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Claude, Françoise, Jean, Félix et les autres

Claude, Françoise, Jean, Félix et les autres



Cette semaine, j’ai eu de la chance. J’avais une très grosse envie de jouir comme une grosse salope. Comme à chaque fois dans ces cas là, et comme dans un cérémonial bien orchestré depuis des années, je me prépare comme une pute en me rasant bien les couilles. Je me lave bien à fond le cul en finissant par une noix de crème Nivéa dans l’anus pour bien pouvoir me doigter ou me faire doigter la rondelle. Je me mets aussi dans le cul un petit plug pour bien m’élargir la rondelle et m’exciter l’anus. J’enfile ensuite mon mini string de femme en soie, rouge, qui cache à peine mon sexe, me rentre bien entre les fesses et excite beaucoup mes partenaires de hasard. Je termine par un porte-jarretelles rouge aussi, avec des bas de soie. J’adore le contact de la soie sur mes jambes. Cela m’excite terriblement et me fait bander très fort.

Je prépare aussi mon petit baise en ville avec quelques capotes, du lubrifiant et mes deux gods favoris ; le petit et long vibrant pour mon cul et le gros pour sucer. J’enfile aussi mon anneau sur ma bite pour augmenter la taille et la durée de mes érections.

Tous ces préparatifs m’excitent au plus au point. J’aime le contraste de ma tenue de pute cachée sous mon costume… Qui pourrait imaginer ce que je cache !

Après, je me rends à Saint-Denis dans les cabines pour bien m’exciter en regardant les films de cul bien hard. Je choisis toujours une cabine avec une vitre puis je me déshabille, ne gardant que mon string, mon porte-jarretelles et mes bas. Je sors ma queue qui est tout de suite très grosse, aidée par ma bague en caoutchouc. Je me pince bien les tétons d’une main et je remplace le plug dans mon anus par mon doigt. Je zappe toujours sur mes films favoris ; les travestis avec des seins superbes et des grosses bites bien raides, qui ne demandent qu’à enculer tous les trous qui se présentent ; les noirs avec des bites énormes, grosses comme des bras, qui fourrent des chattes de petites salopes blanches en chaleur. Celui qui est en ce moment à l’écran a vraiment un braquemart gigantesque. Il se fait sucer par la fille, petite et très mince, qui lui tient la queue à deux mains et a toutes les peines du monde à avaler son gland. Je rêve d’une bite comme celle là, qui viendrait se frotter entre mes fesses et qui me cracherait des flots de foutre dans la bouche et sur mes seins. Je suis obligé de me retenir car sinon je vais jouir tout de suite. Ce salaud de noir m’excite de façon incroyable ; je me mets à genoux devant l’écran, le cul tendu en arrière qui réclame une bite et ma bouche grande ouverte et baveuse devant son braquemart. Je marmonne doucement :

 » Vas-y gros salaud, remplis-moi la bouche avec ta queue, je vais te baver dessus et la faire cracher ; prend moi, je suis ta pute, vient dans mon cul ; je veux sentir tes grosses couilles s’écraser sur mes fesses. « 

Je me caresse en même temps, toujours avec un doigt dans le cul qui réclame encore plus.
Je suis excité comme une salope en chaleur. Je sors mon gros god et le colle sur l’écran et je commence à le sucer, avec la queue du noir sous mes yeux. C’est très bon ; j’ai vraiment l’impression que c’est lui que je suce et qu’il bande pour moi. Je prends mon autre god, l’enduit de lubrifiant et me l’enfile dans l’anus. Je mets le vibreur en route et pousse le god à fond dans mon cul tendu au maximum. Je le coince avec mon string pour branler l’autre god toujours collé sur l’écran et je me fais les seins. Là, je suis vraiment près à tout pour jouir.
Tout en bavant sur la bite en caoutchouc, je continue à regarder l’écran :

 » Ah ! Putain, quelle bite ! Je veux tout ton foutre de noir pour moi ! Vas-y, viens m’enculer, mon cul de salope est grand ouvert pour toi. « 

Comme j’avais entrouvert la vitre de ma cabine en entrant, j’entends frapper doucement au carreau. Mon voisin est collé à la vitre et me regarde, en tirant la langue comme pour me sucer. Il me fait signe d’ouvrir plus grand ma vitre. Je me lève et lui obéis. Il a la cinquantaine, du ventre et une petite bite, pointue, qui a l’air très raide et très dure. Il a des seins volumineux, comme des seins de femme, très fermes. Il me demande s’il peut venir dans ma cabine. Comme mon envie de jouir a décuplé depuis tout à l’heure, je n’hésite pas un seul instant. Je lui montre le god que j’ai dans le cul en lui faisant signe de venir. Aussitôt, il se rhabille et quelques secondes après, il est dans ma cabine. A la vue de ma queue qui n’a pas diminuée de taille depuis tout à l’heure, il est comme fou. Il se colle derrière moi et entreprend de me branler par en dessous, en me prenant bien les couilles d’une main et la bite de l’autre. Je tends mon cul en arrière et le frotte sur son ventre, en me faisant les seins. Je sens que je vais jouir trop vite. Je lui demande de se déshabiller car je veux sentir sa bite entre mes fesses. Dès qu’il est nu, il vient s’écraser derrière moi. Je retire mon god pour qu’il me doigte l’anus. Je sens sa bite bien raide qui pointe entre mes fesses. Il se branle dans mon string tout en continuant de me branler par en dessous. Je lui dis que je veux sa bite dans mon cul. Je veux qu’il me baise comme une pute en me faisant les seins. Comme il est d’accord, je me retourne pour lui mettre un préservatif, que j’enduis bien de gel lubrifiant. Mon cul est déjà ouvert et lubrifié par le plug puis mon god. Je lui demande s’il peut se retenir pour pouvoir me décharger son foutre sur le visage et les seins. Il me répond qu’il va d’abord me jouir dans le cul car il en a très envie mais qu’après il pourra m’en mettre une bonne dose sur la gueule car il peut jouir trois ou quatre fois de suite, sans débander ! Après, il veut que je l’encule pour jouir une dernière fois.

Il se met derrière moi et commence à m’enculer doucement. Sa bite est très raide et je la sens très bien qui me lime. Il me maintient en érection en me caressant et en me faisant les seins. A l’écran, il zappe jusqu’à afficher un film ou un noir magnifique est entrain d’enculer un travesti brésilien. Celui-ci est très bien monté et il a une paire de seins superbes. Je suis excité comme un malade. Je lui dis :

 » Vas-y, prends-moi le cul, je suis ton travesti, ta pute. Viens, jouis-moi dans le cul, je vais te serrer la bite pour qu’elle crache tout. Caresse-moi les seins comme le salaud de noir à l’écran. Ah, c’est bon, ta bite dans mon cul me rend fou. « 

Je le sens qui s’enfonce en moi, ses couilles s’écrasent sur mes fesses. Comme je suis à quatre pattes, je reprends le gros god collé sur l’écran et entreprend de le sucer en disant :

 » Vas-y, encule-moi bien à fond. Je vais te sucer la pine comme le god et boire tout ton foutre. Je veux du sperme plein la bouche. Je veux qu’il coule à flot. « 

Il me pince les seins et me claque les fesses avec mes jarretelles en gueulant :

 » Ah, tu vas me faire jouir salope, je n’y tiens plus ! Tiens, prends çà dans ton cul, putain. Gardes ta queue bien raide et pleine, je la veux dans mes fesses aussi ! « 

Je sens soudain sa bite qui grossit et je sens les secousses de ses jets de foutre. J’ai le cul en feu et ma bite est prête à cracher aussi. Il se retire sans débander et retire sa capote qui déborde de foutre qu’il me verse entre les seins en disant :

 » tiens, salope, voilà un acompte en attendant ce que je vais t’envoyer quand tu m’auras bien ramoné le cul. « 

Je lui dis :

 » Suce-moi bien, je vais mettre une capote avant de te défoncer la rondelle. J’ai envie de prendre ton gros cul et de tes seins de salope. « 

Ma queue est gonflée au maximum. Je lubrifie bien la capote et je m’assois sur le siège, la bite bien dressée et raide. Il me tourne le dos et s’empale sur ma queue. Malgré le lubrifiant, j’ai du mal à entrer car il a le cul serré. Je pousse pendant qu’il écarte bien ses fesses au maximum. Tout d’un coup, je rentre à fond. Il gueule. Je lui prends ses gros seins et les pince très fort. Il gueule tout en continuant à s’empaler sur ma queue. Je sens sa rondelle qui me serre la queue mieux qu’une chatte de femme. A chacun de ses coups de cul, je sens mon sperme qui monte dans mes couilles, bientôt pleines à éclater.

A l’écran, un deuxième travesti s’est mis en position derrière le noir et entreprend de l’enculer. C’est superbe. Le premier travesti se branle, enculé par le noir, lui-même enculé par l’autre travesti. Mon partenaire se branle aussi. Il a la queue toujours raide et les couilles pleines. Je sens que je vais bientôt jouir. A l’écran, le travesti s’est relevé et est venu devant le noir, la bite énorme et tendue à la main et il se branle. Il lui gicle tout son foutre sur la gueule. Le noir en a partout. Je ne résiste plus et je jouis à mon tour dans le cul de mon partenaire. Je me retire et récupère ma capote pleine de mon foutre. Je me le verse dans la bouche car j’adore boire mon sperme. C’est chaud et c’est bon. Mon partenaire s’est relevé et s’est mis debout devant moi. Il se branle et me crache cinq ou six longs jets de foutre bien chaud sur le visage et les seins. Je m’étale bien tout ce foutre chaud sur les seins et le ventre. Lui a toujours la queue raide. On dirait qu’il ne débande jamais! Comme il est déjà 23 heures, il me demande ce que je fais après.

Comme ce salaud me parait aussi vicieux et jouisseur que moi, je lui propose d’aller boire une bière à côté pour discuter de ce qu’on pourrait faire ensuite. Il accepte. Avant de sortir de la cabine, il me lèche tout le corps pour récupérer le foutre qui coule encore puis il m’embrasse goulûment. Il a une bonne grosse langue chaude qui se mêle à la mienne. Sa bave mélangée au sperme m’excite à nouveau ; je veux encore du foutre. Je me précipite sur sa queue toujours raide et je lui fais une superbe pipe. En moins d’une minute, il me jouit à nouveau dans la bouche ! C’est fou la quantité de sperme qu’il peut cracher ! Je me dis qu’il faut absolument qu’il y ait une suite à cette soirée ! Après cette dernière pipe, nous sortons et allons au bar.

Nous commandons deux pintes de blanche. En attendant, nous nous présentons l’un à l’autre. Il s’appelle Claude, 55 ans, marié. Il aime les hommes autant que les femmes, comme moi.

Manifestement, nous découvrons que nous partageons les mêmes goûts, envies, fantasmes. Il aime les grosse queues, le sperme, la pisse, les animaux, le voyeurisme, l’exhibitionnisme. Il me propose après le bar, d’aller dans un sauna qu’il connaît, fréquenté par des couples entre cinquante et soixante ans. Très souvent, le mari impuissant accompagne sa femme encore bien conservée et avide de cul pour la voir baisée par un ou plusieurs partenaires. Je lui dis que cela me tente énormément et que je suis près à y aller avec lui après le bar. Comme le sauna ne ferme pas la nuit, je lui dis que j’aimerais bien qu’on se fasse un « jeu de pisse » en hors d’œuvre. Je sens à sa main qui me pelote la bite discrètement que cela l’excite. Comme le sauna est très proche, nous pourrons y aller à pied. Comme il aime la bière, nous en buvant finalement six demis chacun en une heure. Comme nous commençons à avoir envie de pisser, nous partons pour le sauna.

Rapidement, nous nous retrouvons en string, une serviette autour de la taille dans le sauna. Claude qui connaît les lieux me fait faire le tour du propriétaire. Il y a plein de pièces sombres, avec des écrans diffusant des films de cul. Il y a plusieurs cabines de sauna, de deux à huit places. Il y a aussi une salle carrelée, avec une piscine au centre et des coussins en plastique tout autour. Bien qu’il soit passé minuit, il y a quatre couples dans la soixantaine et six hommes seuls, plus nous. Je repère tout de suite une femme, la soixantaine, très menue, avec des petits seins bien ferme et un cul bien rond. Surtout, elle a vraiment une bouche de suceuse de bite et un regard de salope à peine croyable ! Elle est vêtue d’un porte-jarretelles noir, de bas et de hauts talons. Ces jambes sont magnifiques. Apparemment, Claude la connaît car elle lui sourit dès qu’elle le voit. Claude me dit :

 » tu as de la chance ce soir ; c’est Françoise. Si elle est en forme, elle peut épuiser tous les mecs qui sont là ! Viens, je vais te présenter. « 

 » Françoise, je te présente Yves. Je l’ai rencontré ce soir et on s’est fait un plan cul fantastique ! Il m’a fait jouir déjà trois fois ! « 

Françoise me sourit et m’embrasse goulûment en laissant glisser sa main sur mon sexe qui recommençait à bander doucement.

 » Bonsoir « , me dit-elle ;  » on dirait que tu es un peu tendu ; as-tu besoin d’un massage ? « 

Avant que je puisse répondre, Claude lui dit à l’oreille :

 » Françoise, on a bu un litre et demi de bière chacun ; on voudrait se faire un « jeu de pisse » avant ; est-ce que cela te tente ? « 

A ces mots, je vois son regard qui devient flou comme si elle avait un orgasme ; sa bouche se tord d’un rictus de plaisir vicieux. Sans répondre, elle nous entraîne vers son mari qui regarde un film en se caressant sans bander. Elle lui dit :

 » Jean, comme je sais que tu vas aller te faire enculer par une de tes petites tapettes habituelles, je veux que tu ais le cul propre. Claude et Yves vont te remplir le cul de pisse avant de me baiser. Viens avec nous dans la cabine. « 

C’est à quatre que nous nous retrouvons dans une cabine comprenant un lit carré dont les draps sont des toiles en plastique, un miroir au plafond et sur trois murs et un écran sur le quatrième. Le film montre trois mignonnes l****as paraissant quinze ans maximum, au milieu d’une dizaine d’hommes membrés comme des ânes. Il y a aussi un âne et sa femelle en chaleur. Comme il ne peut pas la monter, il bande comme un fou. Il est attaché dans une espèce de hamac qui lui empêche de toucher le sol, ce qui permet aux l****as de le branler sans risque. Les couilles de l’âne sont énormes et sa queue encore plus. Les trois salopes à tour de rôle se mettent sous l’âne pour le branler et le sucer. Chacune se prend une giclée de sperme d’un quart de litre ! Elles vont après le dégueuler sur les bites des hommes que le spectacle fait bander un maximum.

Nous aussi, mais l’envie de pisser devient intenable. Françoise comprend l’urgence et fait mettre son mari en position, à quatre pattes et lui dis :

 » écarte bien ton cul, Claude va te le remplir de pisse. « 

Claude aussitôt positionne sa bite dans l’anus de Jean et commence à se soulager. Pendant ce temps, Françoise commence à me sucer la bite. Je lui dis que je ne vais pas pouvoir me retenir de pisser car c’est trop urgent. Elle fait mine de ne rien entendre et je vois à son regard qu’elle n’arrêtera pas. En plus, elle me doigte le cul et me caresse les couilles. Je ne peux plus tenir et je lâche ma pisse. Elle en boit une partie et laisse couler le reste de chaque côté de sa bouche et entre ses seins. Elle garde ma queue dans sa bouche en m’appuyant sur les fesses. Comme nous sommes juste au-dessus de la tête de Jean, la pisse lui coule dessus. Je pisse au moins un demi-litre ! Claude lui, a fini de remplir le cul de Jean qui commence à bander un peu. Jean se met sur le dos ; Françoise s’assoit sur son visage et se branle sur son nez. Claude et moi sommes debout et nous finissons de pisser sur la chatte de Françoise. En se branlant le bouton, elle dit à son mari :

 » vas-y, bois tout le jus qui coule. Si tu bois tout, tu pourras aller te faire enculer par ton giton favori. En échange, tu diras à Félix que je veux son gros dard de black pour accompagner Claude et Yves. Je suis en appétit ce soir et trois bites me suffiront à peine ! « 

Jean s’exécute, pressé d’aller prendre son pied. A peine parti, Félix, vient nous rejoindre. Il porte juste un string de femme qui laisse passer une énorme paire de couilles de chaque coté et une queue qui lui monte jusqu’au nombril. Son gros gland tout rouge darde fièrement ; quelques gouttes de liqueur n’attente qu’un con ou une bouche. Je bande au maximum tant sa queue m’excite !
Françoise, la bouche tordue par le désir, dit :

 » je veux vos bites, gros salauds. Je n’ai pas eu ma dose de queue et de foutre depuis une semaine avec mon mari. Venez me remplir la chatte, le cul et la bouche. Je coule de partout tellement j’ai envie. Yves, allonge-toi par terre, je vais m’empaler sur ta queue. « 

Aussitôt dit, aussitôt fait, son con avale ma bite sans problème. Elle a une chatte bien serrée et brûlante. Elle me prend les seins, me griffe, me mord. Pendant ce temps, Claude s’est mis en position pour l’enculer. Je sens bien sa bite toujours aussi dure qui vient me branler à travers le cul et le con de Françoise. Félix, sans perdre une seconde, sort son énorme queue et la donne à sucer à Françoise. J’en profite pour lui sucer les couilles et lui doigter le cul. Il a des fesses magnifiques, très fermes. J’ai vraiment envie de son cul très musclé.
A l’écran, les l****as sont entrain de se faire baiser et enculer par les superbes bites, énormes et gonflées de foutre. Françoise gueule :

 » Aaah, çà me rend folle du cul ! Je veux de la bite et du foutre ! Je veux un bain de foutre. Vas-y Claude, rempli moi le cul de foutre pour bien le graisser ! Je veux la grosse queue de Félix après dans mon cul ! « 

Claude ne tient plus :

 » tiens salope, prend ça, prend ce lavement de foutre! « 

Françoise jouit comme une folle en me serrant la bite avec son con. J’ai failli tout lâcher tellement c’est bon ! Elle gueule :

 » viens maintenant Félix, Claude m’a ouvert le cul ; il est près à recevoir ta monstrueuse queue qui me fait mourir à chaque fois ! Ahhh, viens me ramoner le cul et me faire jouir ! Je vais gueuler comme une folle avec ton gros dard ! Je vais me branler le bouton pour jouir encore plus fort. « 

Félix ne se fait pas prier une seconde et se met en position derrière Françoise qui doit s’écarter au maximum les fesses pour laisser le passage au sexe tendu qui tressaute, prêt à défoncer la rondelle qui se présente. Je sens vraiment bien la queue énorme de Félix qui me branle à travers le cul de Françoise. Claude s’est mis derrière Félix pour lui caresser les fesses et les couilles. Comme il a de nouveau envie de pisser, il se remet devant Françoise et lui pisse dans la bouche. Dès que c’est plein, Françoise se baisse et me crache tout sur la figure. Je prends un pied d’enfer. Je gueule :

 » Ah, je veux du foutre à la place de ta pisse ; va me chercher des grosses bites pleines, je veux les vider ! Je veux qu’elles me crachent tout sur la gueule ! Dépêche-toi, je vais tout cracher dans le con de Françoise ! « 

Françoise à son tour, avec un rictus de plus en plus salace sur le visage, dit :

 » Claude, j’en veux aussi, je veux ma part de foutre ! Ah, Félix, viens me jouir dans la gueule, je veux tout le jus de tes grosses couilles de noir dégueulasse ! Je sais que tu vas me remplir avec tout ce que tu as dans ta queue ! « 

Félix aussitôt se retire du cul de Françoise et vient se placer à hauteur de sa bouche. En même temps, Claude est revenu avec quatre hommes et le mari de Françoise. C’est son mari qui prend la queue de Félix et le branle en lui disant :

 » Vas-y, salaud, je sens que tu vas tout cracher ; tu vas la remplir la salope, tu vas la noyer de ton foutre, elle aime ça la pute ! « 

Félix ne résiste plus. Il se tend comme un arc et crache à n’en plus finir tout son jus dans la bouche extasiée de Françoise. Elle a un orgasme gigantesque qui me serre la bite très fort et me fait gicler à mon tour. Elle prend tout mon foutre dans sa chatte qui brûle. Le foutre de Félix lui coule des lèvres. Elle se penche sur moi et m’embrasse goulûment, me faisant passer tout le foutre de Félix dans la bouche. Je vois ses petits seins tout tendus et ses tétons qui bandent dans sa jouissance. Je les prends et les serres et les tord. Elle gueule prête à s’évanouir tellement elle jouit. C’est vraiment une folle du cul. Félix, qui bande toujours très dur, prend le mari de Françoise et l’encule à fond. L’autre gueule et se débat mais ne peut échapper aux bras musclés qui l’enserre. Il en prend vraiment plein le cul. Elle gueule et me crache à la gueule :

 » Ahh, salaud, tu me fais mal mais continue ; Ahh, je veux encore des queues et du foutre, vite ! « 
Les quatre autres hommes se branlent. Je suis toujours allongé par terre ; Françoise s’est redressée pour prendre les bites tendues qui se présentent. Elle me met sa chatte sur la bouche et m’éjecte tout le sperme que je viens d’y mettre sur la gueule. Claude me pisse sur la bite et me branle en me mettant deux doigts dans le cul. Je lèche bien la chatte gluante et chaude de Françoise qui suce deux bites à la fois. Les deux autres crachent en même temps. Je prends tout sur les seins. Françoise aussitôt me lèche pour récupérer le foutre et me le crache dans la bouche. Et puis c’est l’apothéose ! Les deux derniers hommes déchargent en gueulant dans la bouche de Françoise en même temps que Claude me fait cracher mes dernières gouttes de sperme en me mettant un troisième doigt dans le cul. Félix a fini aussi de complètement défoncer le cul du mari de Françoise qui sort avec l’anus grand ouvert, dégoulinant de sperme.
Après un moment qui me parait une éternité, Claude qui connaît le cérémonial, fait sortir Félix et les quatre inconnus. En même temps, le mari de Françoise revient, habillé, un martinet à la main et entreprend de fesser Françoise qui semble n’attendre que ça. Claude me dit :

 » Aller, vient, laisse les amoureux s’expliquer. « 

Nous saluons Françoise qui semble ne pas nous voir et nous sortons prendre un bain bien mérité. Après un moment de récupération, je prends congé de Claude en nous promettant de nous revoir bientôt pour d’autres parties de trous du cul comme celle-là.

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