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secretaire boulotte 4

secretaire boulotte 4



Le lendemain matin, j’avais eu le temps de préparer mon scénario. Elle se présenta à l’heure prévue. Comme je l’avais espéré, elle m’avait obéi. Elle était maquillée, attaché ses cheveux et passé une robe de couleur sombre, pas très sexy mais une robe…
Je me levai de mon bureau ‘approchez mademoiselle’
Elle rougissait déjà devant mon regard appuyé. Elle se tenait les bras croisés devant elle, je tournais autour d’elle et l’auscultais.
Un gilet noir était passé sur sa robe, boutonné jusqu’en haut.
‘Enlevez-moi ça’
‘Mais je vais avoir froid’
‘Vous voulez décevoir mon client ?’
‘Non monsieur’
Enlevez-moi ça et posez-le sur la chaise.
Je lui tournais toujours autour, elle était à l’étroit dans sa robe et ses formes généreuses ne pouvaient plus être dissimulées.
Déboutonnez moi ça, vous serez plus à l’aise. Je montrais les 3 boutons qui fermaient le col de sa robe.
Elle me regarda mais ne dit rien cette fois ouvrit son col.
Je me trouvais en face d’elle et lorgnait son décolleté plongeant, je pouvais voir la naissance de ses seins d’un blanc laiteux. La robe étroite les comprimait. Un régal.
‘Je vous félicite mademoiselle, vous êtes charmante ce matin. En tout ca bien plus qu’après notre petite séance’.
Elle baissa les yeux et piqua un phare.
‘Allez je vous laisse travailler’
Elle ouvrait la porte de mon bureau..
‘Une dernière chose, vous m’enlèverez ce collant noir ridicule et vous me l’amènerez. Vous le récupérez avec votre pull ce soir !’
Elle me regarda hébétée ‘Bien monsieur’
Je me dis que sa journée va être bien longue…
J’essayais de reprendre mes activités et réglais les affaires pressantes. En fin de matinée, j’appelais ma petite stagiaire pour lui dicter certaines choses.
Elle arriva aussitôt, jambes nues, son collant à la main.
‘Ah voila qui vous va à ravir !’
‘Laissez cela sur la chaise’, je le récupérais et le glissais dans ma poche.
‘Bien bien bien’ Je tournais autour d’elle et pouvait entendre sa respiration saccadée. J’admirais sa croupe et ses hanches larges. Je restais derrière elle, résistant à l’envie d’empoigner ses fesses rebondies.
‘Alors pas trop douloureuses ces fesses ce matin ?’
‘Si monsieur’
‘Vous l’avez mérité n’est ce pas ?’
‘Oui’
Un silence. Je ne me gênais pas pour inspecter la moindre de ses courbes.
‘Bien au travail maintenant, prenez place dans mon fauteuil, je vais vous dicter plusieurs choses, nous n’avons pas beaucoup de temps avant l’arrivée de mes clients’
Elle s’assit avec précaution.
‘C’est douloureux ?’
Elle rougit et regarda l’ordinateur. Je me tenais à ses côtés, debout, le regard plongeant dans son décolleté largement ouvert. Son soutien gorge apparaissait, gonflé par ses mamelles laiteuses. Elle tirait sur le bas de sa robe pour tenter de cacher ses genoux.
Je commençais à bander.
Je lui dictais toute une série de chiffre rapidement, trop rapidement !
Elle sentait mon regard obscène sur son corps exposé, qu’elle avait l’habitude de cacher.
Elle faisait de plus en plus d’erreurs de frappe, troublée.
Mes cuisses touchaient maintenant les bras du fauteuil, mon sexe tendait mon jean.
En continuant à lui dicter, j’ouvrais doucement un grand tiroir du bureau et en sortais un rouleau de film étirable, le même modèle que la veille…
Tout en continuant à frapper, elle se mit à trembler, les erreurs ne frappent s’accentuaient…
‘Non svp, monsieur !’
‘Continuez ! Quand vous aurez fini votre saisie, vous viendrez au milieu du bureau !
‘S’il vous plait !’
‘Vous faites vraiment trop d’erreur de frappe, je dois encore vous corriger !’
Docilement elle finit par venir me rejoindre au milieu de la pièce.

Comme la soumission de cette fille m’excitait !

Je pris le film et commençais à lui lier les poignets en lui croisant les avant bras dans le dos.
Je m’accroupis et lui liais les chevilles. Elle pleurnichait mais ne bougeait pas.
Une fois les chevilles immobilisées, je déployais doucement le film pour remonter les long de ses mollets, puis ses genoux. Son équilibre était précaire.
Je tirais de plus en plus sur le film en l’enroulant. Le film épousait parfaitement ses formes, son cul, ses hanches, son ventre. En arrivant au niveau de la taille, je la comprimais fortement pour mettre en valeur ses formes. Puis j’englobais ses bras immobilisés. Le film comprimait ses seins, tellement que je voyais ses tétons dressés qui pointaient. Elle respirait fort et ouvrait la bouche.
J’étais l’araignée qui empaquetait sa proie dans sa toile, sa mouche. Celle ci ne se débattait pas et semblait même y prendre du plaisir !
J’arrivais enfin au cou, je fis plusieurs tours et arrêtais.
Elle titubait, perdait l’équilibre, était oppressée par sa gaine de plastique qui lui écrasait les poumons.
Je la fis assoir ou plutôt s’écrouler sur une chaise, dans un crissement du film tiraillé. Ses courbes généreuses étaient offertes comme si elle était nue.
J’ouvris un placard coulissant et amenais deux bouteilles d’eau et un entonnoir, que je lui enfilais de force dans la bouche.
‘Tu vas beaucoup suer, il faut boire !’
Et je retournais la bouteille dans l’entonnoir en lui bloquant la tête en arrière. Elle s’étouffait, crachait, reprenait son souffle, essayait de protester. Au bout de 2 l elle n’en pouvait plus.
Je nettoyais l’eau au sol et sortais du bureau en lui laissant reprendre son souffle.
Un ¼ d’heure plus tard je revins, son collant enroulé dans la main. Je lui fis ouvrir la bouche et l’enfournais malgré ses lamentations, je filmais le tout solidement.
Son collant déjà poisseux de mon sperme allait se gorger de sa salive. Elle n’allait pas tarder à sentir ma surprise ! Elle ne pourrait même pas déglutir et allait garder mon précieux liquide pendant quelques temps !
Voila ! mon paquet était prêt !

Je la levais et la trainais jusqu’au placard. J’avais libéré une place ce matin sous la penderie, au milieu des chaussures sales et de ramettes de papier. Je la plaçais sur le dos et soulevais ses jambes.
Elle commençait à s’affoler et criait et se débattait. J’attachais ses chevilles sous la penderie, je la bourrais contre le mur pour pouvoir refermer la porte coulissante.
Elle se retrouvait dans le noir. Elle protestait à travers son bâillon et soulevait son gros postérieur pour tirer sur ses jambes, la porte tremblait.
Je ne pouvais m’empêcher de penser à mon sperme qui devait s’écouler doucement dans sa gorge.
A travers la porte je lui annonçais que cette séance m’avait mis en appétit et que j’allais à la cafétéria.
‘Sois sage d’ici là mes client arrivent à 13h30’

Un grand silence…
J’ai un don pour calmer les jeunes filles !

A SUIVRE

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