doigt, je ne dis rien à Émilie, Florence en enfonce même un 2e. Je donne des coups de bassin pour enculer Émilie autant que me faire enculer. Sa mère se jette sur la chatte de sa fille. Émilie et moi hurlons de plaisir. Elle a deux doigts dans la chatte de sa fille, deux doigts dans mon cul.

– Ah Putain Émilie, on se fait baiser par ta mère là….! Je vais te gicler dans le cul…
– Émilie, j aimerai qu’il m’ejacule sur la gueule et que tu racles avec ta langue. C’est plus sympa non ?
– vas y, je te nettoyerai comme une petite pute docile….

Je vais jouir, Florence sort ma queue du cul de sa fille, un peu sale, elle ne demande pas la permission à Émilie et me branle très fort en me sucant. Elle me defonce le cul au même rythme, il ne faut pas 10 secondes pour gicler dans sa bouche. Elle recrache immédiatement tout dans le creux de sa main et se l’étale grossièrement sur le visage.

Florence saisit Émilie par la queue de cheval. Et colle sa bouche sur la sienne… Mère et fille se mélange des coups de langue, mon sperme comme lubrifiant. Comment pourrait elle reconnaître sa mère, la voix est la mais Impossible que cela soit vrai. Émilie leche le visage de sa mère, intensément, Florence se racle le visage d’un doigt, sorti de mon cul et le glisse dans la bouche de sa fille.

– Vous avez été parfait. Je file à la douche. Je vous laisse filer pendant ce temps.

Florence embrasse sa fille une dernière fois, presse ma queue et en extrait une dernière goutte qu’elle dépose sur le bout de son doigt. Elle l’a dépose sur sa langue et file.

Quelques instants plus tard, je dénoue les liens qui entravent Émilie. Elle retire sa cagoule, se rhabille en vitesse, les vêtements sont dans l’entrée à même le sol. Nous claquons la porte en partant, comme un clap de fin. Fantasme ultime achevé..

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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