La matinée s’avance et Martine Ascona vient d’achever ses courses au supermarché. Son chariot est rempli et elle entasse ses provisions dans le coffre de sa voiture. Martine Ascona est une excellente épouse et une mère de famille sans reproche. Mais en même temps, elle est une salope d’une perversité extrême. Elle a le clitoris, les lèvres vulvaires, le vagin et l’anus hypertrophiés. On voit la bosse de son clitoris sous sa minijupe : son énorme organe érectile est en état d’excitation permanente. Ses lèvres vulvaires, très pendantes, et son vaste trou du cul, la démangent et l’énervent. Elle voudrait jouir là, tout de suite : une bite dans le vagin et aune autre dans le rectum, des urines et des merdes sur la vulve et dans la bouche… L’idée la fait pisser : elle ne porte jamais de culotte. Elle écarte les jambes et urine sous elle, sur le parking.
Un jeune homme la regarde, fasciné par le jet large et jaune, et par la mare qui grandit sur le macadam. La mère de famille ouvre encore davantage les jambes en souriant. Elle excite le gamin. Elle se dit (in petto et en pétant) qu’elle ferait volontiers des saletés avec ce jeune-là.
« Tu me regardes pisser ? demande-t-elle au gamin. Mais c’est sale, ça… Et tu vois tous mes poils… Tu as remarqué comme je suis poilue ? Admire mes bras et mes jambes : ils sont noirs de fourrure : ça excite beaucoup les mâles. Tu es un mâle, hein, petit salaud ?… Oh ! bien sûr : tu es déjà raide comme un porc ! Je vois quelque chose qui gonfle dans ta culotte ! Regarde mes cuisses, je remonte ma robe, je te montre tout : on dirait que j’ai un collant de laine, tellement je suis velue, hein ? Une vraie ourse… Je ne mets jamais de culotte. Tu vois ce qui pend entre mes cuisses ? Là… Je les touche et je les étire… Ces deux escalopes rouges qui me descendent plus bas que mi-cuisses ? Ce sont mes lèvres honteuses. Tu as déjà vu les lèvres sexuelles de femme? Bien sûr que oui, petit vicieux… Mes lèvres d’en bas à moi sont anormales. Bien trop grosses et trop longues. On appelle ça un tablier d’Hottentote, je te le dis parce que les adultes doivent toujours enseigner les choses utiles aux jeunes gens … Chez moi, c’est monstrueux. Tu aimerais que je te montre ma grosse chatte de près ? Tu voudrais me lécher, tu aimerais me traire ? Viens, mon chéri… Suis-moi dans les chiottes du supermarché. J’ai envie de faire des saloperies avec toi. Comment t’appelles-tu ?
– Olivier, madame, répond le jeunot tout ému.
– « Madame » !… Il est mignon… Appelle-moi Martine, comme tout le monde, et viens vite, regarde comme je bande… – Tu vas goûter ma bite femelle à moi : un manche ! Putain, que je trique ! Je suis excitée. »
Martine entre dans les WC du supermarché avec le jeune homme. Elle adore être vue. Elle fait passer sa robe par-dessus sa tête et s’expose. Elle est nue, mais on a l’impression qu’elle est habillée d’un épais collant noir. C’est sa fourrure naturelle. Elle est atteinte d’une forme extrême d’hirsutisme. Elle est poilue comme une guenon… Sa toison sombre, ondulée, prodigieusement épaisse et excitante, enveloppe la quasi-totalité de son corps.
La femelle s’exhibe devant le gosse, les cuisses bien écartées. C’est une fausse maigre au gros cul rebondi. Les bras, des mains jusqu’aux épaules, sont hérissés de poils longs et drus, qui forment aux aisselles deux touffes incroyables, deux chevelures noires, frisées et odorantes. Martine Ascona les donne à flairer au jeune Olivier, qui y enfouit sa figure et renifle en gémissant de désir comme un goret. La salope pétrit ses seins, petits mais couverts eux aussi de duvet noir et doux, et munis de suçoirs de huit centimètres de longueur, érigés sur d’énormes aréoles de dix centimètres de diamètre. La face ventrale de la femelle en chaleur, depuis le sternum jusqu’aux cuisses, est tapissée d’une fourrure monstrueusement fournie, parfumée, ininterrompue. Les poils remontent en crinière le long de l’épine dorsale, obscurcissent les reins et des fesses, puis descendent, toujours aussi exubérants, sur les cuisses, les mollets et les pieds.
« Maintenant, regarde bien mes organes, dit la salope au gamin qui se déshabille, lui aussi. Regarde, lèche, suce, baise, encule, fais ce qui te plaît, mon chéri… »
Olivier est fasciné par le paysage uro-génito-anal de la mère de famille obscène. Martine se penche en avant, ouvre les cuisses comme une nonne son missel du dimanche, écarte ses fesses à deux mains et sourit au petit bouc enchanté de l’aubaine. La vulve est superbement disproportionnée. Hors de la jungle des poils noirs, saillent un clitoris gigantesque et des nymphes hypertrophiées, pendantes comme des oreilles de cocker. Le membre femelle, une vraie clitopine, atteint quinze centimètres de longueur pour un diamètre de quatre : c’est un bâton de chair rouge, boudiné, raide et gluant, qu’achève un gland grumeleux, violacé et effilé comme celui d’un chien. L’extrémité de l’organe est munie d’un orifice fendu : la salope éjacule comme un homme. Ce clitoris royal domine comme un totem indien une vulve de jument. Les grosses lèvres, hypervelues, boudinées, grasses, définissent une longue fente sans cesse dégoulinante de jus, qu’encadrent les deux nymphes rouges et ballottantes, en tablier d’Hottentote. Ces hallucinantes pièces de chair ressemblent à des tranches de foie de génisse, épaisses de deux centimètres et larges de vingt. Elles cascadent en ondulant plus bas que la mi-cuisses. Sur vingt-cinq centimètres… Le vagin s’ouvre entre ces d****aux d’amour, tel un gouffre compliqué d’où coule en permanence un jus féminin épais, translucide, hyalin, gras et tiède comme du sperme.
Sous la vulve anormale, on voit la raie du cul encombrée d’un incroyable fouillis de poils noirs longs de vingt centimètres, entre lesquels bée le cratère anal. La femelle se fait enculer et prend la main dans le rectum depuis sa plus tendre enfance. Deux mains, depuis l’adolescence… Elle est dilatée à l’extrême. Son trou à merde ressemble à une cuvette de chiottes sur lequel elle trônerait à vie. D’un diamètre de douze centimètres, il comporte des parois qui saillent de plus de dix, comme un cratère volcanique. De profondes fissures, des peaux pendantes, des lobes, des dentelles et des festons de chair y forment un relief complexe d’où sourd en permanence un jus brun-jaune, puant, excitant. Martine Ascona est incontinente. La merde lui descend du boyau sans même qu’elle s’en aperçoive. Elle en a, en permanence, des coulées épaisses sur les poils du cul et des cuisses, en général jusqu’aux genoux. Le long des mollets et jusque sur les pieds quand elle est en période de diarrhée.
« Je suis bizarre, hein ? demande-t-elle en riant au gamin. Viens ici, mon amour, montre-moi ta belle tige… Oh ! mais tu es énorme ! Quelles jolies couilles rondes !… Et cette bite : tu mesures combien ? Dix-huit centimètres sur quatre ! Veinard… Une vraie bite à bonheur qui te monte plus haut que l’estomac !… M’étonne pas que tu regardes pisser les femmes sur les parkings des supermarchés ! Donne-moi cette trique, que je la suce… Mmmm ! C’est raide et doux, ça pue délicieusement… J’aime ta pine, putain de merde de petit mâle excitant… Tu me fais pisser la jute ! »
La femelle ignoble tète le gamin membré comme un ânon. Elle adore le goût de fromage, de sperme et de caca qui imprègne le pubis, la bite et les boules. Elle devine que cette queue-là, a navigué dans maints vulves et rectums surchargés. Elle se délecte de la raideur et du parfum puissant de ce sexe. Elle insinue la main dans l’entrefesses du jeune salopiot. Elle trouve le trou à caca. Elle le force aussitôt avec l’index et remue. Elle y ajoute le majeur et l’annulaire… Le jeune homme gémit de bonheur. Elle touille dans le rectum, qu’elle explore le plus loin possible. Très vite, elle sent la masse de merde entreposée. Elle caresse la surface molle et grasse des excréments, elle masturbe l’étron dans le boyau comme elle branle sa pine de dans sa bouche. Le gamin ne résiste pas. Il se met à pisser dans le gosier de la salope, qui tète comme un veau et jouit comme une Messaline. L’enfant urine pendant deux minutes, sans arrêt. Il pousse, il pète. Il a mangé beaucoup de grands bols de céréales depuis trois jours, sans se vidanger. A présent, il a besoin. Un énorme besoin…
« Oh ! dit Martine : je sens un énorme besoin là ; oui, énorme !… Il faut me le donner entier. Je vais te le faire pondre. J’en ai besoin, de ton gros besoin sale !
– Je sens que ça sort ! dit le jeune homme. Je ne peux pas me retenir : ça pousse, ça pousse… »
La salope réagit au quart de tour : elle s’allonge par terre, sur les étrons ignobles qui constellent les chiottes, les cheveux dans le trou d’évacuation qu’obstruent d’énormes paquets de matières fécales jaunes, brunes, noires ou vertes, et de toutes les consistances depuis le crottin dur jusqu’à la bouse chiasseuse, en passant par le boudin mollasse, les tortillons de pucelles, les chapelets de crottes, les virgules et les cylindres disproportionnés des grands mâles s**tophiles et des femelles reproductrices hyper-velues… Martine Ascona amène le cul du gamin à la verticale de sa bouche. Elle pignole avec passion la bite qui trique, rouge et raide. Elle caresse les couilles. Elle ouvre le trou à merde avec ses doigts et sa langue, en geignant :
« Vas-y, chéri : pousse !… Pousse fort… Donne moi ta merde …
– Hgnn ! Hgnn !… Je chie !… », gémit le jeune homme couillu et membru, dont le sphincter anal dévaginé, rouge vif, élargi de six centimètres, expulse une charge coprologique monumentale.
L’étron naît du rectum à la façon d’un gros serpent obscène. Il est brun clair, énorme, bosselé et s’allonge sur vingt, trente centimètres avant de s’effiler puis de se briser au niveau de l’anus crotté. Une pièce de merde superbe, luisante et glaireuse, ponctuée de fragments mal digérés, zébrée de portions putréfiées à l’odeur intenable… La salope reçoit le paquet sur la figure, elle le hume, le lèche, commence de le dévorer. Elle en taille un gros morceau, qu’elle écrase sur sa langue et ses dents. Elle mâche, elle se délecte, elle exprime le jus ignoble qui la fait bander, elle avale avec des soupirs de sainte en extase. Elle mord à nouveau dans la masse excrémentielle. Elle dévore avec frénésie. Elle a besoin d’ingérer des masses de matières honteuses. Elle est folle de la merde. Elle en consomme chaque jour des volumes étonnants, qu’elle restitue, redigérés, encore plus ignobles et plus puants, à l’intention de son mari et de ses enfants chéris, qui lui en rendent autant.
Elle se gave de substances fécales. Elle ne laisse rien perdre de la ponte obscène du garçonnet qu’elle vidange. Elle jouit comme une démente. Ses lèvres sexuelles monstrueuses, violemment étirées et frottées par le gamin vicieux, dégoulinent de jus comme des torchons qu’on essore. Sa clitopine, d’une dureté incroyable, avec ce gland de chien qui excite mâles et femelles, claque sur son ventre poilu. Elle se met à juter, à la fois comme une vache en chaleur, à grands jets vaginaux qui finissent en rigoles onctueuses sur ses cuisses velues ; et comme un mâle, par la fente de son gros membre actif : elle dégomme, elle décharge, elle arrose.
Le jeune homme crie de bonheur : elle lui tripote la pine et le tète avec passion. Le jeune porc suce le clitoris et la vulve écarlate, qui gicle de plaisir. Il n’y tient plus : il jute à son tour. Il se répand dans la bouche gourmande. Il l’emplit de huit jets successifs d’un sperme gras, tiède et abondant, qu’on s’attendrait à voir expulser par une bite adulte davantage que par celle d’un enfant innocent du cours moyen deuxième année. Les amants de la merde sont heureux. Ils jouissent encore un moment de la puanteur des chiottes publics et de leurs saletés. Ils sont ignobles, glaireux, pisseux, merdeux, le corps constellé d’excréments immondes ; en un mot, magnifiques.
« Oh ! dit Olivier : tu es pleine de caca partout. Et tiens : ça me fait rebander ! J’ai envie de manger ta merde, moi aussi ! J’adore les gros cacas puants des filles ou des dames poilues…
La femelle ne peut plus se retenir. Elle pète comme un soudard : l’odeur des vents qui retentissent pendant plus d’une minute est affreuse et durcit encore l’érection réflexe de l’enfant. La femelle chie sur elle, sans se retenir, en soupirant, le sourire aux lèvres. Elle pond un gros trouillon de merde jaune, puante et collante comme une selle de truie, glaireuse comme un monstrueux crachat, qu’elle cueille dans sa main et elle plaque successivement sur sa vulve et son cul, puis sur le ventre, la bite et les couilles du garçonnet tige-en-l’air.
– Le Paradis, dit Martine Ascona, est un cloaque de vulves et de trous du cul. Etrons luisants, chiasses immondes ou crottes durcies. Bites et vagins qui jutent. Sexes anormaux et femelles velues comme des animaux… Putain de bordel de saloperie de merde universelle, je jouis rien que d’y penser ! »
Titre original: Les récits de l’HLM de la merde / Chapitre II
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