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Chloé était dans sa chambre. Aujourd’hui ses cours à l’université ne commençaient qu’à 10 heures, elle avait donc un peu plus de temps que les autres jours de la semaine pour se livrer à son activité favorite qui consistait à se caresser le minou, chose qu’elle avait appris très jeune et qu’elle pratiquait assidûment chaque jour, une fois le soir et une autre le matin. Elle avait la faculté de pouvoir choisir le rythme de ses orgasmes, sachant trouver les zones sensibles pour jouir rapidement quand il le fallait mais qui la laissait toujours sur sa faim ou alors comme ce matin et les week-ends, en prenant son temps, laissant monter le plaisir lentement, évitant le clitoris qui était, chez elle, comme chez beaucoup de femmes, le centre de la jouissance. Puis elle stoppait ses caresses, ce qui la frustrait un peu mais elle savait que c’était pour mieux repartir vers le 7ème ciel.
Aujourd’hui donc, elle en était à sa troisième ascension vers le paradis et savait que la prochaine serait la bonne. Ses doigts reprirent leur activité, passant lentement entre les grandes et petites lèvres, descendaient vers le vagin pour s’y introduire et collecter un peu de son abondante mouille et la ramener vers le haut appuyant très fort sur tout le parcours de sa fente pour finir sur son bouton qui pointait depuis un moment déjà hors de son capuchon en attendant la caresse ultime qui lui permettrait d’envoyer la vague du plaisir qui allait irradier le corps de Chloé et la délivrer enfin de la trop forte tension qui s’était accumulée depuis le début de sa masturbation. Son corps s’arque bouta ne laissant plus que la tête et les talons sur le lit puis retomba lourdement sur le lit en faisant grincer les ressorts du matelas.
«Voici une magnifique journée qui commence», se dit-elle le souffle court.
Chloé ne savait pas que derrière la porte de sa chambre se tenait sa mère qui savait pertinemment que sa fille s’adonnait à la masturbation. Elle le savait presque depuis le début, c’est-à-dire à la puberté de sa fille, l’âge où les hormones commencent à faire leurs effets. Elle l’avait surprise, revenant de faire ses courses plus tôt que prévu, sans se faire voir, un mercredi après-midi, puisque écolière elle n’avait pas classe, à demi allongée sur le canapé, lisant un livre qu’elle reconnut et qui parlait de la sexualité mais rien de très osé, sinon elle ne l’aurait jamais laissé à porté de main, c’était plutôt traité de façon médicale. Malgré tout ce livre comportait des dessins et photos des appareils génitaux et elle comprenait, qu’à cet âge, cette découverte avait quelque chose d’excitant ce qui était le cas de Chloé car elle avait une main qui s’agitait dans la culotte. Sa fille se masturbait. Elle ne savait pas si sa découverte des plaisirs solitaires avait commencé depuis quelques temps déjà ou si c’était récent, en tout cas elle eut le temps de voir le petit corps à peine formé de sa fille, se raidir soudain sachant pour l’avoir pratiqué elle-même, au même âge, que Chloé venait de jouir. Elle repartit vers la porte d’entrée en faisant claquer la porte et n’entra dans le salon où était sa fille que lorsqu’elle fut certaine que Chloé avait eu le temps de remettre le livre à sa place.
Ça va ma chérie lui dit-elle?
Oui maman, répondit Chloé le souffle court et les joues légèrement rouges.
A partir de ce jour elle prit l’habitude quelques soirs et quelques matins, de coller son oreille à la porte de la chambre de sa fille. Aux soupirs un peu appuyés qu’elle entendait, elle savait que Chloé se donnait du plaisir.
Lorsque elle-même regagnait sa chambre, elle ne pouvait ôter l’image de sa fille, sur le canapé du salon, la main dans la culotte. Elle aurait préférer la voir maintenant, certainement sans sous-vêtement, les doigts furetant sur son petit abricot imberbe, malheureusement cela elle ne pouvait que l’imaginer. Une fois dans sa chambre elle se déshabillait, restant un moment, nue, devant la glace de l’armoire.
Il faut dire qu’elle vivait seule avec Chloé depuis sa naissance et que le géniteur n’avait pas trouvé mieux que de disparaître alors que sa fille n’avait pas encore un an.
Son profond dégoût pour les hommes qu’elle considérait comme des personnes lâches, avait mis sa propre sexualité entre parenthèse et voilà que Chloé venait la réveiller.
Donc, nue devant sa glace, elle contemplait son corps qui avait pris quelques kilos mais qui, dans l’ensemble restait appétissant. Des seins lourds légèrement tombants, avec des tétons très proéminents, une taille assez fine comparée à son large bassin, des jambes un peu fortes joliment galbées toutefois mais, elle regardait surtout le buisson qui ornait le bas de son ventre et cette vision se mélangeait avec les images de sa fille se donnant du plaisir. Elle savait que dans quelques minutes elle serait allongée sur le lit, jambes ouvertes et que ses mains, ses doigts allaient retrouver le chemin qu’elle avait emprunté si souvent dans ses jeunes années. Elle avait, grâce à Chloé, retrouvé son identité de femme. Ce qui la dérangeait le plus c’est qu’elle était dépendante des masturbations de sa fille; Le soir ce n’était guère un problème, bien à l’abri dans l’intimité de sa chambre mais le matin elle se devait d’être dans la cuisine, préparant le petit-déjeuner, le feu au ventre sachant que sa fille allait arriver, toute guillerette du plaisir qu’elle venait de prendre. A peine sa fille avait-elle quitté la maison, ne prenant pas le temps débarrasser la table, elle s’asseyait sur une chaise, les fesses au bord du siège, jambes grandes ouverte et elle se faisait jouir très vite tant l’envie était grande.
«Chloé, disait-elle en activant sa main de plus en plus vite, vois ta mère, cette dépravée qui voudrait que tu sois là, à me regarder me branler, à te regarder en faire autant.»
Elle se rappelait son petit minou lorsqu’elle lui donnait son bain. Comment est sa chatte maintenant? Ses petites lèvres doivent être saillantes à force de se caresser, comme les miennes en ce moment commentait-elle en tirant dessus pour les faire saillir davantage, et son bouton, était-il gros, long? J’aimerai tant le voir bander. Et elle faisait saillir le sien qui était déjà de bonne taille. Elle venait de jouir mais elle savait qu’elle allait recommencer.
Elle n’était plus la même. Le réveil de ses désirs la laissait perplexe. Elle avait envie de jouir mais pas sous les caresses d’un homme. Seul son enfant peuplait ses pensées. Elle en avait honte et en même temps ça la faisait mouiller.
Cette situation maintenant durait depuis plusieurs mois et ce qui n’aurait jamais du arriver arriva, le retour inopiné de Chloé après son départ vers l’université qui avait oublié un de ses livres. Elle rentra et passa en coup de vent devant la porte de la cuisine ouverte, ne laissant pas à sa mère de reprendre une tenue décente. Elle avait du voir quelque chose d’inhabituel car elle stoppa sa course et revint vers la cuisine. Sa mère dans sa précipitation à se rendre présentable, n’avait pas réussi à remettre son peignoir sous lequel elle était nue.
Maman demanda sa fille, que fais-tu nue dans la cuisine?
Je…Je…Bredouilla-t-elle les joues écarlates.
Bon répondit Chloé, je n’ai pas le temps, on en reparlera ce soir bien que je me doute un peu de ce que tu faisais car j’ai quand même eu le temps d’apercevoir certaines choses qui me laissent deviner à quels jeux tu te livrais.
Chloé remonta dans sa chambre, et repartit aussi vite qu’elle était entrée.
Avait-elle réellement vu se demanda-t-elle? Peut-être pas, bien que ses dernières paroles étaient plutôt explicites.
Toute la journée la mère de Chloé fut fébrile et redoutait la confrontation qui allait avoir lieue. Quand sa fille arriva, elle monta et s’enferma dans sa chambre. La maman fut décontenancée devant ce comportement et ne la voyant pas redescendre, elle décida d’aller lui parler. Devant la porte elle hésita mais elle voulait crever l’abcès en se décidant de frapper à la porte.
Ouvre ma chérie, il faut qu’on parle.
Entre, répondit sa fille, je n’ai pas mis le verrou. Je t’attendais.
La mère de Chloé entra. Sur le lit se tenait sa fille, entièrement nue, allongée sur le lit, une main entre les cuisses.
C’est comme ça, n’est-ce pas maman, plutôt que m’espionner derrière la porte?
Tu…Tu…Tu savais?
Bien-sur, pour qui crois-tu, que je manifestais aussi bruyamment mon plaisir. C’est par hasard que j’ai su. J’étais partie aux toilettes et en revenant, je t’ai vue, l’oreille collée à la porte mais aussi, tu avais ta robe de chambre ouverte, sous laquelle tu étais nue et un instant j’ai aperçu ta main qui se glissait entre tes cuisses, comme moi en ce moment.
Surprise, je me suis arrêtée et j’ai attendue. J’ai remarqué ton air dépité quand tu as regagné ta chambre. Ce fut moi qui suis allé coller mon oreille à ta porte et là, je compris ce que tu faisais. C’est cette fois-là aussi que je me suis masturbée en t’écoutant et j’ai compris ce que tu ressentais en m’écoutant. J’ai eu un violent orgasme, plus violent que d’habitude et, les autres soirs, ta supposée présence derrière ma porte, décuplait mon plaisir. Et maintenant tu vas assister à ma jouissance, non seulement avec tes oreilles mais aussi avec tes yeux.
Non, je ne peux pas, je vais te…
Je veux que tu restes maman ordonna sa fille!
Le ton que Chloé avait employé la figea sur place puis elle ne put s’empêcher de regarder sa fille dont les jambes s’étaient ouvertes en grand, exposant à sa mère sa chatte à peine poilue et qui plongeait ses doigts dans sa fente en faisant entendre les clapotis de sa mouille. Sa jouissance vint très vite avec une rare v******e comme un volcan qui crachait son feu après avoir été trop longtemps contenu.
Maman! Avait-elle hurlé.
Ce cri résonna dans la tête de la mère qui, dans un élan maternel, comme l’aurait n’importe quelle mère pour protéger son enfant, se précipita vers le lit et serra très fort sa fille dans ses bras. Elle sentit le corps de sa fille, d’abord tendu, s’apaiser lentement et affectueusement l’embrassa non pas sur le front ou les joues mais sur la bouche. Son baiser qui se voulait chaste mais Chloé l’avait saisi derrière le cou en appuyant plus fortement ses lèvres, allant même jusqu’à les entrouvrir et glisser sa langue vers les lèvres de sa mère qui, inconsciemment, fit la même chose et le baiser devint un véritable baiser passionné. Chloé dut se rendre compte que sa mère était dans un état second et en profita pour lui saisir la main et la diriger vers son bas-ventre. La mère de Chloé n’opposa aucune résistance et, comme si cela était parfaitement normal, elle caressa le minou de sa fille. Elle trouva rapidement les zones sensibles ainsi que le bon rythme comme elle l’aurait fait sur elle-même. Elle voyait le bassin de Chloé venir à la rencontre de ses doigts de plus en plus fort, elle sentit que c’était le moment d’en finir et son doigt se dirigea vers le clito qu’elle avait volontairement ignoré jusque là? D’abord surprise pas sa taille, elle s’en saisit, le pinçant entre le pouce et l’index et entama un va et vient comme si elle branlait une bite de garçon. Ce devait être la bonne méthode car Chloé se mit à gémir plus fort en criant:
Oui maman, c’est bon, n’arrête pas.
Le corps de la fille se raidit, libérant un flot de mouille.
Si tu savais maman depuis quand j’attendais ce moment.
Chloé posa sa main sur les genoux de sa mère et remonta lentement le long de la cuisse.
Tu veux bien maman, dis, tu veux bien?
Pour toutes réponses la mère écarta les jambes.
Oui ma petite fille, oui! Nous allons être heureuses toutes les deux.
2
Élise, la mère de Chloé, avait maintenant des liens très forts avec sa fille, non seulement affectifs mais sexuels aussi, un amour passionnel les unissait.
Le soir après le repas, elles aimaient se retrouver sur le canapé, regardant la télé, serrées l’une contre l’autre. Le programme n’avait guère d’importance, elles se sentaient bien ainsi. De temps en temps elles essayaient une caresse sur un sein ou la cuisse. Toutes deux savaient que, bientôt, elles allaient se retrouver dans la chambre de l’une ou de l’autre, qu’elles se mettraient nues, qu’elles s’étreindraient avec amour, que leurs sens exacerbés, allaient les obliger à se donner des caresses beaucoup plus intimes mais elles retardaient au maximum ce moment sachant que le plaisir n’en serait que plus violent.
Le plus souvent c’était Chloé qui, impatiente de recevoir les caresses, les baisers de sa mère, démarrait les ébats. Elle prenait la main de sa mère et la guidait jusqu’à son entrecuisse. Élise se laissait faire, comprenant l’état d’excitation dans lequel était sa fille, mais par jeu, sa main restait passive, alors Chloé frottait la main inerte de sa mère sur sa chatte.
Élise s’amusait de voir sa fille se démener, pour essayer d’obtenir son premier orgasme de la soirée.
Elle aussi était dans le même état mais privilège de l’âge, elle possédait un meilleur self-control, puis, voyant Chloé s’énerver, elle l’embrassait passionnément sur les lèvres, puis descendait lentement sa bouche, d’abord vers les seins, de beaux petits seins, en forme de pomme, dont elle agaçait les tétons, continuait sa descente vers le ventre et le pubis.
Les jambes de sa fille s’écartaient, comme pour lui dire: oui, viens, regarde comme je mouille. Élise regardait le minou de sa fille, dont les petites lèvres gonflées dépassaient de façon obscène, et son clitoris érigé n’attendait que le baiser de la délivrance.
De par sa position, Élise avait sa chatte à hauteur du genou de Chloé et par des mouvements lents du bassin, entretenait une excitation permanente pendant qu’elle léchait l’abricot de sa fille, avec avidité cette fois, mettant fin au supplice de Chloé.
Très vite un flot de cyprine lui envahissait la bouche. C’était le premier et toujours plus rapide orgasme de sa fille, sachant que plusieurs autres suivraient.
Profitant de l’inertie de sa fille due à sa jouissance, Élise en profitait pour accélérer les mouvements de son bassin et de se faire ainsi jouir d’un timide orgasme, sachant que le plat de résistance viendrait dans quelques instant. C’est épuisées mais heureuses qu’elles s’endormaient enlacées
Certains soirs, lorsque le programme télé ne les intéressait pas, elles aimaient à discuter et, souvent il était question de sexe.
Comment as-tu découvert la masturbation demanda un jour Élise à sa fille?
Ce fut la première année où tu m’as envoyé en vacances chez tante Lucie.
Ma jeune sœur?
Bien sur, tu en connais beaucoup de Lucie. Je sentais bien que mon corps se transformait j’avais l’âge où les garçons commençaient à tourner autour de moi allant même avec une certaine fierté, me montrer leurs zigounette Je faisais la fille blasée mais je regardais quand même leurs attributs, avec intérêt surtout que le plus souvent ils étaient en érection.
Dans mon lit, le soir, les images de ces zizis que j’avais vus me procuraient de drôles de sensations dans le bas de mon ventre.
Et c’est à ce moment là, que tu as commencé tes caresses sur tes parties intimes, mais quel est le rapport avec tante Lucie?
Non à ce moment je n’avais pas encore trouvé le chemin de mon minou. Tout à commencé chez tata. Dans sa belle villa du sud de la France, elle avait invitée, en même temps que moi, la sœur de son mari qui avait une vingtaine d’année à l’époque. Il faisait très chaud et après le déjeuner, nous avions pris l’habitude de faire la sieste mais le plus souvent les adultes plaçaient leur transat au bord de la piscine, sous d’énormes parasols. J’avais remarquée que tata et sa belle-sœur Élodie enlevaient leur haut de maillot. Elles avaient de beaux seins et je les enviais, moi avec ma poitrine presque plate. Tonton, lui, avait un maillot de bain genre boxer, très moulant qui laissait deviner un zizi dont la taille était nettement supérieure à ces petites bites que j’avais vue jusqu’à présent. De ma fenêtre en me penchant un peu, j’avais vue sur la piscine mais je ne m’étais jamais attardé à la regarder sauf une fois où, avant de monter dans ma chambre, il m’a semblé que tante Élise passait sa main sur la bosse qui déformait le maillot de son mari, un geste furtif mais qui m’avait troublée. Aussi, pour une fois, je me tordais le cou pour regarder ce qui se passait sous les parasols et là, je vis une chose que n’aurais jamais imaginée, ma tante tenait le zizi de tonton dans sa bouche et le suçait comme elle l’aurait fait avec une sucette. Malgré l’éloignement je remarquais que le sexe de tonton avait pris d’autres dimensions, il me paraissait énorme d’ailleurs tata avait beaucoup de difficulté à le prendre en bouche. Ce spectacle me procura une certaine excitation au bas de mon ventre et pour la première fois j’y portais la main pour essayer de calmer les picotements mais mon excitation atteignit son paroxysme, quand Élodie arriva. Je pensais que sa venue allait remettre le couple dans une position décente mais non, tata léchait le sexe avec plus d’ardeur encore. Élodie s’agenouilla entre les jambes d’Élise et plaqua sa bouche sur le minou de ma tante. C’est ce nouveau spectacle qui m’obligea à entrer mes doigts plus profondément dans ma chatte, comme tu me fais en ce moment maman chérie. Non, n’arrête pas.
Et tu as eu ton premier orgasme conclut ma mère.
Oui maman aussi fort que celui que je vais avoir maintenant. Aaaah…
Que s’est-il passé ensuite demanda ma mère?
Ce fut pareil chaque jour, avec des variantes, Élodie suçait son frère pendant que tata la gouinait, tonton pénétrait l’une ou l’autre et moi, à chaque fois je me faisais jouir.
Et bien, je savais que ma sœur était chaude mais je n’aurais jamais imaginé qu’elle puisse aller jusqu’à là.
Maman, tu veux bien que je te caresse la chatte, j’adore ça. Dommage qu’à l’époque j’étais trop jeune, j’aurai aimé participer.
Oui ma chérie, branle-moi et parle-moi encore de ma salope de sœur.
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